Sainte Catherine d’Alexandrie

Posté par diaconos le 2 décembre 2023

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Catherine d’Alexandrie fut une vierge et martyre qui a vécu au début du IVe siècle. Elle est aussi l’une des six saintes mégalomartyres de l’Église grecque orthodoxe. La tradition situe sa naissance à Alexandrie et data sa mort dans la même ville, à dix-huit ans en l’an 312, sous le règne de Maximilien II Daiâ. Elle fut très instruite compte tenu de son sexe et de son âge : à 18 ans, elle aurait converti plusieurs philosophes qui avaient été chargés par l’empereur de la faire renoncer à sa foi.

On croit qu’elle s’appelait Dorothée, et que le prénom Catherine lui fut donné parce qu’elle remporta, dit saint Jérôme, la triple couronne de la virginité, de la science, et du martyre. Sa légende et son culte se répandirent de l’Orient vers l’Occident et furent largement attestés après les croisades. Elle est la patronne des écoles de filles et des élèves de philosophie, et on la représente souvent appuyée sur une roue à demi rompue et teintée de sang.

Elle serait apparue à sainte Jeanne d’Arc, en compagnie de sainte Marguerite et de l’archange saint Michel. Surtout connue par Légende dorée de Jacques de Voragine, Catherine vint au monde en l’an 294 dans une famille noble d’Alexandrie en Égypte. Elle acquit rapidement des connaissances qui la placèrent au niveau des plus grands poètes et philosophes du moment. Catherine, fille du roi Costus, fut instruite dans tous les arts libéraux.

Un jour, elle vit une séance d’apostasie de chrétiens organisée par l’empereur Maximilien II Daïa : elle s’adressa à lui et discuta longuement avec lui, en utilisant diverses démonstrations des syllogismes, l’allégorie, la métonymie et en parlant de claire et mystique façon. Après un deuxième entretien, où Catherine tenta de convaincre l’empereur de l’existence du dieu unique des chrétiens, celui-ci constatant qu’il ne pourrait trouver de parade à la sagesse de Catherine, convoqua une assemblée de cinquante doctes grammairiens et rhéteurs, et leur promit d’immenses récompenses s’ils triomphaient par leurs raisonnements de la vierge argumentatrice

Les orateurs, amenés de diverses provinces, demandèrent pourquoi ils avaient été appelés de lieux aussi éloignés. L’empereur leur dit : «Il y a auprès de nous une jeune fille incomparable de bon sens et de sagesse, qui réfute tous les savants et affirme que nos dieux sont des démons. Si vous arrivez à l’emporter sur elle, vous rentrerez chez vous avec de grands honneurs.» En entendant cela, l’un d’eux, indigné, répondit d’une voix pleine de colère : «Belle décision pour un empereur.»

Pour un différend avec une seule fille, il fit venir de pays lointains les savants de ce monde, alors qu’un seul de nos jeunes élèves pourrait très certainement la confondre» La vierge, encouragée par un ange du Seigneur lui recommandant de résister avec constance, s’adressa à l’empereur devant les orateur : «Par quelle décision peux-tu placer une seule jeune fille devant cinquante orateurs à qui, en outre, tu as promis salaire en cas de victoire, alors que tu m’obliges à combattre sans espoir de récompense?»

Puis elle réussit à faire taire les orateurs par la pertinence de son argumentation et à les convertir. L’empereur les fit aussitôt brûler au milieu de la cité, puis séduit par sa jeunesse et son incroyable beauté, s’adressa ensuite à Catherine et lui proposa une place dans son palais, en second rang après la reine. Elle répondit : «Cesse de tenir de tels propos. Je me suis donnée comme épouse au Christ.

Rien ne pourra m’éloigner de l’amour que j’ai pour Lui» L’empereur la fit alors dévêtir, frapper à coups de croc de fer et jeter dans une prison obscure sans alimentation pendant douze jours. L’empereur dut s’absenter. La reine et Porphyre, général des armées, qui fut son amant, se rendirent dans la prison où ils virent des anges pansant les plaies de la vierge dans une lumière éclatante. Ils se convertirent avec les soldats de leur suite. Pendant les douze jours, le Christ envoya une colombe blanche qui nourrit la prisonnière d’un aliment céleste.

À son retour, l’empereur constata qu’elle était florissante, lui proposa une nouvelle fois d’être sa compagne, ce qu’elle refusa à nouveau car «Le Christ est mon Dieu, mon amour, mon berger et mon époux unique » Un préfet conseille alors un supplice féroce pour la vierge, afin que l’exemple de cette mort effraya les autres chrétiens : quatre roues entourées de scies de fer et de clous durent lui déchirer et broyer le corps.

Alors la vierge pria le Seigneur de détruire cette machine. Et voilà qu’un ange du Seigneur frappa et brisa cette meule avec tant de force qu’il tua quatre mille païens. La reine, son amant Porphyre et un nombre important de soldats, ayant avoué leur conversion, furent exécutés. L’empereur propose une dernière fois à Catherine de devenir son épouse, cette fois-ci impératrice. Elle refusa et l’empereur la condamna à être décapitée. Conduite au lieu d’exécution, elle pria Dieu et une voix se fit entendre «Viens, ma bien-aimée, ma belle Voilà la porte du ciel t’est ouverte». Quand elle fut décapitée, du lait jaillit de son cou en guise de sang.

Alors des anges prirent son corps, l’emportèrent jusqu’au mont Sinaï, à plus de vingt journées de voyage, et l’ensevelirent avec beaucoup d’honneurs. «De ses ossements s’écoule sans cesse de l’huile qui guérit les corps de tous les malades». Quelques siècles plus tard, des moines d’un monastère construit au pied du mont Sinaï découvrirent miraculeusement au sommet d’une montagne voisine le corps intact d’une belle jeune femme qui fut reconnu comme étant celui de sainte Catherine d’Alexandrie, déposé là par des anges.

Le monastère était placé d’abord sous le patronage de Notre-Dame, puis de la Transfiguration, avant de l’être sous le patronage de sainte Catherine au huitième siècle. Les moines du monastère Sainte Catherine du Sinaï devinrent gardiens du tombeau de la sainte. Les membres de l’Ordre de Sainte Catherine du Mont Sinaï eurent pour tâche de défendre le tombeau et le monastère contre les ennemis du christianisme.

Ce fut à l’occasion des Croisades que sa légende se répandit dans tout l’Occident, créant le motif d’une grande dévotion qui inspira de nombreux artistes. Ceux-ci représentèrent la sainte avec une auréole tricolore : le blanc pour la virginité, le vert pour la connaissance et le rouge pour le martyre. La roue de son supplice figure très souvent auprès d’elle. Une partie des reliques de la sainte furent transférées à l’abbaye Sainte Catherine du Mont par saint Syméon, moine du Sinaï qui mourut à Trèves en 1035 et qui passa à Rouen en l’an1058

Diacre Michel Houyoux → Vidéo Anaud Dumouche   https://youtu.be/vCkGunLI_xA?t=5

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Samedi de la trente quatrième semaine du Temps Ordinaire – Année A

Posté par diaconos le 2 décembre 2023

Samedi de la trente quatrième semaine du Temps Ordinaire – Année A dans Bible jmj%2BVeillez

# Le Maître de maison est une parabole de l’Évangile selon Marc. Jésus-Christ dit qu’il faut Veiller signifie suivre le Seigneur, choisir ce qu’il a choisi, aimer ce qu’il a aimé, conformer sa vie à la sienne; veiller comporte de passer chaque instant de notre temps dans l’horizon de son amour sans se laisser abattre par les inévitables difficultés et problèmes quotidiens

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : «Tenez-vous sur vos gardes, de crainte que votre cœur ne s’alourdisse dans les beuveries, l’ivresse et les soucis de la vie, et que ce jour-là ne tombe sur vous à l’improviste comme un filet ; il s’abattra, en effet, sur tous les habitants de la terre entière.

Restez éveillés et priez en tout temps : ainsi vous aurez la force d’échapper à tout ce qui doit arriver, et de vous tenir debout devant le Fils de l’homme.» (Lc 21, 34-36)

Veillez donc !

De ces grands événements futurs, Jésus ramena la pensée des disciples sur eux-mêmes et sur la vie morale et religieuse qui dut les y préparer. Deux pièges leur furent tendus : les voluptés charnelles qui appesantirent le cœur, et les soucis de la vie. Ce jour-là, le grand jour de l’avènement de Jésus qui  fut annoncé et qui, partout dans l’Écriture, nous est représenté comme inattendu, un objet d’universelle surprise : «Veillez donc, puisque vous ne savez ni le jour, ni l’heure. » (Mt 5, 13)

Jésus adressa ces paroles à ses disciples de tous les temps. Il voulut qu’ils attendirent ce jour-là dans une sainte vigilance, comme pouvant les surprendre à chaque instant ; de là l’ignorance dans laquelle Jésus les laissa à dessein sur le temps de sa venue : «Quant à ce jour et à cette heure-là, nul ne les connaît, pas même les anges dans le ciel, pas même le Fils, mais seulement le Père.» (Mc 13, 32)

L’Église primitive vivait dans l’attente du prochain retour de Christ et cette attente demeure la vraie disposition du chrétien, d’autant plus qu’il est dans l’incertitude de l’heure de sa mort.

La vigilance et la prière sont les deux grands moyens d’échapper aux dangers de la dernière épreuve et de subsister en présence du fils de l’homme.  « Veillez et priez, afin que vous ne tombiez pas dans la tentation; l’esprit est bien disposé, mais la chair est faible.» (Mt 26, 41) Quelle majesté il y eut dans cette parole, par laquelle celui qui est le fils de l’homme s’annonça comme le juge du monde !

Diacre Michel Houyoux

Complément

Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → ”Veillez donc, car vous ne savez pas quand le maître de la maison reviendra !” (Mc 13, 35a))

Liens avec d’autres sites Webchrétiens

Regnum Christi : cliquez ici pour lire l’article → Restez éveillés et priez en tout temps : ainsi vous aurez la force d’échapper à tout ce qui doit arriver

Histoire d’une foi : cliquez ici pour lire l’article → Restez éveillés et priez en tout temps» Luc 21, 36

Vidéo Tenez vous sur vos gardes → https://youtu.be/L1wMEBuUGSw

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Eerste adventszondag van het jaar B

Posté par diaconos le 1 décembre 2023

Eerste adventszondag van het jaar B dans Bible waak-en-bid


Advent is de periode die de weken beslaat die voorafgaan aan Kerstmis. Sinds het begin van dit liturgische seizoen is Advent de tijd van voorbereiding op de komst van Jezus Christus onder de mensen, dat wil zeggen zijn lichamelijke geboorte.In kerken die de Gregoriaanse kalender gebruiken, begint de Advent op de vierde zondag voor Kerstmis en markeert het het begin van het kerkelijk jaar. Advent begint daarom op zijn vroegst op 27 november en op zijn laatst op 3 december en eindigt op 24 december.


De Orthodoxe Kerken en de Oosterse Katholieke Kerken houden een periode van vasten en boetedoening in die overeenkomt met de Advent, maar deze term is pas recent in gebruik gekomen: deze liturgische periode van voorbereiding op Kerstmis wordt traditioneel de Geboortevasten genoemd.  Dit vasten duurt 40 dagen, terwijl het in de Latijnse ritus vier weken duurt en in de Ambrosiaanse en Mozarabische ritus zes weken. In de katholieke kerk en de meeste protestantse kerken is de liturgische kleur voor deze periode paars. Sommige Episcopalen en Lutheranen gebruiken echter blauw en sommige Byzantijnen gebruiken rood of wit.

Uit het Evangelie van Jezus Christus volgens Marcus


In die tijd zei Jezus tegen zijn leerlingen : « Waak er over, want jullie weten niet wanneer het uur komt. Want jullie weten niet wanneer het uur zal komen. Het is als een man die op reis gaat: als hij zijn huis verlaat, geeft hij alle macht aan zijn bedienden, wijst ieder zijn werk toe en vraagt de portier de wacht te houden.


Waak dus, want jullie weten niet wanneer de heer des huizes komt, of het avond is of middernacht, of de haan kraait of de morgen ; als hij plotseling komt, mag hij jullie niet slapend aantreffen. Wat ik hier tegen jullie zeg, zeg ik tegen iedereen : Waak » (Marcus 13: 33-37).


Waak en bid !


Jezus, ik wil een heilige advent beleven, ik wil ruimte voor U maken, ik wil U de tijd geven. Beschik over mij zoals U wilt, zodat ik alles kan zijn wat ik ben, alles wat U van mij vraagt, uit liefde voor U. Vandaag, op de eerste zondag van de Advent, begint de Kerk aan een nieuw liturgisch jaar. Het is de eerste zondag van het prachtige Adventseizoen dat de Kerk ons schenkt. Over vijfentwintig dagen zal onze Heer daar liggen, zo slapend in het stro, onder de contemplatieve blik van zijn heilige ouders.

Laten we een paar minuten stilstaan bij deze unieke nacht, om in stilte stil te staan bij onze God die een klein kind werd en in een kribbe lag. Jezus waarschuwt ons : « Wees op je hoede, waak, want je weet niet wanneer de tijd zal komen » (Mc 13,33). Er is inderdaad een beslissend moment in het leven. Wanneer komt het? We weten het niet. De Heer wilde zelfs niet onthullen wanneer het einde van de wereld zal komen.

Dit alles leidt ons uiteindelijk tot een houding van verwachting en bewustzijn : « Het kan plotseling komen en u slapend aantreffen. (Mc13, 36). De tijd van ons leven is een tijd van toewijding om te rijpen in ons vermogen om lief te hebben; het is geen tijd van plezier. Het is een tijd van toewijding, als een voorbereiding op de bruiloft in gemeenschap met God en zijn heiligen in het hiernamaals. Het is een voorbereiding op de bruiloft in gemeenschap met God en zijn heiligen in het hiernamaals.

Maar het leven begint en begint steeds opnieuw. Feit is dat we geconfronteerd worden met beslissende momenten: elke dag, elk uur of elke minuut kan misschien een beslissend moment worden. Veel of weinig, maar of het nu dagen, uren of minuten zijn : het is daar, op dat specifieke moment, dat de Heer op ons wacht. « In ons leven, in het leven van christenen, is de eerste bekering belangrijk, dat unieke moment dat iedereen zich herinnert wanneer we duidelijk ontdekken wat de Heer van ons vraagt, maar nog belangrijker en moeilijker zijn de bekeringen die volgen » (St José Maria).

In dit liturgische seizoen bereiden we ons voor om de grote Advent te vieren : de komst van onze Heer. Kerstmis: Moge elke dag van ons bestaan een geboorte zijn tot het leven van liefde! Misschien is de beste manier om wakker te worden wel om van ons leven een permanent Kerstfeest te maken. Moge onze Moeder, de Heilige Maagd Maria, over ons waken ! Jezus, dank U dat U me uitnodigt om dicht bij U te zijn in deze voortdurende waakzaamheid. Ik wil geen minuut verliezen om lief te hebben en me te verheugen in wat U van me vraagt om te leven. Ik vertrouw op U. Laat me alleen naar U verlangen!

Diaken Michel Houyoux


Aanvullingen Toevoegingen


Kinderwoorddienst : Klik hier om het artikel te lezen → 1e zondag van de Advent jaar B 2023

 Preken on line : Klik hier om het artikel te lezen → 1e zondag van de advent B – 2023


Video Pater Bernard De Cock : Klik hier om de video te zienhttps://youtu.be/x54zKJtV28o

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Vendredi de la trente-quatrième semaine du Temps Ordinaire – Année A

Posté par diaconos le 1 décembre 2023

 Vendredi de la trente-quatrième semaine du Temps Ordinaire – Année A dans Bible le-royaume-des-cieux-est-proche

 

# Le Royaume de Dieu est un concept théologique à dimension eschatologique du judaïsme et du christianisme ainsi que, dans une moindre mesure, de l’islam. Il reprend un concept plus ancien de royauté divine que l’on trouve dans le Proche-Orient ancien.

Le concept de Royaume de Dieu et l’annonce de sa venue forment le cœur de la prédication de Jésus de Nazareth. Dans le judaïsme ancien, l’élaboration de la notion de Règne de Dieu remonte aux Livre des Psaumes au travers desquels apparaît l’idée d’une royauté permanente et éternelle du Dieu d’Israël.

Cette royauté divine est associée au Temple qui figure la réplique terrestre du sanctuaire céleste. Pour le judaïsme du Ier siècle, la royauté appartient à Dieu dont les souverains terrestres ne sont que des représentants même temps que le lieu de la résidence du Dieu-Roi et de son culte terrestre.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, Jésus dit à ses disciples cette parabole : «Voyez le figuier et tous les autres arbres. Regardez-les : dès qu’ils bourgeonnent, vous savez que l’été est tout proche. De même, vous aussi, lorsque vous verrez arriver cela, sachez que le royaume de Dieu est proche. Amen, je vous le dis : cette génération ne passera pas sans que tout cela n’arrive. Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas.» (Lc 21, 29-33)

Le Royaume de Dieu est proche

L’évangile de Marc et celui de Matthieu ne parlent que du figuier ; Luc, qui connaissait moins bien la Palestine, ajouta : et tous les arbres. Or, la plupart des arbres de la Palestine ne perdant pas leurs feuilles en hiver ne peuvent guère servir à marquer la différence des saisons. Dans Matthieu et dans Marc on lit : « Quand ces choses arriveront, sachez qu’il est proche, à la porte », c’est-à-dire Jésus qui va paraître. Luc dit : le royaume de Dieu est proche ; il va être manifesté dans sa gloire, élevé à la perfection.

Luc, aussi bien que les deux premiers évangélistes, placèrent cette déclaration dans une partie du discours qui traite de l’avènement de Jésus, tandis que, selon son sens évident, elle ne peut concerner que la ruine de Jérusalem, qui eut lieu du vivant de la génération d’alors : «Et il parcourut toute la Galilée, proclamant l’Évangile dans leurs synagogues, et expulsant les démons.» (Mc 13, 39)

Dans les trois premiers évangiles, le discours prophétique de Jésus se termine par cette grande parole qui y met le sceau d’une autorité divine. Ce qui suit n’en est plus que l’application.

Ces mots : Le ciel et la terre passeront ne sont pas une supposition destinée à faire ressortir la perpétuité des paroles de Jésus ; ils annoncent une réalité, qui est en pleine harmonie avec la seconde partie de ce discours et avec tous les enseignements de l’Écriture : «Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n’était plus.» (Ap 21, 1)

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites Web chrétiens

Les méditations : cliquez ici pour lire l’article → Le royaume de Dieu est proche

Oraweb.net : cliquez ici pour lire l’article → Sachez interpréter les signes des temps

Vidéo Lectio Divina https://youtu.be/P6f0unReOaQ?t=3

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