Fifth Sunday in Ordinary Time – Even Year B

Posté par diaconos le 27 janvier 2024

Jésus guérit la belle-mère de Pierre (évangile de Marc 1,29) - Dreuz.info

Jesus heals Peter’s mother-in-law

From the Gospel of Jesus Christ according to Mark

When Jesus and his disciples had left the synagogue in Capernaum, they went with James and John to the house of Simon and Andrew. Simon’s mother-in-law was in bed with a fever.  Immediately they told Jesus about her. Jesus came and took her by the hand and got her up. The fever left her, and she served them. When evening came, after sunset, all those who were ill or possessed by demons were brought to him. The whole town thronged to the door. He cured many people of all kinds of diseases and expelled many demons ; he prevented the demons from speaking, because they knew who he was.

The next day, Jesus got up well before dawn. He went out to a deserted place and prayed there. Simon and those who were with him went looking for him. They found him and said to him : « Everyone is looking for you. »  Jesus said to them : « Let’s go somewhere else, to the neighbouring villages, so that I can proclaim the gospel there too ; For this is why I went out. » And he went throughout all Galilee, proclaiming the gospel in their synagogues and casting out demons » (Mk 1, 29-39).

Jesus heals Peter’s mother-in-law

The kingdom of God refers to the way God wants things to be done now. In the verses preceding this text from Luke’s Gospel, Jesus describes the kingdom of God : Jesus came to proclaim the good news to the poor, to heal the brokenhearted, to preach deliverance to those held captive by sin or disease, to give sight to the blind, and to set free those oppressed by past wounds.  He came to announce a year of forgiveness and restoration to all who would believe in him and receive his message. Jesus came to declare God’s will, his ways, and the method by which he acts. When Jesus said : « I must preach the kingdom of God », he meant that the kingdom of God would replace the kingdom of Satan for those who received him.

If you have received Jesus Christ as your Saviour and have made him Lord of your life, you must follow his example and his principles. And act on his word and commandments every day. This means spending time reading and meditating on God’s word, to the point where you are imbued with it and guided by it. In this way you will learn how his kingdom works. By doing so, you will participate in it and allow his kingdom to come. If you do not yet know Jesus, the door is wide open. He will never reject anyone who comes to him (John 6, 37).

The kingdom of God is righteousness, peace and joy through the Holy Spirit. He who serves Christ in this way is pleasing to God and approved by men (Rom 14:17-18). Today, take time to consider your ways to see if you are operating according to Jesus’ method.  Moving away from our indifference, other people’s pain sometimes becomes our own, to the point of asking ourselves how we can ease it by becoming more human. This morning, the Word reaches us where we are, but above all, where we are. Perhaps you are confronted with anxiety, born of these physical or psychological fevers, creating a kind of frontier between a before and an after; anxiety then takes shape in your life.

Look at Simon’s mother; healed, she immediately began to serve. The idea of service is a real opportunity to heal our ills and look at things differently. f we read the Scriptures, it becomes clear that the Gospel does not consist solely of a personal relationship with God. Nor should our response of love be understood as a simple sum of small personal gestures in favour of some individual in need, which could constitute a kind of à la carte charity, a series of actions designed simply to ease our conscience. The proposal is the Kingdom of God (Lk 4:43). It is about loving God who reigns in the world. To the extent that he succeeds in reigning among us, social life will be a place of brotherhood, justice, peace and dignity for all.

So both the proclamation and the Christian experience tend to have social consequences. Let us seek his Kingdom : « Seek first his Kingdom and his justice, and all these things will be added to you » (Mt 6:33). Jesus’ plan is to establish the Kingdom of his Father; he asks his disciples : « Proclaim that the Kingdom of heaven is at hand » (Mt 10, 7).

Interesting sites to see on the Internet


Hillson Church : click here to read the paper The Kingdom of God – What it is & What it Means

Britanica : click here to read the paper → Kingdom of God | Christianity, Biblical Teachings

  Video A call from Jesus : Click here to watch the video → https://youtu.be/m_e8BmSz4j8

Publié dans Bible, Catéchèse, comportements, Disciples de Jésus, évangiles, Foi, L'Église, La messe du dimanche, Nouveau Testament, Page jeunesse, Paroisses, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Sainte Angèle Mérici

Posté par diaconos le 25 janvier 2024

Sainte Angèle Mérici, Vierge, fondatrice de la Congrégation des Ursulines

Angèle Mérici vint au monde en Italie du Nord, à Desenzano, entre 1474 et 1478. La première partie de sa vie, heureuse, fut de courte durée. En quelques mois, l’adolescente perdit ses parents et l’une de ses sœurs. Après ces deuils, vers l’âge de 16 ans, son oncle et sa tante, les Biancosi, la prirent chez eux. Angèle eut déjà entendu l’appel de Dieu, et elle préféra passer son temps avec le Christ, dans la prière et une vie simple, plutôt que de s’adonner aux plaisirs mondains.

À l’âge de dix-huit ans, afin de pouvoir se consacrer au Seigneur librement et d’être admise régulièrement à la table eucharistique (fait rare à cette époque), elle demanda à entrer dans le Tiers-Ordre de Saint-François d’Assise, et devint Sœur Angèle. Elle travailla, pria, participa à la messe et communia le plus souvent possible. Elle jeûna et mena la vie simple et au service des autres qu’elle désirait. Elle se sentit alors pressée intérieurement d’accomplir sa mission : fonder une Compagnie de femmes qui voulurent se consacrer au Seigneur.

Elles vécurent leur consécration sans se retirer de leur lieu de vie. Là où elles étaient, elles vécurent leur vie de prière et furent attentives aux besoins des autres. Angèle qui aimait beaucoup Sainte Ursule, une martyre du IVe siècle particulièrement populaire à cette époque, la donna comme patronne à sa fondation. La transformation de la Compagnie en Ordre religieux, après le Concile de Trente (1545-1563), obligea les filles d’Angèle à entrer dans des cloîtres.

Apostoliques, elles continuèrent d’être apôtres en devenant éducatrices. Héritières de la pédagogie d’Angèle, qui excellait dans l’art d’accueillir et de conduire chacun, les Ursulines suent alors devenir des formatrices à travers les siècles, et spécialement au service de la jeunesse, selon la mission que l’Église leur confia. Angèle mourut le vint-sept janvier 1540. Elle fut canonisée le vingt sept mai 1807, par Pie VII. À voir sur le site des Ursulines de l’Union Romaine, ‘connaître sainte Angèle Mérici’, ‘sa vie’

Mémoire de sainte Angèle Mérici, vierge. Elle prit d’abord l’habit du Tiers-Ordre de Saint François et elle réunit des jeunes filles pour les former aux œuvres de charité ; puis, sous le nom de sainte Ursule, elle fonda un Ordre féminin, avec pour objectif de pratiquer une vie de perfection dans le monde et d’instruire les adolescentes dans les voies du Seigneur. Elle mourut, cinq ans après sa fondation, en 1540, à Brescia en Lombardie.

Diacre Michel Houyoux

Vidéo Sainte Angèle de Mérici : cliquez ici https://youtu.be/F-Yhu3FvccY

Publié dans Bible, Catéchèse, L'Église, Page jeunesse, Paroisses, Religion, Temps ordinaire, Vie des saints | Pas de Commentaire »

Cinquième dimanche du Temps Ordinaire – Année Paire

Posté par diaconos le 25 janvier 2024

Jésus guérit la belle-mère de Pierre (évangile de Marc 1,29) - Dreuz.info

Jésus guérit la belle-mère de Pierre

De l’Évangile de Jésus Christ selon Marc

En ce temps-là, aussitôt sortis de la synagogue de Capharnaüm, Jésus et ses disciples allèrent, avec Jacques et Jean, dans la maison de Simon et d’André. Or, la belle-mère de Simon était au lit, elle avait de la fièvre. Aussitôt, on parla à Jésus de la malade.  Jésus s’approcha, la saisit par la main et la fit lever. La fièvre la quitta, et elle les servait. Le soir venu, après le coucher du soleil, on lui amenait tous ceux qui étaient atteints d’un mal ou possédés par des démons. La ville entière se pressait à la porte. Il guérit beaucoup de gens atteints de toutes sortes de maladies, et il expulsa beaucoup de démons ; il empêchait les démons de parler, parce qu’ils savaient, eux, qui il était.

Le lendemain, Jésus se leva, bien avant l’aube. Il sortit et se rendit dans un endroit désert, et là il priait. Simon et ceux qui étaient avec lui partirent à sa recherche. Ils le trouvent et lui disent : «Tout le monde te cherche.» Jésus leur dit : «Allons ailleurs, dans les villages voisins, afin que là aussi je proclame l’Évangile ; car c’est pour cela que je suis sorti. » Et il parcourut toute la Galilée, proclamant l’Évangile dans leurs synagogues, et expulsant les démons. (Mc 1, 29-39) 

Jésus guérit la belle-mère de Pierre

Le royaume de Dieu se réfère à la manière dont Dieu désire que les choses soient accomplies maintenant. Par des versets précédant ce texte de l’évangile de Luc, Jésus décrit le royaume de Dieu : Jésus est venu proclamer la bonne nouvelle aux pauvres, guérir ceux qui ont le cœur brisé, prêcher la délivrance à ceux retenus captifs par le péché ou la maladie, pour que les aveugles recouvrent la vue, et pour renvoyer libres ceux que les blessures passées ont opprimés. Il est venu annoncer une année de pardon et de restauration à tous ceux qui croiraient en lui et recevraient son message. Jésus est venu déclarer la volonté de Dieu, ses voies, et la méthode par laquelle il agit.

Lorsque Jésus a dit : «Je dois prêcher le royaume de Dieu», il voulait dire que le royaume de Dieu allait remplacer le royaume de Satan pour les personnes qui le recevraient. Si vous avez reçu Jésus-Christ comme votre Sauveur et que vous avez fait de lui le Seigneur de votre vie, vous devez prendre exemple sur sa méthode et sur ses principes. Et agir selon sa parole et ses commandements tous les jours. Cela implique de passer du temps à lire et méditer la parole de Dieu, au point d’en être imprégné et d’être dirigé par cette parole de vie. Vous apprendrez ainsi comment son royaume opère. En agissant de la sorte, vous y participerez et permettrez que son règne vienne.

Si vous ne connaissez pas encore Jésus, la porte est grande ouverte. Il ne rejettera jamais celui qui vient à lui (Jean 6, 37) Le royaume de Dieu est la justice, la paix et la joie par le Saint-Esprit. Celui qui sert Christ de cette manière est agréable à Dieu et approuvé des hommes. (Rm 14, 17-18)  Aujourd’hui, prenez le temps de considérer vos voies afin de voir si vous opérez selon la méthode de Jésus. S’éloignant de nos indifférences, la peine des autres devient aussi parfois la nôtre, jusqu’à nous demander comment l’apaiser en devenant des acteurs de plus grande humanité. Ce matin, la Parole nous rejoint là où nous sommes mais surtout, là où nous en sommes. Peut-être êtes-vous confrontés à l’inquiétude, née de ces fièvres physiques ou psychologiques, créant une forme de frontière entre un avant et un après ; une inquiétude se dessine alors dans votre vie.

Regardons la mère de Simon ; guérie, elle se mit immédiatement à servir. L’idée du service est une réelle chance pour guérir de nos maux et regarder autrement. En lisant les Écritures, il apparaît du reste clairement que la proposition de l’Évangile ne consiste pas seulement en une relation personnelle avec Dieu. Et notre réponse d’amour ne devrait pas s’entendre non plus comme une simple somme de petits gestes personnels en faveur de quelque individu dans le besoin, ce qui pourrait constituer une sorte de charité à la carte, une suite d’actions tendant seulement à tranquilliser notre conscience. La proposition est le Royaume de Dieu (Lc 4, 43). il s’agit d’aimer Dieu qui règne dans le monde. Dans la mesure où il réussira à régner parmi nous, la vie sociale sera un espace de fraternité, de justice, de paix, de dignité pour tous.

Donc, aussi bien l’annonce que l’expérience chrétienne tendent à provoquer des conséquences sociales. Cherchons son Royaume : «Cherchez d’abord son Royaume et sa justice, et tout cela vous sera donné par surcroît» (Mt 6, 33). Le projet de Jésus est d’instaurer le Royaume de son Père ; il demande à ses disciples : «Proclamez que le Royaume des cieux est tout proche » (Mt 10, 7)

Sites intéressants à voir sur Internet

◊ Ministère de l’Alliance →La Bonne Nouvelle du Royaume – Le ROYAUME de DIEU

◊ La Salle (France)→ Aux autres villes aussi, il faut que j’annonce la Bonne Nouvelle

Vidéo Pasteur Marc Pernot https://youtu.be/3M9IBnnpDvI?t=2

Publié dans Bible, Catéchèse, comportements, évangiles, L'Église, Nouveau Testament, Page jeunesse, Paroisses, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Saint Jean Bosco

Posté par diaconos le 23 janvier 2024

La vision de l’enfer de saint Jean Bosco - Vers Demain

Don Jean Bosco

Don Bosco, naquit seize août 1815 à Castelnuovo d’Asti (village de la principauté du Piémont en Sardaigne fut un prêtre italien. Il voua sa vie à l’éducation des jeunes enfants issus de milieux défavorisés et fonda en l’an 1859, la Société de Saint François de Sales, plus connue sous le nom de congrégation des Salésiens. Par son caractère et ses qualités intellectuelles, il avait une grande influence sur les enfants de son âge, qu’il entraînait avec lui vers les divertissements et la prière. Doté d’une mémoire extraordinaire et d’une intelligence hors du commun, il s’ingéniait à répéter à ses amis les sermons qu’il avait entendus à l’église. Ce furent là les premiers signes de sa vocation apostolique. Sa mission sacerdotale fut extraordinairement féconde.

Formation et ordination

Sa famille étant très pauvre, il fit ses études avec l’aide de bienfaiteurs et avec l’argent qu’il a gagné en travaillant, comme serveur dans un café ou comme palefrenier. Pendant ses études, il en a profité pour apprendre les différents métiers de ceux qui le logeaient. C’est ainsi qu’il fut tour à tour apprenti cordonnier, apprenti forgeron, apprenti menuisier. Sans le savoir, il se préparait à fonder différentes écoles de métiers à l’intention de ses futurs élèves. Ordonné prêtre en juin 1841, il se consacra aux jeunes pauvres et abandonnés des quartiers populaires de Turin, notamment aux jeunes ouvriers. On l’appela Don Bosco. Ému par les misères matérielles et spirituelles de cette jeunesse abandonnée, il décida de les réunir tous les dimanches, pour les instruire et les éduquer, tout en leur procurant des divertissements. Plusieurs de ces jeunes étaient errants, sans ressource ni famille.

Beaucoup d’entre eux avaient connu la prison, souvent accusés d’avoir volé pour pouvoir se nourrir. L’abbé Joseph Cafasso (1811-1860) qui fut son ancien professeur de théologie morale et son conseiller spirituel au début de sa carrière sacerdotale, aussi aumônier des prisons de Turin, l’avait sensibilisé à cette dure réalité. Les premiers contacts de Don Bosco en faveur des jeunes ne furent pas toujours aussi faciles, comme le fut la rencontre avec le jeune Barthelemy Garelli, le huit décembre 1841. Ce fut au cours de cette rencontre, que Don Bosco perçut l’appel de toute la jeunesse abandonnée. Par ailleurs, ces jeunes étaient devenus farouches et agressifs et comprenaient mal l’intérêt qu’un prêtre pouvait leur porter, eux qui étaient abandonnés, désillusionnés et rejetés de partout. Aussi leurs premières réactions furent parfois des injures.

Par ailleurs, ces jeunes étaient devenus farouches et agressifs et comprenaient mal l’intérêt qu’un prêtre pouvait leur porter, eux qui étaient abandonnés, désillusionnés et rejetés de partout. Aussi leurs premières réactions furent parfois des injures. Certains citoyens bien-pensants soupçonnaient aussi Don Bosco de rassembler des jeunes délinquants et désœuvrés pour fomenter des manifestations et des désordres, voire des révolutions. Aussi, à la demande des citoyens et des autorités de la ville de Turin, fut-il expulsé de bien des endroits avec ses jeunes jugés bruyants et dérangeants avant de pouvoir s’établir définitivement dans le quartier de Valdocco, en banlieue de Turin. Deux chanoines, dont l’histoire a retenu les noms, Don Nasi et Don Alsoneti, pensèrent même que ses projets étaient la manifestation de la folie des grandeurs et tentèrent de le faire interner dans un asile de malades mentaux, appelé à l’époque maison de santé. La perception de la population et des autorités de la ville changea rapidement à la suite du dévouement que déployèrent plusieurs de ces jeunes voyous, dirigés par Don Bosco au cours de l(épidémie de choléra qui sévit à Turin dans les années 1854-1855.

Miraculeusement, aucun de ces jeunes infirmiers ne fut contaminé. Il devint alors évident qu’il fallait prendre au sérieux les activités de Don Bosco et des jeunes garçons qu’il accueillait. Il est mondialement connu de nos jours pour avoir aidé à réhabiliter des délinquants, parfois même très endurcis.  L’Église catholique romaine le déclara saint le premier avril 1934, sous le nom de saint Jean Bosco. Il est fêté le trente et un janvier selon le Martyrologe romain C’est le saint patron des éditeurs, des éducateurs, des apprentis et des prestigitateurs.

Diacre Michel Houyoux

Vidéo Film complet : La vie de Don Bosco :→ https://youtu.be/yL3X6kM3COI

 

Publié dans comportements, fêtes religieuses, Histoire, L'Église, Page jeunesse, Paroisses, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

1...106107108109110...180
 

Passion Templiers |
CITATIONS de Benoît XVI |
La pastorale Vauban |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | chrifsossi
| La Mosquée de Méru
| Une Paroisse virtuelle en F...