Twenty-fifth Sunday in Ordinary Time – Year B

Posté par diaconos le 18 septembre 2024

Just so, the Son of Man did not come to be served but to serve and to give  his life as a ransom for many | Praying Through the Scriptures


From the Gospel of Jesus Christ according to Mark

At that time Jesus was going through Galilee with his disciples, and he did not want anyone to know, for he was teaching his disciples, saying to them, ‘The Son of Man is being handed over into the hands of men ; they will kill him, and three days after his death he will rise again.’ But the disciples did not understand these words and were afraid to question him. When they got to Capernaum, Jesus asked them at home, ‘What were you discussing on the way ? They were silent, because on the way they had been discussing among themselves who was the greatest. When Jesus had sat down, he called the Twelve together and said to them : ‘ « If anyone wishes to be first, he must be last of all and servant of all. » Then he took a child, placed him in their midst, kissed him, and said to them : «Whoever welcomes a child like this in my name welcomes me. And whoever welcomes me does not welcome me, but the One who sent me.»

Jesus teaches his disciples

After leaving Caesarea Philippi, Jesus went through Galilee, trying to remain unknown so that he could teach his disciples about his imminent death and resurrection. They did not understand and dared not question him. Who was the greatest ? In Capernaum, Jesus asked them what they had been talking about on the way. They fell silent, confused. Jesus told them solemnly that whoever wanted to be first would be last, the servant of all. He put his arms around a little child and said : «Whoever receives one of these little ones receives him and receives God »

.Jesus said, ‘It would be better to be thrown into the sea with a millstone around my neck than to offend one of these little ones who believe in me. The hand, the foot, the eye must be sacrificed, if they are an occasion for us to fall, lest we fall into Gehenna where the worm does not die, where the fire is not quenched. Every person will be salted with fire, just as every sacrifice must be salted with salt. Salt is good as long as it doesn’t lose its flavour ; let us have salt in ourselves and remain at peace with one another. When they had gone on from there, they went through Galilee, and he did not want anyone to know about it.

Jesus was teaching his disciples, and he said to them : « The Son of Man will be handed over into the hands of men; they will kill him, and three days after his death he will rise again. » (Mk 9, 31).But they did not understand these words and were afraid to ask him. Although they did not understand the prediction, they sensed something painful in it ; Matthew says that they were greatly saddened by it, and that is why they feared to ask him. In the Gospel according to Matthew, it was the disciples who asked Jesus the question : « Who is the greatest ? »

Luke tells us that a discussion had taken place between them and that Jesus, knowing this, placed a child in their midst. According to Mark, he first asked about the subject of their conversation, and Mark observed that the disciples remained silent because they were ashamed in his presence to have raised a question that betrayed their ambition. Sitting down, he called the twelve and said to them, ‘If anyone wishes to be first, he shall be last of all and servant of all.’ There was something solemn in the way Jesus prepared to speak. Jesus did not say: whoever wants to be first, let him be last and servant of all, but: he will be; he did not give advice on how to achieve true greatness. 

He showed the humiliation that is the inevitable consequence of pride, according to that eternal principle of the kingdom of God : «Whoever exalts himself will be humbled ». He was not predicting a future judgement, but stating a present fact: pride is a lowering, humility is a greatness. «Whoever receives one of these little children in my name receives me; and whoever receives me does not receive me, but Him who sent me » (Mk 9, 37). 

By declaring that whoever receives him receives God himself, Jesus expressed a thought that is often found in John’s Gospel, for example in the words : « I and the Father are one. In the parallel passage in Matthew, Jesus gave another instruction of no less importance, concerning the little child he presented as a model. » 

Deacon Michel Houyoux


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Mercredi de la vingt-quatrième Semaine du Temps Ordinaire — Année Paire

Posté par diaconos le 18 septembre 2024

 

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Nous avons joué de la flûte et vous n’avez pas pleuré

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, Jésus disait à la foule : « À qui donc vais-je comparer les gens de cette génération ? À qui ressemblent-ils ? Ils ressemblent à des gamins assis sur la place, qui s’interpellent en disant :“Nous avons joué de la flûte, et vous n’avez pas dansé. Nous avons chanté des lamentations, et vous n’avez pas pleuré. » Jean le Baptiste est venu, en effet ; il ne mange pas de pain, il ne boit pas de vin, et vous dites : “C’est un possédé !” Le Fils de l’homme est venu ; il mange et il boit, et vous dites : “Voilà un glouton et un ivrogne, un ami des publicains et des pécheurs.”  Mais, par tous ses enfants, la sagesse de Dieu a été reconnue juste. (Lc 7, 31-35)

 Aus­té­rité de la vie de Jean

Les deux évan­gé­listes rendirent à peu près dans les mêmes termes cette pa­ra­bole si hu­mi­liante pour la génération qu’elle concer­na. Ce fut avec une iro­nie pleine de tris­tesse que Jé­sus la com­para à des en­fants mé­con­tents et bou­deurs, que rien ne put in­té­res­ser. Dans Mat­thieu, Jé­sus dé­crivit l’aus­té­rité de la vie de Jean en ces termes : « ne man­geant ni ne bu­vant », ex­pres­sion évi­dem­ment hy­per­bo­lique. Luc y  substitua celle-ci : « Ne man­geant pas de pain et ne bu­vant pas de vin«   ce qui fut ri­gou­reu­se­ment vrai : « Lui, Jean, portait un vêtement de poils de chameau, et une ceinture de cuir autour des reins ; il avait pour nourriture des sauterelles et du miel sauvage. » (Mt 3, 4)

Mat­thieu rap­porta la der­nière pa­role de ce dis­cours, que Jé­sus pro­non­ça avec une joie pro­fonde : «  Mais la sa­gesse a été jus­ti­fiée de la part de ses enfants ».Luc ajouta ce mot si­gni­fi­ca­tif : « tous ses en­fants »

Diacre Michel, Houyoux

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Père Gabriel   Nous avons joué de la flûte

♥ La Foi prise au mot  : cliquez ici →  https://youtu.be/jHrkXsg4SQs

 

 

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Mardi de la Vingt-quatrième semaine du Temps Ordinaire -Année Paire

Posté par diaconos le 17 septembre 2024

Le jeune homme de Naïm (Lc 7,11-17) | Au Large Biblique

Jeune homme lève-toi

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, Jésus se rendit dans une ville appelée Naïm. Ses disciples faisaient route avec lui, ainsi qu’une grande foule. Il arriva près de la porte de la ville au moment où l’on emportait un mort pour l’enterrer ; c’était un fils unique, et sa mère était veuve. Une foule importante de la ville accompagnait cette femme.

Voyant celle-ci, le Seigneur fut saisi de compassion pour elle et lui dit : « Ne pleure pas. » Il s’approcha et toucha le cercueil ; les porteurs s’arrêtèrent, et Jésus dit : « Jeune homme, je te l’ordonne, lève-toi. »

Alors le mort se redressa et se mit à parler. Et Jésus le rendit à sa mère.     La crainte s’empara de tous, et ils rendaient gloire à Dieu en disant : « Un grand prophète s’est levé parmi nous, et Dieu a visité son peuple. »

Et cette parole sur Jésus se répandit dans la Judée entière et dans toute la région. (Lc 7, 11-17)

Le serviteur du centenier de Capharnaüm 

Après qu’il eut achevé tous ses discours devant le peuple qui l’écoutait, il entra dans Capharnaüm : il y a quelque chose de solennel dans cette expression ; elle signifie que l’enseignement de Jésus-Christ avait été complet, qu’il n’y manquait rien et que tout le peuple l’avait bien entendu. D’après Matthieu, qui, comme toujours, abrège, supprime les détails secondaires et va droit au fait principal ; le centenier de Capharnaüm se présenta personnellement à Jésus et lui adressa sa prière. D’après Luc, il fit tout cela par l’intermédiaire d’anciens des Juifs, qui s’acquittèrent de leur mission avec une grande bienveillance.

Et ensuite il envoya à Jésus des amis pour lui dire qu’il ne se sentit pas digne de le recevoir sous son toit. Le récit de Matthieu, plus simple, se bornant à l’essentiel, devait se graver plus facilement dans le souvenir et rester tel quel dans la tradition apostolique. Mais cela ne signifie point que la narration plus circonstanciée de Luc ne soit pas historique. Elle est, au contraire, bien en harmonie avec la profonde humilité que fait paraître le centenier dans l’un et l’autre récit.

Quant au malade qu’il s’agissait de guérir, il est désigné dans Matthieu par un mot qui signifie à la fois un enfant et un serviteur, dans Luc par le terme d’esclave. Ces anciens des Juifs étaient les magistrats urbains.  Ce terme désignait, à Jérusalem, les membres du sanhédrin. La tendre et active charité que portait à son pauvre esclave cet officier romain converti au Dieu vivant ; son cœur était rempli d’une profonde humilité.

Luc, nous fait connaître de plus son amour pour la nation au sein de laquelle il avait trouvé le vrai Dieu et sa grande générosité, qui l’avait porté à bâtir à ses frais la synagogue de Capharnaüm ; cependant, de tous ces beaux fruits de la grâce de Dieu en lui, Jésus ne relève et n’admire qu’un seul : la foi, source de tous les autres. Cette seconde démarche n’est pas en contradiction avec la première, par laquelle le centenier sollicitait Jésus de venir chez lui.

Elle marque seulement, dit M. Godet : un progrès dans le sentiment d’humilité et de foi qui lui avait dicté celle-ci. Le scrupule qu’éprouve le centenier provenait peut-être de l’idée que Jésus, comme Juif, contracterait une souillure en entrant dans une maison païenne. Mais il lui était aussi inspiré par le sentiment profond de son péché. Le premier évangile, d’après lequel le centenier est présent auprès de Jésus, renferme cette précieuse parole : «Va et qu’il te soit fait selon que tu as cru». À sa remarque pleine de tristesse qu’il n’a pas trouvé en Israël la foi du centenier, , Jésus ajouta un sérieux avertissement adressé à ce peuple. Jésus accomplit cette guérison par sa seule parole et à distance.  

Le serviteur du centenier de Capharnaüm 

Il rencontra une foule qui sortait de la ville pour accompagner un mort, fils unique d’une veuve.

Jésus console et rend la vie

Ému de compassion, Jésus dit à la mère : «Ne pleure pas !» Il toucha le linceul et commanda au mort de se lever. Celui-ci obéit et Jésus le rendit à sa mère.

Effet produit

Les témoins de ce miracle, saisis de crainte, célébraient l’avènement d’un grand prophète. La nouvelle se répandit dans tout le pays Tout un cortège nombreux qui, au moment d’entrer dans la ville, rencontra un autre cortège, qui en sortait. C’est la vie qui vient au-devant de la mort Voici (grec et voici, hébraïsme) marque ce qu’il y avait de surprenant dans la rencontre inopinée de ces deux cortèges.

Que de douleurs décrites en quelques mots ! Ce mort qu’on portait dehors (chez les Juifs, les lieux de sépulture ôtaient toujours hors des villes) était un jeune homme (verset 14), fils unique de sa mère, qui était veuveAinsi cette femme accompagnait au tombeau ce qu’il lui restait de plus cher, son dernier appui sur la terre. Il n’en fallait pas tant pour émouvoir la tendre compassion de Jésus. Preuve que cette veuve était considérée et aimée dans sa ville.

Diacre Michel Houyoux

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* Radio Don Bosco – Fandraisana : cliquez ici → Lundi, Vingt-quatrième Semaine du Temps Ordinaire

* Vercalendario : cliquez ici → lundi vingt-quatrième semaine de temps ordinaire

VidéoGuérison d’un esclave à Capharnaüm : cliquez ici https://youtu.be/FBTVrQWP_Gc

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Vingt-cinquième dimanche du Temps Ordinaire-Année Paire b

Posté par diaconos le 16 septembre 2024

BD et mots cachés - Si quelqu’un veut être le premier, qu’il soit le ...

De l’Évangile de Jésus Christ selon Marc

En ce temps-là, Jésus traversait la Galilée avec ses disciples, et il ne voulait pas qu’on le sache, car il enseignait ses disciples en leur disant : « Le Fils de l’homme est livré aux mains des hommes ; ils le tueront et, trois jours après sa mort, il ressuscitera. »Mais les disciples ne comprenaient pas ces paroles et ils avaient peur de l’interroger. Ils arrivèrent à Capharnaüm, et, une fois à la maison, Jésus leur demanda : « De quoi discutiez-vous en chemin ? »

Ils se taisaient, car, en chemin, ils avaient discuté entre eux pour savoir qui était le plus grand.S’étant assis, Jésus appela les Douze et leur dit :« Si quelqu’un veut être le premier, qu’il soit le dernier de tous et le serviteur de tous. » Prenant alors un enfant, il le plaça au milieu d’eux, l’embrassa, et leur dit : « Quiconque accueille en mon nom un enfant comme celui-ci, c’est moi qu’il accueille. Et celui qui m’accueille, ce n’est pas moi qu’il accueille, mais Celui qui m’a envoyé. »

Jésus enseigne ses disciples

Jésus, après avoir quitté Césarée de Philippe, traversa la Galilée, en cherchant à demeurer inconnu pour pouvoir instruire ses disciples au sujet de sa mort prochaine et de sa résurrection.Eux ne comprirent pas et n’osèrent le questionner. Lequel  fut le plus grand ?  À Capharnaüm, Jésus leur demanda le sujet de leur discussion en chemin. Ils se turent, confus. Jésus leur déclara avec solennité que celui qui veut être le premier sera le dernier, le serviteur de tous. Il entoura de ses bras un petit enfant et dit :  «Celui qui reçoit un de ces petits le reçoit et reçoit Dieu »

Jésus déclara :  «Il vaudrait mieux être jeté dans la mer avec une meule au cou que de scandaliser un de ces petits qui croient en moi.»  La main, le pied, l’œil doivent être sacrifiés, s’ils sont pour nous une occasion de chute, de peur que nous ne tombions dans la géhenne où le ver ne meurt pas, où le feu ne s’éteint pas. Toute personne sera salée de feu, comme tout sacrifice doit être salé de sel. Le sel est bon pourvu qu’il ne perde pas sa saveur ; ayons du sel en nous-mêmes et demeurons ez en paix entre nous. Étant partis de là, ils traversèrent la Galilée ; et il ne voulut pas que personne le sût.

Jésus enseignait ses disciples, et il leur dit :  «Le Fils de l’homme sera livré entre les mains des hommes; ils le feront mourir, et, trois jours après qu’il aura été mis à mort, il ressuscitera. » (Mc 9, 31)  Mais eux ne comprirent pas cette parole et ils craignirent de l’interroger. Sans comprendre cette prédiction, ils y pressentirent quelque chose de douloureux ;  Matthieu dit qu’ils en furent fort attristés ; et ce fut pourquoi ils craignirent de l’interroger. Dans l’évangile selon Matthieu, ce furent les disciples qui posèrent à Jésus la question : «  Qui est le plus grand ? »  Luc raconta qu’une discussion avait eu lieu entre eux et que Jésus, le sachant, plaça un enfant au milieu d’eux.

Selon Marc, il s’informa d’abord du sujet de leur entretien et Marc fit observer que les disciples se turent, parce qu’ils furent confus en sa présence d’avoir agité une question qui trahissait leur ambition. S’étant assis, il appela les douze et leur dit : «Si quelqu’un veut être le premier, il sera le dernier de tous et le serviteur de tous.»  Il y eut quelque chose de solennel dans la manière dont Jésus se prépara à parler.

 Jésus n’eut pas dit : que celui qui veut être le premier soit le dernier et le serviteur de tous, mais : il le sera ; il ne donna pas un conseil sur la manière d’atteindre la véritable grandeur.Il montra l’abaissement qui est la conséquence inévitable de l’orgueil, selon ce principe éternel du royaume de Dieu : «Quiconque s’élève sera abaissé ». Il ne prédit pas un jugement à venir, mais il énonça un fait actuel : l’orgueil est un abaissement, l’humilité est une grandeur. 

«Quiconque recevra l’un de ces petits enfants en mon nom, me reçoit ; et quiconque me reçoit, ce n’est pas moi qu’il reçoit, mais Celui qui m’a envoyé.».(Mc 9, 37) Jésus, en déclarant que celui qui le reçoit, reçoit Dieu lui-même, exprima une pensée qui se retrouve souvent dans l’évangile de Jean, par exemple dans cette parole : « Moi et le Père sommes un» Dans le passage parallèle de Matthieu  Jésus donna, à l’occasion du petit enfant qu’il présenta comme modèle, une autre instruction non moins importante.

Diacre Michel Houyoux

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◊  EMCI TV : cliquez ici pour lire l’article → Jésus enseigne les disciples

  Vidéo  Père Fleury : cliquez ici →https://youtu.be/eXBBa8p5erc

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