Vendredi de la vingt-troisième semaine du Temps Ordinaire – Année Paire

Posté par diaconos le 13 septembre 2024

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Un aveugle peut-il guider un autre aveugle ?

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples en parabole : « Un aveugle peut-il guider un autre aveugle ? Ne vont-ils pas tomber tous les deux dans un trou ? Le disciple n’est pas au-dessus du maître ; mais une fois bien formé, chacun sera comme son maître.  Qu’as-tu à regarder la paille dans l’œil de ton frère, alors que la poutre qui est dans ton œil à toi, tu ne la remarques pas ? Comment peux-tu dire à ton frère : “Frère, laisse-moi enlever la paille qui est dans ton œil”, alors que toi-même ne vois pas la poutre qui est dans le tien ?

Hypocrite ! Enlève d’abord la poutre de ton œil ; alors tu verras clair pour enlever la paille qui est dans l’œil de ton frère. » (Lc 6,39-42)

Un aveugle peut-il guider un autre aveugle ?

Seul, je ne suis pas capable d’avancer : je suis un aveugle sur le chemin. Je ne peux donc me proposer comme guide, j’ai moi-même besoin d’un guide ! Je suis aveugle car j’ai une poutre dans l’œil ! Jésus est venu pour ouvrir les yeux des aveugles. Il est venu pour nous guider sur le chemin. Souvenons-nous des disciples d’Emmaüs : après avoir marché avec eux, Jésus leur expliqua les Écritures.

Il relut avec eux l’histoire du Salut. Les deux disciples trouvèrent en lui un maître qui leur permit de voir clair, de le reconnaître : « Quand il fut à table avec eux, ayant pris le pain, il prononça la bénédiction et, l’ayant rompu, il le leur donna. Alors leurs yeux s’ouvrirent, et ils le reconnurent… »(Luc 24,30-31) Un peu plus loin, après que les disciples retournèrent à Jérusalem et que Jésus leurs apparut ainsi qu’aux Onze : « Il ouvrit leur intelligence à la compréhension des Écritures. « (Luc 24, 45)  Quels sont ces fruits que nous sommes invités à porter ? Ce sont les fruits de l’amour mutuel, de la charité fraternelle.

« Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux. »(Luc 6,36) Ce sont des fruits de justice et de miséricorde que nous sommes invités à porter. Ces fruits sont des actes et des paroles : « Ce que dit la bouche, c’est ce qui déborde du cœur. « (Luc 6, 45)

La parole fait connaitre les sentiments.  (Ben Sira le Sage)

Jésus fut pour les disciples celui qui leur ouvrit les yeux et celui qui les  envoya en mission pour porter la lumière de la révélation. Jésus fut ce maître qui n’écrasa pas ses disciples mais qui leurs permit de devenir comme lui. Accepter de se laisser conduire par Jésus, accepter que Jésus me guérisse de ma cécité, qu’il soit le maître qui m’enseigne, c’est devenir un arbre qui porte de bons fruits.

Le vrai disciple, celui qui se laisse éclairer par Jésus, porte de bons fruits ; celui qui ne se laissa pas éclairer par lui reste dans son aveuglement et porte de mauvais fruits. Soyons de bons chrétiens, soyons des disciples qui se laissent former par Jésus. Laissons-nous former, transformer par Lui afin de devenir comme Lui ! Renouvelons notre choix de prendre Jésus pour maître et pour ami. Il nous guide vers la plénitude de la vie.

Il veut notre bien en nous conduisant à la communion avec Dieu et avec nos frères et sœurs. Laissons nous enseigner par Jésus afin qu’il nous guérisse de notre cécité, qu’il nous ouvre les yeux sur le mystère du Salut afin que nous puissions être des témoins, des guides, au cœur du monde pour en conduire d’autres à sa rencontre. Cela exige de nous : une vie d’intimité avec Jésus qui passe par la célébration de l’Eucharistie, la Parole de Dieu, le cœur à cœur de la prière mais aussi une vie de témoignage là où nous vivons, dans notre ville ou dans notre village.

Dans la prière comme dans l’apostolat, à la suite de l’apôtre Paul, il nous faut prendre une part toujours plus active à l’œuvre du Seigneur : « Ainsi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, travaillant de mieux en mieux à l’œuvre du Seigneur, sachant que votre travail ne sera pas vain dans le Seigneur. » (1 Co 15, 58)

Écoutons et suivons Jésus qui est plus qu’un enseignant puisqu’il nous donne son cœur pour transformer notre vie

Diacre Michel Houyoux

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Disciples amoureux missionnaires : cliquez ici pour lire l’article → Un aveugle peut-il guider un autre aveugle

Catholique.org. : cliquez ici pour lire l’article → Discours dans la plaine : le guide aveugle, la paille et la poutre

Vidéo Père Paulo Araujo  : cliquez ici  → https://youtu.be/UWsqW_af5gg

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Vierundzwanzigster Sonntag der Ordinariuszeit – JahrB

Posté par diaconos le 12 septembre 2024

Jesus, ein Jude aus Nazareth - "Ganz einer von uns"

# Der Menschensohn ist eine eschatologische Figur, die in den apokalyptischen Kreisen des Judentums seit der nachexilischen Zeit gebräuchlich ist. Der Ausdruck taucht insbesondere im Buch Daniel auf. In den Evangelien ist es der Titel, den Jesus am häufigsten verwendet, wenn er von sich selbst spricht. Der Ausdruck selbst ist eine wörtliche Übersetzung des griechischen uios tou anthrôpou, ein Abziehbild des aramäischen bar nasha, Wörter, die zur Zeit Jesu als sprachlicher Ersatz für „Mensch“ verwendet wurden.

Die Interpretationen, zu denen es im Christentum geführt hat, haben die ursprüngliche Bedeutung auf die Menschlichkeit Jesu verlagert. Das älteste Zeugnis stammt aus dem siebten Kapitel des Buches Daniel aus der Zeit der Verfolgung durch Antiochos Epiphanes, kurz vor dem Makkabäeraufstand (ca. 160 v. Chr.). Im Neuen Testament gibt es mehr als achtzig Stellen, an denen sich Jesus von Nazareth selbst als „Menschensohn“ bezeichnet. Diesen Titel verwendete er am häufigsten, wenn er von sich selbst sprach. Er stellte sich selbst als den zukünftigen eschatologischen Richter dar.

# Kenosis ist ein Begriff der christlichen Theologie, der durch ein griechisches Wort ausgedrückt wird, κένωσις, „Handlung der Entleerung, des Abstreifens aller Dinge“; die Bedeutung dieses Begriffs im Christentum wird durch den Brief des Paulus an die Philipper (Phil 2,6) erhellt.Dieser Begriff hat zahlreiche Entwicklungen einer Theologie ausgelöst, die die Erniedrigung Gottes stark betont. Aus Liebe entäußert sich Gott seiner anderen göttlichen Attribute wie Allmacht, Herrlichkeit, Unberührtheit, Vollkommenheit, Selbstgenügsamkeit und die Vorsehung, die die Welt regiert.

Die Theologie der Kenosis geht das Geheimnis des Bösen an, indem sie behauptet, dass es zuerst Gott ist, der leidet, und nicht der Mensch : „Aber nein, Gott lässt das Böse niemals zu, er leidet darunter, er stirbt daran, er ist zuerst das Opfer“.Die Theologie der Kenosis wird von den Kirchenvätern formalisiert und ist Teil der christologischen Debatten der ersten Konzilien. So erreicht die Kenosis nicht die göttliche Natur Christi, sondern nur seine Menschlichkeit.

Für Paulus von Tarsus besagt die Theologie der Kenosis, dass die Inkarnation des Wortes einem Verzicht auf die üblichen göttlichen Privilegien entspricht : Gott ist nur Liebe und die Attribute Gottes sind nur die Attribute der Liebe.Für Moltmann ist ein Gott, der nur allmächtig ist, ein unvollkommenes Wesen. # Der Name „Satan“ taucht zuerst in der hebräischen Bibel auf. Für Daniel E. Gershenson gibt es eine starke Möglichkeit, dass der Name „Satan“ aus dem Griechischen stammt und seine Etymologie wäre „der, der im Himmel wohnt“.

In der christlichen Tradition wird Satan im Buch Hiob und in den Evangelien von Jesus erwähnt, der ihn als „Fürst dieser Welt“ bezeichnet. Er wird mit dem Anführer der gefallenen Engel identifiziert. Diese Auffassung stützt sich auf die biblischen Schriften: Der rebellische Engel war nach Jesaja und Ezechiel im Alten Testament und Petrus und Judas im Neuen Testament gefallen.Nach der Lehre des Katechismus der römisch-katholischen Kirche wurden alle Engel von Gott erschaffen, um gut zu sein, aber einige wurden böse und wandten sich gegen ihren Schöpfer.

 Nach der Lehre des Katechismus der römisch-katholischen Kirche wurden alle Engel von Gott geschaffen, um gut zu sein, aber einige wurden böse und wandten sich gegen ihren Schöpfer. Da die Engel den Glauben nicht benötigen, da sie bereits das Wissen über alle himmlischen Dinge besitzen, stellt ihre Rebellion gegen Gott. Für diejenigen, die es sagen, also die Menschen, die es schreiben, eine unverzeihliche Tat dar, nämlich dass der Verrat am Ewigen auch ein Verrat an der Zeit ist. Es ist ein tödlicher Fall, ein fataler Irrtum.

 Matthäus bezeichnete diese Rebellion als eine unverzeihliche Sünde in diesem oder einem zukünftigen Zeitalter. Satan wird auch mit der Schlange aus dem Buch Genesis identifiziert.

Aus dem Evangelium Jesu Christi nach Markus

In jener Zeit ging Jesus mit seinen Jüngern in die Dörfer in der Umgebung von Cäsarea-Philippi. Unterwegs befragte er seine Jünger : „Nach dem, was die Leute sagen, wer bin ich ?“ Sie antwo rteten ihm : „Johannes der Täufer; für einige ist es Elija; für andere ein Prophet. Er aber fragte sie : „Und was sagt ihr ? Wer bin ich für euch ? Petrus antwortete und sprach ihm : Du bist der Christus.“

Da verbot er ihnen aufs schärfste, mit irgendjemandem von ihm zu reden. Er fing an, sie zu lehren, dass der Menschensohn viel leiden müsse, dass er von den Ältesten, den Hohenpriestern und den Schriftgelehrten verworfen werden müsse, dass er getötet werden müsse und dass er nach drei Tagen auferstehen müsse. Jesus sprach dieses Wort offen aus. Petrus nahm ihn beiseite und begann, ihm heftige Vorwürfe zu machen. Jesus aber drehte sich um und als er seine Jünger sah, rief er Petrus scharf zu: „Geh hinter mich, Satan! Deine Gedanken sind nicht die Gedanken Gottes, sondern die der Menschen“.

Er rief die Menge mit seinen Jüngern zusammen und sagte zu ihnen : „Wenn jemand mir nachfolgen will, der verleugne sich selbst, nehme sein Kreuz auf sich und folge mir nach. Denn wer sein Leben retten will wird es verlieren ; wer aber sein Leben verliert um meinetwillen und um des Evangeliums willen, der wird es retten.“ (Mk 8,27-35)

Die Jünger glaubten an Jesus

Als die Jünger an Jesus glaubten und ihn als den Christus, den Sohn Gottes, bekannten, konnte er offen mit ihnen darüber reden, ja er tat es sogar, um die falschen messianischen Vorstellungen, die sie noch hatten, möglichst in ihren Köpfen zu zerstreuen und sie darauf vorzubereiten, seine Demütigungen und Schmerzen mit ihm zu teilen.  Markus (Mk 8,31) und Lukas (Lk 9,20-22) brachten diese Vorhersage ebenfalls in einen direkten Zusammenhang mit dem Bekenntnis des Petrus. Markus fügte hinzu, dass er dieses Wort kühn zu ihnen sagte.

Wenn der wahre Glaube geboren ist, muss der Christ mit Widerspruch und Leiden rechnen.Was Jesus betrifft, so war es notwendig, sagte er. Eine mysteriöse Notwendigkeit, die auf dem in der Heiligen Schrift verkündeten Dekret der Gerechtigkeit und Barmherzigkeit Gottes beruht. Es musste sein, sonst hätte die Welt in ihrer Sünde zugrunde gehen müssen. Das wollte Gott nicht, und Jesus akzeptiert aus Liebe den Willen seines Vaters : „Und wie Mose in der Wüste die Schlange erhöht hat, so muss auch der Menschensohn erhöht werden, damit jeder, der an ihn glaubt, das ewige Leben hat“. (Joh 3,14)

Der Sanhedrin bestand aus drei Klassen von Männern: den Ältesten, den Hohenpriestern und den Schriftgelehrten oder Gesetzeslehrern. Es hatte etwas Feierliches an sich, als Jesus sie im Einzelnen nannte und sah, wie sie sich gegen ihn verschworen hatten, um ihn zu töten.  Das war der tragische Bruch der Theokratie mit dem Messias und seiner Herrschaft. Nach der Niederlage kommt der Triumph, nach dem Tod das Leben ! Wenn eine dieser Vorhersagen die Jünger überwältigte, war die andere dazu bestimmt, sie wieder aufzurichten.

Aber hier fand die Kritik einen Stein des Anstoßes, und man konnte nicht leugnen, dass es eine Schwierigkeit gab. Da sie die Frage nicht lösen konnten, zogen einige die Vorhersage in Zweifel, andere, wie z.B. Meyer, nahmen an, dass die Vorhersage vage und unklar gewesen sei.Haben die Evangelisten selbst uns nicht des Rätsels Lösunggegeben ? Noch voll von ihrem jüdischen Vorurteil über einen glorreichen Messias, verstanden sie absolut nichts von der Vorhersage seiner Leiden und seiner Auferstehung.

„Aber sie verstanden nichts davon; es war ihnen eine verborgene Sprache, Worte, deren Sinn sie nicht begriffen.“ (Lk 18,34) Das Beispiel des Petrus bewies, dass er die Worte Jesu zwar besser hörte, sich aber entschieden weigerte, in seine Gedanken einzutauchen. Wie hätte ihnen also ein so außergewöhnliches Ereignis wie die Auferstehung nicht unglaublich erscheinen können ? Und selbst wenn es ihnen nicht so sehr am Verständnis dieses Geheimnisses gefehlt hätte, bestand dann nicht eine riesige Distanz zwischen Verstehen und Glauben ?

 Die Zurechtweisung, die Petrus sich erlaubte, hatte wohl den Zweck, Jesus davon zu überzeugen, dass er für etwas ganz anderes bestimmt war als für ein solches Ende. In dieser Gefühlsregung des Petrus lag Liebe zu Jesus, aber mehr Unwissenheit, selbst als er auf ihn Barmherzigkeit herabrief.Die Zuversicht, mit der Petrus behauptete, dass dies nicht geschehen werde, brachte ihm das strenge Wort Jesu ein : „Geh weg von mir, Satan, du bist mir ein Ärgernis, weil du nicht das meinst, was von Gott ist, sondern das, was von Menschen ist.“

Jesus wandte sich empört ab. Mit diesem strengen Wort : „Geh, weiche von mir!“ meint Satan den Widersacher, den, der Widerstand leistet ; aber dieser Name wurde gewöhnlich dem Teufel gegeben, und Jesus, indem er Petrus so nannte, wollte ihm zu verstehen geben, dass er in diesem Augenblick das Werk des Versuchers tat. Was dies bewies, war der Skandal, den Jesus in den Worten des Petrus fand. Jesus brauchte seinen ganzen heiligen Entschluss und seine ganze Kraft, um seinen Leiden entgegenzugehen. Petrus führte ihn in die gleiche Versuchung wie Satan in der Wüste, indem er ihm die Reiche der Welt und ihre Herrlichkeit anbot : „Wiederum führte ihn der Teufel auf einen sehr hohen Berg, zeigte ihm alle Reiche der Welt und ihre Herrlichkeit und sprach zu ihm : Das alles will ich dir geben, wenn du niederfällst und mich anbetest.“ (Mt 4,8-9)

Petrus heftete seine Gedanken nicht an seine großen Pläne bezüglich der Erlösung der Welt durch die Leiden des Mittlers, sondern an die fleischlichen Vorstellungen von einem herrlichen Messias.
Aber diese Worte, die auf alle Zeiten anwendbar sind, haben eine viel allgemeinere Bedeutung. Wer ist der, der sich den Menschen als das höchste Objekt ihrer Liebe vorstellt, dem sie alles, sogar ihr Leben, opfern müssen ? Derjenige, der so spricht, ist Gott, oder er lästert, indem er sich an die Stelle Gottes setzt.

Diakon Michel Houyoux

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Bistum Mainz : Klicken Sie hier, um den Artikel zu lesen → Gottesdienst 24. Sonntag im Jahreskreis (Lesejahr B)

 ◊  EGW Writings : Hier klicken, um den Artikel zu lesen →Er offenbarte seine Herrlichkeit und seine Jünger glaubten an ihn

◊   Video God New Evidence : hier klicken → https://youtu.be/6UBsD_HTq1c

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Twenty-fourth Sunday in Ordinary Time – Year B

Posté par diaconos le 11 septembre 2024

6 choses que les disciples ont découvert en acceptant de suivre Jésus ...

The disciples believed in Jesus


# The Son of Man is an eschatological figure used in Judaic apocalyptic circles from the post-exilic period onwards. This expression appears in particular in the Book of Daniel. In the Gospels, it is the title most often used by Jesus when he speaks of himself.
The expression itself is a literal translation of the Greek uios tou anthrôpou, a transfer of the Aramaic bar nasha, words used at the time of Jesus as a linguistic substitute for ‘human being’. The interpretations to which it has given rise in Christianity have shifted the initial meaning to the humanity of Jesus.

Its earliest attestation dates back to the seventh chapter of the Book of Daniel, dated to the persecution of Antiochus Epiphanes, shortly before the Maccabean revolt (around 160 BC). There are more than eighty passages in the New Testament where Jesus of Nazareth calls himself ‘Son of Man’. The title he used most frequently when speaking of himself. He presented himself as the future eschatological judge. # Kenosis is a concept of Christian theology expressed by a Greek word, κένωσις, ‘action of emptying, of being stripped of everything’; the meaning of this concept in Christianity is illuminated by Paul’s Epistle to the Philippians (Phil 2, 6).

 This notion has given rise to numerous theological developments that place great emphasis on God’s abasement. Out of love, God strips himself of his other divine attributes, such as omnipotence, glory, impassibility, perfection, self-sufficiency and the Providence that governs the world.The theology of kenosis tackles the mystery of evil by affirming that it is first and foremost God who suffers and not man : ‘But no, God never allows evil, he suffers from it, he dies from it, he is first and foremost its victim’.

The theology of kenosis was formalised by the Church Fathers, and was part of the Christological debates of the early councils. Thus, kenosis does not affect Christ’s divine nature, but only his humanity. For Paul of Tarsus, the theology of kenosis affirms that the incarnation of the Word corresponds to a renunciation of the usual divine privileges: God is only Love and the attributes of God are only the attributes of Love. For Moltmann, a God who is only omnipotent is an imperfect being.

# The name ‘Satan’ first appears in the Hebrew Bible. For Daniel E. Gershenson, there is a strong possibility that the name ‘Satan’ comes from the Greek, and its etymology would be ‘he who dwells in the heavens’.In the Christian tradition, Satan is mentioned in the Book of Job and in the Gospels by Jesus, who calls him the ‘prince of this world’. He is identified with the leader of the fallen angels. This concept is based on biblical writings : the rebellious angel was fallen according to Isaiah and Ezekiel in the Old Testament and Peter and Jude in the New Testament.

According to the teaching of the Catechism of the Roman Catholic Church, angels were all created by God to be good, but some became evil and turned against their creator.Since angels do not need faith, since they already have knowledge of all heavenly things, their rebellion against God constitutes an unforgivable act for those who say it, i.e. men (who write it), namely that to betray the Eternal is also to betray Time, it is a fatal fall, a fatal error.

Matthew described this rebellion as an unforgivable sin in this age or an age to come. Satan is also identified with the Serpent of Genesis Matthew called this rebellion an unforgivable sin in this or a future age. Satan is also identified with the Serpent of Genesis.

From the Gospel of Jesus Christ according to Mark

At that time Jesus went away with his disciples to the villages around Caesarea Philippi. As he went, he asked his disciples : Who do people say that I am ? They answered him ; ‘John the Baptist ; to others, Elijah ; to others, a prophet.’Peter answered ; ‘You are the Christ.’ Then he strongly forbade them to speak of him to anyone. He began to teach them that the Son of Man must suffer many things, that he must be rejected by the elders, the chief priests and the scribes, that he must be killed, and that three days later he must rise again.

Jesus spoke these words openly. Peter took him aside and began to rebuke him vehemently. But Jesus turned round and, seeing his disciples, shouted at Peter: ‘Get behind me, Satan! Your thoughts are not of God, but of men. Calling the crowd together with his disciples, he said tothem : ‘If anyone wishes to follow me, he must deny himself, take up his cross and follow me. For whoever wishes to save his life but whoever loses his life for my sake and for the sake of the Gospel will save it. (Mk 8, 27-35)

When the disciples believed in Jesus and confessed him to be the Christ, the Son of God, he was able to speak to them openly about it, and even did so, in order to dispel, if possible, any false Messianic ideas they still had, and to prepare them to share his humiliations and sorrows. Mark (Mk 8, 31) and Luke (Lk 9, 20-22) also relate this prediction directly to Peter’s confession. Mark added that he boldly spoke these words to them. It is when true faith is born that the Christian must expect contradiction and suffering. 

As for Jesus, it was necessary, he said. A mysterious necessity, founded on the decree of God’s justice and mercy, announced in the Scriptures. It had to be, unless the world was to perish in its sin   This is what God did not want, and Jesus accepts his Father’s will out of love : ‘And as Moses lifted up the serpent in the wilderness, so must the Son of Man be lifted up, so that everyone who believes in him may have eternal life’. (Jn 3,14)

The Sanhedrin was made up of three classes of men: the elders, the chief priests and the scribes, or teachers of the law. There was something solemn about the way Jesus named them in detail and saw them conspiring against him to kill him.This was the tragic break between the theocracy and the Messiah and his reign ! After defeat, triumph ; after death, life ! If one of these predictions overwhelmed the disciples, the other was destined to lift them up.

But here the critics found a stumbling block, and it could not be denied that there was a difficulty.Unable to resolve the question, some questioned the prediction; others, Meyer for example, assumed that the prediction was vague and obscure.Didn’t the evangelists themselves give us the answer to the riddle ? Still full of their Jewish prejudice about a glorious Messiah, they understood absolutely nothing of this prediction of his suffering and un derstood nothing of it ; it was a hidden language to them, words whose meaning they did not grasp’. (Lk 18:34)

Peter’s example showed that he heard Jesus’ words better, but that he resolutely refused to enter into his thoughts. How could an event as extraordinary as the resurrection not have seemed incredible to them  ? And even if they had not been so lacking in understanding of this mystery, was there not an immense distance between understanding and believi                     n ? This reprehension that Peter allowed himself was undoubtedly intended to convince Jesus that he was destined for something other than such an end. There was love for Jesus in Peter’s emotion, but more ignorance, even when he invoked mercy on him.

The assurance with which Peter affirmed that this would not happen drew from him the stern words of Jesus : ‘Get away from me, Satan; you are a scandal to me, because you do not think the things that are of God, but the things that are of men.’  Jesus turned away indignantly. Satan means the adversary, the one who resist monly given to the devil and Jesus, by calling Peter this, wanted him to understand that he was at that moment doing the work of the tempter.

This was   proved by the scandal Jesus found in Peter’s words. Jesus needed all his holy resolution and all his strength to meet his suffering. Peter presented him with the same temptation as Satan in the desert, offering him the kingdoms of the world and their glory. The devil again took him to a very high mountain, showed him all the kingdoms of the world and their glory, and said to him, “All these things I will give you if you will bow down and worship me”’. (Mt 4,8-9)

Peter was not thinking of his great plans for the redemption of the world through the sufferings of the Mediator, but of the carnal ideas of a glorious Messiah. But these words, applicable at all times, have a much more general scope.   Who is he who presents himself to men as the supreme object of their love, to whom they must sacrifice everything, even their very lives. He who speaks like this is God, or else he blasphemes by putting himself in God’s place.

Deacon Michel Houyoux

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◊ frcanicenjoku : click here to read the paper                                       → Homily for the 24th Sunday of Ordinary Time, Year B

Gabriel Mattix : click here to read the paperJesus Came to  Manifest His Glory

Video   Grace Chapel Indio : click here      →     https://youtu.be/bzwZTwpB61U

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Ventiquattresima domenica del Tempo Ordinario – Anno B

Posté par diaconos le 10 septembre 2024

BLOG di www.maranatha.it: XXIV Domenica del Tempo Ordinario, Anno B ...

# Il Figlio dell’uomo è una figura escatologica utilizzata negli ambienti apocalittici giudaici a partire dal periodo postesilico. Questa espressione compare in particolare nel Libro di Daniele. Nei Vangeli, è il titolo più spesso usato da Gesù quando parla di se stesso. L’espressione stessa è una traduzione letterale del greco uios tou anthrôpou, un trasferimento dell’aramaico bar nasha, parole utilizzate all’epoca di Gesù come sostituto linguistico di “essere umano”.

Le interpretazioni a cui ha dato luogo nel cristianesimo hanno spostato il significato iniziale sull’umanità di Gesù. La sua prima attestazione risale al settimo capitolo del Libro di Daniele, datato alla persecuzione di Antioco Epifane, poco prima della rivolta dei Maccabei (160 a.C. circa). Nel Nuovo Testamento ci sono più di ottanta passi in cui Gesù di Nazareth si definisce “Figlio dell’uomo”. Questo era il titolo che usava più frequentemente quando parlava di sé. Egli si presentava come il futuro giudice escatologico.

# La kenosi è un concetto della teologia cristiana espresso da una parola greca, κένωσις, “azione di svuotamento, di spogliazione di tutto” ; il significato di questo concetto nel cristianesimo è illuminato dalla Lettera di Paolo ai Filippesi (Fil 2,6).  Questa nozione ha dato origine a numerosi sviluppi teologici che pongono grande enfasi sull’abbassamento di Dio. La teologia della kenosi affronta il mistero del male affermando che è innanzitutto Dio a soffrire e non l’uomo : “Ma no, Dio non permette mai il male, ne soffre, ne muore, ne è innanzitutto vittima”.

La teologia della kenosi è stata formalizzata dai Padri della Chiesa e ha fatto parte dei dibattiti cristologici dei primi concili. La teologia della kenosi è stata formalizzata dai Padri della Chiesa e ha fatto parte dei dibattiti cristologici dei primi concili. La kenosi non riguarda la natura divina di Cristo, ma solo la sua umanità.  Per Paolo di Tarso, la teologia della kenosi afferma che l’incarnazione del Verbo corrisponde a una rinuncia agli abituali privilegi divini: Dio è solo Amore e gli attributi di Dio sono solo gli attributi dell’Amore. Per Moltmann, un Dio che è solo onnipotente è un essere imperfetto.

# Il nome “Satana” appare per la prima volta nella Bibbia ebraica. Per Daniel E. Gershenson, esiste una forte possibilità che il nome “Satana” derivi dal greco e la sua etimologia sarebbe “colui che abita nei cieli”. Nella tradizione cristiana, Satana è citato nel Libro di Giobbe e nei Vangeli da Gesù, che lo chiama “principe di questo mondo”. Viene identificato con il capo degli angeli caduti. Questa visione si basa sugli scritti biblici : l’angelo ribelle era caduto secondo Isaia ed Ezechiele nell’Antico Testamento e Pietro e Giuda nel Nuovo Testamento.

Secondo l’insegnamento del Catechismo della Chiesa cattolica romana, gli angeli sono stati tutti creati da Dio per essere buoni, ma alcuni sono diventati cattivi e si sono rivoltati contro il loro creatore. Poiché gli angeli non hanno bisogno della fede, in quanto hanno già la conoscenza di tutte le cose celesti, la loro ribellione a Dio costituisce un atto imperdonabile per coloro che lo dicono, cioè gli uomini che lo scrivono, cioè che tradire l’Eterno è anche tradire il Tempo, è una caduta fatale, un errore fatale. Matteo ha definito questa ribellione un peccato imperdonabile in questa o in un’epoca futura. Satana è anche identificato con il Serpente della Genesi.

Dal Vangelo di Gesù Cristo secondo Marco

In quel tempo, Gesù se ne andò con i suoi discepoli nei villaggi intorno a Cesarea di Filippo. Mentre andava, chiese ai suoi discepoli : “Chi dice la gente che io sia ?” Gli risposero : “Giovanni il Battista ; per altri, Elia ; per altri ancora, un profeta”. Ed egli chiese loro : “E voi cosa dite ? Chi pensate che io sia ? Pietro rispose : “Tu sei il Cristo”. Poi proibì loro con forza di parlare di lui a chiunque. Cominciò a insegnare loro che il Figlio dell’uomo doveva soffrire molte cose, che doveva essere rifiutato dagli anziani, dai capi dei sacerdoti e dagli scribi, che doveva essere ucciso e che tre giorni dopo sarebbe risorto.

 Gesù lo disse apertamente. Pietro lo prese in disparte e cominciò a rimproverarlo aspramente. Ma Gesù si voltò e, vedendo i suoi discepoli, gridò a Pietro : “Vattene da me, Satana! I tuoi pensieri non sono di Dio, ma degli uomini”. Chiamata la folla insieme ai suoi discepoli, disse loro : “Se qualcuno vuole seguirmi, rinneghi se stesso, prenda la sua croce e mi segua. Perché chi vuole salvare la propria vita ma chi perderà la propria vita per causa mia e del Vangelo, la salverà”. (Mc 8, 27-35)

I discepoli credettero in Gesù

Quando i discepoli credettero in Gesù e lo confessarono come il Cristo, il Figlio di Dio, egli poté parlarne loro apertamente, e lo fece anche, per dissipare, se possibile, ogni falsa idea messianica che ancora avevano, e per prepararli a condividere le sue umiliazioni e i suoi dolori. Anche Marco (Mc 8,31) e Luca (Lc 9,20-22) mettono in relazione questa predizione direttamente con la confessione di Pietro. Marco aggiunge che egli disse loro con coraggio queste parole. È quando nasce la vera fede che il cristiano deve aspettarsi contraddizioni e sofferenze.

Per quanto riguarda Gesù, era necessario, dice. Una necessità misteriosa, fondata sul decreto della giustizia e della misericordia di Dio, annunciato nelle Scritture. Doveva essere fatto se non si voleva che il mondo perisse nel suo peccato.  Questo è ciò che Dio non voleva, e Gesù accetta la volontà del Padre per amore : “E come Mosè innalzò il serpente nel deserto, così bisogna che sia innalzato il Figlio dell’uomo, perché chiunque crede in lui abbia la vita eterna”. (Gv 3,14)

Il Sinedrio era composto da tre classi di uomini: gli anziani, i capi dei sacerdoti e gli scribi, o maestri della legge. C’era qualcosa di solenne nel modo in cui Gesù li nominava in dettaglio e li vedeva cospirare contro di lui per ucciderlo. Questa era la tragica rottura tra la teocrazia e il Messia e il suo regno ! Dopo la sconfitta, il trionfo; dopo la morte, la vita! Se una di queste predizioni aveva sopraffatto i discepoli, l’altra era destinata a sollevarli.

Ma qui i critici trovarono un ostacolo, e non si poteva negare che ci fosse una difficoltà. Non riuscendo a risolvere la questione, alcuni hanno messo in dubbio la predizione, mentre altri,   Meyer, per esempio, supponeva che la predizione fosse vaga e oscura. Ma non sono stati gli stessi evangelisti a darci la risposta all’enigma? Ancora pieni del loro pregiudizio ebraico su un Messia glorioso, non capivano assolutamente nulla di questa predizione della sua sofferenza e risurrezione.

“Ma essi non ne compresero nulla ; era per loro un linguaggio nascosto, parole di cui non afferravano il significato”. (Lc 18,34) L’esempio di Pietro dimostra che ha sentito meglio le parole di Gesù, ma che si è rifiutato risolutamente di entrare nei suoi pensieri. Come poteva un evento così straordinario come la risurrezione non sembrare loro incredibile ? E anche se non fossero stati così carenti nella comprensione di questo mistero, non c’era forse un’immensa distanza tra il comprendere e il credere ?

Questa riprovazione che Pietro si permetteva aveva senza dubbio lo scopo di convincere Gesù che era destinato a qualcosa di diverso da una simile fine. C’era amore per Gesù nella commozione di Pietro, ma più che altro ignoranza, anche quando invocava misericordia nei suoi confronti.   La sicurezza con cui Pietro affermava che ciò non sarebbe accaduto gli attirò le severe parole di Gesù : “Vattene via da me, Satana; tu mi sei di scandalo, perché non pensi alle cose di Dio, ma alle cose degli uomini”.

Gesù si allontanò indignato. Satana significa l’avversario, colui che resiste ; ma questo nome veniva comunemente dato al diavolo e Gesù, chiamando Pietro così, voleva fargli capire che in quel momento stava facendo l’opera del tentatore.  Lo dimostra lo scandalo che Gesù trovò nelle parole di Pietro. Gesù aveva bisogno di tutta la sua santa risoluzione e di tutta la sua forza per affrontare la sofferenza.

Pietro gli presenta la stessa tentazione di Satana nel deserto, offrendogli i regni del mondo e la loro gloria : “Il diavolo lo condusse di nuovo su un monte altissimo, gli mostrò tutti i regni del mondo e la loro gloria e gli disse : ‘Tutte queste cose ti darò se ti prostrerai e mi adorerai’”. (Mt 4,8-9) Pietro non pensava ai suoi grandi progetti di redenzione del mondo attraverso le sofferenze del Mediatore, ma alle idee carnali di un Messia glorioso. Ma queste parole, applicabili in ogni tempo, hanno una portata molto più generale.

 Chi è colui che si presenta agli uomini come l’oggetto supremo del loro amore, al quale devono sacrificare tutto, persino la loro stessa vita ? Chi parla così è Dio, oppure bestemmia mettendosi al posto di Dio.

Il diacono Michel Houyoux

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