Lundi de la trentième semaine du Temps Ordinaire – Année A

Posté par diaconos le 28 octobre 2023

 

Image du blog du Diacre Michel Houyoux

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

Un jour de sabbat, Jésus était entré dans la synagogue et enseignait. Il y avait là un homme dont la main droite était desséchée. Les scribes et les pharisiens observaient Jésus pour voir s’il ferait une guérison le jour du sabbat ; ils auraient ainsi un motif pour l’accuser. Mais lui connaissait leurs raisonnements, et il dit à l’homme qui avait la main desséchée :«Lève-toi, et tiens-toi debout, là au milieu.» L’homme se dressa et se tint debout. Jésus leur dit : «Je vous le demande : Est-il permis, le jour du sabbat, de faire le bien ou de faire le mal ? de sauver une vie ou de la perdre ?»

Alors, promenant son regard sur eux tous, il dit à l’homme : «Étends la main.» Il le fit, et sa main redevint normale. Quant à eux, ils furent remplis de fureur et ils discutaient entre eux sur ce qu’ils feraient à Jésus. (Lc 6, 6-11)

Guérison de l’homme à la main sèche

Jean Chrysostome dit sur ce passage de la Bible que par ce miracle, Jésus voulut lutter contre l’aveuglement des cœurs. Il voulut montrer sa compassion, et aussi essayer de faire comprendre par ce miracle, par cette maïeutique que l’humain dut s’appliquer à faire le bien quel que soit le jour. Pour l’époque ce ne fut pas évident face à des règles strictes qui ne poussèrent pas les gens à écouter les vertus plus que la loi existante. Les vertus : la prudence, la tempérance, la force d’âme et la justice furent connues et louées par les philosophes avant le christianisme Ces vertus forment avec les trois vertus théologales de celui-ci les vertus catholiques.

La prudence est la sagesse qui dispose la raison pratique à discerner, en toutes circonstances, le véritable bien et à choisir les justes moyens de l’accomplir. La tempérance assure la maîtrise de la volonté sur les instincts et maintient les désirs dans les limites de l’honnêteté, procurant ainsi l’équilibre dans l’usage des biens. La force d’âme, elle, correspond au courage ou à la force morale, également appelée fortitude, qui est un trait de caractère qui s’illustre par une capacité à  résister à des douleurs, qu’elles soient physiques ou psychologiques.

La fortitude implique une grande bravoure face aux évènements subis. Exemple ; « Face au cancer, il a été d’une grande forfitude »  Finalement, la justice correspond à la constante et ferme v olonté de donner moralement à chacun ce qui lui est universellement dû.

Jean Chrysostome, nacquit à Antioche (aujourd’hui Antakya en Turquie) entre 343 et 349, et mourut en 407 près de Comana, il fut archevêque de Constantinople et l’un des Pères de l’Église.Son éloquence signifie littéralement à la bouche d’or. L’anaphore qui constitue le cœur de la plus célébrée des Divines Liturgies dans les églises orthodoxes lui fut attribuée. Sa rigueur et son zèle réformateur le conduisirent à l’exil et à la mort.À la fois saint, père de l’Église orthodoxe, docteur de l’´Église catholique romaine et de l’Église copte, Jean Chrysostome est fêté le 13 novembre, le 27 janvier (translation de ses reliques), le 30 janvier (fête des Trois Hiérarques) dans l’Église orthodoxe, le 13 septembre dans l’Église catholique.

Diacre Michel Houyoux

Tout ajout de votre part, en relation avec cet article, est bienvenu et sera publié. Rédigez-le dans le cadre situé sous l’article.

Sites intéressants à découvrir sur Internet

◊ Regnum Christi → Ils observaient Jésus pour voir s’il ferait une guérison le jour du sabbat

◊ Diacre Jean – Yves Fortin → Ici, Jésus nous ramène à l’essentiel

Vidéo David Richir → https://youtu.be/lDfiIolKh_U

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Samedi de la vingt-neuvième semaine du Temps Ordinaire -Année A

Posté par diaconos le 27 octobre 2023

Les Douze Apôtres de Jésus

Les douze apôtres choisis par Jésus

# Le Nouveau Testament emploie plusieurs fois le mot apôtre. Il s’applique à plusieurs catégories de personnes bien distinctes : les témoins de la Résurrection de Jésus, envoyés pour annoncer cet événement; un des ministères de l’Église primitive ; deux fois dans les évangiles (Mt 10,2 et Lc 6,13) : le groupe des Douze choisis par Jésus, d’abord pour les envoyer (Mt 10, 5-42), enfin pour être avec lui et pour signifier symboliquement le peuple de la fin des temps (Mt 19, 28).

Paul, qui ne fit pas partie des Douze Apôtres, est surnommé l’Apôtre sans autre précision, ou encore l’apôtre des Gentils.Le mot apôtre désigne un des douze disciples de Jésus-Christ. Il s’applique aussi aux personnes qui enseignent et répandent une religion à la manière des apôtres de Jésus. Par extension, il qualifie aussi les propagateurs d’une doctrine, d’une opinion, d’une cause. Dans le vocabulaire familier, apôtre désigne une personne qui va écouter aveuglément son maître à penser et qui propage activement ses idées.

Le Nouveau Testament témoigne aussi d’un apostolat conçu, dans la première Église, comme l’un des ministères essentiels. Les lettres de Paul parlent de faux apôtres. (2 Co 11, 13) Le premier exemple de texte apostolique est sans doute la lettre apostolique envoyée à l’Église d’Antioche à la suite des discours de Pierre (Ac 15, 7-12) et Jacques (Ac 15, 13-21) sur la décision du concile de Jérusalem sur l’observance des règles traditionnelles du judaïsme, notamment la circoncision (vers l’année 50).

Les textes ne sont pas toujours explicites sur le contenu de ce ministère, dont on peut penser qu’il comportait une dimension missionnaire itinérante : c’est ainsi que la Didachè atteste leur existence en Syrie au début du deuxième siècle. L’apostolat en effet, contrairement à l’épiscopat, ne s’exerce pas sur un territoire circonscrit et précis : il a une dimension universelle. Pierre en effet présida d’abord l’Église d’Antioche avant de présider l’Église de Rome.

La tradition de l’Église, en suivant les textes des Actes des Apôtres, adopte un collège apostolique modifié depuis la défection et la trahison de Judas l’Iscariote. Elle remplace celui-ci par Matthias et surtout par Paul. Le plus souvent, ces deux apôtres additionnels figurent ensemble parmi les Douze au détriment de l’un des onze appelés par Jésus-Christ. En tout cas Paul figure toujours dans le collège apostolique, à la seconde place après Pierre. La Tradition apostolique a été définie par Hippolyte de Rome au début du IIIe siècle.

C’est sur l’existence de ce ministère de l’Église antique que Calvin s’appuiera pour restructurer les ministères des Églises de la Réforme. Après les temps proprement apostoliques marquant la première période de l’histoire du christianisme, le terme apôtre s’applique aux missionnaires qui évangélisèrent un peuple ou un pays, souvent en dehors de leur lieu d’origine, et fondèrent ainsi une chrétienté locale, donna le nom de Pierre, André son frère, Jacques, Jean, Philippe, Barthélemy, Matthieu, Thomas, Jacques fils d’Alphée, Simon appelé le Zélote, Jude fils de Jacques, et Judas Iscariote, qui devint un traître.Jésus descendit de la montagne avec eux et s’arrêta sur un terrain plat. Il y avait là un grand nombre de ses disciples et une grande multitude de gens venus de toute la Judée, de Jérusalem, et du littoral de Tyr et de Sidon. Ils étaient venus l’entendre et se faire guérir de leurs maladies ; ceux qui étaient tourmentés par des esprits impurs retrouvaient la santé. Et toute la foule cherchait à le toucher, parce qu’une force sortait de lui et les guérissait tous. (Lc 6, 12-19)

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ces jours-là, Jésus s’en alla dans la montagne pour prier, et il passa toute la nuit à prier Dieu. Le jour venu, il appela ses disciples et en choisit douze auxquels il donna le nom d’Apôtres :  Simon, auquel il donna le nom de Pierre, André son frère, Jacques, Jean, Philippe, Barthélemy, Matthieu, Thomas, Jacques fils d’Alphée, Simon appelé le Zélote, Jude fils de Jacques, et Judas Iscariote, qui devint un traître.

Jésus descendit de la montagne avec eux et s’arrêta sur un terrain plat. Il y avait là un grand nombre de ses disciples et une grande multitude de gens venus de toute la Judée, de Jérusalem, et du littoral de Tyr et de Sidon. Ils étaient venus l’entendre et se faire guérir de leurs maladies ; ceux qui étaient tourmentés par des esprits impurs retrouvaient la santé. Et toute la foule cherchait à le toucher, parce qu’une force sortait de lui et les guérissait tous. (Lc 6, 12-19)

L’apogée du ministère galiléen

Jésus en ces jours-là passa une nuit en prières sur la montagne. Le jour venu, il assembla autour de lui ses disciples dont il choisit douze, auxquels il donna le titre d’apôtres. Jésus revenu auprès de la foule opéra des guérisons. Jésus avec ses disciples redescendit jusqu’à un plateau de la montagne. Il y trouva une grande multitude, accourue de toute la Palestine. Une puissance divine, sortant de lui, opéra des guérisons.

D’une part, Jésus était parvenu au faite de son activité et de sa puissance divine. D’autre part, la haine de ses adversaires et leurs desseins meurtriers hâtaient la crise qu’il prévoyait déjà comme inévitable. Dans ces graves circonstances, il prit parmi ses disciples les douze apôtres et les établit comme ses témoins et ses ambassadeurs, chargés de continuer après lui son œuvre dans le monde.

Il se prépara à cet acte solennel par la prière dans un lieu écarté. Luc raconta fréquemment que Jésus se retirait dans la solitude pour prier. Luc ajouta seul que Jésus leur donna le titre d’apôtres, envoyés auprès de notre humanité pour continuer son œuvre par la prédication de l’Évangile.

Le nom d Jude, fils de Jacques, est propre à Luc. L’existence d’un apôtre de ce nom fut confirmée par Jean. Les évangélistes rappelèrent que Judas dénonça Jésus pour le faire arrêter. Matthieu, dans sa liste des apôtres, les nomma deux par deux : Pierre et André, Jacques et Jean, etc. Ce groupement répondait à la réalité historique, chaque paire ainsi réunie était liée, soit par des liens de parenté, soit d’une autre manière.

Quel auditoire se trouva là réuni pour entendre le discours de Jésus ! Des gens s’assemblèrent fréquemment autour de lui pour l’entendre, une grande multitude de peuple, accourue de toutes les contrées environnantes, soit pour l’entendre, soit pour être guéris de leurs maladies ; plusieurs de ces malheureux qui étaient en proie à la puissance des ténèbres : et ils étaient guérisCeux même qui ne pouvaient pas attirer sur eux l’attention de Jésus, au milieu de cette foule, et ils éprouvaient qu’une puissance divine sortait de lui et les guérissait tous.

Diacre Michel Houyoux

Compléments

Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin

Un ami : cliquez ici pour lire l’article  →Saint frère André, un humble religieux de la Congrégation Sainte Croix

Thrueway  : cliquez ici pour lire l’article → Jésus choisit ses disciples – Trueway Kids

 ◊ Regnum Christi : cliquez ici pour lire l’article →  Il passa toute la nuit à prier Dieu ; il appela ses disciples et en choisit douze auxquels il donna le nom d’apôtres

Vidéo  Notre mission https://youtu.be/a3sJ

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Dreißigster Sonntag im Jahreskreis A

Posté par diaconos le 26 octobre 2023

                                                                                                 Ihr sollt den Herrn, euren Gott, von ganzem Herzen, von ganzer Seele und mit eurer ganzen Kraft lieben.
5.Mose 6,5
# Das Große Gebot (oder Erste Gebot) ist ein von Jesus Christus gegebenes Doppelgebot, das in den synoptischen Evangelien in drei verschiedenen Formen erscheint. Das Große Gebot vereint zwei alttestamentliche Gebote: „Höre, o Israel: Jahwe, unser Gott, ist der einzige Jahwe. Du sollst Jahwe, deinen Gott, lieben mit deinem ganzen Herzen, mit deiner ganzen Seele und mit deiner ganzen Kraft.“ . (Dtn 6,4-5) und „Du sollst deinen Nächsten lieben wie dich selbst“. (Lev 19, 18).
Der Katechismus der Katholischen Kirche von 1992 erinnert daran, dass dies das erste Gebot (§2196) für Katholiken ist. Diese doppelte Ermahnung spiegelt sich auch im doppelten Motto des Souveränen Malteserordens wider: Tuitio Fidei et Obsequium Pauperum (Verteidigung des Glaubens und Hilfe für die Armen).
Auf dieses Große Gebot verweist Immanuel Kant in Teil IV, Abschnitt 1 seines Werkes : Die christliche Religion als Naturreligion umfasst alle Pflichten nach allgemeiner Vorschrift, die sowohl die inneren als auch die äußeren moralischen Beziehungen der Personen betreffen, d. h.: Erfülle deine Pflicht aus keinem anderen Beweggrund als der unmittelbaren Liebe zu dieser Pflicht, d. h. liebe Gott, liebe den, der alle Pflichten über alles andere stellt; nach einer besonderen Vorschrift, die sich auf äußere Beziehungen zu anderen Personen bezieht und eine allgemeine Pflicht darstellt, nämlich: Liebe jeden wie dich selbst, das heißt, trage zu seinem Wohlergehen aus unmittelbarer Wohltätigkeit und nicht aus Eigennutz bei; diese Gebote sind keine moralischen Gebote, sondern Vorschriften der Heiligkeit, die wir anstreben müssen und in Bezug auf die bloße Streben heißt Tugend.
Der zweite Teil des Großen Gebots drückt die Goldene Regel der Ethik der Gegenseitigkeit prägnant aus.

Die Goldene Regel ist eine Ethik der Gegenseitigkeit, deren Grundprinzip in fast allen großen Religionen und Kulturen verankert ist : „Behandle andere so, wie du selbst behandelt werden möchtest“ oder „Tu anderen nicht das an, was du nicht möchtest, dass dir etwas angetan wird.“ '. 
Diese Form der universellen Moral findet sich in den philosophischen Grundsätzen des alten Ägypten und der griechischen Antike sowie in den Religionen des Ostens (Hinduismus, Buddhismus, Taoismus, Konfuzianismus usw.), des Nahen Ostens und des Westens (Judentum, Christentum, Islam), und sogar im atheistischen Humanismus.
Die im Westen am weitesten verbreitete Formulierung der Goldenen Regel lautet „Du sollst deinen Nächsten lieben wie dich selbst“, ein Gebot der Thora oder des Alten Testaments, ausgedrückt in Levitikus (Lev 19, 18), das zur Zeit Jesu von Nazareth von Rabbi Hillel entwickelt wurde Pharisäerkreisen, und die Jesus (Mt 22, 37-40) als die Essenz der sechs Gebote des Dekalogs über menschliche Beziehungen anführt (Ex 20, 12-17). 

Aus dem Evangelium von Jesus Christus nach Matthäus 

Zu dieser Zeit versammelten sich die Pharisäer, als sie hörten, dass Jesus den Sadduzäern den Mund verschlossen hatte, und einer von ihnen, ein Gesetzeslehrer, stellte Jesus eine Frage, um ihn auf die Probe zu stellen : Jesus antwortete : “ Leurrer, im Gesetz, Was ist das große Gebot ?“
Du sollst den Herrn, deinen Gott, lieben mit deinem ganzen Herzen, mit deiner ganzen Seele und mit deinem ganzen Verstand.“ Das ist das große Gebot, das erste. Und das zweite ist ähnlich: „Du sollst deinen Nächsten lieben wie dich selbst. Das Ganze.“Das Gesetz und die Propheten hängen von diesen beiden Geboten ab.“ (Mt 22, 34-40) 
Das größte Gebot Als die Pharisäer erfuhren, dass Jesus die Sadduzäer zum Schweigen gebracht hatte, schickten sie einen von ihnen, einen Anwalt, um ihm diese Frage zu stellen : Was ist das wichtigste Gebot des Gesetzes ?“ 
Jesus zitierte die beiden großen Gebote der Liebe zu Gott und der Liebe zum Nächsten und fügte hinzu : Das ganze Gesetz und die Propheten sind in diesen beiden Geboten enthalten.
“ 
Die Pharisäer, die selbst von Jesus siegreich zurückgewiesen wurden, erfuhren, dass die Sadduzäer, die ihn ebenfalls angegriffen hatten, zum Schweigen gebracht worden waren, ihren Mund geschlossen hatten und verwirrt weggegangen waren. 
Sie versammelten sich erneut und waren zweifellos zufrieden, dass ihre Gegner über eine Angelegenheit verwirrt waren, die sie spaltete: die Auferstehung und die Existenz von Engeln. 
Deshalb baten sie einen von ihnen, Jesus eine Frage zu stellen, die weniger heikel war als die vorherigen. 

Sie entwaffneten nicht, denn der von Matthäus verwendete Ausdruck impliziert nach Holtzmann und Weiss eine feindselige Absich t: Sie versammelten sich, um zu konspirieren, um sich gegen Jesus zu vereinen.
Gott mit ganzem Herzen, mit ganzer Seele, mit ganzem Verstand zu lieben, bedeutet, ihn mit allen Kräften seines moralischen Wesens zu lieben ; so dass alle Fähigkeiten der Seele, die Neigungen, die Gedanken, der Wille, die Wünsche von dieser Liebe durchdrungen und beherrscht werden, die so zum einzigen Motiv aller Handlungen, allen Lebens wird. Jesus sagt nicht, wie der sündige und selbstsüchtige Mensch es schafft, auf diese Weise zu lieben.
Es ist die Aufgabe des Evangeliums, uns zu lehren, in seiner Gesamtheit und vollständig vom Herzen verstanden. Er sagt :  Du sollst den Herrn, deinen Gott, lieben mit deinem ganzen Herzen, mit deiner ganzen Seele und mit deinem ganzen Verstand.

Dieses Liebesgebot ist das größte und erste, weil es die Erfüllung aller anderen beinhaltet und den Kern des religiösen und moralischen Lebens ausmacht. Das ist das große und erste Gebot.

 Dieses Gebot ähnelt dem ersten in seinem Wesen, insofern wahre Nächstenliebe nur eine Anwendung der Liebe zu Gott ist, ein Widerschein der Liebe Gottes in uns, und auch weil die Ausübung dieses Gebotes alle unsere Pflichten erfüllt, alle unsere Verpflichtungen gegenüber unserem Nächsten, von dir“. Egoismus, der Ursache aller Spaltungen und der gewohnheitsmäßigen Übertretung dieses Gebots. Wer seinen Nächsten auf diese Weise liebt, begehrt sein Glück als sein eigenes und trägt nach seinen Kräften dazu bei, als wäre es sein eigenes.

 Ein zweiter Satz lautet ähnlich : Du sollst deinen Nächsten lieben wie dich selbst.“ Alles, was im Gesetz und sogar in den Propheten über die Beziehung des Menschen zu Gott und seinem Nächsten geschrieben steht, entspricht seinem Wesen nach diesen beiden Geboten, die ihre lebendige Verwirklichung sind.Mit diesen Worten beantwortete Jesus die Frage des Anwalts, der ihm nur voll und ganz zustimmen konnte. Diese Antwort ist auch deshalb sehr bemerkenswert, weil sie zeigt, dass bereits im Alten Testament die Liebe die Grundlage allen Gehorsams ist.

Dies ist der zentrale Verbindungspunkt zwischen den beiden Bündnissen. Nur durch das Evangelium ist diese Liebe von Gott vollständiger offenbart und in den Herzen seiner Kinder noch umfassender verwirklicht worden.

Diakon Michel Houyoux

Links zu anderen christlichen Seiten

Erzbistum Koln : Klicken Sie hier, um den Artikel zu lesen → 30. Sonntag im Jahreskreis – Lesejahr A

Steyler eu : Klicken Sie hier, um den Artikel zu lesen → 30. Sonntag im Jahreskreis (A) – Weltmissionssonntag

Video  Clemens Pilar : Klicken Sie hier, um das Video anzusehen → https://youtu.be/8nAeIOL3O3k

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Vendredi de la vingt-neuvième semaine du Temps Ordinaire – Année A

Posté par diaconos le 26 octobre 2023

Le retour de Christ. Exhortation à la vigilance. Matthieu 24:32-51 - YouTube

 De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, Jésus disait aux foules : Quand vous voyez un nuage monter au couchant, vous dites aussitôt qu’il va pleuvoir, et c’est ce qui arrive. Et quand vous voyez souffler le vent du sud, vous dites qu’il fera une chaleur torride, et cela arrive. Hypocrites ! Vous savez interpréter l’aspect de la terre et du ciel ; mais ce moment-ci, pourquoi ne savez-vous pas l’interpréter ?

Et pourquoi aussi ne jugez-vous pas par vous-mêmes ce qui est juste ? Ainsi, quand tu vas avec ton adversaire devant le magistrat, pendant que tu es en chemin mets tout en œuvre pour t’arranger avec lui, afin d’éviter qu’il ne te traîne devant le juge, que le juge ne te livre à l’huissier, et que l’huissier ne te jette en prison. Je te le dis : tu n’en sortiras pas avant d’avoir payé jusqu’au dernier centime.» (Lc 12, 54-59)

Exhortation à la vigilance

Hypocrites, vous savez discerner l’aspect de la terre et du ciel ; mais comment ne discernez-vous pas ce temps-ci ? Ce fut une réponse à des pharisiens qui demandaient un signe du ciel ; et par cette réponse, Jésus évita le piège qui lui fut tendu.  De telles images revinrent fréquemment dans les discours de Jésus. Les images employées se comprennent facilement : un petit nuage se levant à l’occident, c’est-à-dire au-dessus de la mer, leur paraissait un indice certain de la pluie (1R18.44),et cela arrive ainsi.

 Au contraire, le vent du midi, le simoun, soufflant du désert, amenait infailliblement une chaleur brûlante et la sécheresse. Et pourquoi ne jugez-vous pas aussi par vous-mêmes de ce qui est juste ? Cette dernière accusation rend plus saisissante encore celle qui précède et prépare l’avertissement qui va suivre Dans le domaine spirituel aussi, les auditeurs de Jésus devraient juger par eux-mêmes, sans que personne eût besoin de leur montrer les conséquences à tirer de ces signes des temps.

 Leur conscience devrait suffire pour les convaincre de ce qui est juste, de ce qu’il y a à faire dans le danger actuel : se repentir de ses péchés et se réconcilier avec Dieu.

Diacre Michel Houyoux

Sites internet Intéressants à découvrir

Catholiques.org. : cliquez ici pour lire l’article vendredi, 29ème semaine du temps ordinaire – Homélie

Père Gilbert Adam : cliquez ici pour lire l’article Vendredi de la 29e semaine- Année A

Vidéo Sœur Adeline Barthelus https://youtu.be/hxlw4dQO0C8

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