Jeudi dela vingt-troisième semaine du Temps Ordinaire — Année Paire

Posté par diaconos le 12 septembre 2024

Aucune description de photo disponible.

                      # L’amour désigne un sentiment intense d’affection et d’attachement envers un être vivant ou une chose qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité physique, intellectuelle ou même imaginaire avec l’objet de cet amour. L’amour éprouvé pour une autre personne peut conduire à adopter un comportement particulier et aboutir à une relation amoureuse si cet amour est partagé. En tant que concept général, l’amour renvoie la plupart du temps à un profond sentiment de tendresse et d’empathie envers une personne.

Toutefois, même cette conception spécifique de l’amour comprend un large éventail de sentiments différents, allant de la passion amoureuse et de l’amour romantique, à la tendre proximité sans sexualité de l’amour familial ou de l’amour platonique et à la dévotion spirituelle de l’amour religieux. L’amour sous ses diverses formes agit comme un facteur majeur dans les relations sociales et occupe une place centrale dans la psychologie humaine, ce qui en fait également l’un des thèmes les plus courants dans l’art.

Aimer renvoie à une grande variété de sentiments, d’états et de comportements, allant d’un plaisir général lié à un objet ou à une activité ; j’aime le chocolat, j’aime danser à une attirance profonde ou intense pour une personne ou plusieurs personnes. Cette diversité d’emplois et de significations du mot le rend difficile à définir de façon unie et universelle, même en le comparant à d’autres états émotionnels. Le terme amour recouvre quatre sentiments distincts de la Grèce antique : l’éros, la philia, l’agapè et la storgê..

La storgê est l’amour entre parent et enfant, particulièrement l’amour mère-enfant. La philia se rapproche de l’amitié telle qu’on l’entend aujourd’hui, c’est une forte estime réciproque entre deux personnes de statuts sociaux proches, qui mène aussi à l’entraide. Elle ne pouvait exister à l’époque qu’entre deux personnes du même sexe, du fait de l’inégalité entre les sexes. L’agapè est l’amour du prochain proche de l’altruisme aujourd’hui, le don désintéressé. Il se caractérise par sa spontanéité, ce n’est pas un acte réfléchi ou une forme de politesse, mais une réelle empathie pour les autres qu’ils soient inconnus ou intimes.

Dans la tradition chrétienne des pères de l’Église, ce mot est assimilé au concept de charité, bien que celui-ci soit plus proche d’une relation matérielle établie avec des personnes en souffrance. L’agapè originelle ne revêt pas cette connotation morale de responsabilité devant une autorité divine. L’éros, lui, est l’amour au sens d’être amoureux, l’amour des poètes pour ainsi dire.

De l’Évangile selon Luc

En ce temps-là, dis, à vous qui m’écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent. Souhaitez du bien à ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous calomnient. celui qui te frappe sur une joue, présente l’autre joue. Donne à quiconque te demande,  et à qui prend ton bien, ne le réclame pas. Ce que vous voulez que les autres fassent pour vous, faites-le aussi pour eux. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle reconnaissance méritez-vous ? Même les pécheurs aiment ceux qui les aiment.

Faites du bien à ceux qui vous haïssent. Souhaitez du bien à ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous calomnient. À celui qui te frappe sur une joue, présente l’autre joue. S’il te prend ton manteau. ne refuse pas ta tunique.   Donne à quiconque te demande, et à qui prend ton bien, ne le réclame pas.  Ce que vous voulez que les autres fassent pour vous, faites-le aussi pour eux. Si vous prêtez à ceux dont vous espérez recevoir en retour,

Si vous aimez ceux qui vous aiment, Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle reconnaissance méritez-vous ? Même les pécheurs aiment ceux qui les aiment.  Si vous faites du bien à ceux qui vous quelle reconnaissance méritez-vous ?Même les pécheurs en font autant. Au contraire, aimez vos ennemis, faites du bien et prêtez sans rien espérer en retour. Alors votre récompense sera grande, et vous serez les fils du Très-Haut, Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux.

Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés. Pardonnez, et vous serez pardonnés. Donnez, et on vous donnera : c’est une mesure bien pleine, tassée, secouée, débordante, qui sera versée dans le pan de votre vêtement ; car la mesure dont vous vous servez pour les autres servira de mesure aussi pour vous. » (Lc 6,27-38)

Aimer ceux qui nous haïssent

Jésus annonça à ses disciples qu’ils seront haïs et outragés, puis il prononça des malédictions sur le monde ennemi de Dieu. Ses auditeurs conclurent qu’il leur était permis de haïr leurs ennemis. Jésus, en se tournant vers eux, prévint leur pensée par ces mots : «Mais je vous dis, à vous qui écoutez.» Il revint, des riches absents, à ses auditeurs réels. Certaines personnes ces mots : vous qui écouter dans un sens moral : vous qui êtes dociles à mes enseignements. Ce sens est moins simple.

Jésus énonça ce précepte profond qui dépasse les forces de l’homme naturel : aimer ceux qui nous haïssent. Ce commandement de l’amour, qui ne peut être accompli que sous la loi nouvelle de l’Évangile, est motivé d’une manière différente dans Matthieu, où il se trouve directement opposé à l’esprit de la loi ancienne et rattaché à l’amour des enfants de Dieu pour leur Père céleste. Dans l’évangile selon Matthieu, Jésus nomma ces deux vêtements dans l’ordre inverse : si quelqu’un veut t’ôter la tunique, laisse-lui aussi le manteau. Il supposa un créancier qui saisit la tunique, de moindre valeur, puis, s’il ne fut pas assez payé, réclama le manteau.

«Et si vous prêtez à ceux de qui vous espérez recevoir, quel gré vous en aura-t-on ? Les pécheurs aussi prêtent aux pécheurs, afin de recevoir la pareille.» (Lc 6, 34) Aimer, faire le bien, prêter, sans rien espérer, c’est agir dans l’esprit et l’amour de Dieu lui-même, c’est prouver à nous-mêmes et aux autres que nous sommes ses enfants. Tel est l’exemple divin que Jésus proposa pour nos rapports avec les ingrats et les méchants. Jésus proposa à ses disciples.Le but vers lequel ils devaient tendre constamment en étant miséricordieux comme lui ; et ce sera là leur grande récompense.

Matthieu termina la première partie de son discours par une pensée analogue, mais exprimée en termes différents : «Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait». Il donna pour preuve de cette miséricorde de Dieu égale pour tous qu’il fait lever son soleil et répand les pluies du ciel sur tous indistinctement. La récompense promise à l’accomplissement de ces devoirs, c’est de n’être pas jugés, condamnés mais absous par Dieu lui-même. La mesure de son jugement est puisée dans le cœur de chaque personne. Cet esprit miséricordieux est toujours disposé à donner ; et par là même il s’attire, de la part de Dieu, les plus riches dons de sa grâce.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

Radio Don Bosco – Fandraisana : cliquez ici Vingt-troisième Semaine du Temps Ordinaire

Regnum Christi cliquez ici pour lire l’article →Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent

 Vidéo Se convertir : cliquez ici → https://youtu.be/MzBSiEZI7Ko

Publié dans Bible, Catéchèse, comportements, Dieu, Disciples de Jésus, Enseignement, évangiles, Foi, Histoire, L'Église, Nouveau Testament, Page jeunesse, Paroisses, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Vierundzwanzigster Sonntag der Ordinariuszeit – JahrB

Posté par diaconos le 12 septembre 2024

Jesus, ein Jude aus Nazareth - "Ganz einer von uns"

# Der Menschensohn ist eine eschatologische Figur, die in den apokalyptischen Kreisen des Judentums seit der nachexilischen Zeit gebräuchlich ist. Der Ausdruck taucht insbesondere im Buch Daniel auf. In den Evangelien ist es der Titel, den Jesus am häufigsten verwendet, wenn er von sich selbst spricht. Der Ausdruck selbst ist eine wörtliche Übersetzung des griechischen uios tou anthrôpou, ein Abziehbild des aramäischen bar nasha, Wörter, die zur Zeit Jesu als sprachlicher Ersatz für „Mensch“ verwendet wurden.

Die Interpretationen, zu denen es im Christentum geführt hat, haben die ursprüngliche Bedeutung auf die Menschlichkeit Jesu verlagert. Das älteste Zeugnis stammt aus dem siebten Kapitel des Buches Daniel aus der Zeit der Verfolgung durch Antiochos Epiphanes, kurz vor dem Makkabäeraufstand (ca. 160 v. Chr.). Im Neuen Testament gibt es mehr als achtzig Stellen, an denen sich Jesus von Nazareth selbst als „Menschensohn“ bezeichnet. Diesen Titel verwendete er am häufigsten, wenn er von sich selbst sprach. Er stellte sich selbst als den zukünftigen eschatologischen Richter dar.

# Kenosis ist ein Begriff der christlichen Theologie, der durch ein griechisches Wort ausgedrückt wird, κένωσις, „Handlung der Entleerung, des Abstreifens aller Dinge“; die Bedeutung dieses Begriffs im Christentum wird durch den Brief des Paulus an die Philipper (Phil 2,6) erhellt.Dieser Begriff hat zahlreiche Entwicklungen einer Theologie ausgelöst, die die Erniedrigung Gottes stark betont. Aus Liebe entäußert sich Gott seiner anderen göttlichen Attribute wie Allmacht, Herrlichkeit, Unberührtheit, Vollkommenheit, Selbstgenügsamkeit und die Vorsehung, die die Welt regiert.

Die Theologie der Kenosis geht das Geheimnis des Bösen an, indem sie behauptet, dass es zuerst Gott ist, der leidet, und nicht der Mensch : „Aber nein, Gott lässt das Böse niemals zu, er leidet darunter, er stirbt daran, er ist zuerst das Opfer“.Die Theologie der Kenosis wird von den Kirchenvätern formalisiert und ist Teil der christologischen Debatten der ersten Konzilien. So erreicht die Kenosis nicht die göttliche Natur Christi, sondern nur seine Menschlichkeit.

Für Paulus von Tarsus besagt die Theologie der Kenosis, dass die Inkarnation des Wortes einem Verzicht auf die üblichen göttlichen Privilegien entspricht : Gott ist nur Liebe und die Attribute Gottes sind nur die Attribute der Liebe.Für Moltmann ist ein Gott, der nur allmächtig ist, ein unvollkommenes Wesen. # Der Name „Satan“ taucht zuerst in der hebräischen Bibel auf. Für Daniel E. Gershenson gibt es eine starke Möglichkeit, dass der Name „Satan“ aus dem Griechischen stammt und seine Etymologie wäre „der, der im Himmel wohnt“.

In der christlichen Tradition wird Satan im Buch Hiob und in den Evangelien von Jesus erwähnt, der ihn als „Fürst dieser Welt“ bezeichnet. Er wird mit dem Anführer der gefallenen Engel identifiziert. Diese Auffassung stützt sich auf die biblischen Schriften: Der rebellische Engel war nach Jesaja und Ezechiel im Alten Testament und Petrus und Judas im Neuen Testament gefallen.Nach der Lehre des Katechismus der römisch-katholischen Kirche wurden alle Engel von Gott erschaffen, um gut zu sein, aber einige wurden böse und wandten sich gegen ihren Schöpfer.

 Nach der Lehre des Katechismus der römisch-katholischen Kirche wurden alle Engel von Gott geschaffen, um gut zu sein, aber einige wurden böse und wandten sich gegen ihren Schöpfer. Da die Engel den Glauben nicht benötigen, da sie bereits das Wissen über alle himmlischen Dinge besitzen, stellt ihre Rebellion gegen Gott. Für diejenigen, die es sagen, also die Menschen, die es schreiben, eine unverzeihliche Tat dar, nämlich dass der Verrat am Ewigen auch ein Verrat an der Zeit ist. Es ist ein tödlicher Fall, ein fataler Irrtum.

 Matthäus bezeichnete diese Rebellion als eine unverzeihliche Sünde in diesem oder einem zukünftigen Zeitalter. Satan wird auch mit der Schlange aus dem Buch Genesis identifiziert.

Aus dem Evangelium Jesu Christi nach Markus

In jener Zeit ging Jesus mit seinen Jüngern in die Dörfer in der Umgebung von Cäsarea-Philippi. Unterwegs befragte er seine Jünger : „Nach dem, was die Leute sagen, wer bin ich ?“ Sie antwo rteten ihm : „Johannes der Täufer; für einige ist es Elija; für andere ein Prophet. Er aber fragte sie : „Und was sagt ihr ? Wer bin ich für euch ? Petrus antwortete und sprach ihm : Du bist der Christus.“

Da verbot er ihnen aufs schärfste, mit irgendjemandem von ihm zu reden. Er fing an, sie zu lehren, dass der Menschensohn viel leiden müsse, dass er von den Ältesten, den Hohenpriestern und den Schriftgelehrten verworfen werden müsse, dass er getötet werden müsse und dass er nach drei Tagen auferstehen müsse. Jesus sprach dieses Wort offen aus. Petrus nahm ihn beiseite und begann, ihm heftige Vorwürfe zu machen. Jesus aber drehte sich um und als er seine Jünger sah, rief er Petrus scharf zu: „Geh hinter mich, Satan! Deine Gedanken sind nicht die Gedanken Gottes, sondern die der Menschen“.

Er rief die Menge mit seinen Jüngern zusammen und sagte zu ihnen : „Wenn jemand mir nachfolgen will, der verleugne sich selbst, nehme sein Kreuz auf sich und folge mir nach. Denn wer sein Leben retten will wird es verlieren ; wer aber sein Leben verliert um meinetwillen und um des Evangeliums willen, der wird es retten.“ (Mk 8,27-35)

Die Jünger glaubten an Jesus

Als die Jünger an Jesus glaubten und ihn als den Christus, den Sohn Gottes, bekannten, konnte er offen mit ihnen darüber reden, ja er tat es sogar, um die falschen messianischen Vorstellungen, die sie noch hatten, möglichst in ihren Köpfen zu zerstreuen und sie darauf vorzubereiten, seine Demütigungen und Schmerzen mit ihm zu teilen.  Markus (Mk 8,31) und Lukas (Lk 9,20-22) brachten diese Vorhersage ebenfalls in einen direkten Zusammenhang mit dem Bekenntnis des Petrus. Markus fügte hinzu, dass er dieses Wort kühn zu ihnen sagte.

Wenn der wahre Glaube geboren ist, muss der Christ mit Widerspruch und Leiden rechnen.Was Jesus betrifft, so war es notwendig, sagte er. Eine mysteriöse Notwendigkeit, die auf dem in der Heiligen Schrift verkündeten Dekret der Gerechtigkeit und Barmherzigkeit Gottes beruht. Es musste sein, sonst hätte die Welt in ihrer Sünde zugrunde gehen müssen. Das wollte Gott nicht, und Jesus akzeptiert aus Liebe den Willen seines Vaters : „Und wie Mose in der Wüste die Schlange erhöht hat, so muss auch der Menschensohn erhöht werden, damit jeder, der an ihn glaubt, das ewige Leben hat“. (Joh 3,14)

Der Sanhedrin bestand aus drei Klassen von Männern: den Ältesten, den Hohenpriestern und den Schriftgelehrten oder Gesetzeslehrern. Es hatte etwas Feierliches an sich, als Jesus sie im Einzelnen nannte und sah, wie sie sich gegen ihn verschworen hatten, um ihn zu töten.  Das war der tragische Bruch der Theokratie mit dem Messias und seiner Herrschaft. Nach der Niederlage kommt der Triumph, nach dem Tod das Leben ! Wenn eine dieser Vorhersagen die Jünger überwältigte, war die andere dazu bestimmt, sie wieder aufzurichten.

Aber hier fand die Kritik einen Stein des Anstoßes, und man konnte nicht leugnen, dass es eine Schwierigkeit gab. Da sie die Frage nicht lösen konnten, zogen einige die Vorhersage in Zweifel, andere, wie z.B. Meyer, nahmen an, dass die Vorhersage vage und unklar gewesen sei.Haben die Evangelisten selbst uns nicht des Rätsels Lösunggegeben ? Noch voll von ihrem jüdischen Vorurteil über einen glorreichen Messias, verstanden sie absolut nichts von der Vorhersage seiner Leiden und seiner Auferstehung.

„Aber sie verstanden nichts davon; es war ihnen eine verborgene Sprache, Worte, deren Sinn sie nicht begriffen.“ (Lk 18,34) Das Beispiel des Petrus bewies, dass er die Worte Jesu zwar besser hörte, sich aber entschieden weigerte, in seine Gedanken einzutauchen. Wie hätte ihnen also ein so außergewöhnliches Ereignis wie die Auferstehung nicht unglaublich erscheinen können ? Und selbst wenn es ihnen nicht so sehr am Verständnis dieses Geheimnisses gefehlt hätte, bestand dann nicht eine riesige Distanz zwischen Verstehen und Glauben ?

 Die Zurechtweisung, die Petrus sich erlaubte, hatte wohl den Zweck, Jesus davon zu überzeugen, dass er für etwas ganz anderes bestimmt war als für ein solches Ende. In dieser Gefühlsregung des Petrus lag Liebe zu Jesus, aber mehr Unwissenheit, selbst als er auf ihn Barmherzigkeit herabrief.Die Zuversicht, mit der Petrus behauptete, dass dies nicht geschehen werde, brachte ihm das strenge Wort Jesu ein : „Geh weg von mir, Satan, du bist mir ein Ärgernis, weil du nicht das meinst, was von Gott ist, sondern das, was von Menschen ist.“

Jesus wandte sich empört ab. Mit diesem strengen Wort : „Geh, weiche von mir!“ meint Satan den Widersacher, den, der Widerstand leistet ; aber dieser Name wurde gewöhnlich dem Teufel gegeben, und Jesus, indem er Petrus so nannte, wollte ihm zu verstehen geben, dass er in diesem Augenblick das Werk des Versuchers tat. Was dies bewies, war der Skandal, den Jesus in den Worten des Petrus fand. Jesus brauchte seinen ganzen heiligen Entschluss und seine ganze Kraft, um seinen Leiden entgegenzugehen. Petrus führte ihn in die gleiche Versuchung wie Satan in der Wüste, indem er ihm die Reiche der Welt und ihre Herrlichkeit anbot : „Wiederum führte ihn der Teufel auf einen sehr hohen Berg, zeigte ihm alle Reiche der Welt und ihre Herrlichkeit und sprach zu ihm : Das alles will ich dir geben, wenn du niederfällst und mich anbetest.“ (Mt 4,8-9)

Petrus heftete seine Gedanken nicht an seine großen Pläne bezüglich der Erlösung der Welt durch die Leiden des Mittlers, sondern an die fleischlichen Vorstellungen von einem herrlichen Messias.
Aber diese Worte, die auf alle Zeiten anwendbar sind, haben eine viel allgemeinere Bedeutung. Wer ist der, der sich den Menschen als das höchste Objekt ihrer Liebe vorstellt, dem sie alles, sogar ihr Leben, opfern müssen ? Derjenige, der so spricht, ist Gott, oder er lästert, indem er sich an die Stelle Gottes setzt.

Diakon Michel Houyoux

Links zu anderen christlichen sites

Bistum Mainz : Klicken Sie hier, um den Artikel zu lesen → Gottesdienst 24. Sonntag im Jahreskreis (Lesejahr B)

 ◊  EGW Writings : Hier klicken, um den Artikel zu lesen →Er offenbarte seine Herrlichkeit und seine Jünger glaubten an ihn

◊   Video God New Evidence : hier klicken → https://youtu.be/6UBsD_HTq1c

Publié dans Bible, Catéchèse, comportements, Dieu, Disciples de Jésus, Enseignement, évangiles, Foi, Histoire, L'Église, La messe du dimanche, Nouveau Testament, Page jeunesse, Paroisses, Religion, Rencontrer Dieu, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Twenty-fourth Sunday in Ordinary Time – Year B

Posté par diaconos le 11 septembre 2024

6 choses que les disciples ont découvert en acceptant de suivre Jésus ...

The disciples believed in Jesus


# The Son of Man is an eschatological figure used in Judaic apocalyptic circles from the post-exilic period onwards. This expression appears in particular in the Book of Daniel. In the Gospels, it is the title most often used by Jesus when he speaks of himself.
The expression itself is a literal translation of the Greek uios tou anthrôpou, a transfer of the Aramaic bar nasha, words used at the time of Jesus as a linguistic substitute for ‘human being’. The interpretations to which it has given rise in Christianity have shifted the initial meaning to the humanity of Jesus.

Its earliest attestation dates back to the seventh chapter of the Book of Daniel, dated to the persecution of Antiochus Epiphanes, shortly before the Maccabean revolt (around 160 BC). There are more than eighty passages in the New Testament where Jesus of Nazareth calls himself ‘Son of Man’. The title he used most frequently when speaking of himself. He presented himself as the future eschatological judge. # Kenosis is a concept of Christian theology expressed by a Greek word, κένωσις, ‘action of emptying, of being stripped of everything’; the meaning of this concept in Christianity is illuminated by Paul’s Epistle to the Philippians (Phil 2, 6).

 This notion has given rise to numerous theological developments that place great emphasis on God’s abasement. Out of love, God strips himself of his other divine attributes, such as omnipotence, glory, impassibility, perfection, self-sufficiency and the Providence that governs the world.The theology of kenosis tackles the mystery of evil by affirming that it is first and foremost God who suffers and not man : ‘But no, God never allows evil, he suffers from it, he dies from it, he is first and foremost its victim’.

The theology of kenosis was formalised by the Church Fathers, and was part of the Christological debates of the early councils. Thus, kenosis does not affect Christ’s divine nature, but only his humanity. For Paul of Tarsus, the theology of kenosis affirms that the incarnation of the Word corresponds to a renunciation of the usual divine privileges: God is only Love and the attributes of God are only the attributes of Love. For Moltmann, a God who is only omnipotent is an imperfect being.

# The name ‘Satan’ first appears in the Hebrew Bible. For Daniel E. Gershenson, there is a strong possibility that the name ‘Satan’ comes from the Greek, and its etymology would be ‘he who dwells in the heavens’.In the Christian tradition, Satan is mentioned in the Book of Job and in the Gospels by Jesus, who calls him the ‘prince of this world’. He is identified with the leader of the fallen angels. This concept is based on biblical writings : the rebellious angel was fallen according to Isaiah and Ezekiel in the Old Testament and Peter and Jude in the New Testament.

According to the teaching of the Catechism of the Roman Catholic Church, angels were all created by God to be good, but some became evil and turned against their creator.Since angels do not need faith, since they already have knowledge of all heavenly things, their rebellion against God constitutes an unforgivable act for those who say it, i.e. men (who write it), namely that to betray the Eternal is also to betray Time, it is a fatal fall, a fatal error.

Matthew described this rebellion as an unforgivable sin in this age or an age to come. Satan is also identified with the Serpent of Genesis Matthew called this rebellion an unforgivable sin in this or a future age. Satan is also identified with the Serpent of Genesis.

From the Gospel of Jesus Christ according to Mark

At that time Jesus went away with his disciples to the villages around Caesarea Philippi. As he went, he asked his disciples : Who do people say that I am ? They answered him ; ‘John the Baptist ; to others, Elijah ; to others, a prophet.’Peter answered ; ‘You are the Christ.’ Then he strongly forbade them to speak of him to anyone. He began to teach them that the Son of Man must suffer many things, that he must be rejected by the elders, the chief priests and the scribes, that he must be killed, and that three days later he must rise again.

Jesus spoke these words openly. Peter took him aside and began to rebuke him vehemently. But Jesus turned round and, seeing his disciples, shouted at Peter: ‘Get behind me, Satan! Your thoughts are not of God, but of men. Calling the crowd together with his disciples, he said tothem : ‘If anyone wishes to follow me, he must deny himself, take up his cross and follow me. For whoever wishes to save his life but whoever loses his life for my sake and for the sake of the Gospel will save it. (Mk 8, 27-35)

When the disciples believed in Jesus and confessed him to be the Christ, the Son of God, he was able to speak to them openly about it, and even did so, in order to dispel, if possible, any false Messianic ideas they still had, and to prepare them to share his humiliations and sorrows. Mark (Mk 8, 31) and Luke (Lk 9, 20-22) also relate this prediction directly to Peter’s confession. Mark added that he boldly spoke these words to them. It is when true faith is born that the Christian must expect contradiction and suffering. 

As for Jesus, it was necessary, he said. A mysterious necessity, founded on the decree of God’s justice and mercy, announced in the Scriptures. It had to be, unless the world was to perish in its sin   This is what God did not want, and Jesus accepts his Father’s will out of love : ‘And as Moses lifted up the serpent in the wilderness, so must the Son of Man be lifted up, so that everyone who believes in him may have eternal life’. (Jn 3,14)

The Sanhedrin was made up of three classes of men: the elders, the chief priests and the scribes, or teachers of the law. There was something solemn about the way Jesus named them in detail and saw them conspiring against him to kill him.This was the tragic break between the theocracy and the Messiah and his reign ! After defeat, triumph ; after death, life ! If one of these predictions overwhelmed the disciples, the other was destined to lift them up.

But here the critics found a stumbling block, and it could not be denied that there was a difficulty.Unable to resolve the question, some questioned the prediction; others, Meyer for example, assumed that the prediction was vague and obscure.Didn’t the evangelists themselves give us the answer to the riddle ? Still full of their Jewish prejudice about a glorious Messiah, they understood absolutely nothing of this prediction of his suffering and un derstood nothing of it ; it was a hidden language to them, words whose meaning they did not grasp’. (Lk 18:34)

Peter’s example showed that he heard Jesus’ words better, but that he resolutely refused to enter into his thoughts. How could an event as extraordinary as the resurrection not have seemed incredible to them  ? And even if they had not been so lacking in understanding of this mystery, was there not an immense distance between understanding and believi                     n ? This reprehension that Peter allowed himself was undoubtedly intended to convince Jesus that he was destined for something other than such an end. There was love for Jesus in Peter’s emotion, but more ignorance, even when he invoked mercy on him.

The assurance with which Peter affirmed that this would not happen drew from him the stern words of Jesus : ‘Get away from me, Satan; you are a scandal to me, because you do not think the things that are of God, but the things that are of men.’  Jesus turned away indignantly. Satan means the adversary, the one who resist monly given to the devil and Jesus, by calling Peter this, wanted him to understand that he was at that moment doing the work of the tempter.

This was   proved by the scandal Jesus found in Peter’s words. Jesus needed all his holy resolution and all his strength to meet his suffering. Peter presented him with the same temptation as Satan in the desert, offering him the kingdoms of the world and their glory. The devil again took him to a very high mountain, showed him all the kingdoms of the world and their glory, and said to him, “All these things I will give you if you will bow down and worship me”’. (Mt 4,8-9)

Peter was not thinking of his great plans for the redemption of the world through the sufferings of the Mediator, but of the carnal ideas of a glorious Messiah. But these words, applicable at all times, have a much more general scope.   Who is he who presents himself to men as the supreme object of their love, to whom they must sacrifice everything, even their very lives. He who speaks like this is God, or else he blasphemes by putting himself in God’s place.

Deacon Michel Houyoux

Links to other Christian sites

◊ frcanicenjoku : click here to read the paper                                       → Homily for the 24th Sunday of Ordinary Time, Year B

Gabriel Mattix : click here to read the paperJesus Came to  Manifest His Glory

Video   Grace Chapel Indio : click here      →     https://youtu.be/bzwZTwpB61U

Publié dans Catéchèse, comportements, Disciples de Jésus, Enseignement, évangiles, L'Église, La messe du dimanche, Nouveau Testament, Page jeunesse, Paroisses, Religion, Rencontrer Dieu, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Mercredi de la vingt-troisième semaine du Temps Ordinaire – Année Paire

Posté par diaconos le 11 septembre 2024

Évangile de Jésus Christ - Luc 6, 20-26 Heureux, vous les pauvres …

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, Jésus, levant les yeux sur ses disciples, déclara : « Heureux, vous les pauvres, car le royaume de Dieu est à vous. Heureux, vous qui avez faim maintenant, car vous serez rassasiés. Heureux, vous qui pleurez maintenant, car vous rirez. Heureux êtes-vous quand les hommes vous haïssent et vous excluent, quand ils insultent et rejettent votre nom comme méprisable, à cause du Fils de l’homme. Ce jour-là, Réjouissez-vous, tressaillez de joie, car alors votre récompense est grande dans le ciel ; ’est ainsi, en effet, que leurs pères traitaient les prophètes.

Mais quel malheur pour vous, les riches, car vous avez votre consolation ! Quel malheur pour vous qui êtes repus maintenant, car vous aurez faim ! Quel malheur pour vous qui riez maintenant, car vous serez dans le deuil et vous pleurerez !  Quel malheur pour vous lorsque tous les hommes disent du bien de vous ! C’est ainsi, en effet, que leurs pères traitaient les faux prophètes. » (Lc 6, 20-26)

Le discours sur la montagne

Jésus proclama le bonheur de ceux que leur condition rendit propres à avoir part au royaume de Dieu, et le malheur de ceux qui en furent exclus par leurs dispositions.

La loi du royaume de Dieu

a) L’amour et ses diverses manifestations. La règle première, que Jésus énonça avant tout, ce fut la charité. Elle nous porte à aimer ceux qui nous haïssent, à supporter ceux qui nous maltraitent et nous dépouillent. Elle se résume dans ce précepte : faire aux autres ce que nous voudrions qui nous fût fait.

 b) L’amour opposé aux sentiments naturels. Jésus fit ressortir les caractères distinctifs de la charité en l’opposant aux sentiments naturels qui se bornent à rendre le bien pour le bien, tandis que la charité se montre absolument désintéressée.

c) Le but et le modèle de l’amour. Cette charité désintéressée a pour unique but Dieu, dont elle nous fait les fils en nous rendant miséricordieux comme lui. C’est là sa grande récompense.

d) L’esprit de jugement et les relations fraternelles. Jésus met en ésus proclame le bonheur de ceux que leur condition rend propres à avoir part au royaume de Dieu, et le malheur de ceux qui en sont exclus par leurs dispositions (20-26).

.Jésus mit en garde contre l’esprit de jugement, si opposé à la vraie charité ; il promit en retour l’indulgence et le pardon. Il exhorta à donner, et promit la compensation à celui qui donnera. Un aveugle ne peut conduire un aveugle ; le disciple n’est pas plus que le Maître. Ne regardez pas la paille dans l’œil de votre frère. Pour ne pas vous rendre coupables d’une telle hypocrisie, et pour être dans vos relations avec vos frères tout ce que vous devez être, souvenez-vous que le fruit répond à l’arbre ; efforcez-vous d’être de bons arbres, d’avoir dans votre cœur un bon trésor.

Conclusion pratique du discours

Jésus recommande à ses auditeurs de ne pas se contenter de l’appeler Seigneur, mais de pratiquer fidèlement le principe du royaume de Dieu. Ils seront ainsi semblables à l’homme qui a bâti sa maison sur le roc ; tandis que ceux qui ne mettent pas en pratique les paroles du Maître ressemblent à l’homme qui bâtit sa maison sur la terre.

Compléments

Diacre Michel Houyoux : cliquez ici → LA FAMILLE DOIT ÊTRE UN LIEU DE PARDON

Diacre Michel Houyoux : cliquez ici → La maison construite sur le roc et la maison construite sur le sable

Regnum Christi : cliquez ici → Heureux, vous les pauvres, car le royaume de Dieu est à eux

Catholique.org. : cliquez ici → Heureux les pauvresLes méditations

 Vidéo L’argent et le bonheur : cliquez ici https://youtu.be/VTZaMXGquHg

Publié dans Bible, Catéchèse, comportements, Dieu, Disciples de Jésus, Enseignement, évangiles, Histoire, L'Église, Nouveau Testament, Page jeunesse, Paroisses, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

1...7891011...146
 

Passion Templiers |
CITATIONS de Benoît XVI |
La pastorale Vauban |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | chrifsossi
| La Mosquée de Méru
| Une Paroisse virtuelle en F...