Domenica della Santissima Trinita -Anno C

Posté par diaconos le 13 juin 2025

Questo mistero centrale della fede e della vita cristiana è stato affermato fin dal primo Concilio di Nicea, nel 325 d.C, e inserito nel Credo niceno-costantinopolitano redatto successivamente al Concilio. In tale documento-preghiera, che aveva lo scopo di appianare le numerose dispute che dividevano la chiesa del tempo, l’unicità di Dio viene affermata come primo articolo della professione di fede: Credo in un solo Dio, Padre onnipotente, creatore del cielo e della terra,di tutte le cose visibili e invisibili

Questo mistero centrale della fede e della vita cristiana è stato affermato fin dal primo Concilio di Nicea, nel 325 d.C, e inserito nel Credo niceno-costantinopolitano redatto successivamente al Concilio. In tale documento-preghiera, che aveva lo scopo di appianare le numerose dispute che dividevano la chiesa del tempo, l’unicità di Dio viene affermata come primo articolo della professione di fede:
Credo in un solo Dio,
Padre onnipotente,
creatore del cielo e della terra,di tutte le cose visibili e invisibili

 

Dal Vangelo di Gesù Cristo secondo Giovanni


In quel tempo, Gesù disse ai suoi discepoli : « Ho ancora molte cose da dirvi, ma per il momento non potete sopportarle. Quando verrà lo Spirito di verità, egli vi guiderà in tutta la verità. Infatti, ciò che dirà non verrà da sé, ma dirà ciò che avrà udito; e ciò che avverrà ve lo farà conoscere. Egli mi glorificherà, perché riceverà ciò che viene da me e ve lo farà conoscere. Tutto ciò che il Padre ha è mio; per questo vi ho detto: Lo Spirito riceve ciò che viene da me, per farvelo conoscere ». (Gv 16, 12-10)

La venuta dello Spirito e la sua opera

Ma i grandi sviluppi e le varie applicazioni di questa verità che si sarebbero realizzati con l’instaurazione del regno di Dio sulla terra erano ancora sconosciuti a loro; ignoravano la nascita e il progresso di una Chiesa cristiana che avrebbe unito Giudei e Gentili in un unico corpo. Inoltre, sebbene Gesù avesse annunciato loro che sarebbe morto per la redenzione del mondo (Gv 3,14-16) e avesse presentato la fede in lui come mezzo per parteciparvi, non poteva, finché la sua opera non fosse stata completata, insegnare loro nella sua pienezza la grande dottrina della giustificazione per fede.

Infine, gli apostoli non potevano allora comprendere o prevedere le profondità finali della rigenerazione, della rinuncia e della vita divina nell’uomo. Gesù aveva quindi ancora molte cose da dire loro, ma essi non potevano sopportarle; questo termine è scelto deliberatamente : , “perché tutta la verità (versetto 13) è un pesante fardello per colui che non è abbastanza maturo né abbastanza forte per portarlo”. (Luthardt)

È stato lo Spirito di Dio a rivelarlo ai discepoli, consentendo loro di accoglierlo e di annunciarlo agli altri. Nelle epistole del Nuovo Testamento abbiamo tutto ciò che Gesù non aveva ancora potuto insegnare loro.

Lo Spirito Santo glorificherà il Salvatore mettendo i discepoli in viva comunione con lui, rivelando loro e facendo loro tutti i tesori della grazia, della potenza dello Spirito Santo, della forza dello Spirito Santo.

 Il diacono Michel Houyoux

Link a siti cristiani


◊ QUMRAN NET: clicca quiper leggerel’articolo Testi – Santissima Trinità (Anno C)

Ufficio per la LiturgiaSantissima Trinità C – 2025

Video : clicca qui https://youtu.be/

Sul mio blog pubblico quotidianamente in francese e due volte alla settimana in ciascuna delle altre lingue che parlo: italiano, olandese, tedesco, inglese e russo.

Publié dans articles en Italien, Bible, Catéchèse, Dieu, Disciples de Jésus, Enseignement, évangiles, Foi, Histoire, Homélies, L'Église, La messe du dimanche, Nouveau Testament, Page jeunesse, Paroisses, Religion, TEMPO ORDINARIO, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Dimanche de la Sainte Trinité – Année C

Posté par diaconos le 12 juin 2025

 

Jésus lui-même dit dans Jean 14:6 : "Je suis la vérité", soulignant l'importance de la vérité dans la foi chrétienne.  1 Adorer Dieu en esprit et en vérité implique une connexion authentique et sincère avec Lui, impliquant tout notre cœur et notre âme.  1 Ces versets et concepts montrent comment l'Esprit et la vérité sont interconnectés dans la foi chrétienne.

Jésus lui-même dit dans Jean 14:6 : « Je suis la vérité », soulignant l’importance de la vérité dans la foi chrétienne.
1
Adorer Dieu en esprit et en vérité implique une connexion authentique et sincère avec Lui, impliquant tout notre cœur et notre âme.
1
Ces versets et concepts montrent comment l’Esprit et la vérité sont interconnectés dans la foi chrétienne

De l Évangile de Jésus Christ selon Jean

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples :     « J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais pour l’instant vous ne pouvez pas les porter. Quand il viendra, lui, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans la vérité tout entière. En effet, ce qu’il dira ne viendra pas de lui-même : mais ce qu’il aura entendu, il le dira ; et ce qui va venir, il vous le fera connaître. Lui me glorifiera, car il recevra ce qui vient de moi Et pour vous le faire connaître. Tout ce que possède le Père est à moi ; voilà pourquoi je vous ai dit : L’Esprit reçoit ce qui vient de moi pour vous le faire connaître. » (Jn 16, 12-15)

La venue de l’Esprit et son œuvre

Mais les grands développements et les applications diverses de cette vérité qui devaient se réaliser par l’établissement du royaume de Dieu sur la terre leur étaient encore inconnus ; ils ignoraient la naissance et les progrès d’une Église chrétienne qui unirait en un seul corps Juifs et païens. En outre, bien que Jésus leur eût annoncé qu’il devait mourir pour la rédemption du monde (Jn 3, 14-16) et leur eût présenté la foi en lui comme le moyen d’y avoir part, il ne pouvait pas, tant que son œuvre n’était pas achevée, leur enseigner, dans sa plénitude, la grande doctrine de la justification par la foi.

Enfin, les apôtres ne pouvaient alors comprendre ni prévoir les dernières profondeurs de la régénération, du renoncement, de la vie divine en l’homme. Jésus avait donc encore beaucoup de choses à leur dire ; mais ils ne pouvaient les porter ; ce terme est choisi à dessein, « car la vérité tout entière (verset 13) est un pesant fardeau pour celui qui n’est ni assez mûr ni assez fort pour s’en charger. » (Luthardt)

C’est l’Esprit de Dieu qui la révélera aux disciples, tout en les rendant capables de l’embrasser et de l’annoncer à d’autres. Nous possédons, dans les épîtres du Nouveau Testament tout ce que Jésus n’avait pu encore leur enseigner. Le Saint-Esprit glorifiera le Sauveur en plaçant les disciples dans une communion vivante avec lui, en leur révélant et en leur appropriant ainsi tous les trésors de grâce, de vérité, de vie divine, de sainteté, qui sont en lui. C’est ce qu’un apôtre appelle « les richesses incompréhensibles de Christ » et que Jésus nomme ici ce qui est à moi ( Jn 1, 14 ; Co 1, 19 ; Co 2, 3-9).

Il peut employer cette dernière expression, parce que, dans son unité avec le Père, il peut ajouter : Tout ce que le Père a est à moi (Jn 17, 10). En sorte que toute la révélation de Jésus-Christ et tous les développements de cette révélation par le Saint-Esprit émanent de Dieu même, en son Fils bien-aimé.

«  »L’œuvre de l’Esprit introduisant les apôtres dans la vérité , ne sera que la glorification croissante de Jésus dans les cœurs. Christ, sa parole et son œuvre, voilà le texte unique que l’Esprit commentera dans l’âme des disciples. Il fera, d’un même acte, croître les disciples dans la vérité et grandir Jésus en eux. Pour l’intelligence de ce mot glorifier, comparer l’expérience admirablement décrite par saint Paul. » (2 Co 3, 17-18) ( Godet)

Diacre Michel Houyoux

Liens avec des sites chrétiens

◊ Agence web Cibles : cliquez ici pour lire l’article Dimanche prochain | Fête de la Sainte Trinité (15 juin 2025)

◊ roselalune.com : cliquez ici pour lire l’article Fête de la Sainte-Trinité 2025: date et signification spirituelle

 ◊  Vidéo DEZPray : cliquez ici https://youtu.be/HdSjf9ZWjNo

Je publies tous les jours en français sur mon blog et deux fois par semaine dans chacune des autres langues que je parle : l’italien, le Néerlandais, l’Allemand, l’Anglais et le Russe

 

Publié dans Accueil sur mon blog, Bible, Catéchèse, Dieu, Enseignement, évangiles, fêtes religieuses, Foi, Histoire, Homélies, L'Église, La messe du dimanche, Messages, Page jeunesse, Paroisses, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Mercredi de la huitième semaine du Temps Ordinaire – Année Impaire

Posté par diaconos le 11 juin 2025

17Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. 18Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé.…

17Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. 18Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu’à ce que tout soit arrivé.…

 

De l’Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Ne pensez pas que je sois venu abolir la Loi ou les Prophètes : je ne suis pas venu abolir, mais accomplir. Amen, je vous le dis : Avant que le ciel et la terre disparaissent, pas un seul iota, pas un seul trait ne disparaîtra de la Loi jusqu’à ce que tout se réalise. Donc, celui qui rejettera un seul de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire ainsi, sera déclaré le plus petit dans le royaume des Cieux. Mais celui qui les observera et les enseignera, celui-là sera déclaré grand dans le royaume des Cieux. » ((Mt 5, 17-19)

Réforme de la vie Morale

La position du Christ à l’égard de la loi de l’ancienne Alliance

Il n’est pas venu pour abolir, mais pour accomplir ; aucun trait de la loi divine ne passera jusqu’à ce que tout ait été accompli ; la violer ou l’observer, c’est être petit ou grand dans le royaume des cieux : et ceux-là n’y entreront point dont la justice ne surpasse pas celle des pharisiens

La justice supérieure, premier exemple

Quelle est cette justice supérieure, comment faut-il interpréter la loi ? Jésus le montre par une série d’exemples empruntés à la loi morale. Premier exemple, interprétation du cinquième commandement. La loi dit : Tu ne tueras point et le meurtrier est punissable par le jugement. Mais moi je vous dis que la colère ou des paroles de mépris ou de haine contre un frère sont une violation de la loi et méritent la condamnation. Aucun acte de piété n’est possible dans ces sentiments : va premièrement te réconcilier avec ton frère. Sois promptement d’accord avec ton adversaire, tandis qu’il en est temps, de peur que tu ne sois condamné.

Second exemple

Interprétation du sixième commandement. La loi dit : Tu ne commettras point adultère ; mais moi je vous dis que regarder une femme avec convoitise, c’est violer le commandement. C’est dans le cœur qu’il faut déraciner le mal, fût-ce par un sacrifice pareil à celui de s’arracher un œil ou de se couper une main. Ainsi encore, la loi permet le divorce ; mais moi je vous dis que quiconque répudie sa femme, sauf pour cause d’infidélité, l’expose à devenir adultère.

Troisième exemple

La loi interdit le parjure et ordonne de tenir fidèlement les serments ; mais moi je vous dis : Ne jurez point du tout, ni par des objets sacrés, ni par des choses terrestres ; mais contentez-vous d’affirmer la vérité par un oui ou un non.

Quatrième exemple

Il a été dit : œil pour œil, dent pour dent ; mais moi je vous dis : de ne point résister au méchant, de souffrir des injures et des pertes, de donner et de prêter libéralement.

Cinquième exemple

Il a été dit : Tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi ; mais moi je vous dis : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous maudissent et vous persécutent et priez pour eux, afin qu’ainsi vous soyez fils de votre Père, qui donne à tous des marques de sa bonté. Aimer ceux qui vous aiment, de quelle récompense cela est-il digne ? Le but suprême à atteindre, c’est la perfection même de Dieu.

La Loi accomplie par Jésus-Christ, réforme de la vie morale

Cependant, si l’on considère que le Sauveur a caractérisé les vrais membres de son royaume, ceux qui ont faim et soif de la justice et dont les hommes doivent voir les bonnes œuvres et qu’il expose maintenant l’esprit et la pratique de cette justice véritable telle que la formule la loi divine, on se convaincra qu’il existe entre ces deux pensées fondamentales un lien intime.

À ce point de vue on comprend d’autant mieux la solennelle déclaration que lui, le Messie, n’est pas venu, pour entré dans son ministère pour abolir la loi ou les prophètes, comme le pensaient les Juifs, qui s’attendaient à ce que leur Messie transformerait toute la loi. La loi et les prophètes, c’est toute l’économie mosaïque et toutes les de l’ancienne alliance, soit comme institutions, soit comme Écriture sainte (Mt 7, 12 ; Mt 22, 40 ; Lc 16, 16).

Jésus, le Sauveur ne veut rien délier, dissoudre, détruire,, mais tout accomplir. Et il le fit de toutes manières : Il a enseigné, révélé le sens complet et spirituel de la loi divine, que le pharisaïsme avait matérialisée par sa doctrine des observances extérieures.

Il a lui-même accompli parfaitement la loi par sa vie sainte. Il réalisa, par toute son œuvre et surtout par sa mort, l’idée complète de l’ancienne alliance, avec ses types, ses figures, ses sacrifices, ses promesses et ses espérances.  (Rm 10.4 ; He 10.1 ; Jn 19.30)

Cet accomplissement, dans un sens plus élevé, plus parfait, l’Évangile de Christ l’opère à son tour dans le cœur des croyants.(Rm 3.31) Ainsi Jésus a accompli la loi et les prophètes d’une manière organique et vivante, comme la fleur accomplit le bouton, comme le fruit accomplit la fleur.

Et en portant nos regards plus loin, nous pouvons attendre encore pour l’avenir l’accomplissement de ce qu’il y a de plus excellent dans l’économie présente, notre communion avec Jésus (Lc 22, 16), la joie de ses rachetés. (Jn 15.16)

«Car en vérité je vous le dis, jusqu’à ce que le ciel et la terre aient passé, il ne passera pas de la loi un seul iota, ni un seul trait de lettre, jusqu’à ce que tout ait été accompli. » (Mt 5, 18) : 

Ces mots : jusqu’à ce que le ciel et la terre aient passé, sont pris par les uns comme une expression proverbiale signifiant jamais ; par les autres dans ce sens que, même alors, rien de la loi ne passera, mais que tout sera réalisé dans la perfection. Ce dernier sens est le vrai (Mt  24, 35 ; Lc 16, 17).

Un trait de lettre désigne certains jambages ou crochets qui distinguent les unes des autres les lettres hébraïques. Ces images signifient qu’aucune partie de la loi ne passera sans avoir été accomplie. Mais l’accomplissement même rend inutile la forme précédente, le fruit remplace la fleur, la grâce et l’amour se substituent à la loi dans la vie du chrétien, la réalité succède aux ombres et aux figures de la loi cérémonielle et un jour la perfection suivra tout ce que nous possédons aujourd’hui. ( 1 Co 13, 9-12)

Un de ces plus petits commandements, que Jésus désigna comme un iota : le violer ou l’abolir ainsi de fait et enseigner les autres à le faire, c’est s’exposer à n’occuper qu’un degré très inférieur dans le royaume des cieux.

L’expression dont Jésus se servit : sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux ne signifie pas qu’il sera exclu de la félicité éternelle (Augustin, Luther, Calvin), ce sens est contraire aux termes ; elle ne signifie pas qu’il n’aura qu’une petite part du bonheur à venir (Meyer), car l’Évangile n’enseigne pas qu’il y aura des degrés divers dans ce bonheur. Elle signifie qu’il n’aura qu’une part moindre et un rôle inférieur dans l’établissement du règne de Dieu sur la terre (B. Weiss).

Celui qui croit pouvoir travailler à l’œuvre de ce règne plus efficacement en s’affranchissant de l’obéissance aux commandements qui lui paraissent secondaires, en les abolissant dans sa conduite et ses préceptes, se trompe.

C’est la fidélité dans les petites choses, l’accomplissement scrupuleux de l’humble devoir, qui rendent apte au royaume de Dieu. Il faut d’ailleurs envisager ces commandements dans leur esprit et dans leur ensemble, qui forme un tout inviolable, la volonté de Dieu. (Jc 2,.10) Un de ces plus petits commandements, c’est ce que Jésus vient de désigner comme un iota ou un trait de lettre. Le violer ou l’abolir ainsi de fait et enseigner les autres à le faire, c’est s’exposer à n’occuper qu’un degré très inférieur dans le royaume des cieux.

L’expression dont Jésus se servit :  il sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux ne signifie pas qu’il sera exclu de la félicité éternelle (Augustin, Luther, Calvin), ce sens est contraire aux termes ; elle ne signifie pas qu’il n’aura qu’une petite part du bonheur à venir (Meyer), car l’Évangile n’enseigne pas qu’il y aura des degrés divers dans ce bonheur. Elle signifie qu’il n’aura qu’une part moindre et un rôle inférieur dans l’établissement du règne de Dieu sur la terre (B. Weiss).

Celui qui croit pouvoir travailler à l’œuvre de ce règne plus efficacement en s’affranchissant de l’obéissance aux commandements qui lui paraissent secondaires, en les abolissant dans sa conduite et ses préceptes, se trompe. C’est la fidélité dans les petites choses, l’accomplissement scrupuleux de l’humble devoir, qui rendent apte au royaume de Dieu. Il faut d’ailleurs envisager ces commandements dans leur esprit et dans leur ensemble, qui forme un tout inviolable, la volonté de Dieu. (Jc  2, 10)

Diacre Michel Houyoux

Liens avec des sites chrétiens

catholique.org : cliquez ici pourlirel’article mercredi, 8ème semaine du temps ordinaire –

Puiser à la Source :cliquez ici pour lire l’article Mercredi de la 8ème semaine du temps ordinaire

Vidéo Martin Luther  – La Réforme cliquez ici youtu.be/PmVaxfxyep8

Publié dans Accueil sur mon blog, Bible, Catéchèse, Dieu, Disciples de Jésus, Enseignement, Foi, Histoire, Histoire du Salut, Homélies, Liturgie, Messages, Nouveau Testament, Page jeunesse, Paroisses, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Mardi de la dixième semaine du Temps Ordinaire – Année Impaire

Posté par diaconos le 10 juin 2025

Mardi de la dixième semaine du Temps Ordinaire – Année Impaire

Dans le contexte biblique, "Jésus est le sel de la terre" signifie que les disciples de Jésus ont un rôle essentiel à jouer dans le monde. Le sel symbolise la préservation, la saveur et la valeur spirituelle. Jésus invite ses disciples à répandre la saveur qui est en eux et à préserver la justice et la paix dans le monde. Cette métaphore souligne l'importance de leur influence positive sur la société.

Dans le contexte biblique, « Jésus est le sel de la terre » signifie que les disciples de Jésus ont un rôle essentiel à jouer dans le monde. Le sel symbolise la préservation, la saveur et la valeur spirituelle. Jésus invite ses disciples à répandre la saveur qui est en eux et à préserver la justice et la paix dans le monde. Cette métaphore souligne l’importance de leur influence positive sur la société.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Matthieu

En ce temps- , Jésus disait à ses disciples :« Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel devient fade, comment lui rendre de la saveur ? Il ne vaut plus rien on le jette dehors et il est piétiné par les gens. Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée. Et l’on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau ; on la met sur le lampadaire, et elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison. De même, que votre lumière brille devant les hommes : alors, voyant ce que vous faites de bien, ils rendront gloire à votre Père qui est aux cieux. » (Mt 5, 13-16)

Les Béatitudes

Jésus étant monté sur un plateau élevé de la montagne, s’assied, les foules étant rangées autour de lui et commença à enseigner.Dans huit béatitudes, il proclama le bonheur et indiqua les qualités de ceux qui ont part au royaume des deux.

Ce sont d’abord ceux qui aspirent aux biens spirituels de ce royaume : les pauvres en esprit, que leur humilité met en possession du royaume ; ceux qui pleurent et qui trouveront la consolation ; ceux qui sont doux et qui par leur douceur gagneront la terre ; ceux qui ont faim et soif de la justice et qui verront leur ardent désir satisfait.

Ce sont ensuite ceux qui possèdent les dispositions et sont dans la condition des membres du royaume : les miséricordieux, qui obtiendront miséricorde ; ceux qui ont le cœur pur et qui verront Dieu ; ceux qui procurent la paix et seront appelés fils de Dieu ; ceux qui sont persécutés pour la justice et dont la récompense sera grande.

La vocation des enfants du royaume est d’être le sel de la terre, qui ne doit jamais perdre sa saveur, la lumière du monde, qui ne doit jamais être cachée. Que cette lumière luise donc à la gloire de Dieu  Les foules sont celles que Matthieu a décrites Matthieu 4.25 et qui, attirées par les guérisons que Jésus opérait et par la puissance de sa parole, l’avaient suivi de toutes les contrées d’alentour, même de Jérusalem et de la Judée. Les guérisons et les actes miraculeux, dont elles avaient été témoins les avaient préparées à recevoir les paroles étonnantes qu’elles vont ouïr. Comment auraient-elles pu croire heureux ceux que l’expérience et le bon sens proclament malheureux, si elles n’avaient contemplé les merveilleuses délivrances que Jésus tenait en réserve pour eux (comparer Luc 4.17 et suivants) ?

La montagne, malgré l’article, ne désigne aucune sommité particulière, mais en général la hauteur, par opposition à la plaine. C’est ainsi que les habitants des vallées disent : aller à la montagne, sans indiquer par la un point spécial de la chaîne dont il s’agit. La tradition a été plus précise que les évangélistes ; elle place la montagne des Béatitudes non loin de la ville de Tibériade, située sur le bord du lac de ce nom. Derrière la montagne qui domine Tibériade est un large plateau, montant en pente douce du coté d’un rocher qui en forme le sommet. C’est sur ce rocher que Jésus aurait passe la nuit en prières et qu’au point du jour il aurait appelé ses disciples et choisi ses apôtres (Luc 6.12 et suivants).

Puis il serait descendu près de la foule qui l’attendait sur le plateau et c’est de la qu’il aurait enseigné le peuple. L’apparente contradiction qui existe entre le récit de Luc et celui de Matthieu se trouverait ainsi résolue.

Selon le premier, Jésus descendit et c’est dans une plaine qu’il aurait prononce son discours (Luc 6.17 note).

Selon Matthieu, il serait monté sur une montagne avec le peuple. Ceci s’explique, puisque Matthieu ne dit rien ici de la prière de Jésus et de l’élection des apôtres il ne rapporte que le fait général, la prédication aux troupes assemblées sur une montagne.

Luc, qui rapporte un détail de plus, nous montre le Seigneur montant d’abord au sommet, puis redescendant dans la plaine, c’est-à-dire sur le plateau (il dit même : dans un lieu en plaine, ce qui semble indiquer par une nuance qu’il ne s’agit pas d’une plaine proprement dite.

« Au pied du rocher, au haut du plateau, se trouve précisément une petite plate-forme, une sorte de chaire naturelle, là on oiuvait aisément être vu et entendu d’une grande multitude. C’est la qu’aurait été assis le Seigneur… Je me demandai s’il était possible qu’il y eut au bord de ce lac et même dans toute la Palestine, une autre montagne à laquelle s’appliquassent aussi complètement les détails que nous pouvons recueillir à ce sujet dans saint Luc et saint Matthieu.— Félix Bovet, Voyage en Terre Sainte, 7e édition, page 380 et suivants »

Ses disciples, ceux d’entre eux qu’il venait d’appeler à l’apostolat et ceux qui déjà avaient entendu et goûté sa parole, l’entouraient comme toujours ; mais cela ne signifie point, comme on l’a prétendu, que son discours ne s’adressât qu’à eux, à l’exclusion de la multitude (Mt 7 , 8)

Sans doute, ce discours, qui expose les principes spirituels et sublimes du royaume que Jésus venait fonder, ne pouvait être compris de tous, comme il ne peut être mis en pratique que par ceux qui sont animés de l’esprit de ce royaume ; mais le Sauveur parlait et enseignait en vue de l’avenir.

Sa parole est une révélation et quand son œuvre sera achevée, cette parole deviendra lumière et vie dans le cœur de ses rachetés. Là, l’évangéliste fait avec éclat une préface pour montrer comment Jésus s’apprête à la prédication : il monte sur une montagne il s’assied, il ouvre la bouche ; c’est pour faire sentir le sérieux de son action.— Luther

On n’est donc pas fondé à voir dans les pages qui suivent non un discours de Jésus, mais une compilation de l’évangéliste, qui en aurait emprunté les éléments à diverses paroles du Seigneur, prononcées en d’autres occasions. Sans doute, la forme assez différente sous laquelle Luc a rapporté ce même discours, soit pour le choix, soit pour l’ordre des matériaux, montre assez que les évangélistes ont usé d’une sainte liberté selon le plan qu’ils s’étaient tracé et sous la direction de l’Esprit de vérité qui les animait.

Sans doute encore, il est un bon nombre des pensées de ce discours qui se retrouvent ailleurs dans les enseignements de Jésus, Sauveur et avec des applications différentes. Mais ce sont tantôt des expressions proverbiales, des images, que Jésus pouvait certainement employer plus d’une fois Mc 9, 50 ; Mc 7,,13 ; Lc 13, 14 ; Lc 6.22  ; Lc 6 , 4 ;  Lc 16,13) tantôt de courts préceptes moraux, qui devaient naturellement reparaître aussi dans ses enseignements.

 Quant à là belle exhortation touchant les inquiétudes (Mt 6, 25-34), que Luc a rapportée ailleurs (Lc 12,.22-31), il serait difficile de dire dans lequel des deux récits elle se trouve le mieux à sa place.

Quoi qu’il en soit, la manière dont Jean introduisit cette prédication et dont il en décrivit l’effet (Mt 7 , 28), montra avec évidence qu’il eut un discours solennel et prolongé de Jésus.

Et n’était-il pas dans la nature des choses que Jésus, tout en guérissant les malades, en consolant les affligés, eut saisi occasion d’exposer à ces foules qui le suivaient les grands et éternels principes moraux de son règne ? Il le fait, non dans les formes logiques de l’école, mais avec la liberté d’allure qui convient à une instruction improvisée, coulant de source, mais qui, dans son ensemble, ne manque pas d’une grandiose unité.

Cette image : mettre la lumière sous le boisseau, n’offre à l’esprit aucune idée conforme à nos usages actuels. Il en est tout autrement dans les campagnes en Orient. Nous voici dans l’unique chambre qui abrite toute une famille :

« Il n’y a d’autre lumière qu’une petite lampe, formée tout simplement d’une soucoupe pleine d’huile. À défaut de table elle est posée sur un boisseau retourné… C’est le seul ustensile du ménage des paysans, tel que celui que j’ai sous les yeux. Il sert tour à tour de table et de plat, car c’est dans ce même boisseau pareil à ceux dont on fait usage chez nous, qu’on nous apportera tout à l’heure le lait caillé qui constitue le souper de la famille.— Félix Bovet, Voyage en Terre Sainte, 7e édition, page 312

De là l’article, le boisseau, car il n’y en a qu’un. Votre lumière : elle n’est à nous que lorsque nous nous la sommes appropriée d’une manière vivante, alors elle luit d’elle-même devant les hommes qui voient, non pas seulement des doctrines ou des opinions religieuses, mais vos bonnes œuvres, tout l’ensemble d’une vie chrétienne, la sainte vérité dont le caractère est essentiellement moral et pratique.

Les hommes qui verront ces œuvres, glorifieront, non pas vous (si tel était votre but secret, la lumière en serait obscurcie, les bonnes œuvres deviendraient mauvaises), mais votre Père qui est dans les cieux, auquel ils seront forcés d’attribuer le témoignage d’une vie sanctifiée. (1 P 2, .12)

Trouvera-t-on une contradiction entre ces paroles et celles du Matthieu 6.1-6 ? C’est le discernement spirituel qui doit indiquer la conciliation.

Diacre Michel Houyoux

Liens des sites chrétiens

◊ Virgo MariaÉvêque   → Homélie du 10 juin 2025

◊ Radio Don Bosco : cliquez ici pour lire l’article →  Mardi, Dixième semaine du Temps Ordinaire — Année impaire

◊ Vidéo  : cliquez ici pour lire l’article → https://www.youtube.com › watch

Publié dans Bible, Catéchèse, comportements, Dieu, Enseignement, évangiles, Histoire, Homélies, L'Église, Messages, Nouveau Testament, Page jeunesse, Paroisses, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

12345...168
 

Passion Templiers |
CITATIONS de Benoît XVI |
La pastorale Vauban |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | chrifsossi
| La Mosquée de Méru
| Une Paroisse virtuelle en F...