Vendredi de la vingt-huitième semaine du Temps Ordinaire – Année Paire

Posté par diaconos le 18 octobre 2024

Vendredi de la vingt-huitième semaine du Temps Ordinaire - Année Paire dans Bible le-royaume-des-cieux-est-proche

 

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

    En ce temps-là, parmi les disciples, le Seigneur en désigna encore 72, et il les envoya deux par deux, en avant de lui, en toute ville et localité où lui-même allait se rendre. Il leur dit : « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson.  Allez ! Voici que je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups. Ne portez ni bourse, ni sac, ni sandales, et ne saluez personne en chemin. Mais dans toute maison où vous entrerez, dites d’abord : ‘Paix à cette maison.’

S’il y a là un ami de la paix, votre paix ira reposer sur lui ; sinon, elle reviendra sur vous.     Restez dans cette maison, mangeant et buvant ce que l’on vous sert ; car l’ouvrier mérite son salaire. Ne passez pas de maison en maison. Dans toute ville où vous entrerez et où vous serez accueillis,     mangez ce qui vous est présenté. Guérissez les malades qui s’y trouvent et dites-leur : ‘Le règne de Dieu s’est approché de vous.’ » (Lc 10, 1-9)

Convertissez-vous, car le royaume des Cieux est tout proche

Jésus parcourut en vrai missionnaire les divers lieux du pays ; il n’attendit pas que les hommes vinrent à lui, il alla vers eux. Enseigner, prêcher la bonne nouvelle du royaume et guérir le corps et l’âme, telle fut son œuvre de Sauveur : «Convertissez-vous, car le royaume des Cieux est tout proche.» Par ce résumé de l’activité de Jésus, Matthieu termina le tableau général du ministère de Jésus. «Être ému de compassion» se retrouve souvent dans les évangiles appliqué à Jésus, signifiant être ému dans ses entrailles, et exprimant cette douloureuse sympathie avec laquelle il partagea les maux et les souffrances de notre humanité. Ce sentiment de tendre charité fut excité par la vue de ces foules semblables à des brebis sans berger, lesquelles furent fatiguées et jetées.

Cet état d’épuisement et de souffrance fut nécessairement celui de brebis privées de direction, de protection et de nourriture parce qu’elles n’eurent pas de berger. Image juste et frappante de l’état d’âmes sans lumière, sans paix, sans Dieu. Ce fut dans le lamentable état moral des personnes de son temps que Jésus vit les indices d’une grande moisson d’âmes, prête à être recueillie dans le royaume de Dieu Il leur dit : «La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson.» (Lc 10, 2) Plus l’homme sent sa misère et en souffre, plus ses besoins profonds le jettent dans les bras de Jésus.

Mais, pour la moisson, il faut des ouvriers pour conduire les âmes à la source de là vie, il faut des serviteurs de Dieu qui la leur montrent avec amour ; et alors il y en avait si peu, que Jésus demanda à ses disciples de prier pour que le nombre en soit accru. Riez donc le maître de la moisson, qu’il envoie des ouvriers dans sa moisson. Expression énergique dictée par un besoin impérieux. C’est Dieu qui seul suscite forme, envoie de bons ouvriers dans son règne, mais il faut que l’Église en prière les lui demande. Ce fut par cette mention de la profonde misère du peuple et de l’ardent désir de Jésus qu’un prompt secours lui fut envoyé.

Jésus étant arrivé au faîte de son travail personnel en Galilée, il ne pu l’accomplir que dans des limites assez restreintes. Il désira adresser un appel plus général et plus énergique encore à cette population qu’il dut bientôt quitter. Et pour cela il se multiplia en quelque sorte par la mission qu’il confia aux douze. Cette mission signala en même temps un progrès dans le développement des apôtres. Ces disciples dont il fit des apôtres, il les envoya comme tels. Encore une fois, Matthieu marqua expressément le nombre de douze disciples que Jésus envoya pour leur faire faire un premier essai de mission et pour préparer les populations à recevoir la parole du royaume.

Dans cette première mission, les disciples durent s’en tenir au dessein de Dieu envers son peuple, auquel Jésus lui-même se soumit, et qui consista à faire annoncer le salut avant tout. Encore une fois, Matthieu marqua expressément le nombre de douze disciples que Jésus envoya pour leur faire faire un premier essai de mission et pour préparer les populations à recevoir la parole du Royaume Vous adorez ce que vous ne connaissez pas; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs.» (Jn 4, 22)Il y eut pour cela de très graves raisons, que Paul apprécia lui-même, bien qu’il fût l’apôtre des Gentils : «Quand les Juifs virent les foules, ils s’enflammèrent de jalousie ; ils contredisaient les paroles de Paul et l’injuriaient»

Paul et Barnabé leur déclarèrent avec assurance : «C’est à vous d’abord qu’il était nécessaire d’adresser la parole de Dieu. Puisque vous la rejetez et que vous-mêmes ne vous jugez pas dignes de la vie éternelle, eh bien ! nous nous tournons vers les nations païennes. C’est le commandement que le Seigneur nous a donné : J’ai fait de toi la lumière des nations pour que, grâce à toi, le salut parvienne jusqu’aux extrémités de la terre.» (Ac 13, 45-47)Ce fut pourquoi Jésus ajouta : «Ne vous en allez pas sur le chemin des nations et n’entrez pas dans une ville des Samaritains Tel fut le devoir des disciples. Après que les Juifs rejetèrent Jésus, ils reçurent des ordres différents : «Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.» (Mt 28, 19)

Une certaine théologie a voulu voir là une contradiction ou un développement progressif dans les vues de Jésus lui-même Rien n’est plus contraire aux témoignages de l’Évangile ; Jésus savait parfaitement que son règne serait universel même d’après les synoptiques, pour ne pas parler de l’Évangile de Jean.   d’un ordre, Jésus conféra un don miraculeux. Dans l’activité des disciples, comme dans celle de Jésus, les guérisons durent préparer la prédication. Tous les dons de Dieu sont gratuits comme ceux que Jésus conféra aux disciples. En faire un moyen de profits terrestres, c’est les dégrader et les souiller.

Diacre Michel Houyoux 

Liens avec d’autres sites chrétiens

◊ Regnum Christi : cliquez ici pour lire l’article → Voyant les foules, Jésus fut saisi de compassion

◊ Diacre Jean-Yves Fortin : cliquez ici pour lire l’article → Voyant les foules, Jésus fut saisi de compassion

♥ Vidéo Diocèse d’Avignon → https://youtu.be/iw70v9D0DZE

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Negenentwintigste zondag van het jaar B

Posté par diaconos le 18 octobre 2024

Insteek lezingen zondag 14 juni, priester Willy | Kerknet

# De tafelen der wet worden genoemd in de boeken Exodus en Deuteronomium. God besloot een verbond met hem te sluiten en Mozes trad op als bemiddelaar. God verkondigde tien woorden en liet die vergezeld gaan van ontwikkelingen, het wetboek van het verbond. Mozes schreef alle woorden die God had gesproken op stenen tafelen en herinnerde aan de wet en het gebod dat het volk Israël de Ark van het Verbond in een kist moest bewaren, die op een tafel moest worden geplaatst en in een tent moest worden opgesteld.

Het volk verloor zijn geduld en vertrouwen en wendde zich tot andere goden. Toen Mozes met de twee tafelen van de berg Sinaï afdaalde, realiseerde hij zich dat zijn volk het verbond dat ze net hadden gesloten had verbroken en gooide de twee tafelen op de grond, die verbrijzelde. Er werd een nieuw verbond gesloten tussen God en zijn volk. Mozes kreeg de opdracht om twee nieuwe tafelen te kerven, gelijk aan de vorige, waarop de bepalingen van de wet opnieuw werden gegraveerd. De woorden van Exodus 34-27 zijn de woorden van het verbond dat God met Mozes sloot. Mozes daalde af van de berg Sinaï met de tafelen, die onmiddellijk na de bouw ervan in de Ark van het Verbond werden bewaard.

Deze episode is vastgelegd in Deuteronomium10 . Vandaag de dag zijn er tradities die dit in verschillende delen van de wereld uitbeelden.

Het evangelie van Jezus Christus volgens Marcus

In die tijd kwamen Jakobus en Johannes, de zonen van Zebedeüs, naar Jezus toe en zeiden tegen Hem: “Meester, wat wilt U dat wij voor U doen?” Zij antwoordden hem: “Laat ons zitten, de een aan uw rechterhand en de ander aan uw linkerhand, in uw heerlijkheid.” Jezus zei tegen hen : “Jullie weten niet wat jullie vragen.” Kunnen jullie de beker drinken die ik ga drinken? » Gedoopt worden met het doopsel waarin ik ondergedompeld zal worden ? « Je weet niet wat je vraagt. Kun jij de beker drinken die ik ga drinken ?

Gedoopt worden met het doopsel waarin ik op het punt sta ondergedompeld te worden. Kun jij de beker drinken die ik ga drinken? Kunnen jullie gedoopt worden met het doopsel waarin ik ondergedompeld zal worden ? Zij antwoordden hem : “Dat kunnen wij.” Jezus zei tegen hen : “De beker die ik zal drinken, zullen jullie ook drinken; en jullie zullen gedoopt worden met het doopsel waarin ik ondergedompeld word.” Wat betreft rechts of links van mij zitten, het is niet aan mij om dat toe te staan.

Er zijn mensen voor wie het was voorbereid. “De andere tien die het gehoord hadden, begonnen te schelden op Jakobus en Johannes.” Jezus riep hen bij elkaar en zei : « Dit weten jullie: zij die als leiders van de volken worden beschouwd.” Ze antwoordden hem: “Dat kunnen we.” Jezus zei tegen hen: “De beker die Ik zal drinken, zullen jullie ook drinken ; en jullie zullen gedoopt worden met het doopsel waarin Ik ondergedompeld ben.” Wat betreft het zitten aan mijn rechterkant of aan mijn linkerkant, het is niet aan mij om dat toe te staan.

Er zijn mensen voor wie het is voorbereid : “De tien anderen, die het gehoord hadden, begonnen te schelden op Jakobus en Johannes ‘ Jezus riep hen bij elkaar en zei : ’Dit weten jullie: zij die beschouwd worden als leiders van de volken.” Zij bevelen hen als heren ; de groten laten hun macht voelen. Maar zo mag het onder jullie niet zijn. Wie onder jullie groot wil zijn, die zal jullie dienaar zijn. Wie onder jullie de eerste wil zijn, zal de slaaf van allen zijn. Hij is niet gekomen om gediend te worden, maar om te dienen en zijn leven te geven als losprijs voor velen. (Mc 10, 35-45)

De oogst is overvloedig, maar er zijn maar weinig arbeiders

De ambitie van de discipelen Ze waren al op reis toen Jezus werd onderbroken door de komst van de rijke man. Nu vervolgden ze hun reis en gingen naar Jeruzalem, waar Jezus leed en stierf. Jezus, die als een onverschrokken leider precies wist wat er met hem gebeurde, liep voorop in de stoet ; toen degenen rondom hem Jezus’ vastberadenheid zagen, werden ze bang en aarzelden of stopten ; anderen die niet zo dicht bij hem stonden en hem volgden, werden door angst bevangen.

Toen verzamelde Jezus de twaalf om zich heen om hen openlijk te vertellen welke beproeving hen te wachten stond.Marcus de enige die de indrukken weergeeft van de mensen die Jezus vergezelden.   Deze voorspellingen werden steeds duidelijker, Matteüs, Marcus en Lucas hebben ze allemaal zorgvuldig in een overeenkomst bewaard. Jezus had een heel duidelijk en nauwkeurig idee van alles wat er met Hem gebeurde; Hij markeerde het exacte moment met deze woorden : “Zie, wij gaan op weg naar Jeruzalem.”

Dit was een ontroerende demonstratie van heldendom en opofferende liefde ; het was duidelijk uit deze dood die Hij gewillig aanvaardde. Als dit offer niet de verlossing van de wereld was geweest, zou het een soort zelfmoord zijn geweest.  Volgens Matteüs was het de moeder van Jakobus en Johannes, Salome, die Jezus als eerste om haar zonen vroeg, terwijl het volgens Marcus de twee discipelen zelf waren die het verzoek deden. Van deze twee beelden van het lijden van Christus: de beker en de doop, is alleen de eerste authentiek in Matteüs.

Als de beker in de symbolische taal van de Heilige Schrift de maat is van het goede of kwade dat voor elke persoon is vastgesteld, dan is de doop een nog algemener en dieper beeld van lijden waarin men zich volledig moet onderdompelen. Jezus wijst de twee discipelen dus de weg naar de heerlijkheid en vraagt hen : “Kunnen jullie mij daarin volgen ?” Hij zag ook dat dit moment van lijden al gekomen was.Om de ambitie van zijn leerlingen de kop in te drukken, stelde Jezus de geest van zijn koninkrijk tegenover wat er in de koninkrijken van deze wereld gebeurde.

Hij gebruikte hiervoor betekenisvolle termen. Ten eerste sprak hij over de prinsen van deze wereld die geloofden dat ze zouden heersen of hadden moeten heersen, of zich verbeeldden dat ze zouden heersen. Wat bedoelde hij ? Volgens de voorspelling van Jezus leken de daden van Jakobus en Johannes onbegrijpelijk als ze geen bewijs waren dat zelfs de meest intelligente discipelen deze voorspelling niet hadden begrepen. Matteüs laat zien dat ondanks alle pijnlijke vooruitzichten die Jezus hen liet zien, de discipelen er niet aan twijfelden dat hij in de nabije toekomst de leider van een glorieus koninkrijk zou zijn.

Niets kon hun misvattingen meer wegnemen dan de instructies die Jezus hen over dit onderwerp gaf. Jezus met dit ? Volgens sommige uitleggers zou dit betekenen dat deze vorsten vooral bezig waren met het vestigen en doen gelden van hun gezag, een gezag dat door het volk werd erkend.   Anderen zeggen dat deze machtige mannen van de aarde een grote heerschappij leken uit te oefenen, terwijl zij zelf slaven waren van hun hartstochten.  Toen Jezus in Jericho was aangekomen en met een grote menigte de stad verliet, begon een blinde man genaamd Bartimeüs, die hoorde dat het Jezus was die langskwam, uit te roepen : “Zoon van David, ontferm U over mij !”

Enkele mensen probeerden hem er echter van te weerhouden Jezus te storen, maar hij schreeuwde nog harder : “Wees mij genadig !” Jezus stopte en riep naar de blinde man, die snel opstond, zijn jas uittrok en naar Jezus toe rende : “Wat wil je dat ik met je doe?” : De blinde man vroeg hem : “Rabbouni, mag ik mijn gezichtsvermogen terugkrijgen !”. Jezus zei tegen hem : “Ga heen, je geloof heeft je gered.” En onmiddellijk kreeg hij zijn gezichtsvermogen terug en volgde Jezus. Alleen Marcus onthult de naam van deze blinde bedelaar en zelfs de naam van zijn vader. Bartimeüs betekent zoon van Timaeüs. De blinde man die door Jezus werd genezen, werd een bekende christen in de apostolische kerk en daarom is zijn naam in de overlevering bewaard gebleven.

Jezus was ontroerd en stond aan het hoofd van zijn grote processie toen hij het geschreeuw van deze arme bedelaar hoorde; dit medelijden drong door in de harten van de mensen. Niets is zo besmettelijk als ware liefde.

Diaken Michel Houyoux

Links naar andere christelijke sites

Dionysius Parochie : Klik hier om het artikel te lezen → 29e zondag door het jaar B

Kerk.net : Klik hier om het artikel te lezen → Lezingen 29e zondag door het jaar B

Video Annnelies van Walsem : klik hier → https://youtu.be/Mt9e1Yp_sT4

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Twenty-ninth Sunday of Ordinary Time Year B

Posté par diaconos le 16 octobre 2024

The Disciple's Ambition - Faithlife Sermons


TO HAVE THE AMBITION OF PERFECTION

# The tablets of the law are mentioned in the books of Exodus and Deuteronomy. God decided to seal a covenant with him and Moses was the intermediary. God enunciated ten Words and accompanied them with developments, the code of the covenant. Moses wrote all the words spoken by God on tablets of stone, recalling the law and the commandment that the people of Israel were to keep the Ark of the Covenant in a chest to be placed on a table and set up in a tent.

The people lost patience and trust and turned to other gods. When Moses came down from Mount Sinai carrying the two tablets, he realised that his people had broken the covenant they had just made and threw the two tablets to the ground, which broke. A new covenant was sealed between God and his people.Moses was instructed to carve two new tablets similar to the previous ones, on which the terms of the law were again engraved.

The words of Exodus 34-27 are the words of the covenant God made with Moses. Moses came down from Mount Sinai with the tablets, which were kept in the Ark of the Covenant as soon as it was built. This episode is recorded in Deuteronomy10. Today there are traditions depicting them in different parts of the world

The Gospel of Jesus Christ according to Mark

At that time, James and John, the sons of Zebedee, came to Jesus and said to him, ‘Master, what we are about to ask of you, we would like you to do for us.’ He said to them : ‘What do you want me to do for you ?’ They answered him: ‘Make us sit, one at your right hand and the other at your left, in your glory’. Jesus said to them: ‘You do not know what you ask. ’Can you drink the cup that I am about to drink ?’ To be baptised with the baptism in which I am about to be immersed ? ‘You do not know what you ask. Can you drink the cup that I am about to drink? Be baptised with the baptism in which I am about to be immersed. Can you drink the cup that I am about to drink ?

Can you be baptised with the baptism in which I am about to be immersed ? They answered him: ‘We can. Jesus said to them: ‘The cup that I am about to drink, you shall also drink it; and you shall be baptised with the baptism in which I am about to be immersed. As for sitting at my right or at my left, it is not for me to grant it; there are those for whom it has been prepared. ‘The other ten, who had heard, began to rail against James and John. Jesus called them together and said: ‘You know this: those who are considered leaders of the nations

They answered him: ‘We can. Jesus said to them : ‘The cup that I am about to drink, you shall also drink it; and you shall be baptised with the baptism in which I am about to be immersed.’ As for sitting at my right or at my left, it is not for me to grant it. There are those for whom it has been prepared . ‘The other ten, who had heard, began to rail against James and John. Jesus called them together and said : ‘You know this: those who are considered leaders of the nations’The command them as masters ; the great ones make their power felt.

But among you it must not be so.Whoever wants to be great among you will be your servant. Whoever wants to be first among you will be the slave of all. he did not come to be served, but to serve, and to give his life as a ransom for many’. (Mk 10:35-45)

The ambition of the disciples

They were already on their way when Jesus was interrupted by the arrival of the rich man. Now they continued their journey, going up to Jerusalem, where Jesus suffered and died. Jesus, who knew perfectly all that was happening to him, like a fearless leader, walked at the head of the procession ; those around him, seeing Jesus’ determination, were struck with fear and hesitated or stopped; others who were not so close to him and who followed him were seized with fear.

Then Jesus gathered the twelve around him to tell them openly what trial they were facing. Mark is the only one to express the impressions of the people who accompanied Jesus. Although the disciples had not yet understood Jesus’ predictions about his suffering, they had a sense of the danger that threatened them.   This is the third time that Jesus introduced his disciples to the secret of his suffering. These predictions became more explicit and clearer, Matthew, Mark and Luke have carefully preserved them all with one accord. Jesus had a very clear and precise vision of everything that was happening to him ; he marked the exact moment with these words: ‘Behold, we go up to Jerusalem’.

 This was a moving demonstration of heroic courage and self-sacrificing love; it was clear proof of the absolute moral necessity of this death, which he willingly faced. If this sacrifice had not been the redemption of the world, it would have been a kind of suicide. 

According to Matthew, it was the mother of James and John, Salome, who first asked Jesus for her sons, while according to Mark it was the two disciples themselves who made the request. Of these two images of Christ’s sufferings: the chalice and the baptism, only the first is authentic in Matthew. If the chalice, in the symbolic language of Scripture, is the measure of good or evil destined for each person, baptism is an even more general and profound image of the suffering in which one must be completely immersed.

With this, Jesus shows the two disciples the way to glory and asks them : ‘Can you follow me there ?’ Moreover, he saw that moment of suffering as already having arrived. To suppress the ambition of his disciples, Jesus contrasted the spirit of his kingdom with what was happening in the kingdoms of this world. To do this, he used significant terms. First of all, he said of the princes of this world who thought they ruled, or should have ruled, or imagined they ruled. What did he mean.

After Jesus’ prediction, the actions of James and John seemed incomprehensible, if they were not proof that even the most intelligent disciples had not understood this prediction. Matthew shows that the disciples, despite all the painful prospects Jesus showed them, had no doubt that he would be the leader of a glorious kingdom in the near future. As for the false ideas they had, nothing could dispel them more than the instructions Jesus gave them on this subject.

Jesus with this? According to some interpreters, it would mean that these princes thought above all of establishing and asserting their authority, an authority that people recognised. Others say that these powerful men of the earth seemed to exercise great dominion, while they themselves were slaves to their passions. When Jesus had arrived in Jericho and was leaving the city with a large crowd, a blind man named Bartimaeus, hearing that it was Jesus who was passing by, began to cry out, ‘Son of David, have mercy on me !’

But some people tried to stop him from disturbing Jesus, but he shouted even louder : ‘Have mercy on me!’ Jesus stopped and called to the blind man, who got up quickly, took off his cloak and ran to Jesus. ‘What do you want me to do to you ?’.Jesus asked him : “Rabbouni, may I receive my sight !”Jesus said to him : ‘Go, your faith has saved you’. And immediately he recovered his sight and followed Jesus. Only Mark makes known the name of this blind beggar and even the name of his father. Bartimaeus means son of Timaeus,

The blind man healed by Jesus became a well-known Christian in the Apostolic Church, so his name was preserved by tradition. Jesus was moved and stood at the head of his large procession when he heard the cries of this poor beggar; this compassion penetrated the hearts of the people. Nothing is more contagious than true love.

Deacon Michel Houyoux

Links to other Christian sites

Young Catkolics : click here to read the paper → 29th Sunday in Ordinary Time Year B

Loyola Press : click here to read the paper → Twenty-Ninth Sunday in Ordinary Time, Cycle B

VideoThe disciple ambition click here → https://youtu.be/CCptPm-J9MQ

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Ventinovesima domenica del Tempo Ordinario Anno B

Posté par diaconos le 15 octobre 2024

AVERE L’AMBIZIONE DELLA PERFEZIONE

# Le tavole della legge sono menzionate nei libri dell’Esodo e del Deuteronomio. Dio decise di suggellare un’alleanza con lui e Mosè fu l’intermediario. Dio enunciò dieci Parole e le accompagnò con degli sviluppi, il codice dell’Alleanza. Mosè scrisse tutte le parole pronunciate da Dio su tavole di pietra, ricordando la legge e il comandamento che il popolo d’Israele doveva conservare in una cassa l’Arca dell’Alleanza da collocare su un tavolo e sistemare in una tenda.

Il popolo perse la pazienza e la fiducia e si rivolse ad altri dei. Quando Mosè scese dal Monte Sinai portando le due tavole, si rese conto che il suo popolo aveva infranto l’alleanza appena stipulata e gettò a terra le due tavole, che si ruppero. Una nuova alleanza fu siglata tra Dio e il suo popolo.Mosè fu incaricato di intagliare due nuove tavole simili alle precedenti, sulle quali furono nuovamente incisi i termini della legge. Le parole di Esodo 34-27 sono le parole dell’alleanza che Dio fece con Mosè. Mosè scese dal Monte Sinai con le tavole, che vennero conservate nell’Arca dell’Alleanza non appena fu costruita. Questo episodio è ricordato in Deuteronomio10. Oggi esistono tradizioni che le raffigurano in diverse parti del mondo

Il Vangelo di Gesù Cristo secondo Marco

In quel tempo, Giacomo e Giovanni, i figli di Zebedeo,vennero da Gesù e gli dissero  :   “Maestro, quello che stiamo per chiederti, vorremmo che tu lo facessi per noi, vorremmo che tu facessi per noi”.Egli disse loro : “Che cosa volete che io faccia per voi ? Gli risposero : “Facci sedere,  uno alla tua destra e l’altro alla tua sinistra,nella tua gloria”. Gesù disse loro : “Non sapete quello che chiedete.”Potete bere il calice che io sto per bere ? essere battezzati con il battesimo in cui sto per essere immerso ? “Non sapete quello che chiedete.Potete bere il calice che io sto per bere ? essere battezzati con il battesimo in cui sto per essere immerso :“Non sapete quello che chiedete.

Potete bere il calice che io sto per bere ? essere battezzati con il battesimo in cui sto per essere immerso ? Gli risposero : “Possiamo”. Gesù disse loro : “Il calice che io sto per bere, lo berrete anche voi ; e sarete battezzati con il battesimo in cui io sto per essere immerso. Quanto al sedersi alla mia destra o alla mia sinistra, non sta a me concederlo ; ci sono quelli a cui è stato preparato.”.Gli altri dieci, che avevano sentito cominciarono a inveire contro Giacomo e Giovanni. Gesù li chiamò a raccolta e disse : “Voi sapete questo : coloro che sono considerati capi delle nazioni

li comandano come padroni ; I grandi fanno sentire il loro potere. Ma tra voi non deve essere così.Chi vuole diventare grande tra voi sarà il vostro servo. Chi vuole essere il primo tra voi  sarà lo schiavo di tutti. non è venuto per essere servito, ma per servire,e dare la sua vita in riscatto per molti”. (Mc 10, 35-45)

L’ambizione dei discepoli

Erano già in cammino quando Gesù fu interrotto dall’arrivo del ricco. Ora continuavano il loro cammino, salendo a Gerusalemme, dove Gesù soffrì e morì. Gesù, che conosceva perfettamente tutto ciò che gli accadeva, come un condottiero impavido, camminava alla testa del corteo; quelli che gli stavano intorno, vedendo la determinazione di Gesù, furono colpiti dalla paura ed esitarono o si fermarono; altri che non erano così vicini a lui e che lo seguivano furono colti dalla paura.

Poi Gesù radunò i dodici intorno a sé per dire loro apertamente a quale prova andavano incontro. Marco è l’unico ad esprimere le impressioni delle persone che accompagnavano Gesù. Sebbene i discepoli non avessero ancora compreso le predizioni di Gesù sulla sua sofferenza, ebbero il presentimento del pericolo che li minacciava. Questa è la terza volta che Gesù introduce i suoi discepoli nel segreto delle sue sofferenze. Queste predizioni divennero più esplicite e più chiare,

Matteo, Marco e Luca le hanno conservate tutte con attenzione e con un unico accordo. Gesù aveva una visione molto chiara e precisa di tutto ciò che gli accadeva; segnò il momento esatto con queste parole : “Ecco, noi saliamo a Gerusalemme”. Questa fu una commovente dimostrazione di coraggio eroico e di amore autosacrificante ; fu una chiara prova dell’assoluta necessità morale di questa morte, che egli affrontò volentieri. Se questo sacrificio non fosse stato la redenzione del mondo, sarebbe stato una sorta di suicidio.

Dopo la predizione di Gesù, le azioni di Giacomo e Giovanni sembravano incomprensibili, se non fossero state la prova che anche i discepoli più intelligenti non avevano capito questa predizione. Matteo dimostra che i discepoli, nonostante tutte le prospettive dolorose che Gesù mostrava loro, non avevano dubbi sul fatto che egli sarebbe stato in un futuro prossimo il capo di un regno glorioso. Quanto alle false idee che avevano, nulla poteva dissiparle più delle istruzioni che Gesù diede loro su questo argomento.

Secondo Matteo, fu la madre di Giacomo e Giovanni, Salomè, a chiedere per prima a Gesù i suoi figli, mentre secondo Marco furono i due discepoli stessi a fare la richiesta. Di queste due immagini delle sofferenze di Cristo : il calice e il battesimo, solo la prima è autentica in Matteo. Se il calice, nel linguaggio simbolico della Scrittura, è la misura del bene o del male destinata a ciascuno, il battesimo è un’immagine ancora più generale e profonda della sofferenza in cui si tratta di essere completamente immersi.

Con ciò, Gesù indica ai due discepoli la via della gloria e chiede loro : “Potete seguirmi fin là? Inoltre, vedeva quel momento di sofferenza come già arrivato. Per reprimere l’ambizione dei suoi discepoli, Gesù contrappose lo spirito del suo regno a ciò che accadeva nei regni di questo mondo. Per farlo, usò termini significativi. Prima di tutto, disse dei principi di questo mondo che pensavano di governare, o che avrebbero dovuto governare, o che immaginavano di governare. Che cosa intendeva.

Gesù con questo ? Secondo alcuni interpreti, significherebbe che questi principi pensavano soprattutto a stabilire e affermare la loro autorità, un’autorità che la gente riconosce.   Altri dicono che questi potenti della terra sembravano esercitare un grande dominio, mentre essi stessi erano schiavi delle loro passioni. Quando Gesù era giunto a Gerico e stava lasciando la città con una grande folla, un cieco di nome Bartimeo, sentendo che era Gesù a passare, cominciò a gridare : “Figlio di Davide, abbi pietà di me !”.

Ma alcune persone cercarono di impedirgli di disturbare Gesù, ma lui gridò ancora più forte : “Abbi pietà di me !”. Gesù si fermò e chiamò il cieco, che si alzò in fretta, si tolse il mantello e corse da Gesù. “Che cosa vuoi che ti faccia?”.Gli chiese Gesù : “Rabbouni, che io riceva la vista !”. Gesù gli disse : “Vai, la tua fede ti ha salvato”. E subito recuperò la vista e seguì Gesù. Solo Marco fa conoscere il nome di questo mendicante cieco e persino il nome di suo padre. Bartimeo significa figlio di Timeo,

Il cieco guarito da Gesù divenne un cristiano molto conosciuto nella Chiesa apostolica, per cui il suo nome fu conservato dalla tradizione. Gesù si commosse e si fermò alla testa del suo numeroso corteo quando udì le grida di questo povero mendicante; questa compassione penetrò nel cuore della gente. Niente è più contagioso del vero amore.

Il diacono Michel Houyoux

 Link ad altri siti cristiani

Qumran clicca qui per leggere l’articolo → Testi – XXIX Domenica del Tempo Ordinario (Anno B)

 Maranatha: clicca qui per leggere l’articolo → Liturgia della XXIX Domenica del Tempo Ordinario – Anno B

 Video Padre Ferando Armellini: clicca qui → https://youtu.be/LVWCtKT8qdM

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