Saint Joseph, époux de la Bienheureuse Vierge Marie

Posté par diaconos le 18 mars 2024

Saint Joseph, Époux de la Vierge Marie ( 19 mars)

 Saint Joseph et l’enfant Jésus

# Souvent, dans les communautés chrétiennes des deux premiers siècles, la croyance en la divinité de Jésus emprunte des chemins différents de ceux de l’Église de Rome, en particulier dans celles de Perse. Certaines (ébionites et elkasaïtes) restent attachées à la transcendance du Dieu, selon le judaïsme traditionnel, et à l’humanité de Jésus. D’autres, comme les marcionites et les montanistes, exaltent la divinité de Jésus et récusent sa matérialité. d’autres mouvements, inspirés par les gnostiques, suivent la même voie, au contraire des judéo-chrétiens.

Ignace d’Antioche (35-107) insista sur la réalité de la vie terrestre de Jésus. Justin de Naplouse (105-135) recourt à la suite de l’Évangile de Jean au terme logos, emprunté à la philosophie grecque, qui signifie la raison divine qui pénètre et gouverne le monde. Origène (185-254) essaie de comprendre comment la nature humaine s’unit à la nature divine en Jésus. Pour lui, Jésus ne peut être vraiment homme sans âme humaine; la nature divine ne pouvait s’unir directement avec le corps. Les gnosticismes chrétiens considérèrent qu’il exista une nature divine et une mauvaise non miscibles et en conflit.

# Jésus parmi les docteurs, également appelé le recouvrement de Jésus au Temple, la découverte de Jésus dans le Temple ou encore les retrouvailles au Temple, est un épisode du début de la vie de Jésus représenté dans l’Évangile selon Luc. Il est le seul événement de la fin de l’enfance de Jésus mentionné dans un Évangile. L’épisode est fréquemment représenté dans l’art, et est une composante commune dans les cycles de la Vie de la Vierge ainsi que la Vie du Christ.

Dans les premières représentations chrétiennes, Jésus est généralement représenté au centre, assis sur un dais élevé entouré par les anciens, qui sont souvent sur des bancs. Le geste habituellement fait par Jésus, montrant son pouce levé, peut être un geste rhétorique classique exprimant l’acte d’exposer un texte. Ces représentations dérivent des compositions picturales classiques de professeurs de philosophie ou de rhétorique avec leurs élèves, et sont semblables aux représentations médiévales des conférences universitaires contemporaines

Cette composition picturale peut apparaître jusqu’à l’époque d’Ingres et au-delà. Durant la période du haut Moyen Âge, le moment habituellement représenté est la découverte en elle-même, par l’inclusion de, initialement, Marie, et plus tard de Joseph, habituellement à la gauche de la scène. Typiquement, l’objet des discussions entre Jésus et les docteurs n’est pas encore relevé. À partir du XIIe siècle Jésus est souvent assis dans un grand fauteuil en forme de trône, tenant parfois un livre ou un rouleau, laissant penser un débat sur les écritures.

Dans les représentations du bas Moyen Âge, les docteurs, portent ou consultent maintenant souvent de grands ouvrages. Ils possèdent parfois des caractéristiques juives et ont un caractère ouvertement antisémite. À partir des avancées techniques de la Haute Renaissance, de nombreux peintres ont montré un avant-plan de la scène, avec Jésus étroitement entouré de savants gesticulant, comme dans les deux principales versions de Dürer, celles de Madrid et de Dresde.

Rembrandt, qui aimait dans divers sujets dépeindre des sages juifs dans le Temple, fait trois gravures à l’eau-forte du sujet (Bartsch 64-66) ainsi qu’une scène beaucoup plus inhabituelle de « Jésus revenant du Temple avec ses parents. Le peintre préraphaélite William Holman Hunt peint une version appelée la Découverte du Sauveur dans le Temple, maintenant à Birmingham, comme un certain nombre de ses œuvres sur la vie de Jésus, pour lesquels il s’est rendu en Terre Sainte pour étudier les détails locaux.

Le sujet a attiré quelques artistes depuis le XIXe siècle, et l’une des dernières représentations notables est la version peinte par Han van Meegeren, en imitant Vermeer, devant la police néerlandaise, afin de démontrer que les tableaux qu’il avait vendus à Hermann Göring étaient également faux.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

Chaque année, les parents de Jésus se rendaient à Jérusalem pour la fête de la Pâque. Quand il eut douze ans, ils montèrent en pèlerinage suivant la coutume. À la fin de la fête, comme ils s’en retournaient, le jeune Jésus resta à Jérusalem à l’insu de ses parents. Pensant qu’il était dans le convoi des pèlerins, ils firent une journée de chemin avant de le chercher parmi leurs parents et connaissances. Ne le trouvant pas, ils retournèrent à Jérusalem, en continuant à le chercher.

C’est au bout de trois jours qu’ils le trouvèrent dans le Temple, assis au milieu des docteurs de la Loi : il les écoutait et leur posait des questions, et tous ceux qui l’entendaient s’extasiaient sur son intelligence et sur ses réponses. En le voyant, ses parents furent frappés d’étonnement, et sa mère lui dit : «Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ? Vois comme ton père et moi, nous avons souffert en te cherchant ! » Il leur dit : «Comment se fait-il que vous m’ayez cherché ? Ne saviez-vous pas qu’il me faut être chez mon Père ? » Mais ils ne comprirent pas ce qu’il leur disait. Il descendit avec eux pour se rendre à Nazareth, et il leur était soumis. (Lc 2, 41-51a)

Jésus retrouvé dans le Temple de Jérusalem

D’après la loi :«Trois fois par an – à la fête des Pains sans levain, à la fête des Semaines et à la fête des Tentes –, tous les hommes paraîtront devant la face du Seigneur ton Dieu, au lieu qu’il aura choisi. Ils ne paraîtront pas les mains vides devant la face du Seigneur.» (Dt 16, 16), tous les Israélites hommes devaient se rendre chaque année à Jérusalem pour y célébrer les trois grandes fêtes de Pâque, de Pentecôte et des Tabernacles.

La loi ne prescrivait rien aux femmes, mais elles s’y rendaient fréquemment, quand leur piété leur en inspirait le désir ; ce fut le cas pour Marie. Quant aux jeunes gens, les préceptes rabbiniques ordonnaient qu’ils fussent conduits au temple un ou deux ans avant l’âge de treize ans, à partir duquel ils étaient tenus de remplir toutes les obligations légales et devenaient les fils de la loi. Les jours, peuvent être les sept jours prescrits par la loi pour la durée de la fête ou les quelques jours qu’ils s’étaient proposé de passer a Jérusalem, car la présence a la fête n’était obligatoire que les deux premiers jours : «Pendant sept jours, vous mangerez des pains sans levain. Dès le premier jour, vous ferez disparaître le levain de vos maisons. Et celui qui mangera du pain levé, entre le premier et le septième jour, celui-là sera retranché du peuple d’Israël.» (Ex 12, 15)

Ce fut le soir, au moment où chaque famille se réunissait pour la nuit, que Marie et Joseph s’aperçurent de l’absence de l’enfant. Au premier abord, on a de la peine à comprendre que Jésus resta seul a Jérusalem, et que ses parents quittèrent la ville sans s’inquiéter de son absence. Aussi une certaine critique s’empressa d’accuser l’enfant d’un manque d’égards envers ses parents et ceux-ci de négligence. Quant à ces derniers, l’expression de Luc : « Pensant qu’il était dans la compagnie de route », indique une circonstance qui mit en quelque mesure leur responsabilité à couvert.

Les caravanes de pèlerins se composaient de parents et d’amis parmi lesquels un enfant de douze ans pouvait être en parfaite sécurité. Pour ce qui est de Jésus, d’une part, Luc signala la soumission de l’enfant a sa famille ; d’autre part, Jésus expliqua pleinement ses motifs. Pour lui, les jours de la belle fête de Pâque, qu’il célébra pour la première fois, et dont il pénétrait déjà la signification religieuse, laissa dans son cœur des impressions profondes, auxquelles il se livra avec bonheur et sans arrière-pensée.

Le sentiment croissant de son rapport tout spécial avec Dieu l’éleva en ce moment au-dessus des relations purement humaines. C’est ce qu’il déclara plus tard : «Jésus lui répondit : «Femme, que me veux-tu ? Mon heure n’est pas encore venue.» (Jn 2, 4) Par ces trois jours, il faut entendre la première journée de chemin qu’ils firent, une seconde pour retourner à Jérusalem et la troisième, celle où ils le trouvèrent. Dans le temple, dans quelque salle dépendante de l’édifice, ou même sur la terrasse, les membres des sanhédrins s’y réunissaient le jour du sabbat et à l’époque des fêtes et enseignaient.

Son intelligence des vérités religieuses parut, soit dans les questions qu’il fit, soit dans ses réponses à celles qu’on lui adressa. L’étonnement des parents vint de ce qu’ils ne s’étaient pas attendus à le trouver dans un tel lieu et engagé dans de tels entretiens. Jamais encore Jésus ne se produisit ainsi publiquement. Il y eut dans les paroles de Marie un ton de reproche qui vint de l’inquiétude qu’elle éprouva et qu’elle exprima vivement. Certains critiques prétendirent que Luc, en montrant Marie inquiète, oublia les révélations qu’elle eut reçues.

Marie savait que son enfant était le Fils de Dieu, pouvait-elle dès lors éprouver de l’angoisse à son sujet ? Ainsi, Jésus eut déjà conscience de son origine divine. Il nomma Dieu son Père, sentant que ce nom peut seul exprimer la réalité et l’intimité de son rapport avec Dieu. Il en fut si rempli, qu’il lui parut naturel d’oublier tout le reste pour être aux choses de son Père ; ce fut  là pour lui une nécessité morale. Son intelligence des vérités religieuses parurent dans les questions qu’il fit, dans ses réponses à celles qu’on lui adressa.

L’étonnement des parents vint de ce qu’ils ne s’’attendirent pas à le trouver dans un tel lieu et engagé dans de tels entretiens. Jamais encore Jésus ne s’était ainsi produit publiquement. Il y a dans les paroles de Marie un ton de reproche qui vint de l’inquiétude qu’elle éprouva et qu’elle exprima vivement. Certains critiques prétendirent que Luc, en montrant Marie inquiète, oublia les révélations qu’elle eut reçues. Marie savait que son enfant était le Fils de Dieu, pouvait-elle dès lors éprouver de l’angoisse à son sujet  ?

Jésus avait alors déjà conscience de son origine divine. Il nomma Dieu son Père, sentant que ce nom put seul exprimer la réalité et l’intimité de son rapport avec Dieu. Il en fut si rempli, qu’il lui parut naturel d’oublier tout le reste pour être aux choses de son Père ; ce fut là pour lui une nécessité morale. Tous les parents ne sont-ils pas surpris quand un jour ils découvrent que leurs enfants ont cessé d’être des enfants ? Les parents de Jésus, tout prévenus qu’ils furent, éprouvèrent cette surprise avec une force redoublée.

Malgré la sagesse dont il fut rempli, Jésus n’exprima d’une manière aussi claire son rapport spécial avec Dieu ; la parole qu’il prononça fut pour Marie une révélation nouvelle qui ne pénétra que par degrés dans son intelligence e plus improbable qu’une telle pensée qui, même indirectement et discrètement exprimée, serait tout à fait déplacée dans ces circonstances. La conscience qu’il eut de son rapport unique avec son Père, loin d’être en opposition avec cette humble obéissance, en fut plutôt la source. Jésus fut ainsi le modèle de l’enfance, comme il resta, pour tous les âges, le type accompli d’une vie humaine sans péché et se développant dans le bien absolu.

Diacre Michel Houyoux

Complément

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Fête de saint Joseph, époux de la vierge Marie – Solennité

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◊ Marche dans la Bible : cliquez ici pour lire l’article → Luc 2, 41-52 – Marie retrouve Jésus au temple

◊ Le jour du Seigneur : cliquez ici pour lire l’article →Saint Joseph, Époux de Marie

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Пятое воскресенье Великого поста – год Б

Posté par diaconos le 17 mars 2024

Пятое воскресенье Великого поста - год Б dans Bible

Мы хотим видеть Иисуса

#Сын Человеческий – это эсхатологическая фигура, которая использовалась в еврейских апокалиптических кругах с послеэксильского периода. Это выражение встречается, в частности, в книге Даниила. В Евангелиях Иисус чаще всего использует это название, говоря о себе. Сам термин является дословным переводом греческого uios tou anthrôpou, перевода арамейского bar nasha, слов, использовавшихся в качестве языковых заменителей слова « человек » во времена Иисуса.

Толкования, которым оно подверглось в христианстве, изменили первоначальный смысл на человечество Иисуса. Впервые этот термин упоминается в седьмой главе Книги пророка Даниила и относится к гонениям Антиоха Эпифана незадолго до Маккавейского восстания (около 160 года до н. э.). В Новом Завете есть более восьмидесяти отрывков, в которых Иисус из Назарета называет себя « Сыном Человеческим ». Он представлял себя как будущего эсхатологического судью.

# Кенозис – термин в христианской теологии, выражаемый греческим словом κένωσις, « акт опустошения, избавления от всего »; его значение в христианстве подчеркивается в послании Павла к Филиппийцам (Фил 2, 6).Эта концепция привела к многочисленным разработкам в теологии, которая подчеркивает уменьшение Бога. Из любви Бог лишает себя других своих божественных атрибутов, таких как всемогущество, слава, неприкосновенность, совершенствосамодостаточность и доминирующее над миром провидение.

Теология кенозиса решает загадку зла, утверждая, что страдает прежде всего Бог, а не человек : « Но нет. Бог не допускает зла, Бог не допускает зла, он страдает от него, он умирает от него, он в первую очередь является его жертвой »Таким образом, кенозис относится не к божественной природе Христа, а только к его человечеству.

Из Евангелия Иисуса Христа от Иоанна

В то время среди них были греки, которые пришли в Иерусалим поклониться Богу во время Пасхи. Они пришли к Филиппу, который был родом из Вифсаиды Галилейской, и спросили его : « Мы хотим видеть Иисуса » Мы хотели бы видеть Иисуса » 30Филипп сказал Андрею, и оба рассказали Иисусу. Тогда Иисус сказал им : « Пришел час прославиться Сыну Человеческому. Аминь, аминь, говорю вам: если пшеничное зерно, падши в землю, не умрет, то останется одно; а если умрет, то принесет много плода. »

Кто любит свою жизнь, тот потеряет ее, а кто оставит жизнь свою в этом мире, тот сохранит ее для жизни вечной. Если кто хочет служить Мне, пусть идет за Мною; и где Я, там и слуга Мой будет. Если кто Мне служит, Отец Мой почтит его. Теперь моя душа потрясена. Что мне сказать ? Отче, спаси меня от этого часа. Но нет! Вот почему я пришел в этот час! Отец, прослави имя Твое! И тут с неба раздался голос : « Я прославил Его и еще прославлю ».

Услышав это, люди сказали, что это было похоже на гром. Другие говорили : « Ангел говорил с Ним ». Но Иисус отвечал им : « Голос был не для Меня, но для вас.«   Ныне суд миру сему; ныне князь мира сего изгнан будет вон, и Я, вознесшись от земли, привлеку к Себе всех людей. Под этим Он подразумевал ту смерть, которая постигнет Его. (Иоанна 12, 20-33).

Мы хотим видеть Иисуса

Мы хотим видеть Иисуса. Такова была просьба некоторых греков после Вербного воскресенья. Они симпатизировали иудейской вере и приехали в Иерусалим на Пасху. Они слышали о Его триумфальном въезде в Иерусалим. Они отправились на поиски учеников и в конце концов нашли Филиппа. Они подошли к нему и рассказали о своем самом большом желании: увидеть славу Того, чью хвалу они все воспевали.Да, они согласились, но слава, которую они видели, была славой распятого человека. Они видели смерть автора жизни, человека, который был трансцендентным, пригвожденным к кресту. Этот Иисус, поднятый с земли, обретет славу, потому что привлечет к Себе всех людей.

« Мы хотели бы видеть Иисуса ». Это прекрасная фраза, которая звучит из каждого сердца, жаждущего Бога. Сегодня Иисус обращается к каждому из нас. Мы тоже хотели бы увидеть Иисуса. Иисус дает нам понять нечто очень важное: мы встретим Его там, где никогда не думали. Он всегда виден, но так, как мы и представить себе не могли. Он – в больном, которого мы навещаем у его больничной койки; в человеке, которого отпустили без причины, в заключенном, с которым мы поддерживаем связь, в человеке, который стал жертвой клеветы и сплетен.

Унижение становится величием. Поражение становится триумфом. Самое унизительное орудие пыток того времени превращается в прославленный крест. Мы видим в нем сияющий символ любви. Мы находим этот крест в наших церквях, а также на перекрестках и вершинах холмов.Когда мы смотрим на него, нам открывается прославление любви, превосходящей наше воображение. Но видеть Иисуса недостаточно. Он ожидает, что мы будем следовать за Ним и подражать Ему.

В Евангелиях снова и снова звучит призыв : « Возьми свой крест и следуй за Иисусом ». Путь Христа – это стремительный спуск. Он прямо противоположен тому, что советуют люди. Мы живем в мире, где предпочтение отдается деньгам, власти и статусу. Но когда Иисус ищет людей, Он спускается в воплощение и становится рабом. Он спускается среди людей и становится последним. Таким образом, Он приглашает нас следовать за Ним, даже на смерть, чтобы мы могли разделить Его воскресение.

Следование за Иисусом означает также страдания на стороне наших ближних, на стороне тех, кто живет в отчаянии. Он также приглашает нас присоединиться к тем, кто борется с бедностью. Одним словом, нам нужно заново открыть для себя евангельский смысл любви к ближнему: любить, слушать других, служить, делиться, заботиться о самых бедных. Каждое воскресенье мы празднуем Евхаристию в общении со всей Церковью, чья миссия – привести нас к Иисусу.

Иисус посылает нас свидетельствовать о Своей любви и надежде в нас, напоминая нам, что Он с нами каждый день до конца света. Давайте вместе помолимся Ему, чтобы Он дал нам силы и мужество для миссии, которую Он возложил на нас.

Диакон Мichel Houyoux

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◊ Божественная литургия 17 марта 2024 года : нажмите здесь → https://youtu.be/xZb0sdnNrFc

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Samedi de la quatrième semaine du Carême – Année Paire

Posté par diaconos le 16 mars 2024

JÉSUS APPELLE QUICONQUE A SOIF. - Vie chrétienne - Journal Chrétien ...

 

De l’Évangile de Jésus Christ selon Jean

En ce temps-là, Jésus enseignait au temple de Jérusalem. Dans la foule, on avait entendu ses paroles, et les uns disaient : « C’est vraiment lui, le Prophète annoncé ! » D’autres disaient : « C’est lui le Christ ! » Mais d’autres encore demandaient : « Le Christ peut-il venir de Galilée ? L’Écriture ne dit-elle pas que c’est de la descendance de David et de Bethléem, le village de David, que vient le Christ ? » C’est ainsi que la foule se divisa à cause de lui. Quelques-uns d’entre eux voulaient l’arrêter, mais personne ne mit la main sur lui. Les gardes revinrent auprès des grands prêtres et des pharisiens, qui leur demandèrent : « Pourquoi ne l’avez-vous pas amené ? »

Les gardes répondirent : « Jamais un homme n’a parlé de la sorte ! » Les pharisiens leur répliquèrent : « Alors, vous aussi, vous vous êtes laissé égarer ? Parmi les chefs du peuple et les pharisiens, y en a-t-il un seul qui ait cru en lui ? Quant à Parmi les chefs du peuple et les pharisiens Nicodème, l’un d’entre eux, celui qui était allé précédemment trouver Jésus, leur dit : «Notre Loi permet-elle de juger un homme sans l’entendre d’abord pour savoir ce qu’il a fait ?» Ils lui répondirent : «Serais- tu, toi aussi, de Galilée ? Cherche bien, et tu verras que jamais aucun prophète ne surgit de Galilée !» Puis ils s’en allèrent chacun chez soi. (Jn 7, 40-53

Jésus appelle à lui quiconque a soif

Ces paroles furent celles que Jésus prononça et dont Jean décrivit les effets divers sur plusieurs de la foule. Pour les uns, qui avaient reçu une impression sérieuse, il était le prophète(Jn 1, 21 ; Jn 6, 14), le précurseur du Messie. Pour d’autres, plus avancés dans la foi, il était le Christ, le Messie. Conclusion capitale qu’ils retinrent des discours de Jésus et de la vive impression qu’ils en reçurent ! Il y eut division parmi la foule (Jn 9, 16 ; Jn 10, 19 ; 1 Co ,10). Comme Jean marqua deux nuances parmi les croyants, il en nota deux aussi parmi les opposants. Les uns exprimèrent leur doute par une objection, les autres voulurent procéder immédiatement par des voies de fait .

Personne ne mit la main sur lui. Même les huissiers envoyés pour l’arrêter sentirent leurs mains retenues par la puissance divine de sa parole. Ces huissiers envoyés par le sanhédrin pour se saisir de Jésus reculèrent devant l’exécution de leur mandat. Ils auraient cru commettre un sacrilège en mettant la main sur lui. Ils ne cherchèrent même pas la moindre excuse pour avoir manqué à leur devoir. Tout remplis de ce qu’ils entendirent, ils se contentèrent de cette réponse, qui fut un témoignage rendu à la puissance de la parole de Jésus. «C’est un puissant discours une parole énergique qu’ils prononcent dans leur humilité !» (Luther). «C’est là un caractère de la vérité, de convaincre des hommes simples, plutôt que leurs maîtres.» (Bengel )

Le sanhédrin était assemblé pour recevoir le prisonnier que les huissiers devaient amener. Ce sont les pharisiens, les rigoureux gardiens de l’orthodoxie, qui prennent la parole, ils citent les hommes de leur parti comme les seuls modèles que les huissiers auraient dû imiter. Aveuglés par leur orgueil, ils prétendent qu’aucun des chefs ni des pharisiens n’avait cru en Jésus. Il y avait pourtant, présent à la séance, un pharisien qui leur prouva le contraire (Jn 12, 42).Ce fut là, de la part des chefs le langage d’un souverain mépris et de la haine pour la foule ignorante.

Cette malédiction qu’ils prononcèrent sur elle dans leur colère devint officielle, sous la forme de l’excommunication prononcée contre tous ceux qui crurent en Jésus (Jn 9, 22).«Souvent ceux qui ont été timides hors du danger deviennent les défenseurs de la vérité dans le danger même» (Bengel Ce mot de Jean : qui était l’un d’entre eux, donne d’autant plus de poids au témoignage de Nicodème et dément la parole des pharisiens. Cet appel à la loi, en présence d’hommes qui reprochèrent à la foule de ne pas la connaître, fut ironique.

Au lieu de répondre à la question de Nicodème, ces hommes passionnés et endurcis se contentèrent de lui dire une injure, car c’en était une à leurs yeux ; que d’appeler Galiléen un membre du sanhédrin. Et, en même temps, ils insinuèrent que Nicodème eut des sympathies pour Jésus, le Galiléen.

Diacre Michel Houyoux

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Prédications : Cliquez ici pour lire l’article Samedi de la quatrième semaine de Carême

Diocèse de Valleyfield Cliquez ici pour lire l’article 2022-C-Jn 7, 40-53- samedi de la 4e semaine du CARÊME

Vidéo Diocèse d’Avignon Cliquez ici https://youtu.be/qpyxBmGvkYw

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Vijfde zondag in de veertigdagentijd – Jaar B

Posté par diaconos le 15 mars 2024

Vijfde zondag van de veertigdagentijd (B) - YouTube

# De Mensenzoon is een eschatologische figuur die al sinds de post-exilische periode gebruikt wordt in joodse apocalyptische kringen. Deze uitdrukking komt met name voor in het boek Daniël. In de evangeliën is het de titel die Jezus het vaakst gebruikt als hij over zichzelf spreekt. De term zelf is een letterlijke vertaling van het Griekse uios tou anthrôpou, een vertaling van het Aramese bar nasha, woorden die in de tijd van Jezus werden gebruikt als taalkundig substituut voor « mens ».

De interpretaties waartoe het in het christendom aanleiding gaf, verschoven de oorspronkelijke betekenis naar de menselijkheid van Jezus. De term wordt voor het eerst genoemd in het zevende hoofdstuk van het Boek Daniël en wordt gedateerd op de vervolging door Antiochus Epifanes kort voor de Makkabeese Opstand (rond 160 voor Christus). Er zijn meer dan tachtig passages in het Nieuwe Testament waarin Jezus van Nazareth naar zichzelf verwijst als de « Mensenzoon ». Hij stelde zichzelf voor als de toekomstige eschatologische rechter.

# Kenosis is een term in de christelijke theologie die wordt uitgedrukt door het Griekse woord κένωσις, « daad van lediging, ontdoen van alles » ; de betekenis van deze term in het christendom wordt belicht in de brief van Paulus aan de Filippenzen (Fil 2, 6). Dit concept heeft geleid tot talrijke ontwikkelingen in een theologie die de reductie van God sterk benadrukt. Uit liefde ontdoet God zich van zijn andere goddelijke eigenschappen zoals almacht, heerlijkheid, onschendbaarheid, volmaaktheid, zelfvoorziening en wereldoverheersende voorzienigheid.

De theologie van kenosis gaat om met het mysterie van het kwaad door te beweren dat het in de eerste plaats God is die lijdt en niet de mens: « Maar nee. God staat het kwaad niet toe, God laat het kwaad niet toe, hij lijdt eraan, hij sterft eraan, hij is er in de eerste plaats het slachtoffer van ». Kenosis verwijst dus niet naar de goddelijke natuur van Christus, maar alleen naar zijn menselijkheid.  # Kenosis is een term in de christelijke theologie die wordt uitgedrukt door het Griekse woord κένωσις, « daad van lediging, ontdoen van alles » ; de betekenis van deze term in het christendom wordt belicht in de brief van Paulus aan de Filippenzen (Fil 2, 6).

Dit concept heeft geleid tot talrijke ontwikkelingen in een theologie die de reductie van God sterk benadrukt. Uit liefde ontdoet God zich van zijn andere goddelijke eigenschappen zoals almacht, heerlijkheid, onschendbaarheid, volmaaktheid, zelfvoorziening en wereldoverheersende voorzienigheid. De theologie van kenosis gaat om met het mysterie van het kwaad door te beweren dat het in de eerste plaats God is die lijdt en niet de mens: « Maar nee. God staat het kwaad niet toe,

God laat het kwaad niet toe, hij lijdt eraan, hij sterft eraan, hij is er in de eerste plaats het slachtoffer van ». Kenosis verwijst dus niet naar de goddelijke natuur van Christus, maar alleen naar zijn menselijkheid. In die tijd waren er Grieken onder hen die naar Jeruzalem waren gegaan om God te aanbidden tijdens het Pascha. Ze kwamen naar Filippus, die uit Bethsaida in Galilea kwam, en vroegen hem : « 

We willen Jezus graag zien

Filippus vertelde het aan Andreas en beiden vertelden het aan Jezus. Toen zei Jezus tegen hen : « Het uur is gekomen dat de Mensenzoon verheerlijkt wordt. Amen, amen, zeg Ik u Als een graankorrel in de grond valt en niet sterft, blijft hij alleen ; maar als hij sterft, draagt hij veel vrucht. » Wie zijn leven liefheeft, zal het verliezen, maar wie zijn leven in deze wereld laat, zal het behouden voor het eeuwige leven. Als iemand Mij wil dienen, laat hij Mij volgen ; en waar Ik ben, daar zal ook mijn dienaar zijn.

Als iemand mij dient, zal mijn Vader hem eren. Nu is mijn ziel overweldigd. Wat zal ik zeggen ? Vader, red mij van dit uur. Maar nee ! Daarom ben ik naar dit uur gekomen ! Vader, verheerlijk uw naam! Toen kwam er een stem uit de hemel die zei : « Ik heb Hem verheerlijkt en Ik zal Hem opnieuw verheerlijken ».  Toen de menigte het hoorde, zeiden ze dat het als een donderslag was. Anderen zeiden : « Een engel sprak tot hem.  » Maar Jezus antwoordde hun : « De stem was niet voor mij, maar voor jullie. Nu is het oordeel over deze wereld; nu zal de vorst van deze wereld worden uitgeworpen en ik zal, wanneer ik van de aarde ben opgeheven, alle mensen tot mij trekken. Hiermee bedoelde hij het soort dood dat hij zou lijden. (Johannes 12, 20-33).

We willen Jezus zien. Dat was het verzoek van sommige Grieken na Palmzondag. Ze sympathiseerden met het Joodse geloof en waren naar Jeruzalem gereisd voor het Pascha. Ze hadden gehoord over zijn triomfantelijke intocht in Jeruzalem. Dus gingen ze op zoek naar de discipelen en uiteindelijk vonden ze Filippus. Ze benaderden hem en vertelden hem over hun grootste verlangen: de glorie zien van degene wiens lof ze allemaal hadden gezongen.Ja, daar waren ze het over eens, maar de glorie die ze te zien kregen was die van een gekruisigde man. Ze zagen de dood van de auteur van het leven, een man die boven alles verheven was, aan een kruis genageld. Deze van de aarde opgewekte Jezus zal glorie ervaren omdat hij alle mensen naar zich toe zal trekken.

« We willen Jezus graag zien ». Dit is een prachtige zin die uit elk hart komt dat naar God verlangt. Jezus spreekt vandaag tot ieder van ons. Ook wij willen Jezus graag zien. Jezus maakt ons iets heel belangrijks duidelijk: we zullen Hem ontmoeten waar we dat nooit gedacht hadden. Hij is altijd zichtbaar, maar op een manier die we ons niet hadden kunnen voorstellen. Hij is in de zieke die we aan zijn ziekenhuisbed bezoeken; hij is in de man die zonder reden is vrijgelaten, in de gevangene met wie we contact houden, in de persoon die het slachtoffer is van laster en roddel. et Jezus worden waarden op zijn kop gezet.

Vernedering wordt grootsheid. Falen wordt triomf. Het meest vernederende martelwerktuig van die tijd wordt het glorieuze kruis. We zien het als een stralend symbool van liefde. We vinden dit kruis in onze kerken, maar ook op kruispunten en heuveltoppen. Als we ernaar kijken, ontdekken we de verheerlijking van een liefde die ons voorstellingsvermogen te boven gaat. Maar het is niet genoeg om Jezus te zien. Hij verwacht van ons dat we hem volgen en imiteren.

Het is een uitnodiging die telkens weer in de evangeliën verschijnt : Neem ons kruis op en volg Jezus. De weg van Christus is een snelle afdaling. Het is precies het tegenovergestelde van wat mensen adviseren. We leven in een wereld die de voorkeur geeft aan geld, macht en status. Maar wanneer Jezus mensen opzoekt, daalt hij af in de incarnatie en wordt hij een slaaf. Hij daalt af onder de mensen en wordt de laatste. Zo nodigt hij ons uit om hem te volgen, zelfs tot in de dood, zodat we kunnen delen in zijn opstanding.

Jezus volgen betekent ook lijden aan de zijde van onze medemensen, aan de zijde van hen die in wanhoop leven. Hij nodigt ons ook uit om ons aan te sluiten bij hen die zich inzetten om armoede te bestrijden. Kortom, we moeten de evangelische betekenis van het liefhebben van onze naaste herontdekken : liefhebben, luisteren naar anderen, dienen, delen, zorgen voor de armsten. Elke zondag vieren we de Eucharistie in gemeenschap met de hele Kerk, wiens missie het is om ons naar Jezus te leiden.

Jezus zendt ons uit om te getuigen van zijn liefde en de hoop die hij in ons heeft, en herinnert ons eraan dat hij elke dag tot het einde van de wereld bij ons is. Laten we samen tot hem bidden om ons kracht en moed te geven voor de zending die hij ons heeft toevertrouwd.

Diaken Michel Houyoux

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◊ Preken ON Line : Klik hier om het artikel te lezen → 5e zondag van de veertigdagentijd B – 2024

Video   M.M. (Ruud) van Campen : klik hier → https://youtu.be/xhD6_NFZQn4

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