Lundi de la deuxième semaine de l’Avent -Année B

Posté par diaconos le 10 décembre 2023

Lundi de la deuxième semaine de l’Avent -Année B dans Bible le-christ-guérit-la-fresque-paralytique-de-l-église-saint-paraskeva-des-balkans-près-du-monastère-naum-ohrid-en-macédoine-158818772

La guérison du Paralytique de Capharnaüm

# Jésus de Nazareth est un Juif de Galilée, né entre l’an 7 et l’an 5 av. J.-C.. Il apparaît dans le cercle de Jean le Baptiste avant de s’engager, entouré de quelques disciples, dans une courte carrière de prédication itinérante de deux à trois ans, essentiellement en Galilée, en pratiquant guérisons et exorcismes. Il suscita engouement et ferveur, s’attirant la méfiance des autorités politiques et religieuses, avant d’être arrêté, condamné et crucifié vers l’an 30 à Jérusalem pendant la fête juive de la Pâque, sous l’administration du préfet Ponce Pilate.

L’annonce de sa résurrection par ses disciples, qui le reconnurent comme le Messie et transmirent son histoire et ses enseignements, donna naissance au christianisme. Pour les chrétiens, Jésus-Christ est le Fils de Dieu, le Messie annoncé dans l’Ancien Testament et envoyé aux hommes pour les sauver. Dans l’islam, Jésus de Nazareth, appelé ʿĪsā, est considéré comme un prophète majeur.

Le retentissement de son message, transmis par les différentes Églises chrétiennes, et les interprétations auxquelles il donna lieu, influencèrent différentes cultures et civilisations au cours de l’Histoire. Il inspira une importante production théologique, littéraire et artistique. Sa naissance fut prise comme origine conventionnelle des calendriers julien , depuis le sixième siècle et grégorien, et le dimanche, devenu jour de repos hebdomadaire en célébration de sa résurrection, adopté au-delà de la chrétienté.

Cette importance contraste avec la brièveté de sa prédication et le peu de traces historiques conservées à son sujet, essentiellement au travers de la littérature néotestamentaire. Ainsi, lorsqu’il aborda la question de Jésus de Nazareth, l’historien sut qu’il ne fut nullement en mesure de révéler ce qui fut fait ou ce qui fut dit par Jésus. Jésus est un prénom courant dans la Palestine du Ier siècle : il est le sixième nom masculin le plus fréquent à cette époque.

Il fut attesté pour Jésus Ben Sira, l’auteur du Siracide, pour un fils d’Éliéze dans l’Évangile selon Luc ou encore pour Barabbas, le chef de guerre libéré par Ponce Pilate selon certaines versions de l’Évangile selon Matthieu.

 L’historien juif Flavius Josèphe mentionna vingt individus prénommés de la sorte, dont une dizaine à l’époque de Jésus de Nazareth. On trouve plusieurs fois l’expression « Fils de l’homme » que s’attribua Jésus lui-même dans les évangiles. Elle se trouve précédemment dans la littérature hébraïque, dans le Livre des Psaumes, où elle désigne l’homme ordinaire. Chez le prophète Ezechiel, le Fils de l’homme définit la fonction prophétique. Dans le Livre de Daniel, elle s’applique au statut messianique.

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De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

Un jour que Jésus enseignait, il y avait dans l’assistance des pharisiens et des docteurs de la Loi, venus de tous les villages de Galilée et de Judée, ainsi que de Jérusalem ; et la puissance du Seigneur était à l’œuvre pour lui faire opérer des guérisons.

Arrivent des gens, portant sur une civière un homme qui était paralysé ; ils cherchaient à le faire entrer pour le placer devant Jésus. Mais, ne voyant pas comment faire à cause de la foule, ils montèrent sur le toit et, en écartant les tuiles, ils le firent descendre avec sa civière en plein milieu devant Jésus. Voyant leur foi, il dit : « Homme, tes péchés te sont pardonnés. »

Les scribes et les pharisiens se mirent à raisonner : « Qui est-il celui-là ? Il dit des blasphèmes !
Qui donc peut pardonner les péchés, sinon Dieu seul ? »
Mais Jésus, saisissant leurs pensées, leur répondit : «Qu’est-ce qui est le plus facile ? : «Tes péchés te sont pardonnés”, ou dire : “Lève-toi et marche” ?Eh bien ! Afin que vous sachiez que le Fils de l’homme a autorité sur la terre pour pardonner les péchés, Jésus s’adressa à celui qui était paralysé : «Je te le dis, lève-toi, prends ta civière et retourne dans ta maison. »

À l’instant même, celui-ci se releva devant eux, il prit ce qui lui servait de lit et s’en alla dans sa maison en rendant gloire à Dieu. Tous furent saisis de stupeur et ils rendaient gloire à Dieu. Remplis de crainte, ils disaient : : « Nous avons vu des choses extraordinaires aujourd’hui ! » (Lc 5, 17-26)

Guérison d’un paralytique

Un des jours du voyage d’évangélisation de Jésus ans une des villes, des adversaires venus de divers lieux de la Galilée et de la Judée, eurent été provoqué par un mot d’ordre émané de Jérusalem. Le temps approcha où la haine croissante des chefs du peuple amena la catastrophe ; ils s’appliquèrent dès ce moment à épier et à surveiller Jésus.

Une puissance de Dieu agissait pour rendre Jésus capable de guérir toute maladie. L’assurance avec laquelle Jésus jeta à ses adversaires le défi. Ce que Luc appela les tuiles, ce furent les briques ou les dalles dont fut recouverte la terrasse qui, en Orient, servit de toit aux maisons. Cette expression : à travers les tuiles, indique qu’ils pratiquèrent une ouverture dans la toiture même. D’après Matthieu, Jésus adressa d’abord au pauvre malade cette parole pleine de compassion  : « Prends courage, mon fils  » Marc conserva également ce terme affectueux. Le mot de Luc : se mirent à, commencèrent, marqua le moment précis où les murmures éclatèrent. Ceux-ci se prolongèrent quelque temps avant que Jésus intervint.

Diacre Michel Houyoux

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Vierundzwanzigster Sonntag der Ordinariuszeit – Jahr A

Posté par diaconos le 16 septembre 2023

Eine Hand, die ein ausgeschnittenes Papier-Herz einer anderen Hand reicht als Blogbild für Vergeben und Verzeihen

Aus dem Evangelium Jesu Christi nach Matthäus


In jener Zeit trat Petrus an Jesus heran und fragte ihn:
« Herr, wenn mein Bruder an mir schuldig wird, wie oft soll ich ihm dann vergeben? Bis zu sieben Mal ? »
Jesus antwortete ihm :
« Ich sage dir nicht bis zu siebenmal, sondern bis zu siebzigmal siebenmal.« 
Ich werde es nie vergessen ! Er wird es mir heimzahlen. Wehe dem, der unsere Eitelkeit verletzt, einen Schatten auf unser Markenimage wirft, an den Guthaben rührt, die an uns kleben ! Vergebung ist unmöglich !

Bei einem Problem mit dem Zaun ist die Spannung groß. Was für ein wiedergekäuter Groll, was für gepflegte Ressentiments zwischen Eltern, Kindern, Ehepartnern, Nachbarn und Arbeitskollegen.

Selbst an der Schwelle der Kirchen sehen wir Menschen, die sich nicht grüßen wollen, sondern gemeinsam das Vaterunser singen, das sie verurteilt : « Vergib uns unsere Schuld, wie auch wir vergeben unseren Schuldigern ».

Zwei Jahrhunderte vor Christus kam Ben Sirach, der Weise der den Menschen lange beobachtete und auch Gott lange betrachtete, schnell zu drei großen Feinden der Vergebung : Groll, Zorn und Rache, und er erinnerte seine Leser an zwei tiefe Wahrheiten, die für unsere Generation immer noch sehr aktuell sind.

Erstens : Behalte nicht all diese negativen Gefühle in deinem Herzen, die Hass, Groll, Rachegelüste, Zorn und die Weigerung zu vergeben heißen. Zweitens : Wenn du diese Gifte in deinem Herzen behältst, wie kannst du dann auf die Vergebung der anderen zählen und wie kannst du die Vergebung Gottes suchen ?

Zu all diesen Feinden des inneren Friedens und des Friedens mit anderen hat Ben Sirac nur ein Wort : « Vergib … wenn dir dein Gott vergeben will » Vergib deinem Nächsten das Unrecht, das er dir angetan hat; dann werden dir auf dein Gebet hin deine Sünden erlassen.

Die Frage, die Petrus dem Herrn stellte, war von immer noch brennender Relevanz und Aktualität : « Wenn mein Bruder an mir schuldig wird, wie oft soll ich ihm vergeben ? ».
So ist das Himmelreich mit einem König vergleichbar, der mit seinen Dienern abrechnen wollte. Als er damit anfing, wurde jemand zu ihm gebracht, der ihm zehntausend Talente (d. h. sechzig Millionen Silbermünzen) schuldete.

Da der Mann nicht genug Geld hatte, um es zurückzuzahlen, befahl der Herr, ihn mit seiner Frau, seinen Kindern und all seinem Besitz zu verkaufen, um seine Schulden zu begleichen. Da fiel der Knecht zu seinen Füßen, blieb auf dem Boden liegen und sagte : « Hab Geduld mit mir, dann werde ich dir alles zurückzahlen.

Der Herr des Dieners hatte Mitleid mit ihm und ließ ihn gehen und erließ ihm seine Schulden. Als der Knecht aber hinausging, fand er einen seiner Mitknechte, der ihm hundert Silberstücke schuldete.

Er stürzte sich auf ihn, um ihn zu erwürgen, und sagte : ‘Begleiche deine Schuld!’ Da fiel ihm sein Gefährte zu Füßen und flehte ihn an: ‘Hab Geduld mit mir, dann werde ich dir das Geld zurückzahlen.’


Der andere weigerte sich jedoch und ließ ihn ins Gefängnis werfen, bis er seine Schulden zurückgezahlt hatte.

Als seine Gefährten das sahen, waren sie zutiefst betrübt und gingen zu ihrem Herrn und berichteten ihm.

Da ließ er ihn rufen und sagte zu ihm: « Du böser Knecht, ich habe dir all diese Schulden erlassen, weil du mich angefleht hast.

Solltest du nicht deinerseits Mitleid mit deinem Mitmenschen haben, so wie ich Mitleid mit dir hatte? In seinem Zorn lieferte ihn sein Herr den Henkern aus, bis er alles zurückgezahlt hatte, was er ihm schuldete. So wird auch mein Vater im Himmel mit euch verfahren, wenn nicht jeder von euch seinem Bruder von Herzen vergibt.
Vergib uns unsere Schuld, wie auch wir vergeben unseren Schuldigern !

Dieser vierundzwanzigste Sonntag der ordentlichen Zeit, der Sonntag der Vergebung, konfrontiert uns mit dieser zutiefst menschlichen und wahrhaft christlichen Realität, die die Vergebung ist. Er lässt uns über die Hindernisse nachdenken, die der Vergebung im Wege stehen, und über die Wege, die uns zu ihr führen. Früher oder später stellt sich in Ihrem Leben die Frage nach der Vergebung. Denn früher oder später verletzt Sie jemand auf die eine oder andere Weise.

Groll und Zorn ! Hier befinden wir uns auf vertrautem Boden und auf der Straße des Alltags. Der Groll ist eine gut gepflegte Pflanze, deren Früchte des Zorns und der Rache zu jeder Jahreszeit zu finden sind !

Groll und Zorn auf Personen, Wut, die erhaltene Beleidigung oder das zugefügte Unrecht sehr teuer bezahlen zu lassen.

Ich werde es nie vergessen! Er wird es mir heimzahlen. Wehe dem, der unsere Eitelkeit verletzt, einen Schatten auf unser Markenimage wirft, an den Guthaben rührt, die an uns kleben ! Vergebung ist unmöglich !

Bei einem Problem mit dem Zaun ist die Spannung groß. Was für ein wiedergekäuter Groll, was für gepflegte Ressentiments zwischen Eltern, Kindern, Ehepartnern, Nachbarn und Arbeitskollegen. Selbst an der Schwelle der Kirchen sehen wir Menschen, die sich nicht grüßen wollen, sondern gemeinsam das Vaterunser singen, das sie verurteilt : « Vergib uns unsere Schuld, wie auch wir vergeben unseren Schuldigern ».
Zwei Jahrhunderte vor Christus kam Ben Sirach, der Weise, der den Menschen lange beobachtete und auch Gott lange betrachtete, schnell zu drei großen Feinden der Vergebung: Groll, Zorn und Rache, und er erinnerte seine Leser an zwei tiefe Wahrheiten, die für unsere Generation immer noch sehr aktuell sind.

Erstens : Behalte nicht all diese negativen Gefühle in deinem Herzen, die Hass, Groll, Rachegelüste, Zorn und die Weigerung zu vergeben heißen. Zweitens: Wenn du diese Gifte in deinem Herzen behältst, wie kannst du dann auf die Vergebung der anderen zählen und wie kannst du die Vergebung Gottes suchen ?

Zu all diesen Feinden des inneren Friedens und des Friedens mit anderen hat Ben Sirac nur ein Wort : « Vergib … wenn dir dein Gott vergeben will » Vergib deinem Nächsten das Unrecht, das er dir angetan hat; dann werden dir auf dein Gebet hin deine Sünden erlassen.
Die Frage, die Petrus dem Herrn stellte, war von immer noch brennender Relevanz und Aktualität :
« Wenn mein Bruder an mir schuldig wird, wie oft soll ich ihm vergeben ? ».

Petrus schlägt Jesus eine Zahl vor: « Bis zu sieben Mal? ». Jesus weigerte sich, sich auf seine Berechnungen einzulassen. Das ist der Sinn seiner Antwort : « Bis siebzigmal siebenmal ! ». Damit rechtfertigt Jesus eine grenzenlose Vergebung : « Du musst allezeit vergeben ! »
Gott gegenüber befinden wir uns alle in der Situation des Knechtes, der seinem Herrn eine fantastische Summe schuldet. Aus unbegreiflicher Liebe hat Gott uns diese Schuld erlassen. Und dennoch¸ wenn wir vergeben müssen, zögern wir und entscheiden sehr oft durch Feilschen oder Ablehnung. Dennoch singen wir in der Messe: « Herr erbarme dich unser », während wir allzu oft zu wenig Mitleid mit anderen haben ! Gott vergibt mit der gleichen Geduld und Großzügigkeit wie der König, von dem Jesus im Gleichnis spricht. Seine Vergebung setzt jedoch voraus, dass die Lektion in uns Früchte trägt. Es liegt auch an uns, zu verstehen und Mitleid zu haben, zu vergeben und unseren Brüdern die Schulden zu erlassen.  » Vergib uns, wie auch wir vergeben unseren Schuldigern ».


Diakon Michel Houyoux


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Interessante Seiten, die Sie sich im Internet ansehen können


Universit[at Posdam : → Groß genug für Vergebung ?


Vergeben Wie viel Mal soll ich vergeben?


Video Die Vergebung → https://youtu.be/tGyKWB5dxzs

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Saturday of the twenty-fifth week in Ordinary Time – Year B

Posté par diaconos le 25 septembre 2021

The Son of Man is going to be delivered into the hands of men

The Son of Man is going to be delivered into the hands of men | Daily Bible  Readings

# The Son of Man is an eschatological figure in use in Judaic apocalyptic circles from the post-exilic period. This expression appears in the Book of Daniel. In the Gospels, it is the title most often used by Jesus when he speaks of himself. The interpretations to which it has given rise in Christianity have shifted the original meaning to the humanity of Jesus.

Summary The earliest evidence of this is found in the seventh chapter of the Book of Daniel, dated to the persecution of Antiochus Epiphanes, shortly before the Maccabean revolt (c. 160 BC). Already in Ezekiel, God addresses the prophet several times as « Son of Man », but no esoteric meaning is attached to the expression here. « I looked in the night visions, and behold, there came upon thy clouds as it were a Son of man; and he came to the old man, and they brought him near before him.

And there was given to him dominion, glory and kingdom, and all peoples, nations and languages served him. His dominion is an eternal dominion that shall not pass away, and his kingdom shall never be destroyed. (Daniel, 7:13,14 In Christianity: there are over eighty passages in the New Testament where Jesus of Nazareth calls himself ‘Son of Man’ (which is equivalent to ‘Son of Adam’).

He added, « The Son of Man must suffer many things, be rejected by the elders, the chief priests and the scribes, be put to death and be raised on the third day. Whoever is ashamed of me and my words, the Son of Man will be ashamed of him when he comes in his glory and that of the Father and the holy angels. (Luke 9:22 and 26 According to the first verse of the third chapter of the Book of Malachi, the eschatological coming of God is to be manifested by that of a final messenger.

The Jewish tradition expected Elijah to return, the Christian tradition entrusts this messenger role to John the Baptist. The Formgeschichte method proves that we can only go back as far as the testimonies and confessions of faith of the first Christians about Jesus. The early Christians identified the « Son of Man » with the glorious Christ whose parousia they expected. This early Christology was therefore attributed to the Hellenists: Jesus, the crucified one, was enthroned in Heaven as the Son of Man and will (soon) manifest himself as such through his eschatological coming. This theme is found in Revelation. In later Christian theology, the title « Son of Man » was understood to refer to Jesus’ humanity, not his divinity.

From the Gospel of Luke

43 And all were amazed at the greatness of God. When everyone was in awe of all he was doing, Jesus said to his disciples, 44 « Open your ears to what I am telling you now: the Son of Man is going to be delivered into the hands of men. » 45 But the disciples did not understand this word; it was veiled from them, so that they did not perceive its meaning, and they were afraid to ask him about it. » (Lk 9:43b-45)

Humility and tolerance

Jesus insisted to his disciples that he had to be handed over. They did not understand and were afraid to question him. They wondered which of them would be the greatest. Jesus presented them with a little child and said that whoever received this child received him and God. The smallest is the greatest. John confessed that the disciples prevented a man from casting out demons in Jesus’ name because he was not one of them. Jesus said that they should not have prevented him, because he who is not against them is for them.

All the miracles of Jesus, having a charitable purpose, were works of both power and love, and were a manifestation of these two divine perfections. for you, my disciples, who must distinguish yourselves from the multitude and not share their carnal enthusiasm at the very moment when all were in admiration of what he did. Luke thus placed this prediction of Jesus’ sufferings in immediate connection with what preceded ; Matthew and Mark made it coincide with Jesus’ return to Galilee.

He who had just revealed with as much power as love the greatness of God delivered into the hands of men ! What a contrast ! What proof that his sacrifice was perfectly voluntary! The word of the cross is always a mystery to us, if it is not folly or scandal. The disciples did not understand it, but it was hidden from them by a dispensation of God, so that they did not understand it.

Their ignorance was not purely intellectual, it had moral causes ; they understood Jesus’ words enough to be very saddened by them, but in their fear of suffering, they were afraid to ask him about it. If they had had the courage to question him, Jesus would have instructed them more fully.

Deacon Michel Houyoux

Links to other Christian websites

◊  Catholic News Agnency : click here to read the paper→ Saturday of the Twenty-fifth Week in Ordinary Time

◊ USCCB  : click here to read the paper→ Saturday of the Twenty-Fifth Week in Ordinary Time |

  15 steps of Humility by St. Mother Teresa

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Saint Frère André de la Congrégation Sainte Croix

Posté par diaconos le 12 septembre 2021

Post de Richard Rouleau

Une guérison qui change le cours de plusieurs vies - Vers Demain

 

# Alfred Bessette, né le 9 août 1845 à Saint-Grégoire-le-Grand au Québec et décéda le 6 janvier 1937, fut un frère religieux canadien-français, membre de la congrégation de Sainte-Croix. Alfred Bessette fut frêle et souvent malade. Bien qu’il soit très pieux, rien ne laisse présager qu’il puisse vivre longtemps et qu’il devienne l’homme religieux le plus célèbre du Québec au XXe siècle. À partir de la fin des années 1870, bien qu’il soit presque illettré, sa réputation de saint et de thaumaturge grandit.
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Son envergure dépasse même les frontières pour s’étendre partout en Amérique, puis, en Europe et dans le reste du monde. À Montréal, il a réussi à faire construire l’oratoire Saint-Joseph, une imposante basilique dédiée à saint Joseph. Alfred Bessette prit l’habit religieux le 27 décembre. Puisqu’il s’agit d’une communauté qui demanda à chaque novice de se choisir un nom de saint, Alfred adopta le nom d’André : Après un noviciat plus long que prévu (qui durera trois ans), la congrégation qui jusque-là hésita à garder le jeune homme en raison de ses problèmes de santé et de son éducation restreinte, décida finalement de l’accepter dans ses rangs.
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L’évêque de Montréal, Ignace Bourget intervint, rassurant le frère André. Peu après, le nouveau maître des novices, Amédée Guy, le recommanda en disant : « Si ce jeune homme devient incapable de travailler, il saura au moins bien prier ». Admis à prononcer ses vœux temporaires le 22 août 1872 à l’âge de 27 ans, le frère André fit sa profession perpétuelle à 28 ans, le 2 février 1874. On lui confia la fonction de portier du collège Notre-Dame, une fonction qu’il exerça jusqu’à la mi-juillet 1909 : c’est lui qui accueillit les gens à l’entrée du collège.
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Plus tard, il en fit une plaisanterie, en disant qu’à son entrée en communauté on lui montra la porte et qu’il eut gardée durant presque 40 ans. Il assura la propreté des lieux, faire les courses, donner l’aumône aux pauvres. Il fit de plus office de barbier des élèves et d’infirmier auprès des collégiens malades, et s’occupa du courrier, du transport des colis des élèves, qu’il accompagna parfois les jours de promenade. Il fut heureux de pouvoir continuer à offrir ses menus services d’ homme à tout faire, et de pouvoir prier à sa guise, ce faisant : avant, pendant et après, seul ou avec des membres de sa communauté, ou avec des visiteurs.
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En 1877 eut lieu sa première guérison, celle du frère Aldéric de sa propre communauté religieuse, qui souffrait d’une blessure à la jambe. Il y eut ensuite celle d’un élève fiévreux collé au lit par le médecin et que le frère André avait envoyé jouer dehors apparemment en pleine forme. Les miracles de celui-ci se propagèrent ensuite très rapidement.L Les éclopés et les malades du quartier Côte-des-Neiges de Montréal envahirent le collège Notre-Dame à la recherche du petit frère qui guérit tous les maux.
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Saint Frère André fut un humble religieux de la Congrégation Sainte Croix de Montréal. Il vécut toute sa vie à l’école de la souffrance, de la pauvreté, de la solitude. Mais saint Joseph dont il se dit « l’instrument » fit de Frère André, le fondateur du plus grand lieu au monde de culte qui lui est dédié : l’Oratoire de Saint Joseph du Mont-Royal. Saint Frère André fut réputé pour être thaumaturge, guérissant continuellement de nombreux malades. Cette neuvaine nous fera vraiment comprendre comment Dieu élève les humbles , selon les paroles de Marie dans son Magnificat.

Prière à saint Joseph, patron des causes difficiles de saint François de Sales

 Glorieux saint Joseph, époux de Marie, accordez-nous votre protection paternelle, nous vous en supplions par le Cœur de Jésus et le Cœur Immaculé de Marie. O vous ! Dont la puissance s’étend à toutes nos nécessités et sait rendre possibles les choses les plus impossibles, ouvrez vos yeux de père sur les intérêts de vos enfants. Dans l’embarras et la peine qui nous pressent, nous recourons à vous avec confiance. Daignez prendre sous votre charitable conduite cette affaire importante et difficile, cause de notre inquiétude.

Faites que son heureuse issue tourne à la gloire de Dieu et au bien de ses dévoués serviteurs. O vous ! Que l’on n’a jamais invoqué en vain, aimable saint Joseph ! Vous dont le crédit est si puissant auprès de Dieu qu’on a pu dire : “ Au ciel, Joseph commande plutôt qu’il ne supplie ”, tendre père, priez pour nous Jésus, priez pour nous Marie. Soyez notre avocat auprès de ce divin Fils dont vous avez été ici-bas le père nourricier si attentif, si chérissant et le protecteur fidèle. Soyez notre avocat auprès de Marie dont vous avez été l’époux si aimant et si tendrement aimé. Ajoutez à toutes vos gloires, celle de gagner la cause difficile que nous vous confions.

Nous croyons, oui, nous croyons que vous pouvez exaucer nos vœux en nous délivrant des peines qui nous accablent et des amertumes dont notre âme est abreuvée ; nous avons, de plus, la ferme confiance que vous ne négligerez rien en faveur des affligés qui vous implorent. Humblement prosternés à vos pieds, bon Saint Joseph, nous vous en conjurons, ayez pitié de nos gémissements et de nos larmes ; couvrez-nous du manteau de vos miséricordes et bénissez-nous. Saint Joseph, merci !

Prière à saint frère André

Saint frère André, nous célébrons ta présence parmi nous. Ton amitié envers Jésus, Marie et Joseph, fait de toi un intercesseur puissant auprès du Père. La compassion relie tes paroles au cœur de Dieu, tes prières sont exaucées et apportent réconfort et guérison. Avec toi, notre bouche s’approche de l’oreille de Dieu, pour lui présenter notre demande… Qu’il nous soit donné de participer comme toi à l’œuvre de Dieu, dans un esprit de prière, de compassion et d’humilité. Saint frère André, prie pour nous. Amen.

Le 19 octobre 1904, la première messe fut célébrée au premier petit oratoire du Mont-Royal. Le terrain était acheté depuis 1896. Mais il fallut les instances répétées du frère André et de nombreux miracles de saint Joseph,pour que les autorités du collège renoncèrent à sa destination première de terrain de jeux et de promenades des élèves, pour en faire le domaine de saint Joseph. Les choses allèrent donc lentement, mais irrésistiblement, frère André ne désespéra jamais. Il est probable que saint Joseph lui eut donné surnaturellement la vue de ce qui devait être le développement de l’Oratoire.Parole de frère André.  :

« Vous devriez avoir plus confiance en saint Joseph… Il faut prier… Quand vous dites tout bas : Notre Père qui êtes aux cieux, il a l’oreille sur votre bouche… »

Prière à Saint Joseph de Mgr Léon Soulier :

Joseph, on t’appelle le juste, le charpentier, le silencieux,  moi, je veux t’appeler mon ami. Avec Jésus, ton fils et mon Sauveur, avec Marie ton épouse et ma mère, tu as ta place dans mon cœur, tu as ta place dans ma vie. Prends ma main et conduis-moi lorsque l’ombre et la nuit rendent mes pas incertains. Toi qui as cherché le Seigneur, qui l’as trouvé, dis-moi où il est ! Dis-moi où il est quand les jours succèdent aux jours, remplis de travail et de soucis ou de solitude et d’ennui ! Dis-moi où il est quand l’épreuve et la souffrance sont le pain quotidien !

Dis-moi où il est quand l’espérance relève mon courage et m’invite à avancer avec plus d’entrain ! Dis-moi où il est quand mon cœur veut l’aimer, lui le premier et les autres, avec lui et en lui ! Dis-moi où il est quand on vient près de moi chercher réconfort, amitié et joie ! Joseph, mon ami, tu as cheminé à travers les rayons et les ombres, apprends-moi à rencontrer le Seigneur dans le quotidien de ma vie. Toi, le témoin étonné de l’action de l’Esprit, aide-moi à reconnaître ses merveilles et à lui être soumis. Toi, le grand attentif aux besoins des tiens, garde bien ouverts mon cœur et ma main. Amen.

Prions pour que, par l’intercession de saint Joseph et saint Frère André, nous menions à bien les missions que le Seigneur nous confie.

 Il est frappant de relever le nombre de fois où le pape saint Jean-Paul II  invoqua Marie et où il  demanda aux Catholiques de la prier à une époque de développement du terrorisme international, notamment aux dates anniversaires des attentats du 11 septembre, ou autour d’elles. Le lendemain des attentats, le mercredi 12 septembre 2001, le pape Jean-Paul II présida, lors de l’audience générale, une prière pour la paix, après avoir confié le monde à la Vierge Marie : « Implorons le Seigneur afin que ne prévale pas la spirale de la haine et de la violence. Que la Très Sainte Vierge, Mère de miséricorde, suscite dans le cœur de tous des pensées de sagesse et des intentions de paix. »

Le 11 septembre 2002 était un mercredi, jour d’audience générale. Le Pape présida une prière universelle d’intercession pour les victimes de l’attentat et leurs familles et pour la paix dans le monde. En arabe, la prière disait : « Pour les croyants de toutes les religions, afin qu’au Nom de Dieu, miséricordieux et aimant la paix, ils rejettent avec fermeté toute forme de violence, dans le respect des différentes expériences historiques, culturelles, religieuses. »

L’année suivante, le 11 septembre 2003, le pape était en voyage en Slovaquie, mais la veille de son départ, le mercredi 10 septembre, à la fin de l’audience générale, il  évoqua la Vierge Marie, en italien, rappelant que l’on venait de célébrer sa Nativité et que le 12 septembre, l’Église célébrait le Saint Nom de Marie.

Et le samedi 11 septembre 2004, il  adressa un message aux évêques des États-Unis dans lequel il invoquait la paix : « Je m’unis à vos prières pour que cesse la plaie du terrorisme et que croisse la civilisation de l’amour» Et il invitait les évêques à se confier à Marie : « Puissiez-vous trouver la sagesse et la force à travers l’intercession de Marie Immaculée, patronne de votre pays ! » Il les confiait lui-même à la Vierge : « Je vous confie tous avec une grande affection aux prières de Marie, Mère de l’Église.» – Source : Anita Bourdin

Glorieux saint Joseph, époux de Marie, accordez-nous votre protection paternelle, nous vous en supplions par le Cœur de Jésus et le Cœur Immaculé de Marie. O vous ! Dont la puissance s’étend à toutes nos nécessités et sait rendre possibles les choses les plus impossibles, ouvrez vos yeux de père sur les intérêts de vos enfants. Dans l’embarras et la peine qui nous pressent, nous recourons à vous avec confiance. Daignez prendre sous votre charitable conduite cette affaire importante et difficile, cause de notre inquiétude.

Faites que son heureuse issue tourne à la gloire de Dieu et au bien de ses dévoués serviteurs. O vous ! Que l’on n’a jamais invoqué en vain, aimable saint Joseph ! Vous dont le crédit est si puissant auprès de Dieu qu’on a pu dire : “ Au ciel, Joseph commande plutôt qu’il ne supplie ”, tendre père, priez pour nous Jésus, priez pour nous Marie. Soyez notre avocat auprès de ce divin Fils dont vous avez été ici-bas le père nourricier si attentif, si  hérissant et le protecteur fidèle.

Soyez notre avocat auprès de Marie dont vous avez été l’époux si aimant et si tendrement aimé. Ajoutez à toutes vos gloires, celle de gagner la cause difficile que nous vous confions. Nous croyons, oui, nous croyons que vous pouvez exaucer nos vœux en nous délivrant des peines qui nous accablent et des amertumes dont notre âme est abreuvée ; Glorieux saint Joseph, époux de Marie, accordez-nous votre protection paternelle, nous vous en supplions par le Cœur de Jésus et le Cœur Immaculé de Marie.

O vous ! Dont la puissance s’étend à toutes nos nécessités et sait rendre possibles les choses les plus impossibles, ouvrez vos yeux de père sur les intérêts de vos enfants. Dans l’embarras et la peine qui nous pressent, nous recourons à vous avec confiance. Daignez prendre sous votre charitable conduite cette affaire importante et difficile, cause de notre inquiétude. Faites que son heureuse issue tourne à la gloire de Dieu et au bien de ses  dévoués serviteurs. O vous ! Que l’on n’a jamais invoqué en vain, aimable saint Joseph !  Vous dont le crédit est si puissant auprès de Dieu qu’on a pu dire : “ Au ciel, Joseph commande plutôt qu’il ne supplie ”, tendre père, priez pour nous Jésus, priez pour nous Marie.

La Vierge Marie m’a sauvé à plusieurs reprises. Elle est bien vivante. Et elle me fait croire en Dieu, et est pour moi une preuve de la présence de Dieu. Je ne doute plus. C’est une conviction pour moi. Est-ce que quelqu’un d’autre a déjà ressenti sa présence ? Oh oui ! et plusieurs fois aussi. Marie est toujours là pour nous ramener à Jésus. 70 miracles (reconnu par le bureau des miracles à Lourdes). Sans compter les peines, douleurs … soulagés. Preuve que la Sainte Vierge nous entend. Continuons à lui parler par la prière.

Je dirai que c’est plutôt une manière de parler, elle m’a sûrement sauvé de tout mal réel jusqu’à maintenant. Peut-être qu’elle m’a sauvé un moment ou j’étais entouré de deux gros chiens agressifs à la campagne, car quand je me suis mis à prier le je vous salue, ils se sont enfuis, ou encore le fait que je me sois rendu compte que le gaz était ouvert par ma mère, sûrement par inadvertance (mais ça je ne sais pas si ça peut être elle), ou enfin elle m’a sûrement éloigné de terroristes, de tomber dans un attentat (mais ça c’est peut-être ma parano)

Témoignage donné par Hélène Provencher, petite-fille d’Edgar Provencher. Edgar à 14 ans a été sauvé de la noyade avec son frère Odilas en 1907. Les 2 adolescents étaient allés patiner sur la rivière derrière la maison familiale lorsque la glace a cédé sous leurs pieds. Avec un cri à la Vierge Marie, ils roulent des yeux et voient une Belle Dame vêtue de bleu pâle qui leur sourit et les sauve d’une mort certaine. Des années plus tard, Edgar a pris plaisir à réunir ses petits-enfants pour leur raconter cette histoire émouvante qui a semé la foi dans leurs cœurs.

Le Père Ghislain Roy recommande de se consacrer aux 3 Saints Cœurs de Jésus, Marie et Joseph, à tous les jours. Le Père Ghislain Roy recommande de se consacrer aux Trois Saints Cœurs de Jésus, Marie et Joseph, à tous les jours.

Voici cette prière de Consécration qui a été reçue par Edson Glauber en décembre 1996

Sacré Coeur de Jésus, Coeur Immaculée de Marie et Très Chaste Cœur de Saint Joseph, Je vous consacre aujourd’hui mon esprit ( signe de la croix sur le front), Mes paroles ( signe de la croix sur les lèvres), Mon corps ( signe de la croix sur la poitrine), Mon cœur ( signe de la croix sous l’épaule gauche), Et mon âme ( signe de la croix sous l’épaule droite), Afin que Votre Volonté puisse se faire à travers moi. Sacré Coeur de Jésus, Cœur Immaculée de Marie et Très Chaste Coeur de Saint Joseph, dans la Divine Volonté, je Vous consacre ma famille, ma maison et la Mission que vous avez sur moi maintenant et pour toujours dans les siècles des siècles. Amen !

Contact  Richard Rouleau

  Chant interprété par Robert Lebel, auteur-compositeur-interprète québécois. : « Frère André de la congrégation de la Sainte Croix

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