Samedi de la vingtième semaine du Temps Ordinaire — Année B

Posté par diaconos le 21 août 2021

Les pharisien disent et ne font pas !

Ils disent et ne font pas – St-Jacques St-Christophe de la Villette 

# Les pharisiens constituèrent un groupe religieux et politique de Juifs fervents apparu avec les sadducéens et les esséniens en Palestine lors de la période hasmonéenne vers le milieu du IIe siècle av. J.-C., en réponse à l’hellénisation voulue par les autorités d’alors. Initiateur de la Torah orale, préfigurant le rabbinisme, ce courant s’inscrit dans le judaïsme du Second Temple, dont il influence l’évolution. S’éteignant vers la fin du Ier siècle, il nous est connu au travers de différentes sources dont les études renouvelées depuis la fin du XXe siècle ont souligné la difficulté d’en cerner la complexité. Leur courant est appelé « pharisaïsme » ou « pharisianisme ».
w
Depuis l’application stricte de critères d’historicité aux sources et l’attitude plus sceptique des exégètes à leur égard, les informations considérées comme fiables sur le mouvement pharisien se sont fortement réduites ; ainsi, paradoxalement, ces progrès exégétiques ont rendu les contours du mouvement plus flous et moins certains. Il convient désormais d’examiner séparément chacune de ces sources en tenant compte de l’époque et du contexte singulier de leur rédaction . Les points de convergence entre des sources aussi variées et aux intérêts divergents constituent un argument favorable au moins à l’établissement de l’historicité du pharisianisme à propos duquel il faut cependant admettre que nous connaissons en définitive peu de choses pour un groupe aussi nodal dans les tentatives de reconstitution du judaïsme de la période du Second Temple,. Il existe trois sources principales concernant le mouvement pharisien, qui ne sont aucune sans poser de problèmes.
w
Chronologiquement, il s’agit des écrits néotestamentaires des premiers croyants en Jésus de Nazareth, rédigés en grec dans les années 50 à 100 de notre ère, des œuvres de l’historiographe juif Flavius Josèphe, qui écrit en grec à la fin du premier siècle — il constitue la source principale ainsi que de la littérature rabbinique, plus particulièrement la Mishna et la Tosefta datées des années 200 à 220. Plus récemment, une partie significative de la recherche contemporaine a rangé certains Manuscrits de la mer Morte au nombre des sources, où est mentionné un groupe dénommé « Chercheurs d’allègement » ou « de choses flatteuses » qui serait à identifier aux Pharisiens.
w
Flavius Josèphe est ainsi la source principale sur ce qu’il décrivit comme une αἵρεσις / haíresis, une « école de pensée » ou « école philosophique » parmi d’autres, aux côtés des sadducéens, des esséniens et de la « quatrième philosophie », sans donner d’informations particulières ou de repères chronologiques sur leur origine. Il affirma qu’à l’époque d’Hérode, au sein d’une population évaluée à 1,5 à 2 millions d’habitants, les pharisiens furent plus de six mille  ; mais sans doute s’agit-il là des seuls havérims, les « maîtres-pharisiens » organisés en confréries.
.

De l’évangile selon Matthieu

01 Alors Jésus s’adressa aux foules et à ses disciples, 02 et il déclara : « Les scribes et les pharisiens enseignent dans la chaire de Moïse. 03 Donc, tout ce qu’ils peuvent vous dire, faites-le et observez-le. Mais n’agissez pas d’après leurs actes, car ils disent et ne font pas.

04 Ils attachent de pesants fardeaux, difficiles à porter, et ils en chargent les épaules des gens ; mais eux-mêmes ne veulent pas les remuer du doigt. 05 Toutes leurs actions, ils les font pour être remarqués des gens : ils élargissent leurs phylactères et rallongent leurs franges ; 06 ils aiment les places d’honneur dans les dîners, les sièges d’honneur dans les synagogues

07 et les salutations sur les places publiques ; ils aiment recevoir des gens le titre de Rabbi. 08 Pour vous, ne vous faites pas donner le titre de Rabbi, car vous n’avez qu’un seul maître pour vous enseigner, et vous êtes tous frères. 09 Ne donnez à personne sur terre le nom de père, car vous n’avez qu’un seul Père, celui qui est aux cieux.

10 Ne vous faites pas non plus donner le titre de maîtres, car vous n’avez qu’un seul maître, le Christ. 11 Le plus grand parmi vous sera votre serviteur. 12 Qui s’élèvera sera abaissé, qui s’abaissera sera élevé. (Mt 23, 1-12)

Discours contre les scribes et les pharisiens

Les pharisiens furent revêtus de l’autorité de successeurs de Moïse. Il convint donc d’obéir à leurs préceptes, mais il fallut se garder de suivre leur exemple, car ils ne pratiquèrent pas ce qu’ils enseignèrent, ils se contentèrent de charger les autres. Tout ce qu’ils firent, ils le firent pour être remarqués et vantés par les personnes.

À la sotte vanité des pharisiens, Jésus opposa l’attitude humble qu’il prescrivit à ses disciples : qu’ils ne se fassent pas appeler Rabbi, Père, Directeur, car ils furent tous égaux devant Dieu ; le plus grand parmi eux fut le serviteur de tous ; celui qui s’abaissera sera élevé.

Jésus  réduisit ses adversaires au silence. Il formula leur condamnation : ce discours s’adressa d’abord aux foules et aux disciples ,  que Jésus voulut prémunir contre l’esprit des principaux du peuple, puis il prit à partie ces derniers, dont il démasqua et censura les vices dans une suite d’apostrophes foudroyantes.Matthieu seul donna ce discours, Marc et Luc n’en citèrent que quelques fragments, qu’ils placèrent en d’autres occasions comme la critique moderne prêtée à Matthieu.

Il est tout à fait dans la situation qu’à ce moment Jésus exprime toute sa pensée sur ses adversaires. (De Wette)

Ce discours est plein de vie et d’unité qu’on ne saurait douter qu’il n’ait été prononcé ainsi, bien que peut-être il renferme quelques éléments empruntés à d’autres discours de Jésus. (Meyer)

Publié dans Catéchèse, Histoire, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Maria Hemelvaart

Posté par diaconos le 13 août 2021

C'est quoi l'Assomption ? - Ça m'intéresse

# De tenhemelopneming van Maria, in de oosterse traditie de Ontslapenis genoemd, is de orthodoxe en katholieke religieuze overtuiging dat de Maagd Maria, de moeder van Jezus, niet is gestorven zoals alle anderen, maar rechtstreeks is binnengegaan in de heerlijkheid van God (wat gewoonlijk wordt vertaald als « opstijgen naar de hemel »). De door de paus gebruikte uitdrukking « nadat zij haar aardse leven had voltooid » laat de vraag open of de Maagd Maria vóór haar hemelvaart is gestorven of dat zij vóór haar dood is opgestaan.

. Dit geloof heeft geen bijbelse basis, maar is zeer oud in de traditie van zowel de Oosterse als de Westerse Kerken (en wordt liturgisch gevierd sinds de 8e eeuw) en werd gedefinieerd als een religieus dogma (d.w.z. een waarheid van het christelijk geloof) in de Apostolische Constitutie Munificentissimus Deus van Pius XII in 1950. Het is de eerste en tot dusver enige verklaring waarin een beroep wordt gedaan op de pauselijke onfeilbaarheid na de afkondiging van de onfeilbaarheid door het Eerste Vaticaans Concilie.

Hoewel de Oosterse Kerken hetzelfde geloof in de Assumptie delen, hebben zij de Dormition nooit dogmatisch willen definiëren. In de katholieke kerk wordt de Assumptie op 15 augustus op plechtige wijze liturgisch gevierd, vaak met religieuze processies. In de Anglicaanse kalender werd het feest van Maria Hemelvaart in 1549 afgeschaft, maar 15 augustus bleef het hoofdfeest van de Maagd Maria (zonder verwijzing naar haar Hemelvaart).

15 augustus zou de datum zijn waarop de eerste kerk, gewijd aan Maria, « Moeder van Jezus, Zoon van God », in Jeruzalem werd ingewijd, in de vijfde eeuw na het Concilie van Efeze (431). Voordat het een dogma werd, was de tenhemelopneming van Maria een geloof dat gebaseerd was op patristische traditie en niet op een bijbelse basis die door de vroege Kerk werd erkend. In feite is er geen tekst in het Nieuwe Testament die het einde van Maria vermeldt, en apocriefe teksten en legenden vulden de leemte op.

In 373 [AD] vermeldt de heilige Ephrem het idee dat het lichaam van Maria intact bleef na haar dood, d.w.z. onaangetast door de  » onreinheid  » van de dood (aangezien de Torah  » een Torah van het leven  » is, worden de dood en zij die hem dragen als onrein beschouwd). In de vierde eeuw testte Epiphanius van Salamis verschillende hypothesen over wat er met Maria gebeurde aan het einde van haar leven. Hij concludeert dat het onmogelijk is te zeggen, maar laat de mogelijkheid open dat sommige heterodoxe kringen meer wisten, naar zijn mening. Aangezien er reeds in de vijfde eeuw een schriftelijke overlevering bestaat, dateert het waarschijnlijk uit de vierde eeuw. In het Westen is Gregorius van Tours de eerste die het vermeldt aan het eind van de zesde eeuw.  Hij baseert zich blijkbaar op een corpus van apocriefe teksten die gegroepeerd zijn onder de naam Transitus Mariæ en die over het algemeen worden toegeschreven aan de vijfde eeuw.

lwf0003web.gif

Zij brachten de ark van God en plaatsten die in het midden van de tent die David voor hen had klaargemaakt

Uit het eerste boek van Kronieken

-In die dagen verzamelde David heel Israël in Jeruzalem om de ark van de Heer naar de daarvoor bestemde plaats te brengen. Hij verzamelde de zonen van Aaron en de Levieten. De Levieten droegen de ark van God met stokken op hun schouders, zoals Mozes had bevolen, naar het woord van de Here. David beval de leiders van de Levieten om hun broeders, de zangers, te verzamelen met hun instrumenten, harpen, lieren en cimbalen, om een luide vreugdekreet te laten klinken.

Toen brachten zij de ark van God en plaatsten die in het midden van de tent die David voor hen had opgericht. Daarna brachten zij brandoffers en dankoffers voor God. Toen David klaar was met de brandoffers en de dankoffers, zegende hij het volk in de naam des Heren. ( 1. Ch. 15,3-4.15-16; 16,1-2) worden.

Le mystère de l'Arche d'alliance

Volgens een van de bijbelse overleveringen was de Ark des Verbonds gemaakt van acaciahout, van binnen en van buiten bedekt met zuiver goud en rondom afgezet met goud. Hij was twee en een halve el lang, anderhalve el breed en anderhalve el hoog. Het had vier voeten, op de top waarvan vier gouden ringen waren. Met goud beklede stokken van acaciahout werden door de ringen gestoken om ze te ondersteunen.

De Ark des Verbonds

L'Arca dell'Alleanza (in ebraico אֲרוֹן הָעֵדוּת, Aron ha'Edout, "Arca della Testimonianza") sarebbe lo scrigno che, secondo la Bibbia, contiene le Tavole della Legge (dieci comandamenti) date a Mosè sul monte Sinai1. È una cassa di legno oblunga ricoperta d'oro. Il sedile della misericordia con due cherubini in cima, che forma il coperchio, è considerato il trono, la residenza terrena di YHWH (Esodo 25:22). Quando il tabernacolo fu completato, l'arca fu posta nel Santo dei Santi, la parte più centrale del Tempio di Salomone. (1 Re 8:1-8).

De Ark van het Verbond (in het Hebreeuws אֲרוֹן הָעֵדוּת, Aron ha’Edout, « Ark van het Getuigenis ») is de kist die volgens de Bijbel de Tafelen van de Wet (tien geboden) bevat die aan Mozes op de berg Sinaï zijn gegeven1. Het is een langwerpige houten kist bedekt met goud. Het verzoendeksel met de twee cherubs erop, dat het deksel vormt, wordt beschouwd als de troon, de aardse woonplaats van YHWH (Exodus 25:22). Toen de tabernakel voltooid was, werd de ark in het Heilige der Heiligen geplaatst, het meest centrale deel van Salomo’s Tempel. (1 Koningen 8:1-8).De Ark van het Verbond (Hebreeuws אֲרוֹן הָעֵדוּת, Aron ha’Edout,  » Ark van het Getuigenis  » ) is de kist die volgens de Bijbel de Tafelen van de Wet (Tien Geboden) bevat die aan Mozes op de berg Sinaï zijn gegeven.

Het is een langwerpig houten kistje bedekt met goud. Het verzoendeksel met de twee cherubs erop, dat het deksel vormt, wordt beschouwd als de troon, de aardse woonplaats van YHWH (Exodus 25:22). Toen de tabernakel voltooid was, werd de ark in het Heilige der Heiligen geplaatst, het centrale deel van Salomo’s tempel. (Daarop was een deksel (verzoendeksel) van zuiver goud, twee en een halve el lang en anderhalve el breed. Aan weerszijden van het deksel waren twee gouden cherubijnen, die hun vleugels omhoog spreidden om hun borst te bedekken en hun gezichten naar elkaar toekeerden. De Ark des Verbonds, de ringen, de palen, het verzoendeksel en de twee cherubs werden door Besel gemaakt volgens deze voorstelling. Hij was de voornaamste bouwer van de tabernakel en werd door God rechtstreeks naar Mozes gezonden.

Zijn naam komt voor in de genealogische lijsten in Kronieken. Hij wordt daar genoemd als de zoon van Uri (Genesis 31:1), die op zijn beurt een zoon is van Hur uit de stam van Juda. In de pinksterbeweging wordt hij beschouwd als een van de eersten aan wie een manifestatie van de heilige Geest plaatsvond. Als wij ons beperken tot de bijbelse teksten volgens de canon van de Hebreeuwse Schrift, lijkt het erop dat de Ark, na vele jaren in Salomo’s tempel te hebben gelegen, gewoon is verdwenen.

Pompeius, een Romeins generaal, getuigde dat er geen Ark meer was in de Tweede Tempel. Hij vond het Heilige der Heiligen helemaal leeg. Een grote verscheidenheid van hypothesen werd naar voren gebracht: Sommigen dachten dat de Ark ergens door de priesters was verborgen, in een van de ondergrondse gangen van de Tempelberg of op een andere plaats, die zij geheim hielden tot de juiste tijd voor zijn wederverschijning, toen de Derde Tempel werd gebouwd.

Zijn naam komt voor in de genealogische lijsten van Kronieken. Hij wordt daar genoemd als de zoon van Uri (Genesis 31, 1), die op zijn beurt een zoon is van Hur uit de stam van Juda. In de pinksterbeweging wordt hij beschouwd als een van de eersten aan wie een manifestatie van de heilige Geest plaatsvond. Als wij ons beperken tot de bijbelse teksten volgens de canon van de Hebreeuwse Schrift, lijkt het erop dat de Ark, na vele jaren in Salomo’s tempel te hebben gelegen, gewoon is verdwenen.

Pompeius, een Romeins generaal, getuigde dat er geen Ark meer was in de Tweede Tempel. Hij vond het Heilige der Heiligen helemaal leeg. Een grote verscheidenheid van hypothesen werd naar voren gebracht: Sommigen dachten dat de Ark door de priesters ergens was verborgen, in een van de ondergrondse gangen van de Tempelberg, of op een andere plaats, die zij geheim hielden tot het juiste moment voor zijn wederverschijning, toen de Derde Tempel werd gebouwd.

Diaken Michel Houyoux

Links naar andere christelijke websites

◊  Elisabeth : klik hier om het artikel te lesen →   Geloof en gezondheid

◊  RKdocumenten : klik hier om het artikel te lesen → Maria in het leven van de Kerk – diverse

  Maria Hemelvaart overweging 15 augustus

Image de prévisualisation YouTube

Publié dans Catéchèse, fêtes religieuses, Foi, Histoire, L'Église, La messe du dimanche, Page jeunesse, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Tuesday of the nineteenth week in Ordinary Time – Odd numbered year

Posté par diaconos le 10 août 2021

If anyone serves me, my Father will honour him

Verse of the day John-6:37

Saint Lawrence or Laurence (Latin: Laurentius, lit. « laurelled »; 31 December AD 225[1] – 10 August 258) was one of the seven deacons of the city of Rome, Italy, under Pope Sixtus II who were martyred in the persecution of the Christians that the Roman Emperor Valerian ordered in 258. Lawrence encountered the future Pope Sixtus II, who was of Greek origin and one of the most famous and highly esteemed teachers, in Caesaraugusta (today Zaragoza). Eventually, both left Spain for Rome.
x
When Sixtus became the Pope in 257, he ordained Lawrence as a deacon, and though Lawrence was still young appointed him first among the seven deacons who served in the cathedral church. St. Lawrence was thought to have been born on December 31, AD 225, in Valencia, or less probably, in Huesca, the town from which his parents came in the later region of Aragon that was then part of the Roman province of Hispania Tarraconensis.
x
The martyrs Orentius (Modern Spanish: San Orencio) and Patientia (Modern Spanish: Santa Paciencia) are traditionally held to have been his parents. Lawrence encountered the future Pope Sixtus II, who was of Greek origin and one of the most famous and highly esteemed teachers, in Caesaraugusta (today Zaragoza). Eventually, both left Spain for Rome. When Sixtus became the Pope in 257, he ordained Lawrence as a deacon, and though Lawrence was still young appointed him first among the seven deacons who served in the cathedral church.
x
He is therefore called « archdeacon of Rome », a position of great trust that included the care of the treasury and riches of the Church and the distribution of alms to the indigent. St. Cyprian, Bishop of Carthage, notes that Roman authorities had established a norm according to which all Christians who had been denounced must be executed and their goods confiscated by the Imperial treasury. At the beginning of August 258, the Emperor Valerian issued an edict that all bishops, priests, and deacons should immediately be put to death. Pope Sixtus II was captured on 6 August 258, at the cemetery of St. Callixtus while celebrating the liturgy and executed forthwith. After the death of Sixtus, the prefect of Rome demanded that Lawrence turn over the riches of the Church.
x
St. Ambrose is the earliest source for the narrative that Lawrence asked for three days to gather the wealth. He worked swiftly to distribute as much Church property to the indigent as possible, so as to prevent its being seized by the prefect. On the third day, at the head of a small delegation, he presented himself to the prefect, and when ordered to deliver the treasures of the Church he presented the indigent, the crippled, the blind, and the suffering, and declared that these were the true treasures of the Church.
x
lwf0003web.gif

# Salvation is a spiritual concept that means « deliverance and release ». The believer who has salvation is delivered and set free from sin, dissatisfaction and eternal condemnation (hell). He enjoys a relationship with God and thus has access to heaven. Soteriology is a field of theology that studies the different doctrines of salvation. The salvation of the soul is one of the fundamental themes of Christianity. It allows access to paradise. Its study is called soteriology. In Christianity, salvation is associated with Christ, who is considered the redeemer of humanity; thus soteriology is linked to Christology.

In Catholicism, it is offered through grace, the sacraments and good works. In Protestantism and Evangelical Christianity, it is offered by faith and grace alone. This notion covers a great variety of themes, which have been more or less developed according to the periods of history and the Christian confessions.

In the second century, Clement of Alexandria, one of the first Christians to master ancient classical philosophy, used many images to describe the salvation brought by Christ. He used the image of light that gives intelligence, or of music that softens hearts, tames wild animals like people, and gives them life.

In the fourth century, Athanasius of Alexandria described salvation as the fact that God, Father, Son and Spirit, dwells in man, already in this life. In the fifth century, the African bishop Augustine of Hippo developed the theme of salvation in his book The City of God. Salvation is expressed in terms of regeneration, beginning at baptism and ending in the resurrection.

Medieval theology, dominated by Augustinian thought, left little room for human freedom: Thomas Aquinas tried to organise around Augustine’s thought a metaphysical system that would reconcile grace and human freedom. He had to hold both the affirmation of divine action in every action of Man, and the affirmation of the freedom of this same Man.

Jansenism was a theological trend within the framework of the Catholic Reformation, which emerged in the years following the Council of Trent but which had its roots in earlier debates. It was linked to a long tradition of Augustinian thought. Jansenius, then a university student and later a professor, undertook to write a theological sum that would address the problem of grace by synthesising the thought of St Augustine.

From the Gospel according to John

24 Amen, amen, I say to you, if a grain of wheat that falls into the earth does not die, it remains alone; but if it dies, it bears much fruit. 25 He who loves his life loses it; he who separates from it in this world will keep it for eternal life. 26 If anyone wants to serve me, let him follow me; and where I am, there will my servant be also. If anyone serves me, my Father will honour him.  (Jn 12, 24-26)

Jesus gave his life for the salvation of the world

In contrast to all the dreams of a glorious Messiah that the disciples still entertained and to all the thoughts of human wisdom that could occupy the minds of the Greeks, Jesus affirmed in the most solemn way the absolute necessity of his death for the salvation of the world. The image with which he expressed this thought was full of accuracy and depth. The seeds had to be sown in order to germinate, to give vigorous plants and at harvest time to give a good yield of wheat.

It was to himself that Jesus applied this image. If he had not given his life for the salvation of the world, a few great religious and moral truths would have remained from him, and the few disciples he had gathered around him up to that point; we would not have seen the formation of a Christian Church, a new humanity, and the birth to divine life of the millions of souls who for more than twenty centuries have been the fruit of his death.

But if this absolute principle of the kingdom of God: through death to life, was true for Jesus, it was no less true for all its members. This is what Jesus positively declared when he said: « He who loves his life loses it; and he who hates his life in this world will keep it for eternal life.

The soul is the physical life and the psychic, natural life, with all the faculties whose activity manifests this life. He who loves it will refuse to give it up to death as Jesus gave up his, he who hates it in this world where sin reigns, will save it for eternal life, because it will be changed into eternal life. These words apply to all Christians, and they were of supreme importance to Jesus, for they recurred frequently in his discourses.

« If anyone serves me, let him follow me ; and where I am, there shall my servant be also ; if anyone serves me, my Father will honour him. (Jn 12, :26) There is a serious exhortation and a rich promise in these words. To serve Christ is to give oneself to him and therefore to follow him in his life and in his death. This path which he himself followed, leads with certainty into his glory. To be with Jesus where he is is the bliss and the glory of heaven, and thus will be perfectly fulfilled that precious promise : « My Father will honour him. »

Deacon Michel Houyoux

Links to other Christian websites

◊ Britanica : click here to read the paper → Saint Lawrence (Christian saint)

  St. Lawrence, Deacon and Martyr HD

Image de prévisualisation YouTube

Publié dans Catéchèse, fêtes religieuses, Foi, Histoire, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Lundi de la dix-neuvième Semaine du Temps Ordinaire — Année Impaire

Posté par diaconos le 9 août 2021

Peut être une image de 5 personnes

 

# La résurrection désigne, dans la religion chrétienne, le passage physique de la mort à la vie. Elle concerne principalement Jésus-Christ, mort au cours de sa crucifixion et vivant « le troisième jour, selon les Écritures », c’est-à-dire le matin de Pâques. L’exégèse historico-critique s’efforça de retracer le débat qui opposait pharisiens et sadducéens sur la croyance en la résurrection à l’époque de Jésus de Nazareth, et souligna l’importance de ces discussions dans la formation du christianisme.
x
Trois résurrections précédèrent celle de Jésus dans le Nouveau Testament, celle du fils de la veuve de Naïn dans l’évangile de Luc, celle de la fille de Jaïre dans les synoptiques et celle de Lazare dans l’Évangile selon Jean. Considérés comme des miracles qui obéissent à la volonté de Dieu, ces épisodes ne semblent toutefois pas constituer une préfiguration de la résurrection christique. Celle-ci fut d’une nature différente sur le plan théologique.
x
Deux résurrections succédèrent à celle de Jésus-Christ : celle de Dorcas (Tabitha) réalisée par l’apôtre Pierre et celle d’Eutyche opérée par l’apôtre Paul. Pour l’eschatologie chrétienne, à la fin des temps, la résurrection des morts aura lieu lorsque sera établi le Royaume de Dieu. La croyance en la résurrection, ou relèvement des morts, n’est pas partagée par tous les croyants du judaïsme à l’époque de Jésus, comme le laisse comprendre le passage en l’Évangile selon Matthieu, chapitre 22, verset 23 : « Ce même jour, des sadducéens vinrent le trouver.
x
Ils prétendirent que les morts ne ressuscitent pas. (…) » L’Évangile selon Matthieu, selon l’exégèse biblique, témoigne encore de l’importance de cette question posée par le christianisme dans la communauté juive de Palestine et d’Asie Mineure. Cette question se trouve également évoquée dans d’autres passages de l’Évangile, mais aussi ailleurs dans le Nouveau Testament, principalement les Épîtres de Paul et dans le livre des Actes des Apôtres.
x
Dans les Actes des Apôtres, la question du relèvement des morts, grâce à la résurrection de Jésus, devient un enjeu central de prédication auprès des Juifs (telle la prédication de Pierre, Actes, 2:14-36). Des thèmes comme la vie éternelle, le salut ou le Royaume des cieux sont, semble-t-il, incompréhensibles sans que soit considéré le relèvement des morts tel que conçu par le christianisme. Hormis l’emphase sur la résurrection dans le « ministère » de Jésus (plusieurs résurrections lui sont attribuées : la fille de Jaïre, le fils d’une veuve éplorée, et l’ami de Jésus, Lazare), le compte-rendu des tout débuts de l’Église qu’offrent les Actes témoigne de l’intérêt de la question du relèvement des morts.
x

 De l’évangile selon Matthieu

22 Comme ils étaient réunis en Galilée, Jésus leur dit : « Le Fils de l’homme va être livré aux mains des hommes ;  23 ils le tueront et, le troisième jour, il ressuscitera. » Et ils furent profondément attristés. 24 Comme ils arrivaient à Capharnaüm, ceux qui perçoivent la redevance des deux drachmes pour le Temple vinrent trouver Pierre et lui dirent : « Votre maître paye bien les deux drachmes, n’est-ce pas ? »

25 Il répondit : « Oui. » Quand Pierre entra dans la maison, Jésus prit la parole le premier : « Simon, quel est ton avis ? Les rois de la terre, de qui perçoivent-ils les taxes ou l’impôt ? De leurs fils, ou des autres personnes ? » 26 Pierre lui répondit : « Des autres. » Et Jésus reprit : « Donc, les fils sont libres. 27 Mais, pour ne pas scandaliser les gens, va donc jusqu’à la mer, jette l’hameçon, et saisis le premier poisson qui mordra ; ouvre-lui la bouche, et tu y trouveras une pièce de quatre drachmes. Prends-la, tu la donneras pour moi et pour toi. » » (Mt 17, 22-27)

Jésus paie le tribut

 Jésus et ses disciples étant revenus à Capharnaüm, les percepteurs du tribut pour le temple demandèrent à Pierre si leur Maître payait cet impôt ? Pierre répondit affirmativement. Jésus prévenant le récit de Pierre fit observer à son disciple que, puisque les rois exemptèrent leurs fils de tout impôt, lui, le Fils de Dieu, ne devrait pas y être soumis.Mais ne voulant pas  exciter de faux préjugés contre lui, il ordonna à Pierre de pêcher, et lui annonça que le premier poisson pris aura dans la bouche un statère, qu’il emploiera à payer le tribut.

Depuis l’époque de l’exil, tous les hommes en Israël devaient payer une contribution de deux drachmes pour les frais du culte dans le temple. La drachme est mentionnée dans le Nouveau Testament  et dans le Coran. La drachme, une pièce d’argent de 3,50 g du système monétaire grec, fut mentionnée par Jésus dans la Parabole de la drachme perdue présente dans l’évangile selon Luc (Lc 15, 8-10).

À peu près équivalente au denier rtomain, elle correspondait à une journée de travail. La question des percepteurs de l’impôt sembla supposer chez eux la pensée que Jésus prétendait en être exempté, en sa qualité de Messie. Peut-être cette question fut-elle motivée par le fait que Jésus était en retard pour payer cet impôt. On percevait celui-ci au mois d’Adar (commencement de mars).

La réponse de Pierre prouva que Jésus avait l’habitude de s’acquitter de ces obligations légales.  Jésus répondit : « Moi, le Fils de Dieu, je ne saurais être tenu par la loi à payer un impôt destiné à sa maison.  » « Il y a ici un plus grand que le temple  » et il  associa même son disciple à ce privilège (les fils). Pierre aussi fut fils du Père, par adoption. « Ceux qui tinrent à Jésus partagèrent le droit de Jésus.(Bengel)

Mais Jésus qui savait qu’il ne serait pas compris et donnerait du scandale, se désista humblement et charitablement de son droit et paie le tribut. Le statère valait précisément quatre drachmes, qui suffisaient pour Jésus et pour Pierre. Et d’abord, en quoi consiste-t-il ? Non dans une action par laquelle Jésus aurait produit le statère dans la bouche du poisson, mais dans la science divine qui savait qu’il s’y trouvait. Or, ce n’est pas là ce qui arrêta la critique, celle du moins qui vit en Jésus le Fils de Dieu, le Roi de la nature.

Mais elle objecta que ce miracle fut inutile, vu la facilité de se procurer d’une autre manière, à Capharnaüm, cette petite valeur de quatre drachmes. Elle objecta aussi que jamais Jésus ne fit de miracles pour lui-même. Elle fit observer enfin que l’exécution de l’ordre donné à Pierre, le fait même de cette pêche miraculeuse ne fut pas raconté. D’où elle  conclu  que les paroles de Jésus furent modifiées par une tradition que Matthieu rapporta seul ; que celle-ci aurait transformé en un fait historique ce qui  fut primitivement une parabole par laquelle Jésus enseigna aux siens le devoir de payer les impôts.

Inutile de citer les puériles tentatives d’interprétation rationnelle, comme celle qui prétendit que Pierre devait vendre ce poisson et en donner le prix aux percepteurs. L’exégèse n’a pas à discuter ces hypothèses, mais à s’en tenir simplement aux données du récit, dont le sens est clair. Ce récit renferme pour la piété de précieuses leçons : la pauvreté de Jésus, qui ne possède pas quatre drachmes, l’humilité avec laquelle il renonce à son droit divin pour remplir un si pale devoir de citoyen, sa charité, qui évite de heurter des préjugés ; sa grandeur divine, à laquelle tout dans la nature doit servir.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Père Gilbert Adam : cliquez ici pour lire l’article → Lundi de la 19e semaine, année impaire

  Prédication du professeur Elian Cuvillier : « Un père et ses deux fils »

Image de prévisualisation YouTube

  Les paraboles de la brebis et de la drachme perdues expliquées

Image de prévisualisation YouTube

 

Publié dans Catéchèse, Histoire, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

1...7778798081...100
 

Passion Templiers |
CITATIONS de Benoît XVI |
La pastorale Vauban |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | chrifsossi
| La Mosquée de Méru
| Une Paroisse virtuelle en F...