L’enfant qui est engendré en elle vient de l’Esprit Saint

Posté par diaconos le 8 septembre 2020

MESSE DE LA VEILLE DE NOËL ANNÉE B - ppt télécharger

De l’Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

Généalogie de Jésus, Christ, fils de David, fils d’Abraham. Abraham engendra Isaac, Isaac engendra Jacob, Jacob engendra Juda et ses frères,  Juda, de son union avec Thamar, engendra Pharès et Zara, Pharès engendra Esrom, Esrom engendra Aram, Aram engendra Aminadab, Aminadab engendra Naassone, Naassone engendra Salmone, Salmone, de son union avec Rahab, engendra Booz, Booz, de son union avec Ruth, engendra Jobed, Jobed engendra Jessé, Jessé engendra le roi David. David, de son union avec la femme d’Ourias, engendra Salomon, Salomon engendra Roboam, Roboam engendra Abia, Abia engendra Asa,  Asa engendra Josaphat, Josaphat engendra Joram, Joram engendra Ozias, Ozias engendra Joatham, Joatham engendra Acaz, Acaz engendra Ézékias, Ézékias engendra Manassé, Manassé engendra Amone, Amone engendra Josias, Josias engendra Jékonias et ses frères à l’époque de l’exil à Babylone.

Après l’exil à Babylone, Jékonias engendra Salathiel, Salathiel engendra Zorobabel, Zorobabel engendra Abioud, Abioud engendra Éliakim, Éliakim engendra Azor, Azor engendra Sadok, Sadok engendra Akim, Akim  engendra Élioud, Élioud engendra Éléazar, Éléazar engendra Mattane, Mattane engendra Jacob, Jacob engendra Joseph, l’époux de Marie, de laquelle fut engendré Jésus, que l’on appelle Christ. Voici comment fut engendré Jésus Christ : Marie, sa mère, avait été accordée en mariage à Joseph ; avant qu’ils aient habité ensemble, elle fut enceinte par l’action de l’Esprit Saint.

Joseph, son époux, qui était un homme juste, et ne voulait pas la dénoncer publiquement, décida de la renvoyer en secret. Comme il avait formé ce projet, voici que l’ange du Seigneur lui apparut en songe et lui dit : « Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre chez toi Marie, ton épouse, puisque l’enfant qui est engendré en elle vient de l’Esprit Saint ; elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus (c’est-à-dire : Le-Seigneur-sauve), car c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. »

Tout cela est arrivé pour que soit accomplie la parole du Seigneur prononcée par le prophète : Voici que la Vierge concevra, et elle enfantera un fils ; on lui donnera le nom d’Emmanuel, qui se traduit : « Dieu-avec  nous » (Mt 1, 1-16.18-23)

Origine humaine et divine du Messie

Le but de l’Évan­gile de Mat­thieu est de mettre en évi­dence le rap­port in­time et vi­vant des deux al­liances, de mon­trer en Jé­sus-Christ l’ac­com­plis­se­ment de toute l’­his­toire de son peuple. Ce but, Matthieu  le ma­ni­festa dès les pre­mières lignes de son livre, par cette gé­néa­lo­gie dont la si­gni­fi­ca­tion est mar­quée d’a­bord par les deux grands noms de David et d’Abraham. 

  • Da­vid, dans la fa­mille du­quel de­vait, se­lon la pro­phé­tie, naître ce­lui dont la royauté se­rait éter­nelle Psaumes 132.11 ; Ésaïe 11.1 ; Jérémie 23.5 com­pa­rez Actes 13.23 ; Romains 1.3
  • Abra­ham, dans la pos­té­rité du­quel de­vaient être bé­nies toutes les fa­milles de la terre, pro­messe qui n’a de sens et d’ac­com­plis­se­ment qu’en Jé­sus-Christ (Genèse 12.3 ; Genèse 22.18 com­pa­rez à Galates 3.14-16).

Le Fils de Dieu vint prendre sa place dans cette pos­té­rité d’A­bra­ham et dans notre hu­ma­nité qu’il dut se re­nou­ve­ler. S’il ne se fut pas agi pour lui que d’ap­por­ter au monde des ré­vé­la­tions nou­velles, une longue sé­rie de traditions au­rait suffi. La bé­né­dic­tion pro­mise à Abra­ham se réa­li­sa dans sa postérité, et consis­ta en une créa­tion nou­velle, com­men­cée dans la per­sonne même de Jésus. De là une gé­néa­lo­gie qui n’eut pas seule­ment pour but d’é­ta­blir la fi­lia­tion his­to­rique de ce­lui-ci.

 Ce pre­mier but at­teint, la gé­néa­lo­gie de Jo­seph ne fut pas in­utile pour les Is­raé­lites. Du­rant tout le temps de sa vie, Jé­sus fut en­vi­sagé comme fils de Jo­seph et il dut l’être en vertu des plus hautes conve­nances. Mais, de plus, il y eut dans cette opi­nion ceci de fondé, que Jo­seph confé­ra à son fils adop­tif un droit lé­gal théo­cra­tique à la royauté, d’a­bord parce qu’il fut lui-même des­cen­dant de Da­vid et en­suite parce que, en épou­sant Ma­rie qui fut, héritière  du nom de sa fa­mille, il en­tra lé­ga­le­ment dans la li­gnée de sa femme et en prit le nom.

Jé­sus-Christ fut l’oint de l’Éter­nel, et ce fut sous ce nom de Mes­sie, em­prunté sur­tout au Psaumes 2 et à Daniel 9.25-26, que son peuple l’at­ten­dit. Lui-même, en prê­chant dès l’en­trée de son mi­nis­tère un royaume de Dieu dont il fut le Chef,  donna à cette no­tion toute sa vé­rité et sa spi­ri­tua­lité. Aussi, dans son Église, le titre de Christ de­vint peu à peu un nom propre, mais sans rien perdre de sa haute si­gni­fi­ca­tion. Ce ne fut pas sans in­ten­tion que les écri­vains sa­crés l’appelèrent tan­tôt Jésus, tan­tôt le Christ, ou lui donnent ce double nom de Jésus-Christ, comme le fit  l’Évan­gile de  Matthieu dès la pre­mière ligne  : « Et Jacob engendra Joseph, l’époux de Marie, de laquelle est né Jésus, qui est appelé Christ.« 

Les exé­gètes se donnèrent beau­coup de peine pour re­trou­ver la di­vi­sion d’a­près la­quelle Matthieu eut éta­bli ces trois sé­ries de qua­torze gé­né­ra­tions. Les gé­né­ra­tions de la pre­mière pé­riode, d’A­bra­ham à Da­vid, furent énumérées, sans omis­sion. : elles sont au nombre de qua­torze. Dans la se­conde pé­riode, Matthieu re­tran­cha quatre rois de Juda : Acha­zia, Joas, Ama­zia, entre Jo­ram et Ozias  et Jo­ja­kim, entre Jo­sias et Je­cho­nias. La liste a de la sorte qua­torze noms, si l’on compte Je­cho­nias comme le der­nier de cette pé­riode.

Diacre Michel Houyoux

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◊  Regnum Christi : cliquez ici pour lire l’article → Jésus, engendré en Marie, épouse de Joseph, fils de David 

◊ Père Abbé de Landévénnec   : cliquez ici pour lire l’article → L’appel de Dieu nous pousse toujours sur des chemins inattendus

Commentaire de l’ Abbé Pierre Desroches  « L’enfant qui est engendré en elle vient de l’Esprit Saint »

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Thou hast been faithful for little, enter into the joy of thy lord

Posté par diaconos le 29 août 2020

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From the Gospel of Jesus Christ according to Saint Matthew

At that time, Jesus told his disciples this parable: « A man going on a journey called his servants and entrusted his goods to them. To one he gave the sum of five talents, to another two talents, to the third only one talent, to each according to his ability. Then he left. Immediately the one who had received the five talents went away to make use of them and won five more. Likewise, he who had received two talents won two more. But he who had received only one went and dug up the earth and hid his master’s money.

After a long time, the master of these servants returned and asked them to account for it. And he who had received five talents came and presented another five talents and said, « Lord, you entrusted me with five talents; behold, I have earned five more. »     His master said to him, « Very well, good and faithful servant, you have been faithful for a few things, I will entrust you with many; enter into the joy of your lord. »  He who had received two talents also came nearer
and said, « Lord, you entrusted me with two talents; behold, I’ve won two more. »  His master said to him: « Very well, good and faithful servant, you have been faithful for a few things, I will entrust you with many; enter into the joy of your lord. » The one who had received one talent also came near and said: « Lord, I knew that you are a hard man: you reap where you have not sown, you reap where you have not sowed, you gather where you have not scattered the grain. I was afraid, and I went and hid your talent in the ground.

Here it is. You have what is yours. » And his master said, « You lazy, wicked servant, you knew I reap where I did not sow, you knew I gather where I did not sow. So I had to put my money in the bank; and when I returned, I would have found it with the interest. So take away his talent and give it to the one who has ten. To him that hath, more shall be given, and he shall be in abundance; but he that hath nothing shall have even that which he hath taken away.     And as for that good-for-nothing servant, cast him into outer darkness; there shall be weeping and gnashing of teeth. »  (Mt 25, 14-30)

The parable of talent

The kingdom of heaven is compared to what a man did when he went on a journey and handed over his possessions to his servants. He gave to one five talents, to the other two, to the other one one. Immediately the one who received five talents set to work and earned five more; likewise the one who received two. But he who had only one talent buried it in the ground.  After a long time the master returned and made his servants answer for it. He that had received five talents produced five more that he had earned; likewise also he that had received two. Then the master, praising their faithfulness, admitted them to share his joy.

But he that had received one talent came and said : « Lord, I knew that you are a hard and unjust man ; I feared and buried your talent in the earth: this is yours.  » But his master answered him : « O wicked servant, if thou knewest that I am a hard and unjust man, thou shouldest have given my money to others, who would have returned it to me with interest. Take away the talent from him, and give it to him that has ten, and cast the useless servant into outer darkness. Luke (Luke 19:12 ff.)  reports a parable which has some similarities with this one, but differs from it in other respects. Several interpreters, considering these two accounts as one and the same parable, variously modified by apostolic tradition, wondered to which of the two belongs the priority and originality. But why not instead admit that Jesus used such a striking form of instruction twice, modifying it in such a way as to express two different ideas? This is the result of a careful study of the two parables.

In the parable reported by Luke, all the servants received the same amount of money to be claimed. Here the gifts entrusted were individualised according to the ability and means of each one. Having thus entrusted his goods, the master left immediately. Immediately he went away and made use of his talents; he did not waste a moment, feeling his responsibility and how precious time was. From that moment on he worked, worked with the talents and made five more talents. He returned only after a long time, having given his servants the time they needed for their work. And since this return of the master represented the second coming of Jesus, Jesus did not announce it in a future so near that a certain exegesis would want it.

The five talents entrusted to him were no small thing ; but the master designated them so in comparison with what he would still entrust of his immense riches to this servant who proved to be good and faithful. What does this word mean in the parable: the joy of your lord? Some thought of the master’s satisfaction with this good servant, others of some banquet or feast he wanted to hold to celebrate his return. Here Jesus suddenly passed from image to reality, and that joy was the happiness and glory he enjoyed, into which he introduced his faithful servant: « Now if we are children, we are also heirs, heirs of God and joint heirs with Christ, if we suffer with him, that we may be glorified with him » (Rm 8, 17).

The language of this wicked servant was borrowed from the customs of agriculture. He even expressed, in two different forms, his accusation against his master : wanting to reap without having sown, and to gather without having spilled. The latter image is borrowed from the custom of threshing the wheat, whose ears are scattered over the ground, and then gathering the grain into the granary. The servant wanted to prove to his master that he was a hard man, too demanding and unjust. But he himself betrayed the depths of his heart, where there was only fear and no trust, no love, no concern for his master’s interests. He placed himself before him on the field of his own justice. He also rebuked him for having confided too little in him.

Badness and laziness are the two vices that the master saw in the heart and in the conduct of his servant. The latter would have revealed them abundantly, either in his manner of acting or in his feelings towards his master. The master did not refute the accusation made against him, he admitted it, and there is a sad irony in this admission, but to draw an immediate conclusion which is quite the opposite of the servant’s conduct. Even though he was a hard and unjust man, who could only inspire fear in his servant, the latter should have, by this fear alone, had his master’s money taken by bankers : thus separating his property from that of his master, he would not have done the latter any harm; he would at least have achieved that justice to which he appealed. Still others saw in the act of taking the money to the bankers, the renunciation of the Christian profession which is commanded to those who do not have the faith and love of Jesus in their hearts.

 The divine treasure, and the act of depositing it, demanded of the servant a state of prayer in which the servant, who believes himself incapable of acting himself for the cause of Christ, can at least ask God to draw from him and from his Christian knowledge the part he will find good. (M. Godet)

When Jesus takes away from a man the talent he entrusted to him, he thereby deprives him of any means of still working for him. This is the beginning of the judgment: « For to every man that hath shall be given, and he shall have abundance; but from him that hath not, even that which he hath shall be taken away. « (Mt 25, 29). Explanation of this parable.  The man who entrusts his possessions before going away is Jesus himself, who was soon going to leave the house.

Explanation of this parable

The man who entrusts his possessions before going away is Jesus himself, who was soon to separate himself from his disciples. The servants are the disciples of then and the redeemed of all times, whatever their position or function in the Church. Talents represent all of God’s gifts, natural advantages and spiritual graces, and in particular the outpouring of His Holy Spirit which was to be given to the Church, to create new life and to enliven all other gifts.

These talents are distributed to each one selo→formément to the sovereign wisdom of one who probes hearts, measures moral and intellectual strength and knows the degree of receptivity of each soul. It is a question for all to increase these talents by making use of them. In the same way, in fact, that capital increases through interest, through work, in the same way all the graces of God are multiplied by their faithful use in daily life.

The return of the master who comes to settle accounts with his servants is the solemn advent, on the last day, of Jesus before whom will be manifested all the secrets of hearts and all the fruits of each one’s work.  The happiness of the faithful servants who enter into the joy of their Lord, as well as the inexpressible misfortune of the wicked and lazy servant who finds himself stripped of his talent and thrown into outer darkness this great and tragic outcome of the parable, is self-explanatory.

Deacon Michel Houyoux

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The parable of talent

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Voici l’époux ! Sortez à sa rencontre

Posté par diaconos le 28 août 2020

Image du Blog christroidumonde.centerblog.net

De l’Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples cette parabole : « Le royaume des Cieux sera comparable à dix jeunes filles invitées à des noces, qui prirent leur lampe pour sortir à des noces, qui prirent leur lampe pour sortir à la rencontre de l’époux. Comme l’époux tardait, elles s’assoupirent toutes et s’endormirent. Au milieu de la nuit, il y eut un cri : “Voici l’époux ! Sortez à sa rencontre.” Alors toutes ces jeunes filles se réveillèrent et se mirent à préparer leur lampe.
Les insouciantes demandèrent aux prévoyantes : “Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s’éteignent.” Les prévoyantes leur répondirent : “Jamais cela ne suffira pour nous et pour vous, allez plutôt chez les marchands vous en acheter.”
Pendant qu’elles allaient en acheter, l’époux arriva. Celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée. Plus tard, les autres jeunes filles arrivèrent à leur tour et dirent : “Seigneur, Seigneur, ouvre-nous !” Il leur répondit : “Amen, je vous le dis : je ne vous connais pas.”

    Veillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l’heure. »  (Mt 25, 1-13)

La parabole des dix vierges

Les dix vierges, ou les Vierges folles et Vierges sages, est une parabole de  l’évangile de Matthieu. Elle appartient au Sondergut de cet évangile. Elle met en image l’appel de Jésus à suivre les principes de la fidélité à sa parole, à la miséricorde et la charité pour gagner, après la mort, le Royaume de Dieu plutôt que la perdition en enfer.

Interprétation

L’huile est en fait la miséricorde. Cinq vierges sont appelées  folles, car elles ont vaincu un ennemi puissant qui est l’amour charnel mais n’ont pas réussi à vaincre un ennemi plus faible qui est le manque de miséricorde, expliqua dans sa 12° homélie, Jean Chrysostome. Les vases sont nos cœurs, et l’huile est l’éclat intérieur de la gloire, entendez les vertus, d’après Grégoire le Grand,.

Pour Grégoire le Grand, elles sont le symbole de l’Église vivante qui regroupe les sages comme ceux qui le sont moins. Dans son homélie 78, Jean Chrysostome rapprocha ce passage biblique à la Parabole des talents ; il faut porter du fruit… et mon Père (le vigneron) sera glorifié.

Commentaire

Le royaume des cieux est comparé à dix vierges qui, le soir des noces, attendirent l’époux munies de leurs lampes. Cinq d’entre elles, qui furent folles, n’eurent pas pris d’huile avec elles ; les cinq sages en eurent pris dans des vases. En attendant l’époux, elles s’endormirent toutes. Au milieu de la nuit, elles entendirent crier : « Voici l’époux !  » Alors elles s’éveillèrent et préparèrent leurs lampes.

Dans la Bible, Le royaume des cieux est dé­crit par di­verses pa­ra­boles, dans di­vers mo­ments de son dé­ve­lop­pe­ment ; ici il s’a­git du der­nier triomphe de ce royaume qui sera fait semblable aux di­vers traits de la pa­ra­bole que Jé­sus  ra­con­ta. Al­lu­sion à un usage de l’O­rient, les noces se cé­lébrèrent de nuit. L’é­poux se rendit le soir, à la lueur des flam­beaux, chez sa fian­cée, afin de l’é­pou­ser et de l’em­me­ner dans sa mai­son. Les amies de noce qui entourèren­t l’é­pouse sortirent au devant de l’époux à son ar­ri­vée, et prirent part aux cé­ré­mo­nies du ma­riage, aussi bien qu’au ban­quet qui eut lieu chez l’é­poux.

Cha­cune dut avoir la sienne. Mais outre cette lampe, bien pour­vue d’­huile, les sages en firent en­core pro­vi­sion dans des vases, de sorte que leurs lampes purent tou­jours être ali­men­tées. Pen­dant ce temps d’attente de

l’époux, in­connu dans sa du­rée, toutes les vierges s’assoupirent et s’endormirent.  La faible por­tion d’­huile ren­fer­mée dans leurs lampes s’é­tant consu­mée pen­dant l’at­tente, ces lampes com­mencèrent à s’éteindre.  Mais plus tard vinrent aussi les autres vierges, disant :  » Seigneur, Seigneur, ouvre-nous ! »  : leur lan­gage fut plein d’an­goisse!

Diacre Michel Houyoux

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Complément

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article →   Voici l’époux ! Sortez à sa rencontre

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◊   Père Charles Mbu satela : cliquez ici pour lire l’article → Voici l’époux, sortez à sa rencontre (Mt25,1-13)

◊ Regnum Christi  : cliquez ici pour lire l’article → Discours sur la venue du Fils de l’homme : | Regnum Christi

Voici l’époux ! Sortez à sa rencontre

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