Question brûlante : n’y aurait-il que peu de gens à être sauvés ?

Posté par diaconos le 14 février 2021

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# Michel Houyoux enseigna la biologie, la chimie et la physique dans plusieurs établissements scolaires et instituts en Belgique et à l’étranger. Par arrêté royal du 26 novembre 1993, il reçut la décoration de Chevalier de l(Ordre de la Couronne en récompense de plus de trente années de service dans l’enseignement. Michel Houyoux est également diacre permanent dans le diocèse de Namur-Luxembourg, pour le doyenné de Florennes. (Belgique)

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« Seigneur n’y aurait-il que peu de gens à être sauvés ? »

Cette question redoutable qui fut posée à Jésus par ses disciples, nous est aussi adressée et nous met dans l’embarras. Comment parler du salut ? Comment concilier l’amour de Dieu pour tous les hommes sans exception et son respect de leur liberté ? Si tout le monde va au ciel, alors il ne faut pas s’en tracasser. Si très peu de personnes y vont, pourquoi faire tant d’efforts ? Dans l’Évangile selon Luc, au chapitre treize, Jésus renvoie chaque personne à la décision qu’elle doit prendre : Dieu sauve les hommes gratuitement.

Mais, il ne les sauve pas malgré eux, sans leur accord. Il leur laisse la liberté de s’opposer à son don bienveillant. Dieu nous laisse le choix, la liberté de refuser l’amour qu’il propose. Jésus veut nous rendre responsable de notre destin et pour nous le faire comprendre, il utilise une image très fréquente dans la Bible : le royaume de Dieu est comparable à une salle de festin. Mais, il ajoute : « Efforcez-vous d’entrer par la porte étroite, car, je vous le déclare, beaucoup essayeront d’entrer mais ils ne le pourront pas ! »

Il est donc urgent de nous poser la question : pour gagner le ciel, quel est donc mon combat à moi ? Sur quels points précis dois-je porter mon attention et me remettre en question ? Le temps presse, demain il sera trop tard. Oui, un jour pour toi, pour moi, il sera trop tard ! Combien de temps nous reste-t-il ? Il faudrait que nous vivions chaque jour comme si c’était le dernier. Pour aller à la fin de notre vie au ciel, il faut le vouloir, il faut se battre pour, il faut opter pour Jésus !

Ce n’est pas l’appartenance à un groupe, à une communauté, à une paroisse, ni la pratique de quelques rites, assister à la messe de temps en temps, qui peuvent nous donner une illusoire assurance, c’est l’engagement de toute notre personne à la 49 suite de Jésus. Et surtout ne jugeons pas les autres. Dans notre prière, demandons à Jésus de nous aider à lui redire oui. Au jugement, les méchants ne se lèveront pas, ni les pécheurs au rassemblement des justes. Le chemin que nous suivons, image de notre vie, s’il n’est pas fondé en Dieu est amené à disparaître de lui-même.

Le Seigneur connaît les hommes en qui sa parole a créé un lien de parenté avec lui. Moi, nous dit Jésus, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent. (Jn 10, 14) Toute sa vie, le juste rend grâce au Seigneur en produisant des fruits d’amour, de justice et de paix. Toute la vie des justes est placée sous le signe de l’amour infini de Dieu. Par opposition, le chemin du méchant est abandonné ; c’est un chemin fermé, sans issue et ne conduisant nulle part. N’entre pas dans la voie des méchants, des gens peu stables et sans principes.

Ne suit pas la route des gens habitués à une vie coupable comme ces pharisiens et ces scribes qui récriminaient contre Jésus. Ne suit pas les rieurs, ces personnes, dont l’esprit profane ne voit plus dans les textes sacrés que matière à plaisanterie. Le juste est comme un arbre planté près d’un ruisseau, qui donne du fruit en son temps. L’Esprit Saint est une eau vive qui rafraîchit et renouvelle notre vie intérieure. Pour celui qui croit en moi, dit Jésus, des fleuves d’eau vive jailliront de son cœur. (Jn 7, 38) Tout ce que le juste entreprend réussira.

Le succès ne sera pas toujours immédiat ni apparent ; mais ni les crises, ni sa vieillesse ne l’empêcheront de porter du fruit. (Psaume 1) Suivons les conseils de l’apôtre Paul : le Royaume des cieux s’aborde sur le mode de l’engagement. Il nous faut accomplir des actions concrètes avec un esprit d’amour pour y avoir accès. Pour tous, une seule question se pose : que devons-nous faire ? Cherchez à imiter Dieu, soyez pleins de générosité, de tendresse.

Faites disparaître de votre vie tout ce qui est amertume, emportement, colère, éclats de voix ou insultes, ainsi que toute espèce de méchanceté, pardonnez-vous les uns aux autres. Oui, levons-nous, marchons sur le chemin que Jésus nous a tracé en nous abreuvant chaque jour à sa parole. Alors notre feuillage demeurera vert et nous porterons des fruits de joie, de bonheur et de paix que nos frères seront heureux de venir cueillir. (Ep 4, 30-5,2) Les réponses données à cette question sont diverses.

C’est, selon Jean-Baptiste, des gestes de pénitence, de conversion :  » Produisez donc des fruits qui expriment votre conversion » (Lc 3,8) ; ou encore des prières :  » Les disciples de Jean jeûnent souvent et font des prières (Lc 5, 33). À ses auditeurs, Jean Baptiste donnait des conseils de partage fraternel (Lc 3, 11), de modération, de justice et de douceur (Lc 3, 13-14b), Aimer permet de passer par la porte étroite. Aimer c’est aussi nous réjouir de ce qui est, de ce qui peut ou doit changer… Demandons à Dieu de nous guider dans cet esprit.

Efforçons-nous donc d’entrer par la porte étroite, recommençant autant de fois que nécessaire, tout en étant confiants dans la miséricorde de Dieu. Il faut se sauver avant qu’il ne soit trop tard ; car au bout d’un certain temps, la porte étroite sera fermée, et les retardataires frapperont en vain, comme les vierges folles de la parabole. (Mt 25, 1-13) Retenons que c’est par notre manière de vivre que nous programmons notre salut avec la grâce de Dieu. Une vraie conversion doit se traduire par des actes et non seulement par un changement de mentalité ou de volonté.

Ces actes de la conversion sont à faire dans la vie sociale ou professionnelle : partager, accomplir son devoir d’état avec justice, ne pas profiter de sa situation. Le messie qu’annonça Jean Baptiste est avant tout un justicier, charger de trier les bons des mauvais :  » Il tient à la main la pelle à vanner pour nettoyer son aire à battre le blé. Il amassera le grain dans son grenier ; quant à la paille, il la brûlera dans un feu qui ne s’éteint pas.  » (Lc 3, 17) L’aire en Orient, était préparée et aplanie sur le champ même où l’on moissonnait.

On y foulait le blé au moyen de bœufs ou d’instruments propres à cet usage, puis on le vannait, la paille était rejetée sur le champ et brûlée, tandis que le grain était recueilli dans les greniers. Voir aussi à Mt 3, 11-12 et à Mc 1, 7-8 51 Cette séparation commence d’une manière intérieure et invisible, dès ici-bas, elle sera consommée plus tard et manifestée au dehors par l’exclusion des impies du royaume des cieux, représenté par le grenier.

Mais Jésus a récusé ce rôle, lui, l’ami des publicains et des pécheurs, sa fonction de juge ne s’est pourtant pas éclipsée : la Bonne Nouvelle de l’Évangile fait déjà le partage entre les personnes. Il y a celles qui en l’entendant changent leur vie et celles qui ne changent rien ou se contentent de bonnes intentions. Heureuses sont les personnes qui croient sans avoir vu. Nous ressemblons tous un peu à l’apôtre Thomas, resté incrédule devant l’annonce de la résurrection de Jésus. (Jn 20, 25) Mais lui ressemblons-nous pour affirmer avec lui que Jésus est notre Seigneur et notre Dieu ? (Jn 20, 28)

Thomas est pour nous la figure de l’homme incrédule. Les autres disciples ont bien vu le Christ ressuscité et ils ont cru qu’il est bien vivant. Par contre, Thomas a été le premier à reconnaître que Jésus, celui qui a ri et a bu le vin lors d’un mariage à Cana, qui a pardonné à la femme adultère, qui a pleuré sur la tombe de son ami Lazare, dont il a touché le corps labouré des cicatrices de sa passion (Jn 20, 27), celui là est Dieu.  » Mon Seigneur et mon Dieu », c’est le cri de foi de Thomas pour qui le toucher est devenu inutile. Il a compris que Jésus, même invisible, est là !

Il a compris que Jésus, invisible était là, présent, à l’heure de ses doutes. Qui est Jésus Christ pour toi ? Est-il l’idéal de ta vie, le moteur de ta générosité ? Jésus Christ est-il pour toi celui qui te révèle une religion d’amour, de pardon et de justice pour les plus petits ? Si Jésus Christ pour toi n’est que cela, quand ton idéal s’effritera, quand ta générosité diminuera et quand t’auront désabusé les mots d’amour, de pardon et de justice, tout s’écroulera !

Si Jésus n’est pas Dieu, ni sa mort, ni son pardon, ni la paix qu’il promet ne peuvent te sauver. Si Jésus n’est pas ressuscité, s’il n’est pas Dieu, alors notre foi est vaine ! (1 Corinthiens 15)

Diacre Michel Houyoux

Les deux voies    Éditions Croix du Salut ( 05.06.2013 )

 Les deux voies
7
EAN: 9783841698728
Langue du Livre: Français
By (author) : Michel Houyoux
Nombre de pages: 144
Publié le: 05.06.2013
Catégorie: Christianity

Détails du livre: ISBN-13

Les deux voiesLes deux voies

Choisis le chemin de la Vie. Pour être disciple de Jésus

Il nous faut marcher derrière lui, suivre le même chemin

Auteur le Diacre Michel Houyoux , publié le  5 juin 2013  Broché  Prix : 25, 80€

Pour acheter le livre, cliquez ici →Omni badge Les deux voies     Recevez-le par la poste.
€ 25,80

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Donnerstag der dritten Woche der gewöhnlichen Zeit – Ungerades Jahr

Posté par diaconos le 28 janvier 2021

Das von Ihnen verwendete Maß wird für Sie verwendet

Spruchkarten zur Nachfolge Jesu | Christliche sprüche, Bibel zitate, Sprüche

# Die Lampe ist ein Gleichnis, das von Jesus Christus gegeben wurde. Sie wird in drei Evangelien zitiert. Es ist das Bild der Menschen, die durch die Befolgung der Tugenden die Lichter der Welt sein sollen. Für Johannes Chrysostomus vertreibt das Licht die Finsternis des Bösen. Sie erhellt den Weg, sie vertreibt Fehler. Das Licht zu sein, das Haus zu erhellen, bedeutet, durch die Nachfolge der Bruderschaft zu arbeiten, um den Weg nach vorne zu zeigen. Für Bruder Elias verbindet sich das Licht mit der Flamme des Heiligen Geistes, die er bei der Taufe empfangen hat.

Sie muss uns dazu anleiten, unser ganzes Leben lang karitative Arbeit zu leisten und von dem guten Neuen zu sprechen, das kommt, um die Welt zu erleuchten. Benedikt XVI. zitiert Psalm 119, Vers 105 : « Dein Wort ist eine Leuchte für meine Füße und ein Licht für meinen Weg », und das Buch des Propheten Jesaja, Kapitel 58, Vers 10 : « Wenn du dem Hungrigen zu essen gibst und die bedürftige Seele sättigst, so wird dein Licht in der Finsternis aufgehen, und deine Dunkelheit wird sein wie der Mittag ».

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Aus dem Evangelium von Jesus Christus nach dem Heiligen Markus

Damals sagte Jesus zu der Menge : « Soll man die Lampe unter den Scheffel stellen oder unter das Bett ? Soll sie nicht auf den Leuchter gestellt werden ? Denn nichts ist verborgen, es sei denn, dass es offenbar werde ; nichts ist verborgen, es sei denn, dass es ans Licht komme. Wenn jemand Ohren hat zu hören, so höre er ! « Und er sagte wieder zu ihnen : « Achtet darauf, was ihr hört ! Das Maß, das Sie verwenden, wird auch für Sie verwendet werden, und es wird Ihnen noch mehr gegeben werden. Denn wer hat, dem wird gegeben werden ; und wer nicht hat, dem wird auch das, was er hat, genommen werden. »  (Mk 4,21-25)

Die Lampe unter den Scheffel gestellt

  »Soll die Lampe unter den Scheffel oder unter das Bett gestellt werden ? » Dieses Bild, das reich an verschiedenen Bedeutungen ist, kommt in den Evangelien häufig vor, zweifellos weil Jesus es in seinen Reden oft und in verschiedenen Anwendungen verwendet hat. Hier wollte Jesus seine Jünger lehren, dass sie das Wissen um die Wahrheiten seines Reiches, das er ihnen durch seine Gleichnisse vermittelte, nicht vor anderen verbergen, sondern ins Freie bringen sollten. Und das ist die Pflicht eines jeden Christen.

Ein ähnliches Wort findet sich bei Matthäus (Mt 10, 26), in einer anderen Anwendung. Jesus bestätigte mit anderen Worten, was er sagte. Denkt nicht, dass das, was ich euch jetzt im Verborgenen anvertraue, immer verborgen bleiben muss; ich zünde das Licht in euch an, damit es durch euren Dienst die Finsternis in der ganzen Welt vertreibt. (Erasmus)

Dieses Wort hat noch eine allgemeinere Bedeutung. Alles, was dem Menschen in dieser Welt verborgen bleibt, ist vor ihm verschleiert, um ihm eines Tages vollständig offenbart zu werden. Das geschieht allmählich in diesem Jahrhundert und wird vollendet sein, wenn das Licht auf alle Dinge scheint.

In dem Maße, in dem Sie all Ihre Sorgfalt darauf verwenden, das göttliche Wort zu hören, sich zu erinnern und zu praktizieren, in demselben Maße wird Gott Ihnen mehr Licht, mehr Gnaden gewähren; und er wird mehr hinzufügen.

Wenn du dagegen, zufrieden mit dem, was du hast, nicht mehr nach einer Vermehrung der Erkenntnis und des inneren Lebens strebst, wirst du das, was du hast, verlieren, es wird dir weggenommen werden, durch die Gewalt der Dinge und durch ein gerechtes Urteil Gottes.

Diakon Michel Houyoux

Links zu anderen christlichen Websites

◊  Licht unter Scheffel : klick hier, um den Artikel zu lesen → Gleichnis vom Licht der Welt

◊ Geo Lino : klick hier, um den Artikel zu lesen →  Redewendung: Sein Licht unter den Scheffel stellen

Marcel Malgo : « Ich bin das Licht der Welt » (Predigt)

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La Sainte Famille

Posté par diaconos le 3 janvier 2021

Sainte famille trinite coeur 2

 De nos jours le modèle familial est souvent malmené, la Sainte Famille nous apporte un message de bonheur : nous sommes tous appelés enfants de Dieu, appelés à partager la condition du Fils et à vivre de son Esprit. Le Christ est venu parmi nous pour nous révéler le visage du Père et il a fait de nous tous les enfants de Dieu. Comment vivre cette appartenance d’une manière concrète ?

Ne prions pas Dieu d’une façon machinale : s’adresser à Lui en lui disant « Notre Père », c’est le reconnaître père de tous et par conséquence, les accepter tous comme nos frères et nos sœurs, sans exclusive. Références dans la Bible : 1S 1, 20-28 ; Ps 84 ; 1 Jn 3, 1-24 ; Lc 2, 41-52 Nous sommes tous enfants de Dieu. .

La naissance de Samuel est signe de la volonté de Dieu de poursuivre son projet en dépit de tous les obstacles : de la femme stérile et humiliée naquit celui qui devint le garant de la fidélité du peuple au projet de Dieu à travers tous les bouleversements. Heureuses sont les personnes dont Dieu est la force car des chemins s’ouvrent dans leur cœur. Ces chemins sont les lois du Seigneur.

Sommes-nous conscients, que lorsque nous entrons dans une église pour prier, Jésus y est bien présent dans le Saint Sacrement, conservé dans le Tabernacle ? Si nous en étions vraiment convaincus, nous y viendrions plus fréquemment et nous y trouverions une véritable joie de pouvoir nous y recueillir et prier ce Christ, venu parmi nous pour notre Salut.

 Quel est le fondement de notre union à Dieu ? Nous sommes enfants de Dieu. (1 Jn 3, 1) Et à ce titre, nous participons à sa vie d’une façon qui défie l’imagination. Cette réalité doit se vivre dans le concret. C’est en étant fidèles aux commandements prescrits par Dieu et en faisant ce qui lui plait que nous nous comportons vraiment en enfant de Dieu :   » Voici son commandement : avoir foi en son Fils Jésus Christ et nous aimer les uns les autres comme il nous l’a commandé « . (1 Jn 3, 23) 

Ce n’est finalement pas très compliqué mais c’est exigeant. Dans ce passage de l’Évangile de Luc, nous y trouvons Jésus au début de l’adolescence, pleinement humain, menant une vie ordinaire dans une petite ville de Galilée. Mais cette page nous donne aussi un aperçu sur la profondeur de sa personne : celle d’une relation filiale et mystérieuse avec son Père des cieux, qui le livre tout entier à la réalisation de son  projet sur le monde.

Jésus faussa intentionnellement compagnie à ses parents lors du pèlerinage à Jérusalem. Aujourd’hui l’on dirait qu’il a fugué. Peut-on le définir fugueur quand on apprend qu’ils le retrouvèrent trois jours plus tard dans le temple, assis au milieu des docteurs de la Loi, les écoutant et leur posant des questions ?

La réaction de ses parents, lors des retrouvailles, révéla qu’ils  accusèrent le coup. Sa mère lui dit : « Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela,  vois comme nous avons souffert, en te cherchant, ton père et moi. » Et Jésus répondit :  » Comment se fait-il que vous m’avez cherché ? Ne le saviez-vous pas ? C’est chez mon Père que je dois être.  » ( Lc 2, 48-49 )

Ce fut sa première parole importante, rapportée par Luc dans son récit. Cette parole au début de son adolescence, nous révéler qu’il prit, très tôt, conscience de son identité profonde et de sa vocation. Pas plus qu’il n’appartint pas à ses parents, il fut pleinement Fils de Dieu dans son être, il se devait à son Père et à sa mission.

Tâchons de découvrir tout ce qu’il y a de positif dans les crises de croissance de nos enfants, encourageons-les à aller de l’avant, à ne pas craindre l’avenir, osons leur affirmer que nous avons confiance en eux et aidons-les à découvrir les appels que Dieu leur adresse. Confions-les à Dieu par notre prière fervente et reconnaissante. Dieu les considère avec un amour infini et gratuit. Il considère chacun chaque personne comme étant son enfant

Diacre Michel Houyoux

Rencontre avec la Parole de Vie

 Rencontre avec la Parole de Vie

Année B : Source d’Amour

Rencontre avec la Parole de VieAnnée B : Source d’Amour

         Éditions Croix du Salut ( 09.07.2012 )

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L’Avent de l’année A avait mis l’accent sur Abraham, le père des croyants. Celui de l’année B nous fera connaître le grand prophète Isaïe. Au cours de cette année liturgique, nous méditerons des extraits de l’Évangile de Marc et de Jean. En célébrant chaque année la liturgie de l’Avent, l’Église actualise cette attente du Sauveur. « Dieu est Amour. » Ces trois petits mots nous révèlent la vraie nature de Dieu. Noël nous invite à reconnaître Dieu venu habiter parmi nous. En recevant le baptême de Jean qui lie son sort à celui des pécheurs qu’il vient sauver, Jésus manifeste son amour pour tous et pour son Père qui l’envoie. C’est merveilleux ! Nous sommes tous regardés par Dieu avec bienveillance : un regard qui nous fait exister, un regard qui épanouit, stimule, entraîne, fortifie et dynamise. Il est grand et merveilleux l’amour dont le Père nous comble en son Fils, le Bon Pasteur . C’est tout au long de sa vie que Jésus s’est donné. Il a voulu que nous soyons appelés enfants de Dieu Aimer Dieu, aimer son prochain, nous aimer les uns les autres comme le Christ nous aime, aimer jusqu’au don de soi-même : telle est la demande su Seigneur.

Détails du livre:

ISBN-13: 978-3-8416-9809-4
ISBN-10: 3841698093
EAN: 9783841698094
Langue du Livre: Français
Auteur : Michel Houyoux
Nombre de pages: 252
Publié le: 09.07.2012
Catégorie: Christianisme

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Luce che si rivela ai popoli

Posté par diaconos le 29 décembre 2020

“Il Signore è come l’aria e la luce di  primavera ed estate”

# La Presentazione di Gesù al Tempio è un evento della vita di Gesù, come riportato nel Vangelo secondo Luca (Lc 2,22s). Adempiendo una prescrizione della legge ebraica: « Ogni primogenito maschio sarà consacrato al Signore » (Es 13,2,11-13) I suoi genitori lo presentarono e lo offrirono al Tempio di Gerusalemme. Lì è stato accolto dal vecchio Simeone. La festa cristiana associata viene celebrata quaranta giorni dopo Natale, cioè il 2 febbraio nel calendario gregoriano. Nelle Chiese d’Oriente si celebra anche il 2 febbraio nel calendario giuliano, che equivale al 14 febbraio nel calendario gregoriano. Il 2 febbraio è stato per lungo tempo una data importante per i contadini, che viene ricordata da un gran numero di proverbi. Questa data è tradizionalmente quella della Candelora, originariamente una festa pagana che celebra la luce, sostituita dalla festa cristiana. Questa festa è un tema anche nell’iconografia religiosa, sia nella pittura che nelle illuminazioni, nella scultura, nelle vetrate, negli arazzi, ecc. Si ispira a una scena descritta nel Vangelo secondo Luca II, 22-39, dove il figlio della Vergine Maria è annunciato da Simeone come il « Maestro » e « la luce che porterà la rivelazione ai pagani « 2 , cioè ai non ebrei.

Dal Vangelo di Gesù Cristo secondo San Luca

Quando fu compiuto il tempo prescritto dalla Legge di Mosè per la purificazione, i genitori di Gesù lo portarono a Gerusalemme per presentarlo al Signore, secondo quanto è scritto nella Legge: Ogni primogenito maschio sarà consacrato al Signore. Sono venuti anche per offrire il sacrificio prescritto dalla legge del Signore: una coppia di tortore o due colombe.

Ora c’era a Gerusalemme un uomo di nome Simeone. Era un uomo giusto e religioso, che aspettava la Consolazione di Israele, e lo Spirito Santo era su di lui. Aveva ricevuto dallo Spirito Santo l’annuncio che non avrebbe visto la morte finché non avesse visto Cristo, il Messia del Signore. Sotto l’azione dello Spirito, Simeone è venuto al Tempio.

Mentre i genitori presentavano il bambino Gesù per rispettare il rito della Legge che lo riguardava, Simeone lo accolse tra le braccia e benedisse Dio dicendo : « Ora, o maestro sovrano, lascia andare in pace il tuo servo, secondo la tua parola ». Perché i miei occhi hanno visto la salvezza che stavate preparando davanti ai popoli :  » una luce che si rivela alle nazioni e dà gloria al vostro popolo Israele. « 

Il padre e la madre del bambino erano sorpresi da ciò che si diceva di lui. Simeone li benedisse e disse a Maria sua madre : « Ecco, questo bambino porterà la caduta e l’ascesa di molti in Israele. Egli sarà segno di contraddizione – e la tua anima sarà trafitta con la spada: così si riveleranno i pensieri che vengono dal cuore di molti ». (Lk 2, 22-35)

Circoncisione e presentazione al tempio

I genitori di Gesù lo portarono al tempio per soddisfare i requisiti della legge sulla purificazione della madre e sulla consacrazione del primogenito. Offrivano il sacrificio dei poveri. Simeone. Quest’uomo giusto e pio, che aspettava la salvezza e aveva ricevuto la promessa di vederlo prima di morire, venne al tempio, guidato dallo Spirito, e accolse il bambino tra le sue braccia e benedisse Dio.

Simeone esprimeva i suoi sentimenti personali: poteva andarsene in pace, perché vedeva la salvezza; poi celebrava questa salvezza che Dio aveva preparato, e che era la luce dei gentili e la gloria di Israele. All’ammirazione del padre e della madre, Simeone rispose profetizzando la soluzione che il Messia fece, l’opposizione che incontrò, il grande dolore che causò alla madre. Lo scopo di queste dispense era la manifestazione di pensieri nascosti.

Giuseppe non doveva purificarsi, ma, come osserva il signor Godet, sarebbe stato responsabile, come capo famiglia, se la purificazione non fosse stata compiuta. La legge di Mosè prescriveva che dopo sette giorni di diffamazione legale e trentatré giorni di ritiro, la madre israelita doveva offrire un sacrificio per la sua purificazione.
E ogni primogenito del Signore dovrebbe essere interamente dedicato al suo servizio: ma la tribù di Levi era per questo servizio, che tutti i primogeniti delle altre tribù fossero riscattati in cambio di denaro, che il diritto divino fosse stabilito, e che il principe della casa dei padri ricordasse sempre il suo dovere.

La madre doveva offrire un agnello come olocausto e un giovane piccione o una tortora per il peccato; ma se non poteva permetterselo, poteva sostituire questo sacrificio con quello di due tortore o due giovani piccioni.

Luca ha menzionato solo quest’ultimo sacrificio, il sacrificio dei poveri, perché era il sacrificio di Maria. Già allora si compì una profonda parola di Paolo : « Conoscete infatti la grazia di nostro Signore Gesù Cristo: perché egli si è fatto povero per voi quando era ricco, perché con la sua povertà vi rendiate ricchi. « (2 Corinzi 8, 9).

Simeone è sconosciuto nella storia; il suo nome significa « realizzazione ». Era giusto e pio (questa parola ha anche il significato di prudente designato da questo termine bello e intimo : la consolazione di Israele.  Possiamo vedere dagli esempi di Simeone, Anna, Zaccaria, Giuseppe e altri che c’erano umili israeliti pronti ad accogliere il Signore in qualsiasi forma pietosa Dio abbia voluto mostrar loro.

Il sacerdozio ufficiale non ha accolto il Signore che, per la prima volta, è entrato nel suo tempio : « Bene, manderò il mio messaggero a fare la strada dritta davanti a me. E all’improvviso entrerà nel suo tempio, il Signore che voi aspettate ; è l’angelo dell’alleanza, chiamato dai vostri voti. Ecco, egli viene, dichiara il Signore, il Signore degli eserciti celesti.  » (Ml 3, 1)

Per sostituirlo si è formato un sacerdozio libero, rappresentato da Simeone e Anna. La fonte della vita religiosa di Simeone era chiaramente indicata. Era lo Spirito Santo che era sopra di lui. In quel momento solenne della sua vita ricevette una nuova misura di quello Spirito divino che gli comunicò il dono della profezia.

Il Cristo del Signore, un termine dell’Antico Testamento che significa l’Unto del Signore, il Salvatore che il Signore ha promesso al Suo popolo e che ha appena dato loro.  « Venne illuminato e guidato dallo Spirito, e fu per questo Spirito che riconobbe immediatamente il suo Salvatore nel piccolo bambino. Per lo Spirito che era in lui, Simeone divenne un profeta; non parlò più di sé, ma la sua mente fu innalzata a quella salvezza che Dio aveva preparato per tutti i popoli e che tutti vedranno.

E questa preparazione è avvenuta per secoli attraverso tutte le rivelazioni dell’antica alleanza. Questa grande salvezza destinata a tutti è divisa in due diversi flussi. Da un lato, è luce per illuminare le nazioni gentili, per la rivelazione delle nazioni che, per la rivelazione loro destinata, sono state immerse nelle tenebre più profonde; dall’altro, è stata la gloria del popolo d’Israele.

I genitori; sono stati benedetti nel nome di Dio. Le magnifiche promesse che hanno ascoltato sono riuscite a far nascere nei cuori di Giuseppe e Maria speranze carnali, piene di illusioni; Simeone le ha represse presentando loro l’aspetto doloroso del futuro riservato al loro bambino. Ha rivolto le gravi parole che sono seguite a Maria, personalmente, perché questa profezia la riguardava direttamente.

Il piano di Dio era determinato dalle opposte disposizioni di coloro a cui il Salvatore era stato inviato: per alcuni era un’occasione di caduta, per altri di ascesa. Ovunque la verità è presentata ad un’anima, il giudizio divino si esercita in essa; con la sua incredulità e il suo indurimento.

Ma la crisi potrebbe avere un esito completamente diverso: attraverso il pentimento, attraverso la fede, l’anima è salita alla pienezza della vita. I genitori; sono stati benedetti nel nome di Dio. Le magnifiche promesse che hanno ascoltato sono riuscite a far nascere nei cuori di Giuseppe e Maria speranze carnali, piene di illusioni ; Simeone le ha represse presentando loro l’aspetto doloroso del futuro riservato al loro bambino.

Ha rivolto le gravi parole che sono seguite a Maria, personalmente, perché questa profezia la riguardava direttamente. Il piano di Dio era determinato dalle opposte disposizioni di coloro a cui il Salvatore era stato inviato : per alcuni era un’occasione di caduta, per altri di ascesa. Ovunque la verità è presentata ad un’anima, il giudizio divino si esercita in essa; con la sua incredulità e il suo indurimento.

Ma la crisi potrebbe avere un esito completamente diverso: attraverso il pentimento, attraverso la fede, l’anima è salita alla pienezza della vita morale e spirituale. In questo doppio senso, la presenza del Salvatore è sempre stata un segno; e Simeone avvertiva che sarebbe stato preso come segno. Questa profezia si è letteralmente compiuta nella vita di Gesù, e quanto di più per i suoi più fedeli servitori.

È anche alla presenza della croce che si rivelano i pensieri del cuore, secondo la fede o l’incredulità, l’amore o l’odio per il Crocifisso.  I « pensieri del cuore rivelati » indicavano il motivo per cui Maria non poteva essere risparmiata da questo grande dolore.

Il diacono Michel Houyoux

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Fernando Armellini : « Epifania del Signore »

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