Jeudi de la vingt-sixième semaine du Temps Ordinaire – Année Paire

Posté par diaconos le 3 octobre 2024

Votre paix ira reposer sur lui » | Vivre Ensemble l'Evangile Aujourd'hui

              Votre paix ira poser sur vous       

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, parmi les disciples le Seigneur en désigna encore 72, et il les envoya deux par deux, en avant de lui, en toute ville et localité où lui-même allait se rendre. Il leur dit : « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson. Allez ! Voici que je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups. Ne portez ni bourse, ni sac, ni sandales, et ne saluez personne en chemin. Mais dans toute maison où vous entrerez, dites d’abord : Paix à cette maison.” S’il y a là un ami de la paix, votre paix ira reposer sur lui ; sinon, elle reviendra sur vous. Restez dans cette maison, mangeant et buvant ce que l’on vous sert ;car l’ouvrier mérite son salaire. Ne passez pas de maison en maison. Dans toute ville où vous entrerez et où vous serez accueillis.

Guérissez les malades qui s’y trouvent et dites-leur : “Le règne de Dieu s’est approché de vous.” Mais dans toute ville où vous entrerez et où vous ne serez pas accueillis, allez sur les places et dites :    “Même la poussière de votre ville, collée à nos pieds, nous l’enlevons pour vous la laisser. Toutefois, sachez-le :le règne de Dieu s’est approché.” Je vous le déclare : au dernier jour, Sodome sera mieux traitée que cette ville. »

Convertissez-vous, car le royaume des Cieux est tout proche

Jésus parcourut en vrai missionnaire les divers lieux du pays ; il n’attendit pas que les hommes vinrent à lui, il alla vers eux. Enseigner, prêcher la bonne nouvelle du royaume et guérir le corps et l’âme, telle fut son œuvre de Sauveur : «Convertissez-vous, car le royaume des Cieux est tout proche.» Par ce résumé de l’activité de Jésus, Matthieu termina le tableau général du ministère de Jésus. «Être ému de compassion» se retrouve souvent dans les évangiles appliqué à Jésus, signifiant être ému dans ses entrailles, et exprimant cette douloureuse sympathie avec laquelle il partagea les maux et les souffrances de notre humanité. Ce sentiment de tendre charité fut excité par la vue de ces foules semblables à des brebis sans berger, lesquelles furent fatiguées et jetées.

Cet état d’épuisement et de souffrance fut nécessairement celui de brebis privées de direction, de protection et de nourriture parce qu’elles n’eurent pas de berger. Image juste et frappante de l’état d’âmes sans lumière, sans paix, sans Dieu. Ce fut dans le lamentable état moral des personnes de son temps que Jésus vit les indices d’une grande moisson d’âmes, prête à être recueillie dans le royaume de Dieu Il leur dit : «La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson.» (Lc 10, 2) Plus l’homme sent sa misère et en souffre, plus ses besoins profonds le jettent dans les bras de Jésus.

Mais, pour la moisson, il faut des ouvriers pour conduire les âmes à la source de là vie, il faut des serviteurs de Dieu qui la leur montrent avec amour ; et alors il y en avait si peu, que Jésus demanda à ses disciples de prier pour que le nombre en soit accru. Riez donc le maître de la moisson, qu’il envoie des ouvriers dans sa moisson. Expression énergique dictée par un besoin impérieux. C’est Dieu qui seul suscite forme, envoie de bons ouvriers dans son règne, mais il faut que l’Église en prière les lui demande. Ce fut par cette mention de la profonde misère du peuple et de l’ardent désir de Jésus qu’un prompt secours lui fut envoyé.

Jésus étant arrivé au faîte de son travail personnel en Galilée, il ne pu l’accomplir que dans des limites assez restreintes. Il désira adresser un appel plus général et plus énergique encore à cette population qu’il dut bientôt quitter. Et pour cela il se multiplia en quelque sorte par la mission qu’il confia aux douze. Cette mission signala en même temps un progrès dans le développement des apôtres. Ces disciples dont il fit des apôtres, il les envoya comme tels. Encore une fois, Matthieu marqua expressément le nombre de douze disciples que Jésus envoya pour leur faire faire un premier essai de mission et pour préparer les populations à recevoir la parole du royaume.

Dans cette première mission, les disciples durent s’en tenir au dessein de Dieu envers son peuple, auquel Jésus lui-même se soumit, et qui consista à faire annoncer le salut avant tout. Encore une fois, Matthieu marqua expressément le nombre de douze disciples que Jésus envoya pour leur faire faire un premier essai de mission et pour préparer les populations à recevoir la parole du Royaume Vous adorez ce que vous ne connaissez pas; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs.» (Jn 4, 22)Il y eut pour cela de très graves raisons, que Paul apprécia lui-même, bien qu’il fût l’apôtre des Gentils : «Quand les Juifs virent les foules, ils s’enflammèrent de jalousie ; ils contredisaient les paroles de Paul et l’injuriaient»

Paul et Barnabé leur déclarèrent avec assurance : «C’est à vous d’abord qu’il était nécessaire d’adresser la parole de Dieu. Puisque vous la rejetez et que vous-mêmes ne vous jugez pas dignes de la vie éternelle, eh bien ! nous nous tournons vers les nations païennes. C’est le commandement que le Seigneur nous a donné : J’ai fait de toi la lumière des nations pour que, grâce à toi, le salut parvienne jusqu’aux extrémités de la terre.» (Ac 13, 45-47)Ce fut pourquoi Jésus ajouta : «Ne vous en allez pas sur le chemin des nations et n’entrez pas dans une ville des Samaritains Tel fut le devoir des disciples. Après que les Juifs rejetèrent Jésus, ils reçurent des ordres différents : «Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.» (Mt 28, 19)

Une certaine théologie a voulu voir là une contradiction ou un développement progressif dans les vues de Jésus lui-même Rien n’est plus contraire aux témoignages de l’Évangile ; Jésus savait parfaitement que son règne serait universel même d’après les synoptiques, pour ne pas parler de l’Évangile de Jean.   d’un ordre, Jésus conféra un don miraculeux. Dans l’activité des disciples, comme dans celle de Jésus, les guérisons durent préparer la prédication. Tous les dons de Dieu sont gratuits comme ceux que Jésus conféra aux disciples. En faire un moyen de profits terrestres, c’est les dégrader et les souiller.

Diacre Michel Houyoux 

◊ Regnum Christi : cliquez ici pour lire l’article → Voyant les foules, Jésus fut saisi de compassion

◊ Diacre Jean-Yves Fortin : cliquez ici pour lire l’article → Voyant les foules, Jésus fut saisi de compassion

 Vidéo Diocèse d’Avignon → https://youtu.be/iw70v9D0DZE

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Ventisettesima domenica del Tempo Ordinario – Anno B

Posté par diaconos le 2 octobre 2024

Mater Verbi on X: "Venerdì 17 agosto 2018 + VANGELO (Mt 19,3-12): «È lecito  a un uomo ripudiare la propria moglie per qualsiasi motivo?». Egli rispose:  «Non avete letto che il Creatore

Il divorzio è la rottura ufficiale di un matrimonio civile o religioso tra due persone, o tra più persone nel caso della poligamia. In diritto si distingue dalla separazione di fatto, che non ha conseguenze legali, e dalla separazione legale, che è legalmente riconosciuta ma lascia il matrimonio intatto. Non va confuso con l’annullamento del matrimonio, che consiste nel dichiarare che il matrimonio non ha mai avuto luogo.

Nell’antica Grecia il divorzio esisteva in forme diverse nelle varie città. Ad Atene poteva essere ottenuto di comune accordo o su iniziativa di uno dei due coniugi. In pratica, la dote fungeva da potente freno : quando il matrimonio veniva sciolto, la moglie riotteneva la sua dote – tranne nei casi di adulterio – con un interesse del 18%. La moglie, dal canto suo, aveva il diritto di chiedere il divorzio da sola, ma il più delle volte la richiesta veniva fatta tramite il suo tutore legale (padre, fratello o qualsiasi altro parente maschio): la richiesta, debitamente motivata, veniva presentata all’arconte, che la esaminava e decideva se concederla o meno. I maltrattamenti erano un motivo valido per la separazione, ma non l’infedeltà del marito.

Nel periodo ellenistico il divorzio diventa più formale : i documenti legali registrano il divorzio e ne stabiliscono le conseguenze. La disposizione più importante riguardava la dote, che veniva restituita all’ex moglie.La donna non aveva mai diritto ad alcuna quota del patrimonio familiare. Anche i Romani praticavano il divorzio. All’inizio il diritto di divorziare era riservato agli uomini, ma ben presto le donne lo ottennero.

Il matrimonio, inizialmente un rito religioso e sociale, si desacralizza come il resto della società romana. Fu codificato nella legge. Alla fine dell’Impero, il divorzio divenne appena formale, perché per ragioni di semplificazione il matrimonio fu assimilato a un contratto.   I single erano ancora svantaggiati dalla leggeNell’Alto Medioevo il matrimonio non era consacrato e i contratti scritti caddero in disuso. Il matrimonio serviva solo a sigillare le alleanze.

Era considerato normale poter rompere un matrimonio. La Chiesa cattolica romana non è molto favorevole al divorzio e considera il matrimonio indissolubile.   Tuttavia, le regole in questo campo si trovano principalmente nelle decisioni dei singoli concili, che spesso si sono occupati solo di casi specifici e hanno dato risposte contraddittorie.

Dal Vangelo di Gesù Cristo secondo Marco

In quel tempo, alcuni farisei si avvicinarono a Gesù e, per metterlo alla prova, gli chiesero : “È lecito a un marito mandare via la moglie ?”. Gesù rispose : Che cosa vi ha comandato Mosè ?”   Gli risposero : “Mosè disse che era lecito per un marito mandare via la moglie, a condizione che redigesse un atto di ripudio”. Gesù rispose : “A causa della durezza dei vostri cuori, egli stabilì per voi questa regola.”

Ma all’inizio della creazione, Dio li fece maschio e femmina. Per questo l’uomo lascerà suo padre e sua madre e si unirà a sua moglie, e i due diventeranno una sola carne. Quindi non sono più due, ma una sola carne.   Ciò che Dio ha congiunto, l’uomo non lo separi”. Quando i discepoli tornarono a casa, gli chiesero ancora di questo. Egli disse loro “Chiunque manda via la propria moglie e ne sposa un’altra, commette adulterio con lei. Se una donna che ha mandato via il marito ne sposa un altro, ha commesso adulterio”.

Alcune persone portarono a Gesù dei bambini perché imponesse loro le mani, ma i discepoli li allontanarono. Quando Gesù se ne accorse, si arrabbiò e disse loro : “Lasciate che i bambini vengano a me; non glielo impedite, perché il regno di Dio appartiene a quelli che sono come loro.”.(Mc10,2-16)

 È lecito ripudiare la propria moglie per qualsiasi motivo ?

 Gesù aveva già risposto a questa domanda nel Discorso della montagna. I farisei gliela posero per tentarlo. A renderla una domanda capziosa era il fatto che all’epoca era molto dibattuta tra due scuole ebraiche, quella di Hillel e quella di Shamaï, la prima molto rilassata, la seconda più severa sul divorzio. Inoltre, l’esempio dato da Erode Antipa, che regnava sulla Perea, e la fine di Giovanni Battista, che l’aveva rilevata, rendevano piuttosto pericolosa una soluzione rigorosa della questione, mentre una soluzione più libera avrebbe messo Gesù in contraddizione con Giovanni Battista.

Questa era la tentazione, la trappola tesa a Gesù dai suoi avversari. L’idea completa e vera del matrimonio presuppone innanzitutto che i due siano un cuore solo e un’anima sola ; tutto ciò che ha a che fare con la carne, in senso ristretto, è solo l’anello inferiore di questa unione.  La parola carne, nella Scrittura, abbraccia tutto l’uomo, tutto il suo essere, e questa idea è ben espressa dalle parole: una sola       carne. Si tratta dell’intimità assoluta e indissolubile del matrimonio, che Dio aveva in mente fin dall’inizio della creazione dell’uomo e che Gesù ha confermato con la sua autorità.

Inoltre, questa dichiarazione condanna la poligamia, che distrugge co    mpletamente il vero concetto di matrimonio. I farisei pensavano di avere dalla loro parte l’autorità di Mosè. Ma esageravano la portata della disposizione legale che invocavano, perché Mosè non aveva né comandato né voluto facilitare il divorzio ; al contrario, lo scopo della formalità da lui prescritta era di ostacolarlo.Gesù corregge l’espressione dei farisei dicendo “permesso”. Non era questa l’intenzione di Dio.

Se Mosè l’aveva permesso, era come un male necessario, volto a evitare mali maggiori, e solo a causa di quella durezza di cuore che vi rendeva incapaci di elevarvi al pensiero divino e di metterlo in pratica. e ci chiediamo come Dio, che è immutabile, abbia potuto sancire questa deviazione dalla sua stessa legge, la risposta sta nel fatto della caduta e del peccato che si è verificato fin dalla creazione dell’uomo.   Gesù ammetteva una sola causa legittima di divorzio e proibiva di sposare una donna che era stata ripudiata.

Quando disse questo, parlava dal punto di vista del suo regno, e i suoi discepoli non dovevano conformarsi a questo principio, l’unico su cui poggia il matrimonio cristiano.    Nessuna Chiesa soggetta all’autorità di Gesù poteva sancirne un altro. Questo significa che la società civile, nei Paesi che portano il nome della cristianità, sbaglia a legiferare per altre cause di divorzio e a permettere ai coniugi separati di contrarre un secondo matrimonio ?         

Tutti i cittadini di un Paese dovrebbero essere vincolati da un principio cristiano ? A questa domanda, e a molte altre simili, il cattolicesimo ha risposto sì, perché è la religione della costrizione e pretende nientemeno che di dominare la società ; il protestantesimo risponde no, perché vuole soprattutto sincerità e libertà morale.  Ma le Chiese vedano se possono, senza infedeltà, prestarsi a sancire, per quanto le riguarda, unioni nuziali contrarie alle parole di Gesù : “Se questa è la condizione dell’uomo nei confronti della donna, non è vantaggioso sposar si. (Mt 19,10).

I discepoli fecero questa osservazione a Gesù dopo che i farisei se ne furono andati. Essi stessi pensavano che la condizione imposta da Gesù all’uomo nei confronti della donna fosse troppo severa.   Pensav ano che se l’uomo non poteva rompere un’unione mal assortita, se doveva sopportare tutti i difetti e i vizi della moglie, tranne quello indicato da Gesù, sarebbe stato meglio non sposarsi.

Stiamo parlando solo della condizione del marito rispetto alla moglie, perché in Oriente e nell’antichità non era riconosciuta la parità di diritti a quest’ultima. Nel Vangelo la situazione è ben diversa. Per comprendere meglio il suo pensiero e la natura del tutto morale del dono che aveva in mente, Gesù distingue tre casi : quelli che, fin dal grembo della madre, a causa della loro particolare organizzazione, non sono adatti al matrimonio e quelli che sono stati resi tali dagli uomini.

In questi primi due casi, il dono della continenza è inteso in senso corporeo e non ha alcun valore religioso ; infine, ci sono coloro che hanno preso volontariamente questa risoluzione per amore del regno dei cieli, non per meritarlo, ma per dedicarvisi interamente e senza impedimenti terreni. Così Gesù, rispondendo ai discepoli, ha preso atto di un fatto, ma non ha preteso questo sacrificio, così come Paolo ha fatto nei suoi consigli. Non c’è nulla in queste parole che sia sfavorevole al matrimonio cristiano, né che attribuisca una particolare santità al celibato, tanto meno un argomento a favore del celibato forzato di un’intera classe di uomini.

Il diacono Michel Houyoux

 Link ad altri siti cristiani

Maranatha : clicca qui per leggere l’articolo → Liturgia della XX Domenica del Tempo Ordinario – Anno B

 Conferenza Episcopale Italiana : clicca qui per leggere l’articolo → XX DOMENICA DEL TEMPO ORDINARIO – ANNO B

Video   Padre Fernando Armellini : clicca qui → https://youtu.be/2oYXleWG-bI

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Vijfentwingste zondag in het jaar B

Posté par diaconos le 28 septembre 2024

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Uit het evangelie van Jezus Christus volgens Marcus

 In die tijd trok Jezus met zijn discipelen door Galilea, en hij wilde niet dat het bekend werd, want hij onderwees zijn discipelen door tegen hen te zeggen : “De Mensenzoon is overgeleverd in de handen van de mensen; ze zullen hem doden en drie dagen na zijn dood zal hij weer opstaan.”  Maar de discipelen begrepen deze woorden niet en waren bang om hem te ondervragen. Ze kwamen in Kafarnaüm en toen ze thuiskwamen, vroeg Jezus hun : ”Wat hadden jullie onderweg besproken ? “   Ze zwegen, omdat ze onderweg met elkaar hadden besproken wie de grootste was. Terwijl Hij ging zitten, riep Jezus de Twaalf en zei tegen hen : “Als iemand de eerste wil zijn, laat hij dan de laatste van allen zijn en dienaar van allen.”

Jezus onderwijst zijn discipelen Nadat Jezus Caesarea Filippi had verlaten, reisde hij door Galilea, in een poging onbekend te blijven, zodat hij zijn discipelen kon instrueren over zijn naderende dood en opstanding. Ze begrepen het niet en durfden hem niet te ondervragen.Welke was de grootste ? In Kapernaüm vroeg Jezus hun wat ze onderweg bespraken. Ze vielen stil, verward.  Op dat moment, Jezus reisde met zijn discipelen door Galilea, en hij wilde niet dat iemand het wist, want hij onderwees zijn discipelen en zei tegen hen : “De Mensenzoon wordt overgeleverd in de handen van mensen ; ze zullen hem vermoorden en drie dagen na zijn dood zal hij weer opstaan.”

Maar de discipelen begrepen deze woorden niet en ze waren bang om hem te ondervragen. Ze kwamen in Kapernaüm, en eenmaal thuis vroeg Jezus hun : “Waar hadden jullie het onderweg over  ?”  Ze waren stil, omdat ze onderweg met elkaar hadden gediscussieerd om erachter te komen wie de grootste was. Nadat Hij was gaan zitten, riep Jezus de Twaalf en zei tegen.  Neem dan een kind, hij plaatste hem in hun midden, kuste hem en zei tegen hen : “Wie welkom heet in mijn naam zo’n kind, Ik ben het die hij verwelkomt. En hij die mij verwelkomt, Ik ben het niet die hij verwelkomt, maar Hij die mij gezonden heeft.”

Ze waren stil, omdat ze onderweg met elkaar hadden gediscussieerd om erachter te komen wie de grootste was. Nadat Hij was gaan zitten, riep Jezus de Twaalf en zei tegen hen : “Als iemand de eerste wil zijn, moge hij de laatste van allen zijn en de dienaar van allen.”  Neem dan een kind, hij plaatste hem in hun midden, kuste hem en zei tegen hen : “Wie welkom heet in mijn naam zo’n kind, Ik ben het die hij verwelkomt. En hij die mij verwelkomt, Ik ben het niet die hij verwelkomt, maar Hij die mij gezonden heeft.” (Mc 9, 30-37)

Als iemand de eerste wil zijn, laat hem dan de laatste van allen

 Jezus onderwijst zijn discipelen Nadat Jezus Caesarea Filippi had verlaten, reisde hij door Galilea, in een poging onbekend te blijven, zodat hij zijn discipelen kon instrueren over zijn naderende dood en opstanding.  Ze begrepen het niet en durfden hem niet te ondervragen.Welke was de grootste? In Kapernaüm vroeg Jezus hun wat ze onderweg bespraken. Ze vielen stil, verward. Jezus verklaarde hun plechtig dat wie de eerste wil zijn, de laatste zal zijn, de dienaar van allen.  Hij sloeg zijn armen om een ​​klein kind en zei : ‘Wie een van deze kleintjes ontvangt, ontvangt hem en ontvangt God.” Jezus zei : “Het zou beter zijn om met een molensteen om je nek in zee te worden gegooid, dan een van deze kleintjes die in Mij geloven, te schande te maken.”

De hand, de voet en het oog moeten worden opgeofferd, als ze ons doen struikelen, anders vallen we in de hel waar de worm niet sterft, waar het vuur niet wordt uitgeblust. Iedereen zal met vuur gezouten worden, net zoals elk offer met zout gezouten moet worden.  Zodat  out is goed zolang het zijn smaak niet verliest; laten we zout in onszelf hebben en onder elkaar in vrede blijven. Van daaruit vertrokken ze door Galilea; en hij wilde niet dat iemand het wist. Jezus onderwees zijn discipelen en zei tegen hen : “De Mensenzoon zal in de handen van de mensen worden overgeleverd; zij zullen hem ter dood brengen, en drie dagen nadat hij ter dood is gebracht, zal hij weer opstaan.” (Mk 9, 31)

Maar ze begrepen dit woord niet en waren bang hem te ondervragen. Zonder deze voorspelling te begrijpen, voelden ze er iets pijnlijks in ; Matthew zegt dat ze erg bedroefd waren ; en dit was de reden waarom ze bang waren hem te ondervragen.   In het evangelie van Matteüs waren het de discipelen die Jezus de vraag stelden : “Wie is groter ?” Lukas vertelde dat er een gesprek tussen hen plaatsvond en dat Jezus, die dit wist, een kind in hun midden plaatste.  Volgens Markus informeerde hij eerst naar het onderwerp van hun gesprek en Markus merkte op dat de discipelen zwegen, omdat ze zich in zijn aanwezigheid schaamden omdat ze een vraag hadden gesteld die hun ambitie verraadde.

Terwijl hij ging zitten, riep hij de twaalf en zei tegen hen : “Als iemand de eerste wil zijn, zal hij de laatste van allemaal zijn en dienaar van allemaal.” Er was iets plechtigs in de manier waarop Jezus zich voorbereidde om te spreken.   Jezus zei niet: laat hij die de eerste wil zijn, de laatste en dienaar van allen zijn, maar : hij zal het zijn ; hij gaf geen advies over hoe je ware grootsheid kon bereiken. Hij toonde de vernedering die het onvermijdelijke gevolg is van hoogmoed, volgens dit eeuwige principe van het koninkrijk van God : “Iedereen die zichzelf verhoogt, zal vernederd worden.”   Hij voorspelde geen komend oordeel, maar stelde een actueel feit vast : trots is een vernedering, nederigheid is grootsheid : “Wie een van deze kleine kinderen in mijn naam ontvangt, ontvangt mij; en wie mij ontvangt, ontvangt niet mij, maar Hij die mij gezonden heeft.” (Mc 9:37)

Door te verklaren dat hij die hem ontvangt, God zelf ontvangt, bracht Jezus een gedachte tot uitdrukking die vaak in het Evangelie van Johannes wordt aangetroffen, bijvoorbeeld in dit gezegde : « Ik en de Vader zijn één »In de parallelle passage uit Matteüs Jezus gaf ter gelegenheid van het kleine kind dat hij als model presenteerde, nog een niet minder belangrijke instructie.

 Diaken Michel Houyoux

Links naar andere christelijke sites

Kerk.net : klik hier om het artikel te lezen → A-cyclus vijfentwintigste zondag door het jaar

◊ Sister oft the Precious : klik hier om het artikel te lezen →24 september, 25e zondag door de gewone tijd, gevuld

 Video : Film over Jesus Christus klik hier → https://youtu.be/3myaPqWRC5Q

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Fünfundzwanzigster Sonntag der Ordinarius-Zeit-Jahr B

Posté par diaconos le 26 septembre 2024

Denn wer nicht gegen uns ist, der ist für uns.

Aus dem Evangelium Jesu Christi nach Markus

In jenen Tagen zog Jesus mit seinen Jüngern durch Galiläa, und er wollte nicht, dass es jemand erfuhr, denn er lehrte seine Jünger und sagte zu ihnen : „Der Menschensohn wird in die Hände der Menschen ausgeliefert; sie werden ihn töten, und drei Tage nach seinem Tod wird er auferstehen.“Aber die Jünger verstanden diese Worte nicht und fürchteten sich, ihn zu fragen. Sie kamen nach Kafarnaum, und als sie zu Hause waren, fragte Jesus sie : „Worüber habt ihr unterwegs diskutiert ?“

Sie schwiegen, denn auf dem Weg hatten sie untereinander darüber diskutiert, wer der Größte sei. Als Jesus sich gesetzt hatte, rief er die Zwölf zu sich und sagte zu ihnen : „Wenn jemand der Erste sein will, soll er der Letzte von allen und der Diener aller sein.“ Dann nahm er ein Kind, stellte es in ihre Mitte, küsste es und sagte zu ihnen : „Wer ein solches Kind in meinem Namen aufnimmt, der nimmt mich auf. Und wer mich aufnimmt, der nimmt nicht mich auf, sondern den, der mich gesandt hat.“ 

Jesus belehrt seine Jünger

Nachdem Jesus Cäsarea Philippi verlassen hatte, zog er durch Galiläa und versuchte, unbekannt zu bleiben, damit er seine Jünger über seinen bevorstehenden Tod und seine Auferstehung belehren konnte. Sie verstanden ihn nicht und wagten es nicht, ihn zu fragen : „Wer war der Größte ?“ In Kafarnaum fragte Jesus sie, worüber sie auf dem Weg gesprochen hatten. Sie schwiegen verwirrt. Jesus erklärte ihnen feierlich, dass derjenige, der der Erste sein will, der Letzte sein wird, der Diener aller. Er umschlang ein kleines Kind mit seinen Armen und sagte : „Wer eines dieser Kleinen aufnimmt, der nimmt es auf und nimmt Gott auf“. Jesus erklärte : „Es wäre besser, mit einem Mühlstein um den Hals ins Meer geworfen zu werden, als einen dieser Kleinen, die an mich glauben, zu empören.“

Die Hand, der Fuß, das Auge sollen geopfert werden, wenn sie uns ein Anlass zum Fall sind, damit wir nicht in die Gehenna fallen, wo der Wurm nicht stirbt und das Feuer nicht erlischt. Jeder Mensch wird mit Feuer gesalzen werden, so wie jedes Opfer mit Salz gesalzen werden muss. Das Salz ist gut, solange es seinen Geschmack nicht verliert ; lasst uns Salz in uns selbst haben und in Frieden miteinander leben. Und als sie von dort weiterzogen, zogen sie durch Galiläa; und er wollte nicht, dass es jemand erfuhr. Und Jesus lehrte seine Jünger und sprach zu ihnen : „Der Menschensohn wird in die Hände der Menschen ausgeliefert werden; sie werden ihn töten, und drei Tage, nachdem er getötet worden ist, wird er auferstehen.“ (Mk 9,31) Aber sie verstanden diese Worte nicht und fürchteten sich, ihn zu fragen.

Ohne diese Vorhersage zu verstehen, ahnten sie etwas Schmerzliches darin; Matthäus sagt, dass sie darüber sehr traurig waren; und deshalb fürchteten sie sich, ihn zu fragen. Im Matthäusevangelium waren es die Jünger, die Jesus die Frage stellten : „Wer ist der Größte ?“. Lukas berichtete, dass eine Diskussion zwischen ihnen stattgefunden hatte und dass Jesus, als er dies wusste, ein Kind in ihre Mitte stellte. Laut Markus erkundigte er sich zuerst nach dem Thema ihres Gesprächs, und Markus merkte an, dass die Jünger schwiegen, weil sie in seiner Gegenwart beschämt waren, weil sie eine Frage aufgeworfen hatten, die ihren Ehrgeiz verriet. Als er sich gesetzt hatte, rief er die Zwölf zusammen und sagte zu ihnen : „Wenn jemand der Erste sein will, soll er der Letzte von allen und der Diener aller sein“. 

Es lag etwas Feierliches in der Art und Weise, wie Jesus sich auf seine Rede vorbereitete. Jesus hatte nicht gesagt : Wer der Erste sein will, der sei der Letzte und der Diener aller, sondern : Er wird es sein; er gab keinen Rat, wie wahre Größe zu erreichen sei. Er zeigte die Erniedrigung, die die unvermeidliche Folge des Stolzes ist, gemäß dem ewigen Grundsatz des Reiches Gottes : „Wer sich selbst erhöht, der wird erniedrigt werden“. Er sagte kein zukünftiges Gericht voraus, sondern nannte eine gegenwärtige Tatsache: Hochmut ist Erniedrigung, Demut ist Größe : „Wer eines dieser Kindlein in meinem Namen aufnimmt, der nimmt mich auf; und wer mich aufnimmt, der nimmt nicht mich auf, sondern den, der mich gesandt hat“ (Mk 9,37). 

Als Jesus erklärte, dass derjenige, der ihn aufnimmt, Gott selbst aufnimmt, drückte er einen Gedanken aus, der sich oft im Johannesevangelium findet, zum Beispiel in dem Wort : „Ich und der Vater sind eins“. In der Parallelstelle bei Matthäus gab Jesus anlässlich des kleinen Kindes, das er als Vorbild darstellte, eine weitere, nicht weniger wichtige Anweisung.“.

Diakon Michel Houyoux

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◊ Steyler Missionare im deutschsprachigen Raum : Klicken Sie hier, um den Artikel zu lesen → Jesus belehrt seine Jünger (B)

◊ God Questions : hier klicken, um den Artikel zu lesen → Warum ist es so wichtig, Jünger zu machen ? 

♥  Video Evangelisches Gemeindeblatt für Württemberg  :hier klicken → Jesus lehrt seine Jünger – Das Wort für den Tag

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