Trentunesima domenica del Tempo Ordinario Anno B

Posté par diaconos le 29 octobre 2024

Il duplice comando dell'Amore - Impegno Educativo

# La carità è sinonimo di giustizia nell’ebraismo, secondo il Comandamento divino, e fa parte del principio della Tzedaka. Secondo la teologia cristiana, si riferisce all’amore dell’uomo per Dio, per se stesso e per il prossimo in quanto creatura di Dio. La carità è anche definita come una delle tre virtù teologiche del cristianesimo (insieme alla fede e alla speranza). Nel linguaggio comune, la carità è una virtù che ci porta a desiderare e a fare del bene agli altri. È un modo di servire le persone attraverso atti ispirati dall’amore per il prossimo.

Il concetto di hessed (carità, gentilezza, amore per Dio e per il prossimo) compare 246 volte nella Torah. Tuttavia, hessed fa parte del più ampio principio ebraico di Tsedaka, che significa “giustizia” e “rettitudine”, e che è una mitsva (cioè un comandamento e una buona azione) che gli ebrei devono adempiere nel corso della loro vita4. Fa parte dell’insieme delle Gemilut Hasadim (da gamol “compiere, pagare” e hessed) che costituiscono gli “atti di carità” che gli ebrei devono compiere. La carità è la regina delle virtù: l’amore per Dio e per il prossimo. Dal punto di vista cristiano, è la virtù teologica con la quale amiamo Dio sopra ogni cosa per amore suo e il nostro prossimo come noi stessi per amore di Dio.

Assicura e purifica il potere umano di amare e lo eleva alla perfezione soprannaturale dell’amore divino. Paolo di Tarso la definisce nel capitolo 13 della sua Prima Lettera ai Corinzi. Nella tradizione iconografica cristiana, l’allegoria della Carità è spesso quella di una giovane donna che allatta i bambini. Anche i pittori italiani del Rinascimento hanno rappresentato la Carità come una giovane donna che allatta un vecchio emaciato, in linea con il tema della Carità romana.

Il comandamento dell’amore

Secondo Matteo, uno scriba inviato dai farisei si avvicinò a Gesù e gli pose la domanda per tentarlo o metterlo alla prova. Per quanto riguarda la citazione del grande comandamento dell’amore da parte di Gesù, solo Marco la precede con queste parole: “Ascolta, o Israele, il Signore nostro Dio è un solo Signore”. Queste parole, prese in prestito da Deuteronomio 6,4-5, si trovano nella stessa connessione con il dovere di amare Dio. Solo un Dio può essere oggetto di amore supremo.

A questi tre termini, con tutto il cuore, con tutta l’anima, con tutta la mente, che si trovano in Matteo, Marco ha aggiunto: con tutte le tue forze, in accordo con l’ebraico, che invece non contiene la parola “mente”. Il comandamento di amare il prossimo è citato qui da Levitico 19,18. La risposta dello scriba e l’approvazione di Gesù si trovano solo in Marco.

Lo scriba sottolinea il principio dell’unità di Dio, come gli aveva ricordato Gesù. Nell’enumerazione delle facoltà dell’anima, che devono essere tutte permeate dall’amore di Dio, lo scriba sostituisce la parola “ pensiero ” con “intelligenza”, intendendo quella ragione superiore e morale che penetra e abbraccia l’intera relazione tra l’uomo e Dio, uniti dall’amore.

Gesù, che poteva leggere nel cuore di questo scriba e conosceva la sincerità e la serietà delle parole che aveva appena pronunciato, poteva, per incoraggiarlo, dargli questa testimonianza, e gliela diede con tanta più gioia e amore perché il suo interlocutore apparteneva a una classe di uomini generalmente contrari al suo insegnamento. Non essere lontani dal regno di Dio significa essere vicini ad esso, ma non esservi ancora entrati.

Matteo fa la stessa osservazione dopo la domanda sull’origine di Cristo. Marco la colloca dopo la discussione sul comandamento più grande. Questa conversazione impressionò profondamente gli oppositori, poiché uno di loro si era appena dichiarato d’accordo con Gesù sul punto centrale della vera religione.

Il diacono Michel Houyoux

Link ad altri siti cristiani

La Voce e il Tempo : clicca qui per leggere l’articolo → Il primo di tutti i comandamenti – La Voce e il Tempo

donguido-Italia : clicca qui per leggere l’articolo → La parola del giorno « Qual è il primo di tutti i comandamenti? »

Video Padre Fernano Armellini : clicca qui → https://youtu.be/RcsFJGHlIps

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Trente et unième dimanche du Temps Ordinaire Année Paire

Posté par diaconos le 28 octobre 2024

Les deux commandements de l'amour – Chrétien web

# La charité est synonyme de justice dans le judaïsme, selon le Commandement divin, et s’inscrit dans le principe de la Tsédaka. Elle désigne, selon la théologie chrétienne, l’amour de l’homme pour Dieu, pour lui-même et dans l’amour du prochain comme créature de Dieu. La charité est en outre définie comme l’une des trois vertus théologales du christianisme (aux côtés de la foi et de l’espérance). Dans le langage ordinaire, la charité est une vertu qui porte à désirer et à faire le bien pour autrui. Elle rend donc service aux gens en des actes inspirés par l’amour du prochain.

Le concept de hessed (charité, bonté, amour de Dieu et du prochain) apparaît 246 fois dans la Torah. Pour autant, le hessed s’inscrit dans le principe juif plus large de Tsedaka qui signifie « justice » et « droiture », et qui est une mitsva (c’est-à-dire un Commandement et une bonne action) que le Juif doit accomplir tout au long de sa vie4. Il relève de l’ensemble des Gemilut Hassadim (de gamol « accomplir, payer » et de hessed) qui constituent les « actes de bienfaisance » dont le Juif doit s’acquitter. La charité est la vertu reine des vertus : l’amour de Dieu et du prochain. Dans une perspective chrétienne, elle est la vertu théologale par laquelle on aime Dieu par-dessus toute chose pour lui-même, et son prochain comme soi-même pour l’amour de Dieu.

Elle assure et purifie la puissance humaine d’aimer et l’élève à la perfection surnaturelle de l’amour divin. Paul de Tarse en a donné une définition dans la Première épître aux Corinthiens au chapitre 13. Dans la tradition iconographique chrétienne, l’allégorie de la Charité est souvent celle d’une jeune femme allaitant des nourrissons. Les peintres italiens de la Renaissance représentent également la Charité sous les traits d’une jeune femme donnant le sein à un vieillard décharné, ce qui correspond au thème de la Charité romaine.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Marc

En ce temps-là, un scribe s’avança vers Jésus pour lui demander : « Quel est le premier de tous les commandements ? »  Jésus lui fit cette réponse : « Voici le premier : Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force. Et voici le second : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là. »

 Le scribe reprit : « Fort bien, Maître, tu as dit vrai : Dieu est l’Unique et il n’y en a pas d’autre que lui. L’aimer de tout son cœur, de toute son intelligence, de toute sa force, et aimer son prochain comme soi-même, vaut mieux que toute offrande d’holocaustes et de sacrifices. »

Jésus, voyant qu’il avait fait une remarque judicieuse, lui dit : « Tu n’es pas loin du royaume de Dieu. » Et personne n’osait plus l’interroger. (Mc 12, 28b-34)

Le commandement de l’amour

Selon Matthieu, un scribe serait venu à Jésus, envoyé par les pharisiens et lui aurait proposé sa question pour le tenter ou l’éprouver. Quant à la citation, faite par Jésus, du grand commandement de l’amour, Marc seul la fit précéder de ces mots : « Écoute, Israël, le Seigneur notre Dieu est un seul Seigneur. » Ces paroles, empruntées à Deutéronome 6.4-5, s’y trouvent dans le même rapport avec le  devoir d’aimer Dieu. C’est qu’un Dieu unique peut seul être l’objet de l’amour suprême.

À ces trois termes, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, qui se trouvent dans Matthieu, Marc ajouta : de toute ta force, conformément à l’hébreu, qui, par contre, ne renferme pas le mot de pensée.  Le commandement concernant l’amour du prochain est cité ici d’après Lévitique 19, 18. La réponse du scribe et l’approbation que Jésus lui donna ne se trouvent que dans Marc.

Le scribe releva le principe de l’unité de Dieu, rappelée par Jésus. Dans son énumération des facultés de l’âme qui toutes doivent être pénétrées de l’amour de Dieu, le scribe remplaça le mot de pensée  par celui d’intelligence, par où il entendit cette raison supérieure et morale qui pénètre et embrasse tout entier le rapport de l’homme et de Dieu, unis par l’amour.

Jésus, qui lisait dans le cœur de ce scribe et connaissait la sincérité et le sérieux des paroles qu’il venait de prononcer, pouvait, afin de l’encourager, lui rendre ce  témoignage, et il le lui rendit avec d’autant plus de joie et d’amour que son interlocuteur appartenait à une classe d’hommes généralement opposés à son enseignement. N’être pas éloigné du royaume de Dieu, c’est en être proche, mais n’y être pas entré encore.

Matthieu  fit cette même observation à la suite de la question sur l’origine du Christ. Marc la plaça à la suite de l’entretien sur le plus grand commandement. Cet entretien fit une vive impression sur les adversaires, puisque l’un des leurs venait de se déclarer  d’accord avec Jésus sur le point central de la vraie religion.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites chrétiens

Père Gilbert Adam : cliquez ici pour lire l’article → Quel est le premier de tous les commandements ?

Pasteur John Piper  : cliquez ici pour lire l’article →  Comment pouvons-nous nous aider les uns les autres à combattre les désirs impurs ?

  Vidéo Sermentes do Verbo : cliquez ici →https://youtu.be/ya-Ohi_Z4-s

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Тридцатое воскресенье обычного времени – воскресенье года В

Posté par diaconos le 27 octobre 2024

Исцеление Вартимея

Слепой Вартимей 

# У римлян были свои целители, такие как Аполлоний Тианский, а у евреев – свои чудотворные раввины, такие как Хони ХаМеагуэль и Ханина бен Досса. В Евангелиях Вартимей , чье имя на арамейском языке означает « сын Тимея », – слепой, которого Иисус исцелил у входа в Иерихон. Этот эпизод встречается в трех синоптических Евангелиях – от Марка, Матфея и Луки, но имя Вартимей встречается только у Марка. Вартимей просит: «Иисус, Сын Давидов, помилуй меня».  Даниэль Маргерат пишет: « Оказалось, что эти истории, при всем разнообразии мотивов и персонажей, были похожи на бесконечные вариации одного и того же стереотипного жанра, которыми изобиловала греко-римская культура. « 

Память об этих персонажах сохранил Флавий Иосиф, а также некоторые более близкие раввинистические источники и Новый Завет.    Другие харизматики, овладевшие природой, – Хони, создатель круга Иосифа, и его двоюродный брат Ханан – имели репутацию вызывателей дождя. Эти вызыватели дождя осознавали свои особые отношения с Богом: Ханан, вызыватель дождя, дошел до того, что молился, чтобы его слушатели могли отличить его от того, кто действительно дает дождь, – небесного Аввы [Отца] Вартимей, чье имя в переводе с арамейского означает «сын Тимея », – это имя слепого, которого Иисус исцелил у входа в Иерихон. Этот эпизод встречается во всех трех синоптических Евангелиях (от Марка, Матфея и Луки), но имя Вартимей встречается только у Марка. Вартимей умолял: «Иисус, Сын Давидов, помилуй меня».

В этот момент значение чудес как знамений в Новом Завете соответствует анализу историков, для которых они были не объективным описанием событий, а средством выражения религиозной истины.Даниэль Маржерат подчеркивал, что рассказ о чудесах – это религиозный язык, известный с древних времен, который имеет гораздо более сильную цель, чем просто повторение чудесного события из прошлого; этот язык означает протест против зла. Этот эпизод можно прочитать как притчу об обретении веры. Сначала Вартимей был слеп и сидел на обочине дороги. В конце концов Вартимей становится провидцем и следует за Иисусом по дороге.

Из Евангелия Иисуса Христа от Марка

В тот момент, когда Иисус с учениками и многочисленной толпой выходил из Иерихона, сын Тимофея, Вартимей, слепой нищий, сидел на обочине дороги и, услышав, что это Иисус из Назарета, начал кричать: «Сын Давидов, Иисус, помилуй меня! Многие упрекали его, чтобы он замолчал, но он кричал все громче и громче: «Сын Давидов, помилуй меня! Иисус приостановился и сказал: «Позови его!»Тогда позвали слепого и сказали ему: «Верь мне, встань, он зовет тебя».   Слепой снял с себя плащ, вскочил и побежал к Иисусу, и Иисус сказал ему: « Что хочешь, чтобы Я сделал для тебя? Слепой сказал ему: « Раббони, дай мне прозреть! И сказал ему Иисус:иди, вера твоя спасла тебя. И тотчас прозрел человек и пошел за Иисусом по дороге» (Марк 10:36b-52).

Слепой Вартимей

Только Марк называет этого слепого нищего по имени и даже по имени его отца:Вартимей означает сын Тимофея, и эти отчества, Варфоломей и Варсава, занимают место собственных имен. Слепой, исцеленный Иисусом, стал известным христианином в апостольской церкви; его имя сохранилось в предании.  Великая вера этого слепого, который призвал того, кто был объявлен ему Назарянином, как Сын Давидов» (Бенгель). Выражение «Сын Давидов», которое Марк приписывает Иисусу, показывает, насколько распространена была среди людей того времени вера в то, что Иисус – Мессия. Мы слышим эти разные слова ободрения от разных голосов в толпе, той самой толпы, которая за несколько минут до этого пыталась остановить слепого от крика.

Сострадание, охватившее Иисуса и заставившее его остановиться во главе великой процессии, когда он услышал крики бедного нищего, проникло в сердца людей. Ничто так не заразительно, как истинная любовь. В ответ на движение, приведшее слепого к Иисусу, и веру, одушевлявшую Вартимей, просьба Иисуса не имела иной цели, кроме как ободрить несчастного и привести его к личному общению со Спасителем.    Цель была достигнута: возглас Раббуни (Учитель мой) подтвердил все его доверие. По словам Марка и Луки, Иисус вернул зрение слепому только Своим могущественным и творческим словом, не прикасаясь к его глазам.

Эта вера, открывшая его сердце для Божественной силы Иисуса, стала для него источником благодати, бесконечно большей, чем восстановление зрения. Вартимей последовал за Иисусом по дороге и присоединился к процессии, которая должна была приветствовать Его как Мессию и Спасителя. Лука рассказывает, что он прославлял Бога среди всего народа, который присоединился к его благодарению.

Дьякон Мichel Houyoux

Ссылки на другие христианские сайты

The Joutnal of Publical Accuracy: нажмите здесь, чтобы прочитать статью → Слепой Вартимей

Азбука веры : нажмите здесь, чтобы прочитать статью Календарные циклы

Диакон Мichel Houyoux

Божественная литургия : нажмите здесь https://youtu.be/sTUYoaBO1GE

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Dertigste zondag van de gewone tijd – zondag van het jaar B

Posté par diaconos le 25 octobre 2024

Jesus Heals the Blind Man - Bible Story of Bartimaeus

# De Romeinen hadden hun genezers zoals Apollonius van Tyana en de Joden hun wonderwerkende rabbijnen zoals Honi HaMe’aguel en Hanina ben Dossa. In de evangeliën is Bartimeüs , wiens naam in het Aramees “ zoon van Timaeüs ” betekent, een blinde man die bij de ingang van Jericho door Jezus wordt genezen. Deze episode komt voor in de drie synoptische evangelië n Marcus, Matteüs en Lucas, maar de naam Bartimeüs komt alleen in Marcus voor. Bartimeüs vraagt: “Jezus, Zoon van David, ontferm U over mij”.

Daniel Marguerat schrijft: « Het bleek dat deze verhalen, in de verscheidenheid van motieven en personages, waren als eindeloze variaties van hetzelfde stereotype genre dat in overvloed aanwezig was in de Grieks-Romeinse cultuur. «  Flavius Josephus, maar ook enkele nauwere rabbijnse bronnen en het Nieuwe Testament hebben de herinnering aan deze personages bewaard.Andere charismatici beheersten de natuur Honi, de cirkelmaker van Jozef, en zijn neef Hanan hadden de reputatie regen te brengen. Deze regenmakers waren zich bewust van hun speciale relatie met God: Hanan, de regenmaker, ging zelfs zo ver dat hij bad dat zijn toehoorders onderscheid konden maken tussen hem en degene die echt de regen gaf, de Abba [Vader] van de hemel.

Bartimeüs, wiens naam “zoon van Timaeüs ” betekent in het Aramees, is de naam van de blinde man die door Jezus werd genezen bij de ingang van Jericho. Deze episode komt in alle drie de synoptische evangeliën voor (Marcus, Matteüs en Lucas), maar de naam Bartimeüs komt alleen in Marcus voor. Bartimeüs smeekte: “Jezus, Zoon van David, ontferm U over mij”.Op dit punt komt de waarde van wonderen als tekenen in het Nieuwe Testament overeen met de analyse van de historici, voor wie ze geen objectieve beschrijving van gebeurtenissen waren, maar een middel om een religieuze waarheid uit te drukken.

Daniel Marguerat benadrukte dat het vertellen van wonderen een religieuze taal is die al bekend is sinds de oudheid en die een veel sterker doel heeft dan het eenvoudigweg herhalen van een wonderbaarlijke gebeurtenis uit het verleden; deze taal betekent protesteren tegen het kwaad.Deze episode kan gelezen worden als een parabel voor de ontdekking van het geloof. Eerst was Bartimeüs blind en zat hij langs de kant van de weg. Uiteindelijk wordt Bartimeüs een ziener en volgt hij Jezus op de weg.

Uit het Evangelie van Jezus Christus volgens Marcus

Op dat moment, toen Jezus Jericho verliet met zijn discipelen en een grote menigte, zat de zoon van Timaeüs, Bartimeüs, een blinde bedelaar, langs de weg, en toen hij hoorde dat het Jezus van Nazareth was, begon hij uit te roepen: “Zoon van David, Jezus, ontferm U over mij!  Velen berispten hem om hem het zwijgen op te leggen, maar hij riep steeds harder: “Zoon van David, ontferm U over mij! Jezus pauzeerde en zei: “Roep hem.Toen riepen ze de blinde man en zeiden tegen hem: ‘Vertrouw me, sta op, hij roept je.

De blinde man trok zijn mantel uit, sprong op en rende naar Jezus toe, en Jezus zei tegen hem: ‘Wat wil je dat ik voor je doe ? De blinde man zei tegen hem: ‘ Rabboni, laat me weer zien! En Jezus zei tegen hem: “Ga heen, je geloof heeft je gered. Onmiddellijk zag de man weer en volgde Jezus op de weg’ (Marcus 10:36b-52).

Blinde Bartimeüs

Alleen Marcus noemt deze blinde bedelaar bij naam en zelfs bij zijn vaders naam:Bartimeüs betekent zoon van Timaeüs, en deze patronymische namen, Bartholomeüs en Barsabas, nemen de plaats in van de eigennamen. De blinde man die door Jezus werd genezen werd een bekende christen in de apostolische kerk ; zijn naam is door overlevering bewaard gebleven. ‘Het grote geloof van deze blinde man, die degene die hem als de Nazarener was aangekondigd aanriep als de Zoon van David” (Bengel).

De aanduiding “Zoon van David” die Marcus aan Jezus toeschrijft, laat zien hoe wijdverbreid het geloof was onder de mensen van die tijd dat Jezus de Messias was.We horen deze verschillende woorden van bemoediging van verschillende stemmen in de menigte, dezelfde menigte die even daarvoor probeerde de blinde man ervan te weerhouden uit te huilen.  Het medeleven dat Jezus in zijn greep had en hem aan het hoofd van zijn grote stoet deed stoppen toen hij het geschreeuw van deze arme bedelaar hoorde, dit medeleven drong door in de harten van de mensen.Niets is zo besmettelijk als ware liefde.

Als reactie op de beweging die de blinde man naar Jezus had geleid en op het geloof dat Bartimeüs bezielde, had Jezus’ verzoek geen ander doel dan de ongelukkige man te bemoedigen en hem in persoonlijk contact te brengen met zijn Verlosser. Het doel was bereikt; de kreet Rabbouni (mijn Meester) bevestigde al zijn vertrouwen. Volgens Marcus en Lucas herstelde Jezus het zicht van de blinde man alleen door zijn krachtige en scheppende woord, zonder zijn ogen aan te raken.

Dit geloof, dat zijn hart opende voor de goddelijke kracht van Jezus, werd voor hem de bron van een genade die oneindig veel groter was dan het herstel van zijn zicht. Bartimeüs volgde Jezus op de weg en sloot zich aan bij de stoet die hem als de Messias en Redder zou begroeten. Lucas vertelt dat hij God verheerlijkte temidden van alle mensen, die zich aansloten bij zijn dankzegging.

Diaken Michel Houyoux

Links naar andere christelijke sites

Kerk in Herent : klik hier om het artikel te lezen →Preek van de week voor de dertigste zondag door het jaar B

Parochie Sint-Odulphus van Brabant : klik hier om het artikel te lezen → Dertigste zondag – in de cyclus van het jaar

Video Father Ed Broon-OMV : klik hier →https://youtu.be/yqUEzca7yrw

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