Jeudi de la vingt-deuxième semaine du Temps Ordinaire -Année Paire

Posté par diaconos le 5 septembre 2024

Jeudi de la vingt-deuxième semaine du Temps Ordinaire -Année Paire dans Bible 20200903-01

Laissant tout, ils le suivirent

De l’Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là, la foule se pressait autour de Jésus pour écouter la parole de Dieu, tandis qu’il se tenait au bord du lac de Génésareth. Il vit deux barques qui se trouvaient au bord du lac ; les pêcheurs en étaient descendus et lavaient leurs filets. Jésus monta dans une des barques qui appartenait à Simon, et lui demanda de s’écarter un peu du rivage. Puis il s’assit et, de la barque, il enseignait les foules.

Quand il eut fini de parler, il dit à Simon : «Avance au large, et jetez vos filets pour la pêche.» Simon répondit : «Maître, nous avons peiné toute la nuit sans rien prendre ; mais, sur ta parole, je vais jeter les filets.» Et l’ayant fait, ils capturèrent une telle quantité de poissons que leurs filets allaient se déchirer.

Ils firent signe à leurs compagnons de l’autre barque de venir les aider. Ceux-ci vinrent, et ils remplirent les deux barques, à tel point qu’elles enfonçaient. À cette vue, Simon-Pierre tomba aux genoux de Jésus, en disant : «Éloigne-toi de moi, Seigneur, car je suis un homme pécheur.» 

En effet, un grand effroi l’avait saisi, lui et tous ceux qui étaient avec lui, devant la quantité de poissons qu’ils avaient pêchés ; et de même Jacques et Jean, fils de Zébédée, les associés de Simon.

Jésus dit à Simon : «Sois sans crainte, désormais ce sont des hommes que tu prendras.» Alors ils ramenèrent les barques au rivage et, laissant tout, ils le suivirent. (Lc 5, 1-11)

Pêcheur d‘hommes

# Le terme de pêcheur d’hommes est, selon l’Évangile selon Luc, celui qu’utilisa Jésus-Christ avant d’être ressuscité, au bord du lac de Génésareth. Il exhorta ainsi ses disciples à jeter leurs filets pour convertir les gens. Il faut se référer à la première pêche miraculeuse ainsi qu’à la deuxième pêche miraculeuse pour comprendre la métaphore évoquée par Jésus.  Benoît XVI, en s’adressant aux évêques, précisa que les termes pêcheur d’hommes désignent le fait qu’il faut jeter les filets de l’Évangile afin que nous adhérions au Christ, pour nous tirer hors des eaux salées de la mort et de l’obscurité dans laquelle la lumière du ciel ne pénètre pas.

Grégoire le Grand, quelques siècles plus tôt, aborda le sujet dans son homélie 24 consacrée entièrement au deuxième épisode de la pêche. Il y précisa qu’après la conversion, après avoir été pris dans les filets, il ne faut pas revenir aux péchés, mais suivre les vertus. Être pêcheur d’hommes consiste à faire suivre une vie meilleure à son prochain. La foi en Jésus-Christ se réfère à l’histoire de Jésus de Nazareth, Juif de Galilée, qui apparut au premier siècle dans le cercle de Jean le Baptiste avant de s’engager, s’entouré de quelques disciples, dans une carrière de prédication itinérante d’un à deux ans et demi, essentiellement en Galilée, en pratiquant guérisons et exorcismes.

Il suscita engouement et ferveur, s’attirant la méfiance des autorités politiques et religieuses, avant d’être arrêté, condamné et crucifié vers l’an 30à Jérusalem pendant la fête juive de la Pâque, sous l’administration du préfet Ponce Pilate. Le Papyrus P52, recto. Daté de la première moitié du deuxième siècle, ce document qui contient deux passages de l’Évangile selon Jean est le plus ancien exemplaire connu du Nouveau Testament.

Dans les premières décennies qui suivent la mort de Jésus de Nazareth vers 30, ses disciples se constituèrent en petites communautés autour de deux croyances : celle que Jésus fut le messie attendu par les juifs, et celle qu’il ressuscita et apparut à un certain nombre de témoins. Ce mouvement des disciples de Jésus, par ses croyances en la messianité et la résurrection de Jésus, constitua alors une secte particulière au sein du judaïsme. La foi en Jésus-Christ fut marquée dès ses débuts par la prédication de Paul de Tarse, l’apôtre des gentils qui ne connut pas pas Jésus, mais qui affirma l’avoir vu après sa résurrection.

Le Messie médiateur et rédempteur Le Messie (de l’hébreu מָשִׁיחַ —mashia’h) désigna dans le judaïsme l’oint du Seigneur, personne consacrée par le rituel de l’onction effectué par un prophète. Christos est, en grec, une traduction littérale du mot mashia’h utilisé dans la Septante.

Les soucis du siècle et la séduction des richesses

Être pêcheur d’hommes consiste à faire suivre une vie meilleure à son prochain. La foi en Jésus-Christ se réfère à l’histoire de Jésus de Nazareth, Juif de Galilée, qui apparut au premier siècle dans le cercle d  Jean le Baptiste avant de s’engager, entouré de quelques disciples, dans une carrière d  prédication itinérante d’un à deux ans et demi, essentiellement en Galilée, en pratiquant guérisons e  exorcismes. Il suscita engouement et ferveur, s’attirant la méfiance des autorités politiques et religieuses, avant d’être arrêté, condamné et crucifié vers l’an 30 à Jérusalem pendant la fête juive de la Pâque, sous l’administration du préfet Ponce Pilate.

Le Papyrus P52, recto. Daté de la première moitié du deuxième siècle, ce document qui contient deux passages de l’Évangile selon Jean est le plus ancien exemplaire connu du Nouveau Testament. Dans les premières décennies qui suivent la mort de Jésus de Nazareth vers 30, ses disciples se constituèrent en petites communautés autour de deux croyances : celle que Jésus fut le messie attendu par les juifs, et celle qu’il ressuscita et apparut à un certain nombre de témoins. Ce mouvement des disciples de Jésus, par ses croyances en la messianité et la résurrection de Jésus, constitua alors une secte particulière au sein du judaïsme.

La foi en Jésus-Christ fut marquée dès ses débuts par la prédication de Paul de Tarse, l’apôtre des gentils qui ne connut pas pas Jésus, mais qui affirma l’avoir vu après sa résurrection. Le Messie médiateur et rédempteur Le Messie désigna dans le judaïsme l’oint du Seigneur, personne consacrée par le rituel de l’onction effectué par un prophète.

Christos est, en grec, une traduction littérale du mot mashia’h utilisé dans la Septante. « D’autres personnes qui reçoivent la semence parmi les épines, ce sont celles qui entendirent la parole  » (Mc 4, 18)

Les épines représentèrent d’après Matthieu les soucis du siècle et la séduction des richesses ; à ces deux causes de stérilité Luc ajouta les voluptés de la vie et Marc les convoitises des autres choses, ou les autres genres de convoitises.

Une seule de ces passions, persistant dans le cœur, suffisait pour étouffer la parole et la rendre infructueuse. Combien plus quand plusieurs ou toutes entrant dans le cœur étoufferont ensemble la parole. Ils ne l’entendirent pas une seule fois.

Mais souvent, depuis longtemps, ce qui fit qu’en eux la semence eut le temps de grandir, de donner les plus belles espérances et ce ne fut que plus tard que les épines grandissant aussi, l’étouffèrent Les fruits de la semence avec les fruits de la parole dans la vie religieuse et morale de ceux qui l’ont entendue, a quelque chose de solennel et de frappant. 

Jésus il leur disait : « Apporte-t-on la lampe pour la placer sous le boisseau ou sous le lit ? N’est-ce pas pour la placer sur le pied de lampe ? » (Mc 19, 22)  Cette image, riche en significations diverses, revient fréquemment dans les évangiles de Matthieu et de Luc, parce que Jésus l’employait souvent dans ses discours, et cela, dans des applications différentes.

Ici il voulut enseigner à ses disciples que la connaissance des vérités de son royaume, qu’il leur communiqua par ses paraboles, ils ne durent pas la cacher à d’autres mais la publier au grand jour. Et tel est le devoir de chaque chrétien. 

« Ne pensez pas que ce que je vous confie maintenant en secret, doive rester toujours caché ; j’allume en vous la lumière, afin que, par votre ministère, elle dissipe les ténèbres dans le monde entier. » (Erasme)

Cette parole a même une portée plus générale. Tout ce qui reste caché à l’homme dans ce monde ne lui est voilé que pour lui être un jour pleinement révélé. « Cela a lieu graduellement dans le siècle présent et s’accomplira pleinement quand la lumière éclairera toutes choses » (1 Co. 4-5)- Bengel

Diacre Michel Houyoux

Sites Chrétiens pour tous

Catholic for live → 

Jean Jaques Sanza → Venez à ma suite, et je vous ferai pêcheurs d’hommes

Opus dei : cliquez ici pour lire l’article → Convaincre sans vouloir vaincre : dix clés pour communiquer la foi

Vidéo 

Pasteurs Laurence Blondeau et Louis Pernot → https://youtu.be/W7Cu-jfoaSU

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Twenty-second Sunday in Ordinary Time – Year B

Posté par diaconos le 4 septembre 2024

The Mighty Miracles Of Jesus: Jesus Heals A Deaf, Mute Man | Osprey ...

Healing of a deaf-mute

From the Gospel of Jesus Christ according to Mark

At that time Jesus left the province of Tyre, passing through Sidon and heading for the Sea of Galilee, came into the territory of the Decapolis. Some people brought him a deaf man who also had difficulty speaking, and begged Jesus to lay his hand on him.Jesus took him aside, away from the crowd, put his fingers in his ears and touched his tongue with his saliva. Then, looking up to heaven, he sighed and said to him ; ‘Effata’, that is, ‘Open up’.

His ears opened, his tongue was loosened, and he spoke correctly.Then Jesus ordered them But the more he commanded them, the more they proclaimed it. They were amazed and said : ‘He has done all things well: he makes the deaf to hear and the dumb to speak’. (Mk 7, 31-37)

Healing of a deaf-mute

When Jesus had left Tyre, he returned to the sea by way of the Decapolis. They brought him a deaf-mute and asked him to lay his hands on him. Jesus drew him out of the crowd, touched his ears and tongue, and raising his eyes to heaven, he said with a sigh, ‘Effata !’  The cripple was completely healed. Jesus forbade those present to tell of this miracle, but the more he forbade them, the more they published it. In extreme astonishment, they cried out : ‘He has done everything well !’ 

Jesus had advanced to the northern limits of Galilee, where the territory of Tyre began. Now, instead of immediately retracing his steps, he made a diversion further north, to Sidon Others heard him go through the territory of Sidon to return to the Sea of Galilee, crossing Lebanon in the direction of Damascus and then crossing the Decapolis. Mark does not say why Jesus chose this route. On this long journey through pagan country, he spoke regularly with his disciples. The Decapolis was a vast region beyond the Jordan, north-east of Galilee.

He had to withdraw at the request of the inhabitants, but left behind a witness to his power : ‘Then they began to beg Jesus to leave their territory.’ As Jesus got back into the boat, the possessed man begged him to be allowed to be with him. He did not consent, but said to him, ‘Go home to your family and tell them all that the Lord has done for you in his mercy. (Mk 5, 17-19) Jesus took the deaf-mute aside to be alone with the sick man, to enter into a personal relationship with him and to leave him with a deeper impression of his healing ?

The Gospel presents a number of similar events. Usually, Jesus healed only by word of mouth. What could be his aim in doing otherwise ? Some think that he wanted to make up for what was lacking in the patient’s faith; to encourage him by showing him that he cared for him with interest. Others suppose that he had in mind the witnesses to the cure and accommodated himself to their ideas about the efficacy of certain means, in order to prevent them from becoming superstitious about the miracle.

However, it must be pointed out with Olshausen that, even where Jesus did not heal by word alone, he never used means that were foreign to his person; in him resided exclusively the divine power that restored health to the sick and even life to the dead. This miracle was performed with great solemnity. Jesus, as he often did, raised his eyes to heaven, where his gaze sought all light and power from God. He sighed, either as he lifted up his ardent prayer to God, or because of the pain he felt as he took upon himself his infirmity.

Finally, he uttered the powerful word that restored to this unfortunate man the use of hearing and speech : Ephphatha ! (open up !)

Deacon Michel Houyoux

Links to other Christian sites

◊  Loyola Press : click here to read the paperTwenty-Second Sunday of Ordinary Time, Cycle B

Catholic Productions : click here to read the paperThe Twenty-second Sunday in Ordinary Time, Year B

Video  Chad Bird : click here to watch the video → https://youtu.be/zCazkCRqaZU

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Mercredi de la vingt-deuxième,semaine du Temps Ordinaire -Année Paire

Posté par diaconos le 4 septembre 2024

BD, visuels et diaporamas : Guérison de la belle mère de Pierre - KT42 ...

Capharnaüm la ville où Jésus recruta ses premiers disciples

# Capharnaüm est un village de pêcheurs de l’ancienne province de Galilée, sur la rive nord-ouest du lac de Tibériade (ou lac de Génézareth, ou mer de Galilée) au nord de l’État d’Israël. Sous la dynastie des Hasmonéens, ce village faisait de 6 à 10 hectares et sa population avoisinait les 1 700 personnes.

Capharnaüm était lié à la lecture de l’évangile selon Saint-Marc, sur l’attroupement lors de la venue de Jésus Actuellement, il s’agit d’une grande ville de commerce. Le site fut occupé au IIIe millénaire av. J.-C. et à l’âge du bronze (moyen et récent). Après une période d’abandon à l’âge du fer, le site fut occupé à nouveau au Ve siècle av. J.-C. Une cité fut fondée au début de la dynastie hasmonéenne de Judée, car les monnaies les plus anciennes retrouvées sur le site datent du IIe siècle av. J.-C.

Elle était située près de la frontière de la province de Galilée, sur un embranchement de la route commerciale appelée Via Maris. À l’époque du récit de l’Évangile, Capharnaüm comprenait un poste de douane et une petite garnison romaine commandée par un centurion, ce qui expliqua la présence de l’apôtre Lévi, dit Matthieu, qui avait un bureau d’où il prélevait la taxe maritime sur les pêches et la taxe frontalière sur les marchandises.

Capharnaüm est citée seize fois dans les évangiles, ce qui en fait le lieu le plus cité après Jérusalem : « Lorsque Jésus entendit que Jean avait été jeté en prison, il revint en Galilée. En quittant Nazareth, il se rendit à Capharnaüm, situé à proximité du lac, dans la région de Zabulon et de Naphtali et il y séjourna, se fixant dans la maison de Pierre à partir duquel il rayonna durant son ministère. 

Bourgade de pêcheurs et de paysans ne comptant pas plus de 1 000 habitants, les juifs pieux (comme en atteste la découverte archéologique de récipients de type hérodien destinés aux purifications rituelles) fréquentant la synagogue et proches de la tradition ancestrale furent peu réceptifs à la parole de Jésus qui maudit le village : « Et toi, Capharnaüm, seras-tu donc élevée jusqu’au ciel ? Non, tu descendras jusqu’au séjour des morts !x

Bethsaïde (bourgade voisine de Capharnaüm au bord du lac de Tibériade, mais située de l’autre côté du Jourdain) est présentée dans le Nouveau Testament comme ville d’origine des apôtres Pierre et de son frère André, de Philippe et semble avoir un lien avec Nathanaël. Au IIe siècle, après la destruction de Jérusalem et l’interdiction à tous Juifs d’y pénétrer, Capharnaüm est peuplée de Juifs nazôréens et d’artisans venus du reste de l’Empire byzantin. Il y a 1 500 habitants au Ve siècle[réf. nécessaire]. Une église byzantine est construite sur les restes de ce qui est appelé « la maison de saint Pierre », dont on remarque encore les vestiges.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

    En ce temps-là, Jésus quitta la synagogue de Capharnaüm et entra dans la maison de Simon. Or, la belle-mère de Simon était oppressée par une forte fièvre, et on demanda à Jésus de faire quelque chose pour elle. Il se pencha sur elle, menaça la fièvre, et la fièvre la quitta. À l’instant même, la femme se leva et elle les servait. Au coucher du soleil, tous ceux qui avaient des malades atteints de diverses infirmités les lui amenèrent. Et Jésus, imposant les mains à chacun d’eux, les guérissait. Et même des démons sortaient de beaucoup d’entre eux en criant : « C’est toi le Fils de Dieu ! »

Mais Jésus les menaçait et leur interdisait de parler parce qu’ils savaient, eux, que le Christ, c’était lui.     Quand il fit jour, Jésus sortit et s’en alla dans un endroit désert. Les foules le cherchaient ;
elles arrivèrent jusqu’à lui, 
et elles le retenaient pour l’empêcher de les quitter. Mais il leur dit : « Aux autres villes aussi, il faut que j’annonce la Bonne Nouvelle du règne de Dieu, car c’est pour cela que j’ai été envoyé. »  Et il proclamait l’Évangile dans les synagogues du pays des Juifs. (Lc 4,38-44)

  Jésus guérit la belle-mère de Pierre

Le royaume de Dieu se réfère à la manière dont Dieu désire que les choses soient accomplies maintenant. Par des versets précédant ce texte de l’évangile de Luc, Jésus décrit le royaume de Dieu : Jésus est venu proclamer la bonne nouvelle aux pauvres, guérir ceux qui ont le cœur brisé, prêcher la délivrance à ceux retenus captifs par le péché ou la maladie, pour que les aveugles recouvrent la vue, et pour renvoyer libres ceux que les blessures passées ont opprimés.

Il est venu annoncer une année de pardon et de restauration à tous ceux qui croiraient en lui et recevraient son message. Jésus est venu déclarer la volonté de Dieu, ses voies, et la méthode par laquelle il agit.Lorsque Jésus a dit : «Je dois prêcher le royaume de Dieu», il voulait dire que le royaume de Dieu allait remplacer le royaume de Satan pour les personnes qui le recevraient.

Si vous avez reçu Jésus-Christ comme votre Sauveur et que vous avez fait de lui le Seigneur de votre vie, vous devez prendre exemple sur sa méthode et sur ses principes. Et agir selon sa parole et ses commandements tous les jours.Cela implique de passer du temps à lire et méditer la parole de Dieu, au point d’en être imprégné et d’être dirigé par cette parole de vie. Vous apprendrez ainsi comment son royaume opère. En agissant de la sorte, vous y participerez et permettrez que son règne vienne.

Si vous ne connaissez pas encore Jésus, la porte est grande ouverte. Il ne rejettera jamais celui qui vient à lui (Jean 6, 37). Le royaume de Dieu est la justice, la paix et la joie par le Saint-Esprit. Celui qui sert Christ de cette manière est agréable à Dieu et approuvé des hommes. (Rm 14.17-18)

Aujourd’hui, prenez le temps de considérer vos voies afin de voir si vous opérez selon la méthode de Jésus. S’éloignant de nos indifférences, la peine des autres devient aussi parfois la nôtre, jusqu’à nous demander comment l’apaiser en devenant des acteurs de plus grande humanité.

Ce matin, la Parole nous rejoint là où nous sommes mais surtout, là où nous en sommes. Peut-être êtes-vous confrontés à l’inquiétude, née de ces fièvres physiques ou psychologiques, créant une forme de frontière entre un avant et un après ; une inquiétude se dessine alors dans votre vie. Regardons la mère de Simon ; guérie, elle se mit immédiatement à servir. L’idée du service est une réelle chance pour guérir de nos maux et regarder autrement.

En lisant les Écritures, il apparaît du reste clairement que la proposition de l’Évangile ne consiste pas seulement en une relation personnelle avec Dieu. Et notre réponse d’amour ne devrait pas s’entendre non plus comme une simple somme de petits gestes personnels en faveur de quelque individu dans le besoin, ce qui pourrait constituer une sorte de charité à la carte, une suite d’actions tendant seulement à tranquilliser notre conscience. La proposition est le Royaume de Dieu (Lc 4, 43).

il s’agit d’aimer Dieu qui règne dans le monde. Dans la mesure où il réussira à régner parmi nous, la vie sociale sera un espace de fraternité, de justice, de paix, de dignité pour tous. Donc, aussi bien l’annonce que l’expérience chrétienne tendent à provoquer des conséquences sociales.

Cherchons son Royaume : «Cherchez d’abord son Royaume et sa justice, et tout cela vous sera donné par surcroît» (Mt 6, 33). Le projet de Jésus est d’instaurer le Royaume de son Père ; il demande à ses disciples : «Proclamez que le Royaume des cieux est tout proche » (Mt 10, 7)

Sites chrétiens pour tous

 Ministère de l’Alliance →La Bonne Nouvelle du Royaume – Le ROYAUME de DIEU

La Salle (France)→ Aux autres villes aussi, il faut que j’annonce la Bonne Nouvelle

♥ Vidéo Pasteur Marc Pernot cliquez icihttps://youtu.be/3M9IBnnpDvI?t=2

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Ventiduesima domenica del Tempo Ordinario – Anno B

Posté par diaconos le 3 septembre 2024

Gesù disse: "E’ lecito o no guarire di sabato?"

Gesù guariva solo per via orale.

Dal Vangelo di Gesù Cristo secondo Marco

In quel tempo, Gesù, lasciata la provincia di Tiro, passando per Sidone e dirigendosi verso il mare di Galilea, giunse nel territorio della Decapoli. Alcuni gli portarono un uomo sordo, che aveva anche difficoltà a parlare, e supplicarono Gesù di imporgli la mano. Gesù lo prese in disparte, lontano dalla folla, gli mise le dita negli orecchi e gli toccò la lingua con la saliva. Poi, alzando gli occhi al cielo, sospirò e gli disse : “Effata”, cioè “Apri”Le orecchie si aprirono, la lingua si sciolse ed egli parlò correttamente. Poi Gesù ordinò loro Ma più glielo ordinava, più essi lo proclamavano. Erano stupiti e dicevano : “Ha fatto bene ogni cosa: fa udire i sordi e fa parlare i muti”. (Mc 7, 31-37)

Guarigione di un sordomuto

Quando Gesù lasciò Tiro, tornò al mare passando per la Decapoli. Gli portarono un sordomuto e gli chiesero di imporgli le mani. Gesù lo trasse fuori dalla folla, gli toccò le orecchie e la lingua e, alzando gli occhi al cielo, disse con un sospiro : “Effata !”. Lo storpio era completamente guarito. Gesù proibì ai presenti di raccontare questo miracolo, ma più glielo proibiva, più lo pubblicavano. Con estremo stupore, gridavano : “Ha fatto bene ogni cosa!”.Gesù era avanzato fino ai confini settentrionali della Galilea, dove iniziava il territorio di Tiro.

Ora, invece di tornare subito sui suoi passi, fece una deviazione più a nord, attraverso Sidone, o, come altri hanno inteso, attraverso il territorio di Sidone, per tornare al mare di Galilea, attraversando il Libano in direzione di Damasco, e poi attraversando la Decapoli. Marco non dice perché Gesù abbia scelto questa strada. Durante questo lungo viaggio attraverso il paese pagano, egli parlava regolarmente con i suoi discepoli. La Decapoli era una vasta regione al di là del Giordano, a nord-est della Galilea.

Gesù si era avvicinato una volta a questa regione; aveva dovuto ritirarsi su richiesta degli abitanti, ma aveva lasciato lì una testimonianza del suo potere : “Allora cominciarono a pregare Gesù di lasciare il loro territorio”. Mentre Ges risaliva sulla barca, l’indemoniato lo pregò di poter stare con lui. Egli non acconsentì, ma gli disse : “Va’ a casa tua dalla tua famiglia e racconta loro tutto quello che il Signore ha fatto per te nella sua misericordia”. (Mc 5,17-19) Gesù prese in disparte il sordomuto per rimanere solo con il malato, per entrare in un rapporto personale con lui e per lasciargli un’impressione più profonda della sua guarigione ? Il Vangelo presenta una serie di fatti simili. Di solito,

Gesù guariva solo per via orale.

 Quale poteva essere il suo scopo nel fare altrimenti ? Alcuni pensano che volesse compensare ciò che mancava alla fede del paziente; incoraggiarlo mostrandogli che si prendeva cura di lui con interesse. Altri suppongono che avesse in mente i testimoni della guarigione e si adattasse alle loro idee sull’efficacia di certi mezzi, per evitare che diventassero superstiziosi riguardo al miracolo. Tuttavia, va notato con Olshausen che, anche quando Gesù non guarì con la sola parola, non usò mai mezzi diversi dalla sua persona; nella sua persona risiedeva esclusivamente il potere divino che restituiva la salute ai malati e persino la vita ai morti.

Questo miracolo fu compiuto con grande solennità. Gesù, come spesso faceva, alzò gli occhi al cielo, dove il suo sguardo cercava tutta la luce e la potenza di Dio. Sospirò, sia per la preghiera ardente che rivolgeva a Dio, sia per il dolore che provava nel prendere su di sé la sua infermità. Infine, pronunciò la parola potente che restituì a questo sventurato l’uso dell’udito e della parola : Ephphatha (apri!).

Il diacono Michel Houyoux


Link ad altri siti cristiani

Conferenza Episcopale Italiana : clicca qui per leggere l’articolo → XXII DOMENICA DEL TEMPO ORDINARIO – ANNO B

Maranatha : clicca qui per leggere l’articolo → Liturgia della XXII Domenica del Tempo Ordinario – Anno B

Video Padre Fernando Armellini : clicca qui → https://youtu.be/j_SlcexKBHo

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