Twenty-ninth Sunday in Ordinary Time – Year A

Posté par diaconos le 14 octobre 2020

Give therefore unto Caesar what is Caesar’s, and to God what is God’s

Twenty-ninth Sunday in Ordinary Time - Year A dans comportements Pile-Of-Ancient-Silver-Coins

From the Gospel of Jesus Christ according to Saint Matthew

At that time, the Pharisees went to the council to trap Jesus by making him speak. They sent their disciples to him, accompanied by Herod’s followers : « Teacher, » they said to him, « we know that you are always true and that you teach the way of God in truth; you do not allow yourself to be influenced by anyone, for you do not consider people according to their appearance.

Then give us your opinion : Is it permissible, yes or no, to pay tax to Caesar, the emperor ? « Knowing their perversity, Jesus said, « Hypocrites, why do you want to test me ? Show me the currency of the tax. « They presented him with a coin of one denarius. He said to them, « Whose image and inscription are these ? « And they answered, « Caesar’s. Then he said to them, « Render therefore to Caesar what is Caesar’s, and to God what is God’s. » And he said to them, « Give therefore to Caesar what is Caesar’s, and to God what is God’s.  » (Mt 22, 15-21)

Relationship between the State and the Church

This last replica of today’s Gospel is famous, it is one of the most famous phrases of Jesus, the most important, and also the most difficult because it poses the whole problem of the relationship between State and Church, Christians and politics, power and freedom of conscience.   For the Old Testament, all power comes from God. We heard in the first reading, taken from the book of Isaiah, that King Cyrus was anointed by God to do the divine work without knowing Him (Is 45, 1-6).

Saint Paul, applying the same principle, asked the first Christians to submit to the civil authorities (Rm 13, 1.7).   « Is it permissible, yes or no, to pay tax to the emperor ?  »  But Jesus, knowing their perversity, replied : « hypocritical ! Why are you laying a trap for me ? Show me the tax money.   » This see tells us that neither Jesus nor his dfollowers had this money on them, while the Pharisees, supposedly opposed to Rome, did.

  »Return to Caesar what is Caesar’s and to God what is God’s. «    When Jesus returned to Caesar what belonged to him and to God what belonged to him, he gave us the true lesson of this event. There was something else to do than to argue among ourselves about the tax.

Pay the emperor the honours due to him, especially the tax. As for the inscription on the coins, which made the emperor a god: worship only God. Throughout his public life, Jesus never stopped saying this. To create in the image of God, we are destined to share His life. Every person deserves absolute respect because his or her destiny is divine.

The God I believe in is revealed in the face of Jesus Christ. He does not impose Himself by any formula. He asks himself with us : « Who am I for you ? He is relationship, gift and forgiveness. He is one and he is three. He is community and reciprocity. It is love. »

The only thing that counts, the most important thing, is to place oneself before the preaching of Jesus, for or against God, open or closed to his Kingdom. The reality of the earth, whether it was governed by Caesar or by someone else, fades away to make way for the new Kingdom. Through baptism, the Christian is a citizen of Heaven, and only God reigns there, not through taxes but through his grace of light and love.

Are we determined to belong to God as totally as this denarius belonged to the Emperor Tiberius ? This is the conversion that Jesus expects from all of us. This episode reminds us of our total dependence on God. It is not a question of making gods in our image, especially that of money, but of discovering that the only image of Jesus is us. May our concern for our own well-being not make us forget that of others !

Today is World Mission Sunday… . Christ calls us to send us out as witnesses of God’s love for all people. This Sunday has become « Mission Sunday », where our mission is recalled. For the world we must be radiant communities. We truly bear a strong witness when, like the Thessalonians, we have an active faith, a charity that gives itself, and a hope that holds firm. (2nd reading)

Deacon Michel Houyoux

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links to other websites of Christians

◊ LoLoya Press : click here to read the paper   →  Twenty-Ninth Sunday in Ordinary Time, Cycle A

◊  The Catholic Productions  : click here to read the paper   →The Twenty-ninth Sunday of Ordinary Time, Year A

Sermon preached at Saint Luke’s Church in Sedona, Arizona.

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Nous ne sommes pas les enfants d’une servante, nous sommes ceux de la femme libre

Posté par diaconos le 12 octobre 2020

L’image contient peut-être : 3 personnes, texte qui dit ’tere Nous ne sommes pas es enfants d'une servante, nous sommes ceux de la femme libre. C'est pour que nous soyons LIBRES que le Christ nous a libérés. Ga4 4,22-24.26-27.31-5,1 @NotreDamedesInternautes’

Nous sommes les enfants de la femme libre

De la lettre de saint Paul apôtre aux Galates

Frères, il est écrit qu’Abraham a eu deux fils, l’un né de la servante, et l’autre de la femme libre. Le fils de la servante a été engendré selon la chair ; celui de la femme libre l’a été en raison d’une promesse de Dieu. Ces événements ont un sens symbolique : les deux femmes sont les deux Alliances. La première Alliance, celle du mont Sinaï, qui met au monde des enfants esclaves, c’est Agar, la servante. tandis que la Jérusalem d’en haut est libre, et c’est elle, notre mère. L’Écriture dit en effet : Réjouis-toi, femme stérile, toi qui n’enfantes pas ; éclate en cris de joie, toi qui ne connais pas les douleurs de l’enfantement, car les enfants de la femme délaissée sont plus nombreux que ceux de la femme qui a son mari. Dès lors, frères, nous ne sommes pas les enfants d’une servante, nous sommes ceux de la femme libre. C’est pour que nous soyons libres que le Christ nous a libérés. Alors tenez bon, ne vous mettez pas de nouveau sous le joug de l’esclavage.  (Ga 4, 22-24.26-27.31 – 5, 1)

Allégorie des deux alliances

Abraham eut deux fils ; l’un d’une femme esclave, et l’autre d’une femme libre. Celui de l’esclave naquit selon la chair ; et celui de la femme libre, en vertu de la promesse  divine. Abra­ham et Sara ne purent plus avoir d’es­pé­rance de voir cette pro­messe se réa­li­ser. Ces choses al­lé­go­ri­sées , ont un sens pro­fond ren­fermé sous les faits his­to­riques.

Si l’on a pu dire de l’­his­toire pro­fane, avec une en­tière vé­rité, que chaque évé­ne­ment porta en lui l’en­sei­gne­ment qui res­sortit de tout l’en­semble de l’­his­toire ; à plus forte rai­son en fut-il ainsi dans l’­his­toire du règne de Dieu. Ce règne se dé­ve­loppa gra­duel­le­ment, d’une ma­nière or­ga­nique, sous la di­rec­tion de Dieu, de sorte que les faits les moins im­por­tants en ap­pa­rence re­flétèrent les plus grands évé­ne­ments ou plu­tôt les ren­fermèrent en germe, comme le chêne ma­jes­tueux fut pen­dant un temps ca­ché dans le gland qui lui  donna nais­sance  : « Il leur proposa une autre parabole, et il dit: Le royaume des cieux est semblable à un grain de sénevé qu’un homme a pris et semé dans son champ. (Mt 13, 31-

Tous les faits du règne de Dieu sont à la fois his­toire et pro­phé­tie. Il est donc lé­gi­time de re­cher­cher dans les Écri­tures de l’An­cien Tes­ta­ment ces grains de se­mence qui conte­naient la riche mois­son du Nou­veau Tes­ta­ment ; mais il faut bien prendre garde à la position qu’oc­cupe dans l’en­semble de l’­his­toire chaque évé­ne­ment par­ti­cu­lier et ne ja­mais le dé­ta­cher de cette liai­son na­tu­relle et organique, qui seule en in­dique le sens.

L’er­reur de tant d’in­ter­pré­ta­tions al­lé­go­riques vient de ce que, per­dant de vue le cours gé­né­ral de l’­his­toire, aban­don­nant le ter­rain des faits, on a voulu rat­ta­cher ces in­ter­pré­ta­tions à des res­sem­blances for­tuites, à des ana­lo­gies ar­bi­traires ; de sorte qu’au lieu d’expliquer l’­his­toire vé­ri­table, on se créa à côté de celle-ci une his­toire fan­tas­tique, et alors il n’y eut plus de bornes aux aber­ra­tions de l’i­ma­gi­na­tion. Telles furent les in­ter­pré­ta­tions al­lé­go­riques fort en usage dans la lit­té­ra­ture juive au temps de Paul.

En re­cou­rant à l’al­lé­go­rie, Paul fut sûr d’être bien com­pris de ses pre­miers lec­teurs. Mais put-on dire qu’il eut évité tous les écueils du genre et ne fut pas tombé dans l’ar­bi­traire en ap­pli­quant aux deux al­liances l’exemple d’A­gar et de Sara ? Ce rap­pro­che­ment forcé n’ajouta rien à sa dé­mons­tra­tion.

Par le moyen des al­lé­go­ries on ne peut rien fon­der ni rien prou­ver d’une ma­nière cer­taine ; mais elles servent à or­ner, à éclai­rer, à rendre plus in­tel­li­gible une thèse bien dé­mon­trée d’autre part. Si Paul n’a­vait pas com­mencé par éta­blir à force d’ar­gu­ments so­lides que nous ne sommes pas jus­ti­fiés de­vant Dieu par les œuvres de la loi, mais par la foi seule, il n’au­rait rien prouvé par cette al­lé­go­rie. Mais après avoir fondé cette vé­rité sur l’ex­pé­rience des croyants, sur l’exemple d’A­bra­ham, sur les té­moi­gnages et les dé­cla­ra­tions de la sainte Écri­ture, il ajoute fi­na­le­ment cette al­lé­go­rie pour agrémenter  sa dé­mons­tra­tion. Comme un ta­bleau orne une mai­son qui a été au­pa­ra­vant bâ­tie sur de fermes as­sises et lui donne bonne ap­pa­rence, ainsi l’al­lé­go­rie em­bel­lit une so­lide ar­gu­men­ta­tion. (Luther)

 Paul vit dans Agar et Sara une image des deux alliances, ou des deux tes­ta­ments, d’où furent issus deux peuples dif­fé­rents.

D’une part, Agar, es­clave, qui en­fanta, non se­lon la pro­messe, mais se­lon la chair, re­pré­senta le Tes­ta­ment de Sinaï qui ne pro­duisit  que l’esclavage. Elle correspondit à la Jérusalem d’à présent, le centre théo­cra­tique de ce peuple juif qui s’obs­tina à vou­loir res­ter dans la servitude de Si­naï, en re­pous­sant la li­berté de la grâce ; à vou­loir ob­te­nir par la chair ce qui ne s’ob­tint que par la pro­messe.

 Sara, la femme libre, de qui des­cendirent les en­fants de la pro­messe, re­pré­senta le Tes­ta­ment de la grâce, la vraie Église de Dieu, la Jérusalem d’en haut, qui fut la mère des croyants, puis­qu’ils naquirent de nou­veau dans son sein, et par les moyens de grâce dont elle fut dé­po­si­taire,  puis­qu’elle ren­ferma tous ceux que le Fils eut af­fran­chis et ren­dus fils de Dieu, ses vrais hé­ri­tiers.

Ainsi Paul, vou­lant ca­rac­té­ri­ser les dif­fé­rences des deux Tes­ta­ments par des types his­to­riques, mit en contraste : Agar et Sara, la chair et la pro­messe, l’es­cla­vage et la li­berté ; et, dans le dé­ve­lop­pe­ment de cette com­pa­rai­son, une autre image s’offrit à lui pour rendre la même pen­sée, et il op­posa : Si­naï et la Jé­ru­sa­lem ter­restre à la Jé­ru­sa­lem d’en haut, ou à la vraie Église de Dieu.

Paul vou­lut rap­pe­ler la pa­trie des des­cen­dants d’Ismaël, dont plu­sieurs tri­bus ha­bi­tèrent l’A­ra­bie, et qui furent les en­fants d’A­gar. Paul chercha à com­plé­ter ainsi et à rendre plus frap­pant le pa­ral­lèle éta­bli dans tout ce pas­sage entre Agar et Si­na. Paul appliqua à Agar et à Sara, ainsi qu’à leur pos­té­rité res­pec­tive, l’une se­lon la chair, l’autre se­lon la pro­messe, les pa­roles du prophète, qui furent le com­men­ce­ment d’une ma­gni­fique des­crip­tion de l’é­tat pros­père du peuple de Dieu sous la nou­velle al­liance.

Dans le pas­sage pro­phé­tique, il n’est pas di­rec­te­ment ques­tion de Sara ; Isaïe s’adressa au vé­ri­table Israël, au­quel il pro­mit un glorieux ave­nir. Mais Sara pou­vait, à bon droit, être consi­dé­rée comme la mère de ce peuple de Dieu. Sa longue sté­ri­lité, sui­vie de la nais­sance d’I­saac, était une juste image de la sté­ri­lité spi­ri­tuelle du peuple d’Israël, sui­vie de la plénitude de bé­né­dic­tions qu’il de­vait re­ce­voir en Jé­sus-Christ. (Olshausen)

Te­nez-vous fermes dans la li­berté en Christ, et gar­dez-vous des sé­duc­teurs

La liberté par Christ et en Christ, la servitude sous la loi et dans toute propre jus­tice de l’­homme, voilà le contraste qui fit le mieux com­prendre l’Évan­gile de la grâce de Dieu. Ces pa­roles furent à la fois la conclu­sion de tout ce qui pré­céda, et une tran­si­tion na­tu­relle à l’ex­hor­ta­tion sui­vante.

Diacre Michel Houyoux

Complément

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → À cette génération il ne sera donné que le signe de Jonas le prophète

Liens avec d’autres sites chrétiens sur Internet

◊ Le monde orthodoxe : cliquez ici pour lire l’article → Du fils libre et du fils de la servante

◊ Marcel Braekers : cliquez ici pour lire l’article →  Enfants de la femme libre

Nous ne sommes pas les enfants d’une servante

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Béatification de Carlo Acutis à Assise en Italie

Posté par diaconos le 11 octobre 2020

 Béatification de Carlo Acutis à Assise en Italie dans comportements

Miracle

Un miracle, reconnu cette année par le Vatican, a ouvert la voie à la béatification de Carlo Acutis, dernière étape avant de devenir saint. En 2013, un enfant brésilien, souffrant de troubles digestifs et d’une rare anomalie du pancréas, fut sauvé sans opération médicale après que sa famille eût prié pour l’intercession de Carlo, décrit l’Église.

La foi profonde de  Carlo Acutis  le conduisit vers la sainteté. Ce samedi 10 octobre après-midi depuis l’église supérieure de la basilique Saint François, le cardinal Agostino Vallini, légat pontifical pour les basiliques d’Assise, l’a béatifié à Assise. Le père Will Conquer  lui  consacra un livre, qui revient sur la figure de ce millenial dont la pureté de cœur interpelle.

Depuis huit siècles, Assise est liée au nom de saint François…. Et depuis 2020, ce nouveau bienheureux, dont le lumineux tombeau se trouve en l’église Santa Maria Maggiore.  Carlo Acutis. Ce jeune italien mourut à quinze ans d’une leucémie foudroyante.

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Blessed is the mother who carried you inside her ! – Blessed are those who listen to the word of God!

Posté par diaconos le 10 octobre 2020

How can we define a mother? - Quora

From the Gospel of Jesus Christ according to Holy Luke

At that time, as Jesus was speaking, a woman raised her voice in the midst of the crowd and said to him, « Blessed is the mother who bore you in her, and whose breasts nourished you! « Then Jesus said to her, « Blessed are those who hear the word of God and burn it up! « (Lk 11:27-28).

Blessed are those who hear the word of God

And a certain woman, lifting up her voice from the crowd, said unto him, Blessed is the womb that bore thee, and the breasts that nursed thee.  « Blessed are they that hear the word of God and keep it. « 

This woman, probably a mother, who proclaimed Jesus’ mother blessed in this way, had understood what Jesus had said in the previous speech; she had understood that Jesus was the Messiah ; this truth penetrated her mind like a ray of light. In the emotion she felt, she immediately thought of the woman who gave birth to Jesus. The admiration she expressed betrayed her motherly feelings, rather than a well enlightened and firm religious faith.

Her feeling is good, but she speaks like a woman. (Bengel). It is inconceivable that, despite Jesus’ response, Catholic interpreters used this woman’s words to sanction the cult of the Virgin. This response is probably not a blame.

Rather, Jesus had grasped this movement with a sincere heart, but it was to raise it up to its true object, the word of God listened to and kept as a seed of divine life. He made the woman feel that she herself could be happy like the woman whose happiness she had just celebrated. Luke alone preserved this remarkable fact of Gospel history.

Mary the mother of Jesus

Mary was a first-century woman of Nazareth, the wife of Joseph, and the mother of Jesus, according to the canonical gospels and the Quran.

The gospels of Matthew and Luke in the New Testament and the Quran describe Mary as a virgin. In Matthew and Luke she is betrothed to Joseph. According to Christian theology she conceived Jesus through the Holy Spirit while still a virgin. She accompanied Joseph to Bethlehem, where Jesus was born.

According to Catholic and Eastern Christian teachings, at the end of her earthly life God raised her body directly into heaven ; this is known in the Christian West as the Assuumption. Mary has been venerated since early Crisrianity and is considered by millions to be the most meritorious holy of the religion.

She is said to have miraculously appeared to believers many times over the centuries. TheEastern and Oriental Orthodox,Catlolic,Anglican, and Lutheran churches believe that Mary, as mother of Jesus, is the Theotokos (Mother of God) There is significant diversity in the Marian beliefs and devotional practices of major Christian traditions.

The Catholic Church holds distinctive Marian dogmas, namely her status as the Mother of God, her Immaculate Conception, her perpetual virginity, and her Assumption into heaven. Many Protestants minimize Mary’s role within Christianity, basing their argument on the lack of biblical support for any beliefs other than the virgin birth (actually a virginal conception). Mary also has the highest position in Islam among all women. She is mentioned in the Quran more often than in the New Testament where two of the longer chapters of the Quran are devoted to her and her family.

Deacon Michel Houyoux

Links to other Christian sites on the Internet

◊ Catholic  Daily : click here to read the paper →    Blessed Mary, Mother of God
◊ Desiring God  : click here to read the paper → Blessed Is She Who Believed | Desiring God

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