Le Fils de l’homme va être livré aux mains des hommes. Les disciples avaient peur de l’interroger sur cette parole

Posté par diaconos le 26 septembre 2020

Le Fils de l'homme va être livré aux mains des hommes

De l’Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là, comme tout le monde était dans l’admiration devant tout ce qu’il faisait, Jésus dit à ses disciples : « Ouvrez bien vos oreilles à ce que je vous dis  maintenant : le Fils de l’homme va être livré aux mains des hommes. » Mais les disciples ne comprenaient pas cette parole, elle leur était voilée, si bien qu’ils n’en percevaient pas le sens, et ils avaient peur de l’interroger sur cette parole.  (Lc 9, 43b-45)

Humilité et tolérance

Jésus déclara avec insistance à ses disciples qu’il dut être livré. Ils ne comprirent pas et redoutèrent de le questionner.  Les disciples se demandèrent lequel d’entre eux fut le plus grand. Jésus leur présenta un petit enfant et affirma que quiconque reçut cet enfant le reçut et reçut Dieu. Le plus petit fut le plus grand.

Jean confessa qu’ils empêchèrent un homme de chasser les démons au nom de Jésus parce qu’il ne fut pas des leurs. Jésus dit qu’ils n’auraient pas dû l’empêcher, car celui qui n’est pas contre eux est pour eux.

Pour vous, mes dis­ciples, qui de­vez vous dis­tin­guer de la mul­ti­tude et ne pas par­ta­ger son en­thou­siasme char­nel,  mettez dans vos oreilles ces paroles ; des pa­roles dans les­quelles Jé­sus an­non­ça ses pro­chaines souf­frances, au mo­ment même où tous furent dans l’ad­mi­ra­tion de ce qu’il fit.

Luc mit ainsi cette nou­velle pré­dic­tion des souf­frances de Jé­sus dans un rap­port im­mé­diat avec ce qui pré­cède ; Mat­thieu  et Marc la firent coïn­ci­der avec le re­tour de Jé­sus en Ga­li­lée, qui eut lieu peu de temps après la trans­fi­gu­ra­tion.

Ce­lui qui vint de ré­vé­ler avec au­tant de puis­sance que d’a­mour la grandeur de Dieu, livré entre les mains des hommes ! Quel contraste ! Quelle preuve que son sacrifice sera par­fai­te­ment vo­lon­taire !

La pa­role de la croix est tou­jours pour l’­homme na­tu­rel un mys­tère, si elle ne lui est pas fo­lie ou scan­dale. Ici, non seule­ment les dis­ciples ne la com­prirent pas, mais elle leur fut cachée par une dis­pen­sa­tion de Dieu, afin qu’ils ne la saisirent pas.

Leur aveu­gle­ment en­traî­na une sorte de ju­ge­ment de Dieu. Car, leur igno­rance ne fut pas pu­re­ment in­tel­lec­tuelle, elle eut des causes mo­rales ; ils com­prirent as­sez les pa­roles de Jé­sus pour en être  fort at­tris­tés, mais dans leur peur de la souf­france, ils craignirent de l’interroger au sujet de cette parole. S’ils eurent eu le cou­rage de l’in­ter­ro­ger, Jé­sus les au­rait ins­truits plus com­plè­te­ment.

Diacre Michel  Houyoux

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Regnum Christi : cliquez ici pour lire l’article →  Le Fils de l’homme va être livré aux mains des hommes.

◊  Catholique.og.: cliquez ici pour lire l’article →  Toute souffrance renferme une promesse de salut

Rencontre avec le Christ : Le brigand sur la croix

Image de prévisualisation YouTube

Publié dans Catéchèse, Histoire du Salut, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Tu sei Cristo, il Messia di Dio. Il Figlio dell’uomo deve soffrire molto.

Posté par diaconos le 25 septembre 2020

Tu sei Cristo, il Messia di Dio. Il Figlio dell'uomo deve soffrire molto. dans articles en Italien ges%25C3%25B9%2Bdiscepoli

Tu sei benedetto, … tu sei la pietra su cui edificherò la mia chiesa

Dal Vangelo di Gesù Cristo secondo San Luca

Quel giorno, Gesù stava pregando in clausura. Mentre i suoi discepoli erano lì, egli chiese loro : « Chi dicono che io sia le moltitudini ? »  Risposero : « Giovanni il Battista; ma ad alcuni, Elia, e ad altri, un profeta di vecchi che era risorto dai morti. «  Gesù chiese loro : « E voi cosa dite ? Chi pensi che io sia ? » Allora Pietro rispose e disse : « Il Cristo, il Messia di Dio ». »
Ma Gesù, con autorità, proibì loro fortemente di dirlo a qualcuno, dichiarando : « Il Figlio dell’uomo deve soffrire molto, essere rifiutato dagli anziani, dai capi dei sacerdoti e dagli scribi, essere ucciso, e al terzo giorno risorgere di nuovo. « (Lc 9, 18-22).

Confessione di Pietro

Gesù, dopo aver pregato in solitudine, chiese ai suoi discepoli quale fosse l’opinione che regnava tra la gente su di lui. Risposero che si pensava fosse Giovanni Battista, Elia, o uno degli antichi profeti. Poi ha chiesto loro i loro sentimenti. Pietro rispose : « Tu sei il Cristo di Dio. »  Gesù proibì loro di rivelarlo in questo momento e disse : « Il Figlio dell’uomo deve soffrire molto, essere messo a morte e risuscitato il terzo giorno. »

Poi disse a tutti : « Se qualcuno vuole essere mio discepolo, deve seguirmi sulla via della rinuncia e della croce ». Voler salvare la propria vita significa perderla. Perderla significa salvarla. Ora la salvezza dell’anima vale più del possesso del mondo intero, perché nel giorno della sua gloria il figlio dell’uomo si vergognerà di colui che si è vergognato di lui davanti agli uomini.

Luca è stato quello di tutti gli evangelisti che più spesso ha indicato queste preghiere di Gesù in solitudine. Solo lui ha riferito che Gesù si è preparato pregando per la scena epocale che sta per seguire. Come osserva M. Godet, è probabile che egli associasse i suoi discepoli alla sua preghiera e li mettesse così in una disposizione adeguata alle circostanze.

Qui il colloquio tra Gesù e i suoi discepoli si è svolto nella regione di Cesarea di Filippo. Luca non solo omette questa indicazione di luogo, ma sembra collegare il suo testo alla moltiplicazione dei pani, mentre i primi due Vangeli intercalano un gran numero di racconti che egli passava interamente in silenzio. Era importante per Gesù apprendere ciò che si pensava di lui tra la folla, ma infinitamente più importante sapere quale fosse la fede dei discepoli, e provocare una confessione di questa fede da parte loro per rafforzarli.

Nei tre Vangeli, Pietro ha riconosciuto il Signore Gesù come il Cristo, ma ogni evangelista formula questa idea a modo suo :

Matteo: Cristo, il Figlio del Dio vivente;
Marco: Cristo;
Luca: il Cristo di Dio.

Quest’ultima espressione, così come: il Cristo del Signore, significa il Cristo (Messia, Unto) che viene da Dio, e che Dio manda al mondo.

Nei tre sinottici, questo primo annuncio delle sofferenze di Cristo segue immediatamente la grande confessione di Pietro : « Tu sei il Cristo.  » Anche in tutti e tre, Gesù proibì ai suoi discepoli di farlo conoscere. Ma è stato Luca a far emergere con maggiore chiarezza e forza il significato di questo incontro. La ragione di questa proibizione era che Gesù non voleva intrattenere le aspettative carnali dei suoi seguaci.

« Si aspettavano un Messia glorioso mentre stava per soffrire. Né voleva provocare l’odio dei suoi avversari prima del tempo. E Gesù, sapendo che stavano per venire a portarlo via e a farlo re, si ritirò di nuovo sulla montagna, ed egli solo. « (Gv 6:14-15)

I primi due evangelisti riferirono l’opposizione di Pietro alle sofferenze di Gesù e il suo severo rimprovero nei suoi confronti. Luca ha omesso questa caratteristica, che andava a svantaggio di Pietro; ma ha omesso anche le belle parole di Gesù : « Tu sei benedetto, … tu sei la pietra su cui edificherò la mia chiesa ».

Il diacono Michel Houyoux

Link ad altri siti web cristiani

◊ Scuola di Pieghera : clicca qui per leggere l’articolo → Tu sei il Cristo di Dio. Il Figlio dell’uomo deve soffrire molto

◊ Absi : clicca qui per leggere l’articolo → TU SEI IL CRISTO DI DIO. IL FIGLIO DELL’UOMO

Bella professore di religione  : « Voi chi dite che io sia? »: Gesù secondo i sinottici

Image de prévisualisation YouTube

Publié dans articles en Italien, Enseignement, Religion, TEMPO ORDINARIO, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Tu es le Christ, le Messie de Dieu. Il faut que le Fils de l’homme souffre beaucoup.

Posté par diaconos le 25 septembre 2020

Tu es le Christ, le Messie de Dieu. Il faut que le Fils de l’homme souffre beaucoup.  dans Catéchèse

De l’Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce jour-là, Jésus était en prière à l’écart. Comme ses disciples étaient là, il les interrogea : « Au dire des foules, qui suis-je ? » Ils répondirent : « Jean le Baptiste ; mais pour d’autres, Élie ; et pour d’autres, un prophète d’autrefois qui serait ressuscité. » Jésus leur demanda : « Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? » Alors Pierre prit la parole et dit : « Le Christ, le Messie de Dieu. »
Mais Jésus, avec autorité, leur défendit vivement de le dire à personne, et déclara : « Il faut que le Fils de l’homme souffre beaucoup, qu’il soit rejeté par les anciens, les grands prêtres et les scribes, qu’il soit tué, et que, le troisième jour, il ressuscite. » (Lc 9, 18-22)

Confession de Pierre

Jésus, après avoir prié dans la solitude, demanda à ses disciples quelle opinion régna parmi le peuple à son sujet. Ils répondirent qu’on le tint pour Jean-Baptiste, Élie ou l’un des anciens prophètes. Il leur demanda alors leur propre sentiment. Pierre répondit  : « Tu es le Christ de Dieu ». Jésus leur défendit de le révéler présentement, et ajouta : « Il faut que le fils de l’homme souffre beaucoup, qu’il soit mis à mort, et qu’il ressuscite le troisième jour. »

Puis il dit à tous : « Si quelqu’un veut être mon disciple, il faut qu’il me suive dans la voie du renoncement et de la croix. »  Vouloir sauver sa vie, c’est la perdre : la perdre, c’est la sauver. Or le salut de l’âme vaut plus que la possession du monde entier, parce que, au jour de sa gloire, le fils de l’homme aura honte de celui qui aura eu honte de lui devant les hommes.

Luc fut ce­lui de tous les évan­gé­listes qui fit re­mar­quer le plus fré­quem­ment ces prières de Jé­sus dans la so­li­tude. Seul il nous rap­porta que Jé­sus se pré­para en priant à la scène ca­pi­tale qui va suivre. Comme le re­marque M. Go­det, il est pro­bable qu’il as­so­cia à sa prière ses dis­ciples et les plaça ainsi dans des dis­po­si­tions ap­pro­priées aux circonstances.

Ici, l ’en­tre­tien entre Jé­sus et ses dis­ciples, eut lieu dans la contrée de Cé­sa­rée de Phi­lippe. Non seule­ment Luc omit cette in­di­ca­tion de lieu, mais il pa­rut rat­ta­cher son texte à celle de la mul­ti­pli­ca­tion des pains, tan­dis que les deux pre­miers évan­giles in­ter­calent un grand nombre de ré­cits qu’il passa en­tiè­re­ment sous si­lence.Il im­por­ta  à Jésus  d’ap­prendre ce qu’on pen­sa de lui parmi les foules, mais in­fi­ni­ment plus en­core de sa­voir quelle fut la foi des dis­ciples et de pro­vo­quer de leur part une confes­sion de cette foi, afin de les y af­fer­mir.

Dans les trois évan­giles, Pierre re­con­nut le Sei­gneur Jé­sus comme le Christ ; mais chaque évan­gé­liste for­mula cette idée à sa ma­nière :

  • Mat­thieu : le Christ, le Fils du Dieu vivant ;
  • Marc : le Christ ;
  • Luc : le Christ de Dieu.

Cette der­nière ex­pres­sion, de même que : le Christ du Sei­gneur, si­gni­fie le Christ (Mes­sie, Oint) qui vient de Dieu, et que Dieu en­voie au monde.

Dans les trois sy­nop­tiques, cette pre­mière an­nonce des souf­frances de Christ suit im­mé­dia­te­ment la grande confes­sion de Pierre : « Tu es le Christ. Dans tous les trois aussi, Jé­sus dé­fendit à ses dis­ciples de le faire connaître. Mais ce fut Luc qui fit res­sor­tir avec le plus de clarté et de force le sens de ce rap­pro­che­ment. La rai­son de cette in­ter­dic­tion fut que Jé­sus ne vou­lut pas en­tre­te­nir les es­pé­rances char­nelles que nour­rirent ses adhé­rents.

Ceux-ci at­ten­dirent un Mes­sie glo­rieux, tan­dis que lui al­lait souffrir. Il ne vou­lut pas non plus pro­vo­quer avant le temps la haine de ses ad­ver­saires. Ce mo­tif res­sortit avec plus d’é­vi­dence en­core du ré­cit de Jean : « Ces gens, ayant vu le miracle que Jésus avait fait, disaient: Celui-ci est vraiment le prophète qui doit venir dans le monde.Et Jésus, sachant qu’ils allaient venir l’enlever pour le faire roi, se retira de nouveau sur la montagne, lui seul. » (Jn 6, 14-15)

Les deux pre­miers évan­gé­listes rap­portèrent l’op­po­si­tion faite par Pierre aux souf­frances de Jésus et la sé­vère ré­pré­hen­sion que ce­lui-ci lui adressa. Luc omit ce trait, qui fut tout au désa­van­tage de Pierre ; mais il passa aussi sous si­lence les belles pa­roles de Jé­sus : «  Tu es bien heu­reux, …tu es la pierre sur la­quelle je bâ­ti­rai mon Église  ».

Diacre Michel Houyoux

       Complément

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Tu es le Christ, le Messie de Dieu. – Il faut que le Fils de l’homme souffre beaucoup

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊  Regnum Christi  : cliquez ici pour lire l’article →  Tu es le Christ, le Messie de Dieu

◊ Croire  : cliquez ici pour lire l’article →  Jésus : fils de Dieu, fils de l’homme

Homélie du Père Henri Boulad : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant « 

Image de prévisualisation YouTube

 

Publié dans Catéchèse, Page jeunesse, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

Jean, je l’ai fait décapiter. Mais qui est cet homme dont j’entends dire de telles choses ?

Posté par diaconos le 24 septembre 2020

La décollation de saint Jean-Baptiste - Jean-Baptiste Marie Pierre

La décollation de Jean-Baptiste – Auteur : Pierre, Jean-Baptiste Marie (1714-1789)

De l’Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là, Hérode, qui était au pouvoir en Galilée, entendit parler de tout ce qui se passait et il ne savait que penser. En effet, certains disaient que Jean le Baptiste était ressuscité d’entre les morts. D’autres disaient : « C’est le prophète Élie qui est apparu. » D’autres encore : « C’est un prophète d’autrefois qui est ressuscité. » Quant à Hérode, il disait : « Jean, je l’ai fait décapiter. Mais qui est cet homme dont j’entends dire de telles choses ? » Et il cherchait à le voir. » (Lc 9, 7-9)

Mort de Jean-Baptiste

D’a­près les deux pre­miers évan­gé­listes, ce fut Hé­rode lui-même qui ex­prima l’i­dée ren­fer­mée dans ces ver­sets, tan­dis que Luc la mit dans la bouche de ses alen­tours. Il n’y eut là au­cune contra­dic­tion, car si d’autres eurent ins­piré cette pen­sée à Hé­rode, il se l’eut ap­pro­priée, et en fut rem­pli de crainte ; il fut donc na­tu­rel qu’il l’ex­pri­mât lui-même.

Il faut re­mar­quer ici une nuance si­gni­fi­ca­tive : tan­dis qu’on di­sait que Jean ou quel­qu’un des pro­phètes était ressuscité, Élie était, pen­sait-on, apparu ; c’est qu’Élie, d’a­près l’Écri­ture, n’é­tait pas mort, mais avait été trans­porté di­rec­te­ment au ciel :  » 1 Et comme ils continuaient leur chemin et s’entretenaient en marchant, voici, un char de feu, et des chevaux de feu les séparèrent l’un de l’autre. Et Élie monta aux cieux dans un tourbillon. » (2 R 2, 11)

La ré­pé­ti­tion fit voir la conscience ef­frayée d’­Hé­rode. Mat­thieu et Marc ra­contèrent en dé­tail com­ment Hé­rode  fit décapiter Jean-Bap­tiste. Luc conserva seul ce trait qu’­Hé­rode chercha à voir Jé­sus. Il put l’a­voir ap­pris par des dis­ciples qui ap­par­tinrent à la mai­son d’­Hé­rode : « Or il y avait dans l’Église qui était à Antioche des prophètes et des hommes chargés d’enseigner : Barnabé, Syméon appelé Le Noir, Lucius de Cyrène, Manahène, compagnon d’enfance d’Hérode le Tétrarque, et Saul. » Ac 13,  1)

Ce prince vo­lup­tueux et lâche se trou­va en pré­sence de Jésus un an plus tard, mais pour le voir et le condam­ner par son si­lence : « À la vue de Jésus, Hérode éprouva une joie extrême : en effet, depuis longtemps il désirait le voir à cause de ce qu’il entendait dire de lui, et il espérait lui voir faire un miracle. » (Lc 23, 8)

Diacre Michel Houyoux

Complément

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article →: Je veux que, tout de suite, tu me donnes sur un plat la tête de Jean le Baptiste

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊  Regnm Christi : cliquez ici pour lire l’article → Jean, je l’ai fait décapiter. Mais qui est cet homme dont j’entends dire de telles choses ?

◊ Hozana  : cliquez ici pour lire l’article → Mais qui est cet homme ?

Jean-Baptiste, les leçons d’une mort atroce – Jean-Fils BAKONGO

Image de prévisualisation YouTube

Publié dans Catéchèse, Histoire, Religion, Temps ordinaire | Pas de Commentaire »

1...314315316317318...327
 

Passion Templiers |
CITATIONS de Benoît XVI |
La pastorale Vauban |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | chrifsossi
| La Mosquée de Méru
| Une Paroisse virtuelle en F...