Mercredi de la vingt deuxième semaine du le Temps Ordinaire – Année A

Posté par diaconos le 5 septembre 2023

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Mercredi de la vingt deuxième semaine du le Temps Ordinaire – Année A

Posté par diaconos le cinq septembre 2023

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, Jésus quitta la synagogue de Capharnaüm et entra dans la maison de Simon. Or, la belle-mère de Simon était oppressée par une forte fièvre, et on demanda à Jésus de faire quelque chose pour elle.

Il se pencha sur elle, menaça la fièvre, et la fièvre la quitta. À l’instant même, la femme se leva
et elle les servait. Au coucher du soleil, tous ceux qui avaient des malades atteints de diverses infirmités les lui amenèrent.

Et Jésus, imposant les mains à chacun d’eux, les guérissait. Et même des démons sortaient de beaucoup d’entre eux en criant : «C’est toi le Fils de Dieu !» Mais Jésus les menaçait et leur interdisait de parler parce qu’ils savaient, eux, que le Christ, c’était lui.

Quand il fit jour, Jésus sortit et s’en alla dans un endroit désert. Les foules le cherchaient ;
elles arrivèrent jusqu’à lui, et elles le retenaient pour l’empêcher de les quitter.

Mais il leur dit : «Aux autres villes aussi, il faut que j’annonce la Bonne Nouvelle du règne de Dieu, car c’est pour cela que j’ai été envoyé.» Et il proclamait l’Évangile dans les synagogues du pays des Juifs. (Lc 4, 38-44)

Jésus guérit la belle-mère de Pierre

Le royaume de Dieu se réfère à la manière dont Dieu désire que les choses soient accomplies maintenant. Par des versets précédant ce texte de l’évangile de Luc, Jésus décrit le royaume de Dieu : Jésus est venu proclamer la bonne nouvelle aux pauvres, guérir ceux qui ont le cœur brisé, prêcher la délivrance à ceux retenus captifs par le péché ou la maladie, pour que les aveugles recouvrent la vue, et pour renvoyer libres ceux que les blessures passées ont opprimés.

Il est venu annoncer une année de pardon et de restauration à tous ceux qui croiraient en lui et recevraient son message. Jésus est venu déclarer la volonté de Dieu, ses voies, et la méthode par laquelle il agit.

Lorsque Jésus a dit : «Je dois prêcher le royaume de Dieu», il voulait dire que le royaume de Dieu allait remplacer le royaume de Satan pour les personnes qui le recevraient.

Si vous avez reçu Jésus-Christ comme votre Sauveur et que vous avez fait de lui le Seigneur de votre vie, vous devez prendre exemple sur sa méthode et sur ses principes. Et agir selon sa parole et ses commandements tous les jours.

Cela implique de passer du temps à lire et méditer la parole de Dieu, au point d’en être imprégné et d’être dirigé par cette parole de vie. Vous apprendrez ainsi comment son royaume opère. En agissant de la sorte, vous y participerez et permettrez que son règne vienne.

Si vous ne connaissez pas encore Jésus, la porte est grande ouverte. Il ne rejettera jamais celui qui vient à lui (Jean 6, 37). Le royaume de Dieu est la justice, la paix et la joie par le Saint-Esprit. Celui qui sert Christ de cette manière est agréable à Dieu et approuvé des hommes. (Rm 14.17-18)

Aujourd’hui, prenez le temps de considérer vos voies afin de voir si vous opérez selon la méthode de Jésus. S’éloignant de nos indifférences, la peine des autres devient aussi parfois la nôtre, jusqu’à nous demander comment l’apaiser en devenant des acteurs de plus grande humanité.

Ce matin, la Parole nous rejoint là où nous sommes mais surtout, là où nous en sommes. Peut-être êtes-vous confrontés à l’inquiétude, née de ces fièvres physiques ou psychologiques, créant une forme de frontière entre un avant et un après ; une inquiétude se dessine alors dans votre vie. Regardons la mère de Simon ; guérie, elle se mit immédiatement à servir. L’idée du service est une réelle chance pour guérir de nos maux et regarder autrement.

En lisant les Écritures, il apparaît du reste clairement que la proposition de l’Évangile ne consiste pas seulement en une relation personnelle avec Dieu. Et notre réponse d’amour ne devrait pas s’entendre non plus comme une simple somme de petits gestes personnels en faveur de quelque individu dans le besoin, ce qui pourrait constituer une sorte de charité à la carte, une suite d’actions tendant seulement à tranquilliser notre conscience. La proposition est le Royaume de Dieu (Lc 4, 43).

il s’agit d’aimer Dieu qui règne dans le monde. Dans la mesure où il réussira à régner parmi nous, la vie sociale sera un espace de fraternité, de justice, de paix, de dignité pour tous. Donc, aussi bien l’annonce que l’expérience chrétienne tendent à provoquer des conséquences sociales.

Cherchons son Royaume : «Cherchez d’abord son Royaume et sa justice, et tout cela vous sera donné par surcroît» (Mt 6, 33). Le projet de Jésus est d’instaurer le Royaume de son Père ; il demande à ses disciples : «Proclamez que le Royaume des cieux est tout proche » (Mt 10, 7)

Sites intéressants à voir sur Internet

Ministère de l’Alliance →La Bonne Nouvelle du Royaume – Le ROYAUME de DIEU

◊ La Salle (France)→ Aux autres villes aussi, il faut que j’annonce la Bonne Nouvelle

Vidéo Pasteur Marc Pernot →https://youtu.be/3M9IBnnpDvI?t=2

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Ventitreesima domenica del Tempo Ordinario – Anno A

Posté par diaconos le 5 septembre 2023

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# Nel cristianesimo, la correzione fraterna è un processo di spiegazione da parte di un cristiano nei confronti del fratello, nel caso in cui quest’ultimo pecchi. Questo approccio è descritto nel Vangelo secondo Matteo : « Se tuo fratello pecca, va’ da lui e rimproveralo, uno per uno. Se ti ascolterà, avrai guadagnato il tuo fratello. Se non vi ascolta, prendete con voi uno o due altri, perché ogni questione sia decisa sulla parola di due o tre testimoni ».

Se rifiuta di ascoltare, ditelo alla comunità. E se rifiuta di ascoltare anche la comunità, sia per voi come il pagano e il pubblicano. In verità vi dico: tutto ciò che legherete sulla terra sarà tenuto in cielo come legato, e tutto ciò che scioglierete sulla terra sarà tenuto in cielo come sciolto ». La correzione fraterna assume la forma della conversione. È una delle tante forme di penitenza della vita cristiana e può far parte del sacramento della penitenza e della riconciliazione. La correzione fraterna può essere preceduta da una fase di preghiera e deve mantenere l’anonimato di chi ha peccato, in modo da preservare l’onore. La correzione fraterna è spesso un dovere. Dio spiega al profeta Ezechiele che non avvertire un fratello che pecca mortalmente significa di fatto essere colpevole quanto lui (Ez 33,7-9). Più ancora del timore per la propria salvezza, o della più nobile preoccupazione per il bene comune, ciò che motiva la correzione fraterna è l’amore per il fratello.

Nel 2011, Papa Benedetto XVI ci ha ricordato l’importanza di praticare la correzione fraterna, sottolineando quanto l’amore fraterno includa un senso di responsabilità reciproca. Papa Francesco ci ha raccomandato di tenere a mente che se dovete correggere un piccolo difetto in un’altra persona, pensate prima di tutto che voi stessi avete difetti molto più grandi. Se non siete capaci di esercitare la correzione fraterna con amore, carità, verità e umiltà, correte il rischio di offendere e distruggere il cuore di quella persona, aggiungerete solo pettegolezzi che fanno male e diventerete un ipocrita cieco, come Gesù ha denunciato. Dobbiamo quindi prendere in disparte il nostro prossimo, con dolcezza e amore, e parlargli. Dobbiamo anche dire la verità e non dire cose non vere. La correzione fraterna non deve consistere nel giudicare o accusare, ma nell’aiutare. Non dobbiamo giudicare il comportamento del nostro fratello. Le parole di Cristo risuonano nella nostra coscienza: « Non giudicate, perché non siate giudicati… Che hai da guardare il neo che è nell’occhio del tuo fratello? E non ti accorgi della trave nel tuo occhio!

Dal Vangelo di Gesù Cristo secondo Matteo

In quel tempo, Gesù disse ai suoi discepoli : « Se tuo fratello ha peccato contro di te, va’ e rimproveralo da solo. Se vi ascolterà, avrete vinto il vostro fratello. Se non ti ascolta, prendi con te una o due altre persone, in modo che l’intera questione possa essere risolta sulla parola di due o tre testimoni.

Se rifiuta di ascoltarli, ditelo alla Chiesa; se rifiuta ancora di ascoltare la Chiesa, consideratelo un pagano e un pubblicano. Amen, vi dico che tutto ciò che legherete sulla terra sarà legato in cielo, e tutto ciò che scioglierete sulla terra sarà sciolto in cielo. E allo stesso modo, amen, vi dico che se due di voi sulla terra sono d’accordo su qualsiasi cosa chiedano, la otterranno dal Padre mio che è nei cieli. Perché quando due o tre sono riuniti nel mio nome, io sono in mezzo a loro ». (Mt 18, 15-20)

Rimprovero fraterno

Se il vostro fratello vi offende, andate ad avvertirlo in particolare; se si convince, avete conquistato il vostro fratello. In caso contrario, portate con voi alcuni testimoni ; se non li ascolta, ditelo alla Chiesa; se infine non ascolta la Chiesa, consideratelo estraneo a ogni comunione fraterna.

La Chiesa ha il potere di pronunciarsi in tutti questi casi, di legare e di sciogliere, perché agirà nello spirito della preghiera, che può ottenere tutto.

L’efficacia della preghiera

Qual è il nesso tra l’istruzione che inizia con queste parole : « Dove due o tre sono così riuniti nel mio nome, lì sono io in mezzo a loro ? » Sono due aspetti dello stesso argomento: la carità non permette che i piccoli e i deboli siano scandalizzati o disprezzati ; quale condotta ispirerà a colui che, invece di fare un male simile, dovrà subirlo ?

Gesù ha descritto questo comportamento nelle sue varie fasi. Man mano che lo spiegava, generalizzava il suo pensiero e abbracciava tutto ciò che riguardava le relazioni reciproche tra fratelli della stessa comunità. Se uno pecca contro l’altro, lo offende, gli fa un torto, quest’ultimo deve prima andarsene, senza aspettare che il fratello venga da lui, per rimproverarlo, ammonirlo, fargli notare il suo torto, ma da solo con lui, un’importante condizione di prudenza e carità, il mezzo migliore per conquistarlo evitando di ferire la sua autostima

Tuttavia, le autorità su cui basiamo questa riduzione non sono decisive. Se fosse altrimenti, la domanda di Pietro sarebbe difficile da capire. Ottenere cosa? Alcuni hanno risposto : « Il tuo guadagno, avrai reso fratello colui che ti ha offeso, sarai riconciliato nell’amore ». Altri assegnano all’azione conciliante uno scopo più alto e interpretano : « Lo avrai conquistato a Dio, alla vita dell’anima, che rischiava di perdere ». Ma se non vi ascolta, prendete con voi una o due persone in più, in modo che ogni caso sia stabilito sulla parola di due o tre testimoni: questo è il secondo grado della riprovazione. Quale deve essere il ruolo dei testimoni ?

È indicato in queste parole : « Non basterà un solo testimone per opporsi a un uomo colpevole di un crimine, di una colpa o di un peccato, qualunque essi siano. Sarà necessaria la deposizione di due o tre testimoni per giudicare il caso ». (Dt 19,15)

Secondo Meyer, i testimoni devono registrare ogni parola dell’accusato per confermarla davanti alla Chiesa. Ma questo sarebbe un’invasione della terza fase, per cui Weiss pensava che i testimoni dovessero piuttosto sostenere la riprovazione con la loro autorità, cercando di convincere il fratello.

Il terzo stadio della riprovazione Gesù ha usato la parola Chiesa, e avrebbe potuto farlo, dato che alcuni discepoli riuniti intorno a lui formavano già una Chiesa. Con queste parole, egli guardava al futuro.

Con questo termine intendeva una Chiesa locale, un’assemblea di cristiani davanti alla quale si poteva portare una causa e trattarla fraternamente. Gesù aveva in mente un’assemblea di cristiani, alla quale attribuiva l’autorità necessaria per esercitare un atto di disciplina, perché presumeva che sarebbe stata animata dallo Spirito di Dio e illuminata dalla sua Parola, in base alla quale avrebbe giudicato.

Gesù autorizzò qualsiasi persona offesa che avesse fatto di tutto per vincere il fratello, a non avere più rapporti fraterni con colui che era indurito nella sua impenitenza. La carità, tuttavia, non può cessare, perché un cristiano ama anche un pagano e un peccatore.

L’autorità conferita a Pietro è conferita qui non solo agli anziani della Chiesa, ma alla Chiesa stessa, nella quale, secondo tutto il Nuovo Testamento, risiede il potere di giudicare le questioni riguardanti il suo governo, secondo la Parola e lo Spirito di Dio.

La Chiesa può, in certi casi, delegare i suoi poteri, ma essi le appartengono sotto la suprema autorità di Gesù Cristo. Questa seconda affermazione spiega e modifica profondamente la prima riguardante l’apostolo Pietro. Se due di voi sono d’accordo e pregano con una sola voce e un solo cuore, saranno ascoltati.

. Queste parole ci mostrano anche che la nozione cristiana di Chiesa non sta nei grandi numeri, o in tali e tante istituzioni, ma che due o tre credenti uniti nella preghiera sono una Chiesa, alla quale appartengono tutti i privilegi spirituali del più grande corpo ecclesiastico.

Infine, non dobbiamo limitare le parole di Gesù a questi due insegnamenti speciali sull’attività e la costituzione della Chiesa. Egli ha generalizzato il suo pensiero e lo scopo principale della sua affermazione è quello di renderci certa l’efficacia della preghiera in comune, in cui la fede di ciascuno è ravvivata dalla fede di tutti.

Questa efficacia è garantita dalla presenza di Gesù stesso in mezzo a coloro che sono riuniti nel suo nome. Questa presenza di Gesù Cristo in tutti i luoghi del mondo in cui si riuniscono i suoi discepoli è una magnifica dimostrazione della sua divinità.

Il diacono Michel Houyoux

Siti interessanti da visitare su Internet

◊ Qumran →Testi – XXIII Domenica del Tempo Ordinario (Anno A

◊ La Paroma (Italia) → Video Marcello Tunasi → 23.a Domenica del Tempo Ordinario

Vidéo Padre Fernando Aremellini https://youtu.be/1AR3QtmJTDg?t=2

 

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Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur

Posté par diaconos le 3 septembre 2023

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Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur

Posté par diaconos le trois septembre 2023

La parabole du bon samaritain met en scène un voyageur, attaqué et laissé pour mort par des bandits. Un cohen (prêtre) et un lévite, tous deux juifs, incarnant l’orthodoxie religieuse de l’époque, passent à côté de lui et ne s’en préoccupent pas, par respect pour leur obligation de servir au temple. Or un Samaritain, représentant d’une population que les Juifs tiennent pour impie, se montre capable de compassion envers l’inconnu grièvement blessé qui n’est pas de sa religion. Ce Samaritain donnera de son temps et de son argent pour lui sauver la vie.

La question que pose le docteur de la Loi porte sur le sens du mot prochain. Ce terme apparaît dans un passage du Lévitique (Lv,19:17- 18,6) : «Tu n’auras pas dans ton cœur de haine pour ton frère. Tu dois réprimander ton compatriote et ainsi tu n’auras pas la charge d’un péché. Tu ne te vengeras pas et tu ne garderas pas de rancune envers les enfants de ton peuple.»

Ici intervient le précepte «Tu aimeras ton prochain comme toi-même» (Lv 19, 18). C’est cette phrase que cite l’Évangile selon Luc juste avant la parabole.

La tradition juive attache une importance fondamentale à cette prescription, couramment appelée la Règle d’Or. Hillel, au premier siècle, en fit la source du principe de réciprocité, qui résume toute la Torah, s’il est complété par l’étude de Rabbi Akiva qui commenta, au deuxième siècle, cette Règle d’Or : principe de base de la Torah et loi la plus importante, lors de la discussion qui l’opposa à Ben Azzaï, et compara l’emplacement central de ce précepte, au milieu du Lévitique, lui-même au milieu des cinq Livres de la Torah , à l’emplacement du Tabernacle au milieu du cortège des Hébreux.

Le peuple des Samaritains évoqué dans le Deuxième livre des Rois se dit descendant des Hébreux en particulier de Jacob. Leur religion se fonda sur le seul Pentateuque et ils refusèrent la centralité religieuse de Jérusalem.

Au retour de leur captivité à Babylone, les juifs refusèrent de les admettre parmi eux. Depuis lors, les deux communautés évitèrent tout contact. D’après Flavius Josèphe, cette hostilité réciproque se serait envenimée à la suite d’une profanation du Temple de Jérusalem, des Samaritains y ayant jeté des ossements humains sous les portiques.

Ce fut une circonstance aggravante pour les juifs, le fait de manipuler des ossements humains, et donc de toucher un cadavre, était interdit. Ce fut à la suite de ces événements que, selon Josèphe, les Samaritains n’eurent plus accès au lieu saint et que, pour leur part, les Juifs préférèrent ne pas s’aventurer en Samarie.

Qui est notre prochain ?

J’élève les yeux pour trouver ton regard et pour que le tien trouve le mien. Je sais que tu me prends comme je suis, et que tu me réserves des aventures intérieures qui me feront grandir. Envoie ton Esprit afin qu’il prie en moi. Je ne trouve pas toujours les mots… ou les silences. Ouvre mon cœur par la chaleur de ta présence. Aujourd’hui,  nous demandons : »Et qui donc est mon prochain ?» (Lc 10, 29).

On raconte de certains juifs, curieux de voir disparaître leur rabbin la vigile du samedi. Ils soupçonnèrent qu’il gardait un secret, peut-être avec Dieu, et confièrent à l’un deux la tâche de le suivre.

Et ainsi il le fit, plein d’émotion, jusqu’à un recoin misérable de la ville, où il vit le rabbin balayer la maison d’une femme: elle était paralytique, et il la servait et lui préparait un repas spécial pour la vigile. Lorsque l’espion revint, on lui demanda : «Où est-il allé ? au ciel, entre les nuages ou les étoiles ?»

Ce dernier lui répondit : «Non, il est monté beaucoup plus haut». Aimer son prochain avec des actes concrets est ce qui le plus haut ; c’est là où se manifeste l’amour. Ne pas passer tout droit ! «C’est le propre Christ qui crie à travers les pauvres pour réveiller la charité de ses disciples» affirma le Concile Vatican II dans un document.

Faire le “bon samaritain” signifie changer ses plans, dédier du temps. Ceci nous amène aussi à examiner le personnage de l’aubergiste, comme disait le pape Jean-Paul II : «Qu’aurait-il pu faire sans lui ?»

L’aubergiste, qui demeure dans l’anonymat, réalisa la grande partie de la tâche. Tous nous pouvons nous comporter comme lui, remplissant les tâches qui nous sont propres avec esprit de service.Tout travail nous offre l’opportunité, plus ou moins directe, d’aider celui qui a besoin .La fidèle réalisation des devoirs professionnels consiste déjà à aimer les personnes et la société.

Tout laisser derrière nous recevoir celui qui a plus besoin (le bon samaritain) et bien faire son travail par amour (l’aubergiste), sont les deux formes d’amour qui nous correspondent : «Lequel à ton avis, a été le prochain ? Celui qui a fait preuve de bonté envers lui»

Jésus lui répondit : «Va, et toi aussi fais de même» (Lc 10,36-37). Recourrons à la Vierge Marie et Elle, qui est le modèle, nous aidera à découvrir les nécessités des autres, matérielles et spirituelles.

Jésus, Bon Samaritain, apprends-moi à aimer. Tu sais dans quelle situation je me trouve. Tu connais les tensions à la maison et les injustices au travail. Tu mesures les tentations qui m’invitent à m’enfermer, à forcer, à arracher, à séduire, à imposer, à contrôler.

Je vois en toi un courage viril et une tendresse maternelle pour attendre et recevoir avec gratitude, pour donner et offrir avec patience ; pour ne pas flancher d’un côté et prendre l’initiative de l’autre. Quelle grâce, quelle harmonie, quelle maîtrise de soi. Accorde-moi ton Esprit, Jésus. Apprends-moi à faire confiance au Père et à aimer mes frères et sœurs, afin que vienne le Règne du Père dans mon cœur et autour de moi !

Diacre Michel Houyoux

Sites intéressants à voir sur Internet

◊ Vérité biblique→ Aimer Dieu de tout notre cœur : Qu’est-ce que cela signifie ?

◊ Top chrétien → Et qui est mon prochain ? de Albert Leblond – Message texte

Vidéo Le bon Samaritain → https://youtu.be/pTxrm5ap1DQ

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Zevenentwintigste Zondag in de Gewone Tijd – Jaar B

Posté par diaconos le 30 septembre 2021

Wat God heeft samengevoegd laat geen man scheiden Muur | Etsy

De Kerk verbiedt niet de scheiding van echtgenoten om ernstige redenen, op voorwaarde dat er geen hertrouwen is; de  » eenvoudige  » scheiding verhindert dus niet de toegang tot de sacramenten. Overspel als zodanig verhindert zelfs de toegang tot de sacramenten niet, maar alleen het hertrouwen, dat beschouwd wordt als een blijvende installatie in overspel1 Voor de katholieke Kerk is het sacrament van het huwelijk onverbrekelijk.

Indien de echtgenoten uit elkaar gaan, wordt elk burgerlijk hertrouwen als ernstig zondig beschouwd. Gescheiden echtgenoten worden tijdens het leven van de eerste echtgenoot beschouwd als ongeschikt voor een verder wettig huwelijksleven. Het beginsel van de onverbrekelijkheid van het huwelijk is gebaseerd op het Nieuwe Testament, met name Mattheüs 5:31-32, Mattheüs 19:1-9, Marcus 10:2-12, Lucas 16:18 en 1 Korintiërs 7, 11. Deze teksten verbieden verstoting en hertrouwen.

Het evangelie van Matteüs vermeldt op twee plaatsen (5, 3-22 en 19, 9) een reden voor het verbod van het huwelijk die door de katholieke kerk in aanmerking wordt genomen, namelijk dat de onwettige verbintenis tijdens ilotex « ontucht » oplevert waaraan een echtgenoot schuldig zou zijn indien het huwelijk als geldig zou worden erkend. Er zijn andere gevallen waarin de verbintenis niet geldig (onwettig) is, in welk geval de Kerk ook een nietigverklaring van het huwelijk kan uitspreken, door middel van een uitspraak van een kerkelijke rechtbank.

Het huwelijk wordt dus niet ontbonden, maar wordt geacht nooit te hebben bestaan. Het is dan mogelijk om de toestemming in de kerk te hernieuwen. Het enkele feit dat het huwelijk is ontbonden, is echter niet voldoende om deze verklaring te verkrijgen. De meest voorkomende redenen om een huwelijk nietig te verklaren zijn gebrek aan onderscheidingsvermogen of een situatie van dwang ten tijde van het huwelijk.

Een huwelijk dat niet is geconsumeerd (d.w.z. dat geen aanleiding heeft gegeven tot seksuele betrekkingen) wordt ook als nietig beschouwd. Elk jaar worden ongeveer 55.000 verzoeken tot nietigverklaring ingediend bij de kerkelijke rechtbanken (ongeveer 500 in Frankrijk). In meer dan 90% van de gevallen leidt dit tot een nietigverklaring. Er zij op gewezen dat de katholieke kerk ook burgerlijke huwelijken tussen twee ongedoopte personen of tussen een ongedoopte en een gedoopte persoon als onverbrekelijk beschouwt, op twee uitzonderingen na.

Een huwelijk tussen twee ongedoopte personen kan door een bisschop worden ontbonden indien de ene echtgenoot het doopsel aanvaardt en de andere weigert (dit is het « Paulijns voorrecht », gebaseerd op 1 Korintiërs 7, 11); een huwelijk tussen een gedoopte echtgenoot en een ongedoopte echtgenoot kan door de paus worden ontbonden (dit is het « Petrijns voorrecht ») indien de ongedoopte echtgenoot het geloof van de gedoopte echtgenoot in gevaar brengt, die een gedoopte echtgenoot wenst te hebben. En de ontbinding van zo’n huwelijk kan alleen op verzoek van een van de echtgenoten worden uitgevoerd, zelfs tegen de wil van de ander.

De Kerk verbiedt de scheiding van echtgenoten om ernstige redenen niet, op voorwaarde dat er geen hertrouwen plaatsvindt; de « eenvoudige » scheiding verhindert dus niet de toegang tot de sacramenten. Overspel als zodanig verhindert zelfs de toegang tot de sacramenten niet, maar alleen het hertrouwen, dat beschouwd wordt als een blijvende installatie in overspel1 Voor de katholieke Kerk is het sacrament van het huwelijk onverbrekelijk.

Indien de echtgenoten uit elkaar gaan, wordt elk burgerlijk hertrouwen als ernstig zondig beschouwd. Gescheiden echtgenoten worden tijdens het leven van de eerste echtgenoot beschouwd als ongeschikt voor een verder wettig huwelijksleven. Het beginsel van de onverbrekelijkheid van het huwelijk is gebaseerd op het Nieuwe Testament, met name Mattheüs 5, 31-32, Mattheüs 19 1-9, Marcus 10, 2-12, Lucas 16, 18 en 1 Korintiërs 7, 11. Deze teksten verbieden verstoting en hertrouwen. Het evangelie van Matteüs vermeldt op twee plaatsen (5, 3-22 en 19, 9) een reden om het huwelijk te verbieden

Uit het Evangelie volgens Marcus

02 Enige Farizeeërs kwamen tot hem, en om hem te beproeven, vroegen zij hem: Is het geoorloofd, dat een man zijn vrouw wegzendt ? « 03 Jezus antwoordde hun : Wat heeft Mozes u bevolen  ? 04 Zij antwoordden hem : « Mozes heeft u toegestaan uw vrouw weg te zenden, op voorwaarde dat gij een akte van verstoting zoudt opmaken. 05 Jezus antwoordde : « Vanwege de hardheid van uw hart heeft hij deze regel voor u gemaakt.

06 Maar bij het begin van de schepping heeft God hen mannelijk en vrouwelijk gemaakt. 07 Daarom zal een man zijn vader en moeder verlaten,08 en zich aan zijn vrouw hechten, en die twee zullen tot één vlees worden. Zij zijn dus niet langer twee, maar één vlees. 09 Daarom, wat God heeft samengevoegd, laat niemand scheiden. 10 Toen de discipelen thuiskwamen, vroegen zij hem daar weer naar. 11 Hij zei tegen hen : « Wie zijn vrouw wegstuurt en met een andere vrouw trouwt, pleegt overspel met haar.

12 Als een vrouw die haar man heeft weggestuurd met een ander trouwt, wordt zij een echtbreekster. 13 Er waren mensen die Jezus kinderen aanboden om hen de handen op te leggen, maar de discipelen wezen hen haastig af. 14 Toen Jezus dit zag, werd hij toornig en zeide tot hen: Laat de kinderen tot mij komen; verhindert hen niet, want het koninkrijk Gods behoort aan hun soort. 15 « Voorwaar, Ik zeg u: Wie het koninkrijk Gods niet ontvangt als een klein kind, zal het niet binnengaan. 16 Hij kuste hen, zegende hen en legde hun de handen op « . (Mc 10,2-16)

Wat God heeft samengevoegd, laat niemand het scheiden !

 » Is het een man geoorloofd van zijn vrouw te scheiden? (Mr. 10, 2) Wat was de verzoeking waaraan de Farizeeën Jezus wilden onderwerpen? Hun algemene vraag moet bevestigend beantwoord zijn, daar echtscheiding in bepaalde omstandigheden bij de wet was toegestaan, en Jezus zelf had het toegestaan in het geval van overspel.

Zij waren op de hoogte van Jezus’ uitspraken tegen echtscheiding en hoopten Hem in conflict te brengen met de wet van Mozes en hun eigen traditie. « Mozes stond het schrijven van een scheidbrief en een verstotingsbrief toe » (Mc 10, 4). Volgens Matteüs wijst Jezus de echtscheiding af en herinnert Hij aan het oorspronkelijke ontwerp van God, die man en vrouw geschapen heeft om één te worden in een onverbrekelijke verbintenis; en het zijn de tegenstanders die de wet van Mozes aanvoeren als bezwaar tegen het door Jezus vastgestelde principe, omdat deze wet echtscheiding toestaat.

Volgens Marcus daarentegen was het Jezus, die zich het eerst op de wet beriep; en daar deze wet de Farizeeën gunstig scheen, legde Jezus de reden daarvan uit, namelijk de hardheid van het hart; daarna legde hij de bestemming van man en vrouw in het scheppingsplan uit. De inhoud van het onderricht bleef dezelfde, maar deze verschillen in de verslagen van Matteüs en Marcus tonen aan hoe onafhankelijk zij van elkaar waren.

Jezus citeerde woordelijk « Hij maakte hen mannelijk en vrouwelijk » uit Genesis 1, 27, het verslag van de schepping van man en vrouw, dat Gods bedoeling met hun vereniging aangaf, en vervolgens het woord van Adam (Genesis 2, 24), dat hij zich toeëigende en bekrachtigde met zijn gezag. Hij voegt eraan toe, als conclusie: « Zo zijn het niet langer twee die gescheiden kunnen worden, maar één vlees, één wezen » (Mt 19, 4-6).

Deze uitspraak maakt nog deel uit van de toespraak tot de Farizeeën. Het Evangelie van Matteüs vermeldt ook een vraag die de leerlingen aan Jezus stelden (zonder aan te geven dat hij thuis was), maar deze vraag betrof de wenselijkheid van het huwelijk (Matteüs 19, 10-12)

In Marcus is de gedachte heel anders. Hij veronderstelt een wederkerigheid en gelijkheid tussen de twee echtgenoten, die noch in de wet noch in de moraal bij de Joden bestond en die men alleen in Griekenland en Rome aantrof. Sommige uitleggers concluderen, dat hij het door Jezus gemelde gesprek aan deze vreemde gebruiken heeft aangepast, of dat Jezus vooraf een regel voor zijn Kerk heeft willen vastleggen.

Maar zelfs als het bij de Joden ongehoord was dat een vrouw haar man zou wegjagen, zou het dan niet mogelijk zijn dat Jezus zinspeelde op wat zojuist in de huishouding van Herodes was gebeurd? De gelijkheid van vrouw en man voor de wet en voor God komt zeker naar voren in het Evangelie, maar op een manier die in de oudheid totaal onbekend was. « Mattheüs, Marcus en Lucas vermelden dit leerzame en ontroerende verhaal, maar alle drie hebben ze geen duidelijk verband met wat voorafgaat en volgt.

Dat hij hen kon aanraken, kan in deze vrome ouders de gedachte doen postvatten dat, als deze man van God hun kinderen maar zou aanraken, een zegen voor hen het gevolg zou zijn. Om het Evangelie dat ons inleidt en het leven van boven dat de essentie ervan is, te kunnen ontvangen, moeten wij door goddelijke genade de eigenschappen teruggevonden hebben die het kleine kind onderscheiden: het gevoel van zijn zwakheid, van zijn absolute afhankelijkheid, nederigheid, openhartigheid. Het kind heeft geen vooroordelen en ontvangt dus met eenvoud van hart wat hem als waarheid wordt voorgehouden.

Jezus’ tederheid voor de kleinen en zwakken verklaart waarom hij verontwaardigd was tegen zijn leerlingen die hen van Hem wilden weghouden.  Jezus zegende hen door hen de handen op te leggen.  Dit gebaar was geen ijdel en loos symbool, maar het middel waarmee Jezus de zegen meedeelde. De goddelijke zegen bleef op deze kinderen rusten.

Diaken Michel Houyoux

Links naar andere christelijke websites

◊  Kerk in Hrent : klik hier om het artikel te lesen → Zevenentwintigste zondag door het jaar (B)

◊  Sint Odulphus van Brbant (Belgïe) : klik hier om het artikel te lesen → Preek van de week voor de zevenentwintigste zondag.

  In de naam van Jezus – De Moestuin

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