Venticinquesima domenica del Tempo Ordinario – Anno B

Posté par diaconos le 17 septembre 2024

Gesù ci insegna come evangelizzare - Veritatemincaritate

 Gesù insegna ai suoi discepoli

Dal Vangelo di Gesù Cristo secondo Marco

In quel tempo, Gesù andava per la Galilea con i suoi discepoli e non voleva che nessuno lo sapesse, perché insegnava ai suoi discepoli, dicendo loro : “Il Figlio dell’uomo viene consegnato nelle mani degli uomini ; lo uccideranno e tre giorni dopo la sua morte risorgerà”. Ma i discepoli non capivano queste parole e avevano paura di interrogarlo. Quando arrivarono a Cafarnao, Gesù chiese loro in casa : ambino, lo pose in mezzo a loro, lo baciò e disse loro : “Chi accoglie un bambino come questo nel mio nome, accoglie me. E chi accoglie me non accoglie me, ma Colui che mi ha mandato”.

 Gesù insegna ai suoi discepoli

Dopo aver lasciato Cesarea di Filippo, Gesù attraversò la Galilea, cercando di rimanere sconosciuto per poter insegnare ai suoi discepoli la sua imminente morte e risurrezione. Essi non capivano e non osavano interrogarlo. Chi era il più grande ? A Cafarnao, Gesù chiese loro di cosa avessero parlato durante il cammino. Essi tacquero, confusi. Gesù disse loro solennemente che chi voleva essere il primo sarebbe stato l’ultimo, il servo di tutti. Mise le braccia intorno a un bambino e disse : “Chi accoglie uno di questi piccoli accoglie lui e accoglie Dio”.

Gesù ha detto : “Sarebbe meglio essere gettato nel mare con una macina da mulino al collo che offendere uno di questi piccoli che credono in me”. La mano, il piede, l’occhio devono essere sacrificati, se sono occasione di caduta, per non cadere nella Gehenna dove il verme non muore, dove il fuoco non si estingue. Ogni persona sarà salata con il fuoco, così come ogni sacrificio deve essere salato con il sale. Il sale è buono finché non perde il suo sapore; cerchiamo di avere sale in noi stessi e di rimanere in pace gli uni con gli altri”. Quando furono partiti da lì, passarono per la Galilea, ed egli non voleva che nessuno lo sapesse.

Gesù stava insegnando ai suoi discepoli e disse loro : “Il Figlio dell’uomo sarà consegnato nelle mani degli uomini; lo uccideranno e tre giorni dopo la sua morte risorgerà”. (Mc 9, 31) Ma essi non compresero queste parole ed ebbero paura di interrogarlo.

Sebbene non capissero questa predizione, vi percepivano qualcosa di doloroso; Matteo dice che ne erano molto rattristati e per questo temevano di interrogarl Ma essi non capirono queste parole ed ebbero paura di chiederglielo.  Sebbene non capissero questa predizione, vi percepivano qualcosa di doloroso; Matteo dice che ne furono molto rattristati e per questo temevano di chiederglielo. Nel Vangelo secondo Matteo, furono i discepoli a porre a Gesù la domanda: “Chi è il più grande? Luca racconta che c’era stata una discussione tra loro e che Gesù, sapendo questo, mise un bambino in mezzo a loro.

Secondo Marco, egli chiese per prima cosa quale fosse l’argomento della loro conversazione e Marco osserva che i discepoli rimasero in silenzio perché si vergognavano in sua presenza di aver posto una domanda che tradiva la loro ambizione. Quando si fu seduto, chiamò i dodici e disse loro: “Se qualcuno vuole essere il primo, sia l’ultimo di tutti e il servitore di tutti”. C’era qualcosa di solenne nel modo in cui Gesù si preparava a parlare. Gesù non ha detto: chi vuole essere il primo, sia l’ultimo e il servitore di tutti, ma: lo sarà ; non ha dato consigli su come raggiungere la vera grandezza.

Ha mostrato l’umiliazione che è l’inevitabile conseguenza dell’orgoglio, secondo quel principio eterno del regno di Dio : “Chi si esalta sarà umiliato”. Non stava predicendo un giudizio futuro, ma affermando un fatto presente: l’orgoglio è un abbassamento, l’umiltà è una grandezza.“Chi accoglie uno di questi bambini nel mio nome, accoglie me; e chi accoglie me non accoglie me, ma Colui che mi ha mandato” (Mc 9,37). Dichiarando che chi lo riceve riceve Dio stesso, Gesù esprime un pensiero che si ritrova spesso nel Vangelo di Giovanni, ad esempio nelle parole : “Io e il Padre siamo una cosa sola”. 

Nel passo parallelo di Matteo, Gesù ha dato un’altra istruzione non meno importante, riguardante il piccolo bambino che ha presentato come modello.

Il diacono Michel Houyoux

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Maranatha: clicca qui per leggere l’articolo → Liturgia della XX Domenica del Tempo Ordinario – Anno B

◊ Church of Jesus Christ : clicca qui per leggere l’articolo → Capitolo 20: Gesù insegna a pregare

Video Padre Ferando Armelini  : clicca qui → https://youtu.be/-uX0cKfUwLI

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Mardi de la Vingt-quatrième semaine du Temps Ordinaire -Année Paire

Posté par diaconos le 17 septembre 2024

Le jeune homme de Naïm (Lc 7,11-17) | Au Large Biblique

Jeune homme lève-toi

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, Jésus se rendit dans une ville appelée Naïm. Ses disciples faisaient route avec lui, ainsi qu’une grande foule. Il arriva près de la porte de la ville au moment où l’on emportait un mort pour l’enterrer ; c’était un fils unique, et sa mère était veuve. Une foule importante de la ville accompagnait cette femme.

Voyant celle-ci, le Seigneur fut saisi de compassion pour elle et lui dit : « Ne pleure pas. » Il s’approcha et toucha le cercueil ; les porteurs s’arrêtèrent, et Jésus dit : « Jeune homme, je te l’ordonne, lève-toi. »

Alors le mort se redressa et se mit à parler. Et Jésus le rendit à sa mère.     La crainte s’empara de tous, et ils rendaient gloire à Dieu en disant : « Un grand prophète s’est levé parmi nous, et Dieu a visité son peuple. »

Et cette parole sur Jésus se répandit dans la Judée entière et dans toute la région. (Lc 7, 11-17)

Le serviteur du centenier de Capharnaüm 

Après qu’il eut achevé tous ses discours devant le peuple qui l’écoutait, il entra dans Capharnaüm : il y a quelque chose de solennel dans cette expression ; elle signifie que l’enseignement de Jésus-Christ avait été complet, qu’il n’y manquait rien et que tout le peuple l’avait bien entendu. D’après Matthieu, qui, comme toujours, abrège, supprime les détails secondaires et va droit au fait principal ; le centenier de Capharnaüm se présenta personnellement à Jésus et lui adressa sa prière. D’après Luc, il fit tout cela par l’intermédiaire d’anciens des Juifs, qui s’acquittèrent de leur mission avec une grande bienveillance.

Et ensuite il envoya à Jésus des amis pour lui dire qu’il ne se sentit pas digne de le recevoir sous son toit. Le récit de Matthieu, plus simple, se bornant à l’essentiel, devait se graver plus facilement dans le souvenir et rester tel quel dans la tradition apostolique. Mais cela ne signifie point que la narration plus circonstanciée de Luc ne soit pas historique. Elle est, au contraire, bien en harmonie avec la profonde humilité que fait paraître le centenier dans l’un et l’autre récit.

Quant au malade qu’il s’agissait de guérir, il est désigné dans Matthieu par un mot qui signifie à la fois un enfant et un serviteur, dans Luc par le terme d’esclave. Ces anciens des Juifs étaient les magistrats urbains.  Ce terme désignait, à Jérusalem, les membres du sanhédrin. La tendre et active charité que portait à son pauvre esclave cet officier romain converti au Dieu vivant ; son cœur était rempli d’une profonde humilité.

Luc, nous fait connaître de plus son amour pour la nation au sein de laquelle il avait trouvé le vrai Dieu et sa grande générosité, qui l’avait porté à bâtir à ses frais la synagogue de Capharnaüm ; cependant, de tous ces beaux fruits de la grâce de Dieu en lui, Jésus ne relève et n’admire qu’un seul : la foi, source de tous les autres. Cette seconde démarche n’est pas en contradiction avec la première, par laquelle le centenier sollicitait Jésus de venir chez lui.

Elle marque seulement, dit M. Godet : un progrès dans le sentiment d’humilité et de foi qui lui avait dicté celle-ci. Le scrupule qu’éprouve le centenier provenait peut-être de l’idée que Jésus, comme Juif, contracterait une souillure en entrant dans une maison païenne. Mais il lui était aussi inspiré par le sentiment profond de son péché. Le premier évangile, d’après lequel le centenier est présent auprès de Jésus, renferme cette précieuse parole : «Va et qu’il te soit fait selon que tu as cru». À sa remarque pleine de tristesse qu’il n’a pas trouvé en Israël la foi du centenier, , Jésus ajouta un sérieux avertissement adressé à ce peuple. Jésus accomplit cette guérison par sa seule parole et à distance.  

Le serviteur du centenier de Capharnaüm 

Il rencontra une foule qui sortait de la ville pour accompagner un mort, fils unique d’une veuve.

Jésus console et rend la vie

Ému de compassion, Jésus dit à la mère : «Ne pleure pas !» Il toucha le linceul et commanda au mort de se lever. Celui-ci obéit et Jésus le rendit à sa mère.

Effet produit

Les témoins de ce miracle, saisis de crainte, célébraient l’avènement d’un grand prophète. La nouvelle se répandit dans tout le pays Tout un cortège nombreux qui, au moment d’entrer dans la ville, rencontra un autre cortège, qui en sortait. C’est la vie qui vient au-devant de la mort Voici (grec et voici, hébraïsme) marque ce qu’il y avait de surprenant dans la rencontre inopinée de ces deux cortèges.

Que de douleurs décrites en quelques mots ! Ce mort qu’on portait dehors (chez les Juifs, les lieux de sépulture ôtaient toujours hors des villes) était un jeune homme (verset 14), fils unique de sa mère, qui était veuveAinsi cette femme accompagnait au tombeau ce qu’il lui restait de plus cher, son dernier appui sur la terre. Il n’en fallait pas tant pour émouvoir la tendre compassion de Jésus. Preuve que cette veuve était considérée et aimée dans sa ville.

Diacre Michel Houyoux

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* Radio Don Bosco – Fandraisana : cliquez ici → Lundi, Vingt-quatrième Semaine du Temps Ordinaire

* Vercalendario : cliquez ici → lundi vingt-quatrième semaine de temps ordinaire

VidéoGuérison d’un esclave à Capharnaüm : cliquez ici https://youtu.be/FBTVrQWP_Gc

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Vingt-cinquième dimanche du Temps Ordinaire-Année Paire b

Posté par diaconos le 16 septembre 2024

BD et mots cachés - Si quelqu’un veut être le premier, qu’il soit le ...

De l’Évangile de Jésus Christ selon Marc

En ce temps-là, Jésus traversait la Galilée avec ses disciples, et il ne voulait pas qu’on le sache, car il enseignait ses disciples en leur disant : « Le Fils de l’homme est livré aux mains des hommes ; ils le tueront et, trois jours après sa mort, il ressuscitera. »Mais les disciples ne comprenaient pas ces paroles et ils avaient peur de l’interroger. Ils arrivèrent à Capharnaüm, et, une fois à la maison, Jésus leur demanda : « De quoi discutiez-vous en chemin ? »

Ils se taisaient, car, en chemin, ils avaient discuté entre eux pour savoir qui était le plus grand.S’étant assis, Jésus appela les Douze et leur dit :« Si quelqu’un veut être le premier, qu’il soit le dernier de tous et le serviteur de tous. » Prenant alors un enfant, il le plaça au milieu d’eux, l’embrassa, et leur dit : « Quiconque accueille en mon nom un enfant comme celui-ci, c’est moi qu’il accueille. Et celui qui m’accueille, ce n’est pas moi qu’il accueille, mais Celui qui m’a envoyé. »

Jésus enseigne ses disciples

Jésus, après avoir quitté Césarée de Philippe, traversa la Galilée, en cherchant à demeurer inconnu pour pouvoir instruire ses disciples au sujet de sa mort prochaine et de sa résurrection.Eux ne comprirent pas et n’osèrent le questionner. Lequel  fut le plus grand ?  À Capharnaüm, Jésus leur demanda le sujet de leur discussion en chemin. Ils se turent, confus. Jésus leur déclara avec solennité que celui qui veut être le premier sera le dernier, le serviteur de tous. Il entoura de ses bras un petit enfant et dit :  «Celui qui reçoit un de ces petits le reçoit et reçoit Dieu »

Jésus déclara :  «Il vaudrait mieux être jeté dans la mer avec une meule au cou que de scandaliser un de ces petits qui croient en moi.»  La main, le pied, l’œil doivent être sacrifiés, s’ils sont pour nous une occasion de chute, de peur que nous ne tombions dans la géhenne où le ver ne meurt pas, où le feu ne s’éteint pas. Toute personne sera salée de feu, comme tout sacrifice doit être salé de sel. Le sel est bon pourvu qu’il ne perde pas sa saveur ; ayons du sel en nous-mêmes et demeurons ez en paix entre nous. Étant partis de là, ils traversèrent la Galilée ; et il ne voulut pas que personne le sût.

Jésus enseignait ses disciples, et il leur dit :  «Le Fils de l’homme sera livré entre les mains des hommes; ils le feront mourir, et, trois jours après qu’il aura été mis à mort, il ressuscitera. » (Mc 9, 31)  Mais eux ne comprirent pas cette parole et ils craignirent de l’interroger. Sans comprendre cette prédiction, ils y pressentirent quelque chose de douloureux ;  Matthieu dit qu’ils en furent fort attristés ; et ce fut pourquoi ils craignirent de l’interroger. Dans l’évangile selon Matthieu, ce furent les disciples qui posèrent à Jésus la question : «  Qui est le plus grand ? »  Luc raconta qu’une discussion avait eu lieu entre eux et que Jésus, le sachant, plaça un enfant au milieu d’eux.

Selon Marc, il s’informa d’abord du sujet de leur entretien et Marc fit observer que les disciples se turent, parce qu’ils furent confus en sa présence d’avoir agité une question qui trahissait leur ambition. S’étant assis, il appela les douze et leur dit : «Si quelqu’un veut être le premier, il sera le dernier de tous et le serviteur de tous.»  Il y eut quelque chose de solennel dans la manière dont Jésus se prépara à parler.

 Jésus n’eut pas dit : que celui qui veut être le premier soit le dernier et le serviteur de tous, mais : il le sera ; il ne donna pas un conseil sur la manière d’atteindre la véritable grandeur.Il montra l’abaissement qui est la conséquence inévitable de l’orgueil, selon ce principe éternel du royaume de Dieu : «Quiconque s’élève sera abaissé ». Il ne prédit pas un jugement à venir, mais il énonça un fait actuel : l’orgueil est un abaissement, l’humilité est une grandeur. 

«Quiconque recevra l’un de ces petits enfants en mon nom, me reçoit ; et quiconque me reçoit, ce n’est pas moi qu’il reçoit, mais Celui qui m’a envoyé.».(Mc 9, 37) Jésus, en déclarant que celui qui le reçoit, reçoit Dieu lui-même, exprima une pensée qui se retrouve souvent dans l’évangile de Jean, par exemple dans cette parole : « Moi et le Père sommes un» Dans le passage parallèle de Matthieu  Jésus donna, à l’occasion du petit enfant qu’il présenta comme modèle, une autre instruction non moins importante.

Diacre Michel Houyoux

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◊ Notre Dame des TroisVallées : cliquez ici pour lire l’article → VINGT CINQUIEME DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE

◊  EMCI TV : cliquez ici pour lire l’article → Jésus enseigne les disciples

  Vidéo  Père Fleury : cliquez ici →https://youtu.be/eXBBa8p5erc

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Двадцать четвертое воскресенье в ординарном времени – Парный год

Posté par diaconos le 15 septembre 2024

Een vast fundament

Ты – Христос… Сын Человеческий должен был много страдать.

 # Сын Человеческий – эсхатологическая фигура, используемая в иудейских апокалиптических кругах, начиная с послеэксильского периода. Это выражение встречается, в частности, в Книге пророка Даниила. В Евангелиях это название чаще всего используется Иисусом, когда он говорит о себе. Само выражение является дословным переводом греческого uios tou anthrôpou, передающего арамейское bar nasha, которое во времена Иисуса использовалось как лингвистический заменитель слова «человек».

Толкования, которым оно подверглось в христианстве, сместили первоначальный смысл на человечность Иисуса. Самое раннее свидетельство о нем относится к седьмой главе Книги пророка Даниила, датируемой гонениями Антиоха Епифана, незадолго до восстания Маккавеев (около 160 г. до н. э.). В Новом Завете есть более восьмидесяти отрывков, где Иисус из Назарета называет себя «Сыном Человеческим». Именно этот титул он использовал чаще всего, говоря о себе. Он представлял себя как будущего эсхатологического Судью. # Кенозис – понятие христианского богословия, выражаемое греческим словом κένωσις, «действие опустошения, лишения всего»; значение этого понятия в христианстве раскрывается в Послании Павла к Филиппийцам (Фил 2,6)

Это понятие породило множество теологических разработок, в которых большое внимание уделяется Божьему уничижению. Из любви Бог лишает себя других своих божественных атрибутов, таких как всемогущество, слава, бесстрашие, совершенство, самодостаточность и Провидение, управляющее миром. Богословие кенозиса решает проблему тайны зла, утверждая, что страдает прежде всего Бог, а не человек: «Но нет, Бог никогда не допускает зла, Он страдает от него, Он умирает от него, Он прежде всего его жертва».

Богословие кенозиса было оформлено Отцами Церкви и стало частью христологических дебатов ранних соборов. Таким образом, кенозис не затрагивает божественную природу Христа, но только его человечество.ля Павла из Тарса богословие кенозиса утверждает, что воплощение Слова соответствует отказу от обычных божественныхпривилегий : Бог есть только Любовь, а атрибуты Бога – только атрибуты Любви. Для Мольтмана Бог, который только всемогущ, – несовершенное существо.

# Имя «Сатана» впервые встречается в еврейской Библии. По мнению Дэниела Э. Гершенсона, существует большая вероятность того, что имя «Сатана» происходит из греческого языка и его этимология – «тот, кто обитает на небесах», Сатана упоминается в Книге Иова и в Евангелиях Иисусом, который называет его «князем мира сего». Его отождествляют с предводителем падших ангелов. Эта концепция основана на библейских писаниях: мятежный ангел был падшим, согласно Исайе и Иезекиилю в Ветхом Завете и Петру и Иуде в Новом Завете.

Согласно учению Катехизиса Римско-католической церкви, все ангелы были созданы Богом добрыми, но некоторые из них стали злыми и обратились против своего создателя.Поскольку ангелам не нужна вера, так как они уже обладают знанием всех небесных вещей, их восстание против Бога – непростительный поступок для тех, кто это говорит, Предать Господа – значит предать и Время, это роковое падение, роковая ошибка.    Матфей описал это восстание как непростительный грех в этом веке или в веке грядущем. Сатана также отождествляется со змеем из Бытия.

Из Евангелия Иисуса Христа от Марка

В то время Иисус отошел со Своими учениками в селения вокруг Кесарии Филипповой. Идя, Он спросил Своих учеников : «За кого люди говорят, что Я ? Они отвечали Ему: Иоанн Креститель; иные – Илия; иные – пророк. И спросил их: «А вы что говорите? За кого вы меня принимаете?Петр ответил: «Ты Христос».Тогда Он решительно запретил им говорить о Нем кому бы то ни было. Он начал учить их, что Сыну Человеческому надлежит много пострадать, что Он будет отвергнут старейшинами, первосвященниками и книжниками, что Он должен быть убит и что через три дня Он воскреснет.

Петр ответил и сказал Ему: «Ты – Христос». Затем он решительно запретил им говорить о Нем кому бы то ни было.

Он начал учить их, что Сыну Человеческому надлежит много пострадать, что Он будет отвергнут старейшинами, первосвященниками и книжниками, что Он должен быть убит и что через три дня Он воскреснет.Иисус говорил эти слова открыто.Петр отвел Его в сторону и стал горячо обличать. Но Иисус обернулся и, увидев Своих учеников, закричал на Петра: «Отойди от Меня, сатана! Твои мысли не от Бога, а от людей».Созвав толпу с учениками, Он сказал им: «Если кто хочет идти за Мною, отвергнись себя, возьми крест свой и следуй за Мною. Ибо кто хочет душу свою сберечь, тот потеряет ее; а кто потеряет душу свою ради Меня и Евангелия, тот сбережет ее». (Мк 8, 27-35)

Ученики уверовали в Иисуса

Когда ученики уверовали в Иисуса и исповедовали Его Христом, Сыном Божьим, Он мог открыто говорить с ними об этом и даже сделал это, чтобы развеять, если возможно, все ложные мессианские представления, которые у них еще оставались, и подготовить их к тому, чтобы разделить Его унижения и скорби.Марк (Мк. 8:31) и Лука (Лк. 9:20-22) также связывают это предсказание непосредственно с исповедью Петра. Марк добавил, что он смело говорил им эти слова.Когда рождается истинная вера, христианин должен ожидать противоречий и страданий.

Что касается Иисуса, то, по его словам, это было необходимо. Таинственная необходимость, основанная на постановлении Божьей справедливости и милосердия, возвещенном в Писании.Это должно было произойти, если мир не погибнет в своем грехе.Этого Бог не хотел, и Иисус принимает волю Отца из любви: «И как Моисей вознес змию в пустыне, так должно вознесену быть Сыну Человеческому, чтобы всякий верующий в Негоимелжизнь вечную».(Ин 3, 14)

Синедрион состоял из трех классов людей: старейшин, первосвященников и книжников, или учителей закона. Было что-то торжественное в том, как Иисус подробно назвал их имена и увидел, что они сговорились против Него, чтобы убить Его. Это был трагический разрыв между теократией и Мессией и Его правлением ! После поражениятриумф; после смерти – жизнь Если одно из этих предсказаний ошеломило учеников, то другому суждено было поднять их. Но здесь критики нашли камень преткновения, и нельзя отрицать, что это было затруднение.

Hе в силах разрешить этот вопрос, одни сомневались в предсказании; другие, например Мейер, полагали, что предсказание было туманным и неясным.  Но разве не сами евангелисты дали нам ответ на эту загадку ? Все еще полные своих иудейских предрассудков о славном Мессии, они совершенно ничего не поняли из этого предсказания о Его страданиях и воскресении.

Все еще полные своих иудейских предрассудков о славном Мессии, они совершенно ничего не поняли из этого предсказания о Его страданиях и воскресении: «Но они ничего не поняли из этого; это был для них язык тайный, слова, значения которых они не уразумели». (Лк 18,34)                   

Пример Петра показал, что он лучше слышал слова Иисуса, но решительно отказывался проникнуть в его мысли. Как могло такое необычное событие, как воскресение, не показаться им невероятным? даже если бы им не хватало понимания этой тайны, разве не было бы огромного расстояния между пониманием и верой? Цель осуждения Петра, несомнен но, заключалась в том, чтобы убедить Иисуса в том, что Он предназначен для чего-то иного, чем такой конец.

В эмоциях Петра была любовь к Иисусу, но еще больше было невежества, даже когда он взывал к Его милосердию.  Уверенность Петра в том, что этого не произойдет, вызвала у него суровые слова Иисуса: «Отойди от Меня, сатана; ты оскорбляешь Меня, потому что думаешь не о том, что от  Бога, а о том, что от людей».        исус с негодованием отвернулся. Сатана означает противник, тот, кто сопротивляется; но этим именем обычно называли дьявола, и Иисус, называя так Петра, хотел, чтобы тот понял, что в этот момент он выполняет работу искусителя.

Об этом свидетельствовал скандал, который Иисус обнаружил в словах Петра. Иисусу нужна была вся Его святая решимость и вся Его сила, чтобы встретить Свои страдания.              Петр преподнес ему то же искушение, что и сатана в пустыне, предлагая ему царства мира и их славу: «И опять взял его диавол на гору весьма высокую, и показал ему все царства мира и славу их, и сказал ему: все это дам тебе, если поклонишься мне». (Мф. 4:8-9)

Петр сосредоточился не на великих планах искупления мира через страдания Посредника, а на плотских представлениях о славном Мессии. о эти слова, применимые во все времена, имеют гораздо более общий смысл. Кто тот, кто представляет себя людям как высший объект их любви, ради которого они должны пожертвовать всем, даже самой жизнью? Тот, кто так говорит, – Бог, иначе он богохульствует, ставя себя на место Бога.

Дьякон Мichel Houyoux

Ссылки на другие христианские сайты

◊ Конференция : нажмите здесь, чтобы прочитать статью → Смены « день-ночь-24″ – Трудовое право

◊ КиберЛенинкаажмите здесь, чтобы прочитать статью → Философия, этика, религиоведение

Божественная литургия  : нажмите здесь → https://youtu.be/P5z6lPEMI-s

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