Jeudi de la deuxième semaine du Temps Pascal

Posté par diaconos le 1 mai 2025

# Jésus-Christ, palestinien né au début de l’ère chrétienne, est professé par les chrétiens : il est le Messie, le Fils de Dieu et notre rédempteur. Dans l’ordre chronologique, il naquit avant l’an 4 sous Hérode, il débuta son activité apostolique vers l’an 28, Il fut arrêté condamné à mort et crucifié sous le procurateur romain Ponce Pilate en avril 30, et, au témoignage de ses apôtres, il fut proclamé être ressuscité trois jours après. Cette résurrection de Jésus est tenue par les chrétiens pour un fait historique transcendant le domaine de l’histoire pour atteindre à celui de la foi.

Le Messie fut annoncé par l’Ancien Testament du judaïsme. La plupart des chrétiens reconnaissent Jésus-Christ comme le Fils unique de Dieu et comme l’une des trois personnes du Dieu trinitaire. Sa mère est Marie de Nazareth. À partir du XIXe siècle, les recherches critiques des historiens dissocièrent méthodologiquement Jésus de Nazareth, le personnage historique, de Jésus-Christ, la figure religieuse. Selon John Meier, cette distinction méthodologique s’enracina dans la distinction faite par de nombreux auteurs germaniques dont Bultmann (1884-1976), entre deux sens en langue allemande du terme historique.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Jean

« Celui qui vient d’en haut est au-dessus de tous. Celui qui est de la terre est terrestre, et il parle de façon terrestre. Celui qui vient du ciel est au-dessus de tous, il témoigne de ce qu’il a vu et entendu, et personne ne reçoit son témoignage. Mais celui qui reçoit son témoignage certifie par là que Dieu est vrai. En effet, celui que Dieu a envoyé dit les paroles de Dieu, car Dieu lui donne l’Esprit sans mesure. Le Père aime le Fils et il a tout remis dans sa main. Celui qui croit au Fils a la vie éternelle ; celui qui refuse de croire le Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. » (Jn , -3, 31-36)

Le Fils de Dieu, est au-dessus de tous

Jean-Baptiste confirma et généralisa le contraste absolu qu’il eut établir entre Jésus  et lui. Celui qui vient d’en haut, le Fils de Dieu, est au-dessus de tous, de tous les hommes de ses serviteurs les plus éminents, fusent-ils prophètes ou apôtres. Ce qui confirma abondamment l’expérience ; aucun des plus excellents serviteurs ne supporta pas la moindre comparaison avec Jésus. Jean exprima cette vérité en opposant à Jésus celui qui fut de la terre : il en émana, il appartint à notre pauvre humanité déchue, il fut et resta de la terre, il en porta les caractères, les infirmités ; et quand il parla, il ne put le faire que comme étant de la terre ; les mots de la terre se rapportèrent au contenu des discours : ils ne traitèrent que de choses terrestres.

Ces paroles malgré ce qu’elles eurent d’absolu, n’exclurent pas la vocation d’en haut que fut comme un serviteur de Dieu, ni les révélations ou les secours de l’Esprit de Dieu qui firent de sa parole une parole divine : «Je ne le connaissais pas, mais celui qui m’a envoyé baptiser d’eau m’a dit : celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et s’arrêter, c’est lui qui baptise du Saint-Esprit. Et moi, j’ai vu et j’atteste qu’il est le Fils de Dieu. (Jn 1, 33-34) Mais la propre expérience de Jean-Baptiste montra que ce jugement sévère n’était que trop fondé. Celui qui vint du ciel, et parla de ce quil vit et entendit eut une connaissance immédiate et parfaite de ce qu’il affirma !

Comment Jean put-il ajouter cette réflexion attristée : «Personne ne reçoit son témoignage.» On vint de lui dire : «Tous vont à lui», lui-même exprima toute sa joie de voir les prémices de l’Église se réunir autour de Jésus. Ce fut ce que Jean-Baptiste plus que Jean, pas plus que Jésus lui-même, ne se faisait d’illusions sur les dispositions du cœur de l’homme ; il reste vrai que, auprès de la masse des incrédules et des indifférents, le nombre de ceux qui se donnent à Jésus est infiniment petit.

Celui qui reçut par une foi vivante, le témoignage rendu par Jésus-Christ eut par là même scellé, certifié au moment de son sceau, le fait que Dieu fut vrai ou véridique. La foi, la confiance du cœur est en elle-même, de la part du croyant, une attestation de la véracité de Dieu, tandis que celui qui ne croit pas Dieu, le fait menteur : «Celui qui croit au Fils de Dieu a ce témoignage en lui-même; celui qui ne croit pas Dieu le fait menteur, puisqu’il ne croit pas au témoignage que Dieu a rendu à son Fils. » (1 Jn 5, 10)

Ce qui n’est pas donné avec mesure, est donné sans mesure, avec une abondance infinie, comme Dieu donne. Mais à qui le donna-t-il ainsi ? Évidemment à Jésus qu’il envoya, à son Fils qu’il aima et à qui il eut remis toutes choses. Aucun prophète ne reçut l’Esprit de Dieu d’une manière infinie et permanente. Chaque croyant le reçoit dans la mesure que Dieu lui dispense, le Fils de Dieu seul en a toute la plénitude : «L’Écriture dit en effet : Je mènerai à sa perte la sagesse des sages, et l’intelligence des intelligents, je la rejetterai.» (Co 1, 19)

En parlant de ce don de l’Esprit, Jean-Baptiste pensa à ce dont il fut témoin au baptême de Jésus : « ean rendit ce témoignage: J’ai vu l’Esprit descendre du ciel comme une colombe et s’arrêter sur lui.» (Jn 1, 32)

Diacre Michel Houyoux

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Dritter Sonntag der Osterzeit – Jahr C

Posté par diaconos le 1 mai 2025

Dritter Sonntag der Osterzeit – Jahr C


Aus dem Evangelium von Jesus Christus nach Johannes


Zu jener Zeit offenbarte sich Jesus den Jüngern am See von Tiberias. Mit ihm waren Simon Petrus, Thomas, genannt Didymus (d.h. Zwilling), Nathanael, aus Kana in Galiläa,die Söhne des Zebedäus, und zwei andere seiner Jünger. Simon Petrus sagte zu ihnen: „Ich gehe fischen. Sie antworteten : ‘Wir wollen auch mit dir gehen’. Sie fuhren also hinaus und stiegen in das Boot; aber in dieser Nacht fingen sie nichts.

Bei Tagesanbruch stand Jesus am Ufer, aber die Jünger wussten nicht, dass er es war, und er sagte zu ihnen : „Kinder ! Habt ihr etwas zu essen ?“ Sie antworteten : „Nein.“ Dann sagte er zu ihnen : „Werft das Netz auf der rechten Seite des Bootes aus, und ihr werdet es finden.

Da warfen sie das Netz aus, und diesmal konnten sie es nicht einholen, so viele Fische waren es. Da sagte der Jünger, den Jesus liebte, zu Petrus: „Es ist der Herr!“. Als Simon Petrus hörte, dass es der Herr war, zog er ein Gewand an, denn er hatte nichts an, und warf sich ins Wasser.

 Er zog ein Gewand an, denn er hatte nichts an, und warf sich ins Wasser. Die anderen Jünger kamen in einem Boot und schleppten ein Netz voller Fische; das Land war nur hundert Meter entfernt. Als sie das Ufer erreichten, sahen sie dort ein Feuer mit Glut, darauf Fische und etwas Brot.

Jesus sagte zu ihnen : „Bringt etwas von den Fischen, die ihr gerade gefangen habt“. Simon Petrus stieg hinauf und zog das Netz mit den großen Fischen herab; es waren hundertdreiundfünfzig Stück. Und obwohl es viele waren, wurde das Netz nicht zerrissen.

Dann sagte Jesus zu ihnen : „Kommt und esst“. Keiner der Jünger wagte es, ihn zu fragen : „Wer bist du ?“ Sie wussten, dass er der Herr war. Jesus trat heran, nahm das Brot und gab es ihnen, und dasselbe gilt für den Fisch. Dies war das dritte Mal, dass sich der auferstandene Jesus seinen Jüngern zeigte.

Als sie gegessen hatten, sagte Jesus zu Simon Petrus : „Simon, Sohn des Johannes, hast du mich wirklich mehr geliebt als diese ?“ Er antwortete : „Ja, Herr! Du weißt, dass ich dich liebe.“ Jesus sagte zu ihm : „Sei der Hirte meiner Lämmer“. Ein zweites Mal sagte er zu ihm : „Simon, Sohn des Johannes, liebst du mich wirklich ?“.

 Er antwortete : „Ja, Herr! Du weißt, dass ich dich liebe“. Jesus sagte zu ihm : „Sei der Hirte meiner Schafe“, und zum dritten Mal sagte er zu ihm : „Simon, Sohn des Johannes, liebst du mich ? „ Petrus war traurig, weil Jesus ihn zum dritten Mal fragte : „Hast du mich lieb ?“

Er antwortete ihm : „Herr, du weißt alles : Du weißt, dass ich dich liebe.“ Jesus sagte zu ihm : „Sei der Hirte meiner Schafe. Amen, amen, ich sage dir: Als du jung warst, hast du dich umgürtet, um dorthin zu gehen, wohin du wolltest; wenn du alt bist, wirst du deine Hände ausstrecken, und ein anderer wird dich umgürten, um dich dorthin zu bringen, wohin du nicht gehen willst“.

Jesus sagte dies, um auf die Art des Todes hinzuweisen, mit dem Petrus Gott die Ehre geben würde. Dann sagte er zu ihm : „Folge mir nach.“ (Joh 21,1-19) Als der Tag anbrach, stand Jesus am Ufer, aber die Jünger wussten nicht, dass er es war.

Jesus sagte zu ihnen : „Kinder, habt ihr etwas zu essen ? „ Sie antworteten : „Nein“. Er sagte zu ihnen : „Werft das Netz auf der rechten Seite des Bootes aus, dann werdet ihr es finden. Da warfen sie das Netz aus, und diesmal konnten sie es nicht einholen, denn es waren viele Fische darin.

 Da sagte der Jünger, den Jesus liebte, zu Petrus: „Es ist der Herr„ Als Sim : auf Petrus hörte, dass es der Herr war, zog er sich an, denn er hatte nichts an, und warf sich ins Wasser. Die anderen Jünger kamen in einem Boot und schleppten ein Netz voller Fische ; das Land war nur hundert Meter entfernt.

Als sie an Land kamen, sahen sie ein Holzkohlenfeuer mit Fisch und Brot. Jesus sagte zu ihnen : „Bringt etwas von den Fischen, die ihr gerade gefangen habt“. Simon Petrus stieg hinauf und zog das Netz mit den großen Fischen herab : Es waren hundertdreiundfünfzig Stück.

Und obwohl es so viele waren, riss das Netz nicht. Dann sagte Jesus zu ihnen : „Kommt und esst !„ Keiner der Jünger wagte es, ihn zu fragen : „Wer bist du ?“ Sie wussten, dass er der Herr war. Jesus trat heran, nahm das Brot und gab es ihnen, und er tat dasselbe mit den Fischen.

Es war das dritte Mal, dass sich der von den Toten auferstandene Jesus seinen Jüngern zeigte. Jesus sagte zu ihm : „Simon, Sohn des Jona, hast du mich mehr geliebt als diese ?“ Er antwortete : „Ja, Herr ! Du weißt, dass ich dich liebe. Jesus sagte zu ihm : „Sei der Hirte meiner Lämmer“.

 Zum zweiten Mal sagte er zu ihm : „Simon, Sohn des Johannes, liebst du mich wirklich ?“ Er antwortete : „Ja, Herr ! „ Jesus sagte zu ihm : „Johannes, liebst du mich ?“ Petrus war traurig, weil Jesus ihn zum dritten Mal fragte: „Liebst du mich ?“

 Er antwortete : „Herr, du weißt alles: Du weißt, dass ich dich liebe.“ Jesus sagte zu ihm : „Sei der Hirte meiner Schafe. Amen, amen, ich sage dir : Als du jung warst, hast du dich umgürtet, um dorthin zu gehen, wohin du wolltest; wenn du alt bist, wirst du deine Hände ausstrecken, und ein anderer wird dich umgürten, um dich dorthin zu bringen, wohin du nicht gehen willst“.

Jesus sagte dies, um zu zeigen, welche Art von Tod Petrus Gott die Ehre geben würde. Dann sagte er zu ihm : „Folge mir nach“. (Joh 21,1-19) Der wundersame Fischfang Nach der Auferstehung und den ersten Erscheinungen Jesu vor seinen Jüngern, offenbarte sich Jesus erneut am Ufer des Sees von Tiberias (Joh 6,1). Alle Jünger gingen auf Jesu Befehl dorthin und vertrauten auf sein Versprechen, ihnen dort zu erscheinen (Mt 26,31-32; Mt 28,7-10).

Der Bericht des Johannes steht im Einklang mit dem von Matthäus (Mt 28,7; Mt 16-20) und Paulus (1. Kor 15,6). Nach der Auferstehung und den ersten Erscheinungen Jesu vor seinen Jüngern (Joh 5,1; Joh 6,1; Joh 7,1).

 Jesus erschien erneut am See von Tiberias. Nur Johannes gab dem See, den Matthäus als See von Galiläa bezeichnet (Mt 4,18), diesen Namen (Joh 6,1). Dorthin kehrten alle Jünger zurück, weil sie dem Befehl Jesu folgten und auf sein Versprechen vertrauten, ihnen dort zu erscheinen (Mt 26,31-32; Mt 28,7-10).

Der Bericht des Johannes steht im Einklang mit den Berichten des Matthäus und des Paulus (1 Kor 15,6) über die Erscheinungen Jesu in Galiläa. Von den sieben Jüngern, die bei der folgenden Szene anwesend sind, werden fünf namentlich genannt und sind gut bekannt: Simon Petrus (Joh 1,43); (Joh 11,16), Nathanael, der Sohn des Zebedäus, Jakobus und Johannes (Mt 4,21).

Zwei weitere Jünger wurden nicht genannt, weil sie nicht zu den Aposteln gehörten, die immer zuerst genannt wurden. M. Godet sagt zu Recht, dass diese Tatsache bedeutsam ist und dass die plausibelste Erklärung, die man geben kann, die ist, dass Johannes, der Autor dieses Berichts, sich selbst aus Bescheidenheit den letzten Platz zugewiesen hat.

Die Jünger waren nach Galiläa zurückgekehrt und hatten sich vorübergehend wieder ihrer früheren Tätigkeit zugewandt. Petrus ergriff, wie immer, die Initiative. Zweifellos wegen der Veränderung, die in ihm nach seiner Auferstehung stattgefunden hatte (Joh 20,14).

 Menge Fische befand.

Bei diesem Anblick müssen sich die Jünger an die Worte Jesu erinnert haben, mit denen er sie zum Apostolat aufrief : „Folgt mir nach, und ich werde euch zu Menschen machen“ (Mt 4,19) und an das ähnliche Ereignis, dessen Zeuge sie geworden waren (Lk 5,4).

Es war auch ein großartiges Bild für den unermesslichen Segen, den Jesus ihrem zukünftigen Dienst erteilen würde. Die symbolische Bedeutung dieses üppigen Fangs konnte den Jüngern nicht entgehen. Jesus sagte zu ihnen : „Bringt etwas von dem Fisch, den ihr gerade gefangen habt“. Die Jünger waren überrascht, eine vorbereitete Mahlzeit, Fisch und Brot, vorzufinden. Viele Interpreten sahen in dieser einfachen Tatsache ein Wunder.

Einige meinten, Jesus habe das Feuer und das Essen gemacht, andere, es sei von Engeln zubereitet worden. Zu dem Wunder gesellte sich eine Allegorie : Für die einen war die zubereitete Speise ein Bild für das Abendmahl des Herrn, für die anderen ein Symbol für die Gnaden, mit denen der Herr die Seinen, die in seinem Reich arbeiten, wiederherstellt und stärkt, für wieder andere ein Sinnbild für das himmlische Festmahl, das den Seligen verheißen ist.

 Um sich seinen Jüngern zu offenbaren, wollte Jesus sie voll und ganz von seiner Auferstehung überzeugen; und um das zu erreichen, trat er in eine persönliche Beziehung zu ihnen, deren direkteste Form darin bestand, mit ihnen zu essen, wie er es schon zweimal zuvor getan hatte (Lk 24,30-42).


Jesus sagte zu ihm : „Wenn ich will, dass du bleibst, bis ich komme, was kümmert es dich dann ?“ Jesus sprach weiter mit seinem Jünger und mit dieser feierlichen Erklärung, die ausschließlich zum vierten Evangelium gehört.

Jesus setzte das Gespräch mit seinem Jünger fort und mit dieser feierlichen Erklärung, die ausschließlich zum vierten Evangelium gehört : Wahrlich, wahrlich, er sagte ihm : „Was ihm in dieser Berufung, in die er gerade wieder eingesetzt worden war, widerfahren würde.

Durch große Prüfungen hat Petrus Jesus die Liebe bewiesen, die er ihm dreimal erklärt hatte. Diese Vorhersage hat die Form eines lebendigen Bildes : Sich gürten zu können, sich um die Lenden zu binden, um zu gehen oder zu arbeiten, die lange orientalische Gewohnheit; zu gehen, wohin man will, ist das Zeichen der Unabhängigkeit, der Aktivität der Kraft.

 So war Petrus damal : als er jünger war als Jesus, kündigte er ihm im Hinblick auf die Zukunft an. Petrus machte von dieser Freiheit reichlich Gebrauch, wie es seinem feurigen und schnellen Naturell entsprach.

Als Jesus so zu ihm sprach, war er kein junger Mann mehr, denn er war verheiratet (Mt 8,14). Sein hohes Alter machte ihn von einem anderen abhängig und zwang ihn, seinen eigenen Willen und seine Aktivität aufzugeben, einen Mann mit dem Charakter des Petrus muss ein solcher Verzicht schon ein schmerzliches Opfer gewesen sein.

 Durch diesen Tod hat Petrus Gott verherrlicht. Im Dienst Gottes und für die göttliche Wahrheit zu sterben, war der beste Weg, um zu seiner Ehre in dieser Welt beizutragen (Phil 1,20; 1 Petr 4,16). So wurde unter den Christen der ersten Jahrhunderte die Verherrlichung Gottes zum Synonym für das Martyrium.

Folgt mir auf diesem Weg, den ihr eingeschlagen habt, dessen Ausgang ich euch soeben vorausgesagt habe und der für euch wie für mich mit dem Tod enden wird (Joh 21,22; Joh 13,36; Mt 10,38; Mt 9,9). Dieses feierliche Gebot, das alle Christen betrifft, hat eine neue Bedeutung erhalten. Moderne Ausleger haben diese Erklärung angenommen „Daraus folgt jedoch nicht, dass die Bedeutung des Befehls : Folge mir nach, rein äußerlich ist.„ 

 „Es ist klar, dass Petrus mit diesem ersten Schritt den Weg des Gehorsams gegenüber Jesus einschlägt, der ihn zum tragischen Ende seines Apostolats führen wird“. (Godet) Mit diesem Tod hat Petrus Gott verherrlicht. Im Dienst Gottes und für die göttliche Wahrheit zu sterben, ist der beste Weg, um zu seiner Ehre in dieser Welt beizutragen (Ph 1,20; 1 P 4,16).

 Aber es kam noch schlimmer : Er musste seine Hände ausstrecken und sich passiv diesem anderen ausliefern, der ihn gürten, binden und gewaltsam in den Tod führen würde. Damit bewies er sich selbst und anderen, dass er Jesus liebte, dem er sein Leben opferte.

 Dies war die Bedeutung der Vorhersage. Die Ausleger waren sich uneins über die Bedeutung dieser Worte : Du wirst deine Hände ausstrecken“. Einige, von den Vätern bis zu de Wette, Tholuck, Hengstenberg und Ewald, nahmen diesen Ausdruck wörtlich und meinten damit, dass Petrus die Folter des Kreuzes erleiden würde.

Tertullian, Origenes, Eusebius (Kirchengeschichte III, 1) berichten, dass Petrus gekreuzigt wurde. Andere Exegeten wie Meyer, Weiss, Luthardt und Godet sind der Meinung, dass sich die Worte : „streck deine Hände aus“ nicht auf die Haltung des Mannes beziehen können, der sich ans Kreuz nageln lässt, ein Bild, mit dem Jesus die Passivität darstellt, die keinen Widerstand leistet.

 „Folgt mir auf diesem Weg, den ihr eingeschlagen habt, dessen Ausgang ich euch soeben vorausgesagt habe und der für euch wie für mich mit dem Tod enden wird“ (Joh 21,22; Joh 13,36; Mt 10,38; Mt 9,9)

Damit hätte Jesus gemeint: „Folgt mir, wohin ich euch führen werde, damit ich allein zu euch sprechen kann“. Moderne Ausleger haben diese Erklärung übernommen : Daraus folgt jedoch nicht, dass die Bedeutung des Befehls : Folge mir nach, rein äußerlich ist

Es ist klar, dass Petrus mit diesem ersten Schritt den Weg des Gehorsams gegenüber Jesus einschlägt, der ihn zum tragischen Ende seines Apostolats führen wird. Auf diese Weise wird der höhere Sinn auf natürliche Weise mit dem niedrigeren verbunden, wie bei Johannes (Joh 1,44).

War es schwierig, Fisch und Brot am Ufer eines Sees zu beschaffen, an dem sich immer Fischer aufhielten, und was die Elemente dieses Mahls betrifft? Die vorbereiteten Speisen reichten nicht für die acht Personen aus, die an dem Mahl teilnehmen sollten,

Diakon Michel Houyoux


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Mercredi de la deuxième semaine du Temps Pascal

Posté par diaconos le 30 avril 2025

Mercredi de la deuxième semaine du Temps Pascal

 

De l’Évangile de Jésus Christ selon Jean

En ce temps-là, Jésus disait à Nicodème : « Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que, par lui, le monde soit sauvé. Celui qui croit en lui échappe au Jugement ; celui qui ne croit pas est déjà jugé, du fait qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. Et le Jugement, le voici : la lumière est venue dans le monde, et les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Celui qui fait le mal déteste la lumière : il ne vient pas à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient dénoncées ; mais celui qui fait la vérité vient à la lumière, pour qu’il soit manifeste
que ses œuvres ont été accomplies en union avec Dieu. » (Jn 3, 16-21)

Jésus et Nicodème

Dieu a tellement aimé : cet amour est le principe et la source suprême du salut. Il a aimé le monde, ce monde déchu, pécheur, en révolte contre lui ; il a aimé notre humanité tout entière à laquelle il destinait cette manifestation de son amour. Il a donné, non seulement envoyé, mais abandonné, ce qu’il avait de plus cher, son Fils unique ; il l’a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui ?  (Rm 8, 32 ; 1 Jn 4, 9).

Il n’exige de tout homme, pour qu’il ne périsse pas dans son péché et sa misère, que de croire en son Fils, de mettre en lui toute la confiance de son Cœur. Enfin, il ouvre aux yeux de ce croyant les immenses et bienheureuses perspectives de la vie éternelle.

Plusieurs exégètes de tendances théologiques diverses se demandèrent si la continuation de l’entretien de Jésus avec Nicodème renfermèrent une méditation que Jean aurait ajoutée.

Si elle était fondée, les pensées que Jean avait puisées dans l’esprit et dans le cœur de Jésus à une époque plus avancée ; mais l’attitude que les autorités avaient déjà prise son égard (Jn 2,18), comme à l’égard de Jean-Baptiste , autorisait Jésus à s’exprimer ainsi. (Jn 1, 19)

Le mot de Fils unique est propre à Jean , mais pourquoi Jésus ne s’en serait-il pas servi, lui qui s’appelle si souvent le Fils, le Fils de Dieu ?

Enfin, on invoque le silence de Nicodème, qui paraît ôter à ce discours le caractère d’un entretien, mais combien n’était-il pas naturel que cet homme, venu auprès de Jésus pour s’instruire et de plus en plus pénétré de ses paroles, se contentât de les écouter avec une religieuse attention ?

Aussi Meyer, Monsieur Godet et d’autres interprètes virent, cette fin du discours comme prononcé par Jésus : « La cohésion de toutes les parties de l’entretien, dit M. Godet, est trop évidente pour permettre la distinction entre la part de Jésus et celle de Jean. Ou le tout est une composition libre de celui-ci, ou le tout aussi doit être envisagé comme le sommaire d’un entretien réel de Jésus. »

Telle fut aussi l’opinion de Monsieur Weiss qui inclina vers le premier parti, estimant que Jean, tout en relatant un entretien qui eut vraiment lieu, prêta à Jésus des pensées qu’Il émit dans une situation plus avancée.« Mais celui qui pratique la vérité, vient à la lumière, afin que ses œuvres soient manifestées, parce qu’elles sont faites en Dieu. » (Jn 3, 21)

Quiconque se livre à des œuvres mauvaises ou fait le mal non seulement n’aime pas la lumière, mais il la hait, parce qu’elle révèle, accuse et condamne les dispositions intimes de son cœur et il se garde bien de venir à la lumière, c’est-à-dire, de s’approcher de Jésus ; car il sait que ses œuvres seraient reprises, convaincues de culpabilité, comme devant un tribunal.

Il en est tout autrement de celui qui pratique la vérité, la vérité morale, qui, dans les écrits de Jean, est souvent à peu près synonyme de sainteté et qui, ici, est tout l’opposé des œuvres mauvaises (verset 19), ou du mal (verset 20). (Jn 4, 23 ; Jn 8, 44 ; 1 Jn 1, 6)

« Faire la vérité désigne l’effort persévérant d’élever sa conduite à la hauteur de sa connaissance morale, de réaliser l’idéal du bien perçu par la conscience. » (Godet)

Celui qui agit ainsi vient à la lumière, s’approche avec confiance de Jésus ne craignant pas, mais désirant, que ses œuvres soient manifestées. C’est qu’il a en lui le témoignage que ses œuvres, sa vie, les dispositions de son cœur sont faites en Dieu, en communion avec lui, en conformité avec son esprit et sa volonté.

« Cette expressionbien forte pour caractériser les œuvres de l’homme sincère, avant qu’il ait trouvé Christ. Mais soit en Israël, soit même en dehors de la sphère théocratique, c’est d’une impulsion divine que provient tout bien dans la vie humaine (Jean 6.37-44). Partout où il y a docilité de la part de l’homme envers cette divine initiative s’applique cette expression d’œuvres faites en Dieu, qui comprend aussi bien les soupirs du péager humilié et du croyant repentant que les nobles aspirations d’un Jean ou d’un Nathanaël. » (Godet)

Ainsi, malgré la sentence générale, Jésus reconnut qu’il y eut des hommes qui, même avant de venir a lui, la lumière parfaite, eurent un cœur sincère et droit, aimant la vérité et cherchant la lumière. « Quiconque est de la vérité : écoute ma voix » (Jn 18, 37).

Ce sont les âmes que le Père attire à Jésus (Jean 6.44) et qui ne lui résistent pas. Cette parole, qui termina l’entretien, était un encouragement pour Nicodème, qui était lui-même venu à Jésus. (Jn 6, 44))

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◊  La Croix : cliquez ici pour lire l’articleMercredi de 2e semaine du temps pascal (Jn 3, 16-21)

◊  Virgo-maria.net : cliquez ici pour lire l’articleMercredi de la deuxièmesemaine du Temps Pascal

◊  Vidéo : Jésus et Nicodème : cliquez icihttps://youtu.be/0sliPOd27ok

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Terza domenica di Pasqua – Anno C

Posté par diaconos le 29 avril 2025

 

Dal Vangelo di Gesù Cristo secondo Giovanni

In quel tempo, Gesù si manifestò ai discepoli presso il mare di Tiberiade, ed ecco come. Con lui c’era Simon Pietro, con Tommaso, chiamato Didimo (cioè Gemello), Natanaele, di Cana di Galilea, i figli di Zebedeo e altri due dei suoi discepoli. Simon Pietro disse loro ; “Vado a pescare”. Essi risposero: “Verremo anche noi con te”. Così partirono e salirono sulla barca ; Ma quella notte non presero nulla.


Allo spuntare del giorno, Gesù era in piedi sulla riva, ma i discepoli non sapevano che fosse lui Gesù disse loro :“Figlioli ! Avete qualcosa da mangiare ?” Essi risposero : “No”. Allora disse loro : “Gettate la rete a destra della barca,e troverete”.

Così gettarono la rete, e questa volta non riuscirono a tirarla dentro, c’erano così tanti pesci. Allora il discepolo che Gesù amava disse a Pietro : “È il Signore !”. Quando Simon Pietro sentì che era il Signore, si rivestì di una veste, perché non aveva nulla addosso, e si gettò in acqua.

Gli altri discepoli arrivarono in barca, trascinando la rete piena di pesci ; la terraferma distava solo un centinaio di metri. Quando arrivarono a riva videro un fuoco di brace che giaceva lì con dei pesci sopra, e del pane.Gesù disse loro “Portate un po’ del pesce che avete appena pescato”. Simon Pietro salì e tirò giù la rete piena di grossi pesci: Erano centocinquantatré. E nonostante fossero in tanti, la rete non si strappò.

 Allora Gesù disse loro : “Venite e mangiate”. Nessuno dei discepoli osò chiedergli : “Chi sei ?” Sapevano che era il Signore. Gesù si avvicinò; prende il pane e lo dà loro ; e lo stesso per il pesce. Questa era la terza volta che Gesù, risorto dai morti si mostrò ai suoi discepoli.

Quando ebbero mangiato Gesù disse a Simon Pietro : “Simone, figlio di Giovanni, mi ami davvero più di questi ? più di questi ? Egli rispose : “Sì, Signore ! Tu sai che io ti amo”. Gesù gli disse : “Sii il pastore dei miei agnelli”. Una seconda volta gli disse : “Simone, figlio di Giovanni, mi ami davvero ?

Egli rispose : “Sì, Signore! Tu sai che ti amo”. Gesù gli disse : “Sii il pastore delle mie pecore”.La terza volta gli disse : “Simone, figlio di Giovanni, mi ami tu ? ” Pietro si rattristò perché Gesù gli chiese per la terza volta : “Mi ami tu?” Gli disse: “Signore, tu sai tutto: sai che ti amo”. Gesù gli disse: “Sii il pastore delle mie pecore. Amen, amen, io ti dico:

quando eri giovane, ti cingevi per andare dove volevi; quando sarai vecchio, tenderai le mani e qualcun altro ti cingerà per portarti dove non vuoi”.Gesù diceva questo per indicare il tipo di morte che Pietro avrebbe dato gloria a Dio. Poi gli disse: “Segui mi.” (Jn 21, 1-19)

Allo spuntare del giorno, Gesù era in piedi sulla riva, ma i discepoli non sapevano che fosse lui. Gesù disse loro : “Figlioli, avete qualcosa da mangiare ? ” Risposero : “No”. Disse loro : “Gettate la rete dalla parte destra della barca e la troverete”. Così gettarono la rete, e questa volta non riuscirono a tirarla dentro perché c’erano molti pesci. Allora il discepolo che Gesù amava disse a Pietro : “È il Signore !”

Quando Sim : on Pietro sentì che era il Signore, si vestì, perché non aveva nulla addosso, e si gettò in acqua. Gli altri discepoli arrivarono in barca, trascinando la rete piena di pesci; la terraferma era a soli cento metri. Quando scesero a terra, videro un fuoco di brace con dei pesci e del pane. Gesù disse loro : “Portate un po’ dei pesci che avete appena preso”. Simon Pietro salì e tirò giù la rete piena di grossi pesci : erano centocinquantatré.

E nonostante fossero così tanti, la rete non si strappò. Allora Gesù disse loro : “Venite e mangiate”. Nessuno dei discepoli osò chiedergli : “Chi sei ?” Sapevano che era il Signore. Gesù si avvicinò ; prese il pane e lo diede loro ; e lo stesso fece con il pesce.

Era la terza volta che Gesù, risorto dai morti, si mostrava ai suoi discepoli. Gesù gli disse : “Simone, figlio di Giona, mi ami tu più di costoro ?” Egli rispose : “Sì, Signore! Tu sai che io ti amo”. Gesù gli disse : “Sii il pastore dei miei agnelli”. Una seconda volta gli disse : “Simone, figlio di Giovanni, mi ami veramente ?” Egli rispose : “Sì, Signore ! Gesù gli disse :  “Giovanni, mi ami tu ?” Pietro si rattristò perché Gesù gli chiese per la terza volta : “Mi ami tu ?”

Egli rispose : “Signore, tu sai tutto: sai che ti amo”. Gesù gli disse : “Sii il pastore delle mie pecore. Amen, amen, ti dico :  quando eri giovane, ti cingevi le spalle per andare dove volevi ; quando sarai vecchio, tenderai le mani e qualcun altro ti cingerà per portarti dove non vuoi”.

Gesù disse questo per mostrare che tipo di morte Pietro avrebbe dato gloria a Dio. Poi gli disse : “Seguimi”. (Gv 21, 1-19) La miracolosa cattura dei pesci Dopo la risurrezione e le prime apparizioni di Gesù ai suoi discepoli, Gesù si manifestò nuovamente sulle rive del mare di Tiberiade (Gv 6,1). Tutti i suoi discepoli vi si recarono per ordine di Gesù, confidando nella sua promessa di apparire loro in quel luogo (Mt 26,31-32; Mt 28,7-10).

 Il racconto di Giovanni è in armonia con quello di Matteo (Mt 28, 7; Mt 16-20) e di Paolo (1 Co 15, 6). Dopo la risurrezione e le prime apparizioni di Gesù ai suoi discepoli (Gv 5, 1; Gv 6, 1; Gv 7, 1).

Gesù apparve di nuovo presso il mare di Tiberiade. Solo Giovanni ha dato questo nome (Gv 6,1) al lago che Matteo chiama mare di Galilea (Mt 4,18), dove tutti i discepoli tornarono, seguendo il comando di Gesù e confidando nella sua promessa di apparire loro lì (Mt 26,31-32; Mt 28,7-10).

Il racconto di Giovanni è in armonia con quello di Matteo e di Paolo (1 Co 15,6), che hanno reso note le apparizioni di Gesù in Galilea. Dei sette discepoli presenti alla scena che segue, cinque sono nominati e ben conosciuti : Simon Pietro (Gv 1,43) ; (Gv 11,16), Natanael i figli di Zebedeo, Giacomo e Giovanni (Mt 4,21).

Altri due discepoli non sono stati nominati perché non erano tra gli apostoli sempre nominati per primi. M. Godet dice giustamente che questo fatto è significativo e che la spiegazione più plausibile che si può dare è che Giovanni, l’autore di questo racconto, si sia attribuito l’ultimo posto per modestia.

I discepoli, tornati in Galilea, erano temporaneamente tornati alla loro occupazione precedente. Pietro, come sempre, prese l’iniziativa. Senza dubbio a causa del cambiamento avvenuto in lui dopo la sua risurrezione (Gv 20,14).

Gesù disse loro : “Figlioli, non avete nulla da mangiare ?” La natura miracolosa di questa pesca consisteva nella conoscenza divina con cui Gesù sapeva che sul lato destro della barca c’era una grande quantità di pesce. A questa vista, i discepoli devono essersi ricordati delle parole di Gesù, che li chiamava all’apostolato : “Seguitemi e vi farò diventare peccatori di uomini” (Mt 4,19) e dell’evento simile a cui avevano assistito (Lc 5,4).

Era anche una magnifica immagine delle immense benedizioni che Gesù avrebbe elargito al loro futuro ministero. Il significato simbolico di questa abbondante pesca non poteva sfuggire alla mente dei discepoli. Gesù disse lor : “Portate un po’ del pesce che avete appena pescato”. I discepoli si stupirono di trovare un pasto preparato, pesce e pane. Molti interpreti videro in questo semplice fatto un miracolo.

Alcuni dissero che Gesù aveva creato il fuoco e il cibo; altri, che erano stati preparati dagli angeli. Al miracolo si aggiungeva poi l’allegoria : per alcuni, il cibo preparato era un’immagine della Cena del Signore ; per altri, un simbolo delle grazie con cui il Signore ristora e rafforza i suoi che lavorano nel suo regno; per altri ancora, un emblema del banchetto celeste promesso ai beati.

Ciò che Gesù voleva, per manifestarsi ai suoi discepoli, era convincerli completamente della sua risurrezione ; e per farlo, entrò in una relazione personale con loro, la più diretta delle quali fu quella di mangiare con loro, proprio come aveva fatto due volte prima (Lc 24,30-42).

Gesù gli disse : “Se voglio che rimanga fino alla mia venuta, che ti importa ? Gesù continuò a parlare con il suo discepolo e con questa solenne dichiarazione, che appartiene esclusivamente al quarto Vangelo.  Gesù continuò la conversazione con il suo discepolo e con questa solenne dichiarazione, che appartiene esclusivamente al quarto Vangelo : “In verità, in verità, gli disse che cosa gli sarebbe accaduto in questa vocazione in cui era appena stato reintegrato”.

Fu attraverso grandi prove che Pietro dimostrò a Gesù l’amore che gli aveva dichiarato per tre volte. Questa predizione assume la forma di un’immagine viva: Potersi cingere, legare intorno ai lombi, per camminare o per lavorare, il lungo costume orientale ; andare dove si vuole, è il segno dell’indipendenza, dell’attività della forza.

Tale era Pietro in quel momento: quando eri più giovane di Gesù, dal punto di vista del futuro che gli annunciava. Pietro fece un uso abbondante di questa libertà, secondo la natura del suo carattere ardente e veloce. Quando Gesù gli parlò così, non era più un giovane, perché era sposato (Mt 8,14). La sua vecchiaia lo rendeva dipendente da qualcun altro e lo costringeva a rinunciare alla sua volontà e alla sua attività.

Per un uomo del carattere di Pietro, una tale rinuncia doveva già essere un sacrificio doloroso. Ma fu ancora peggio : si ridusse a tendere le mani e ad abbandonarsi passivamente a quest’altro che lo avrebbe cinto, legato e condotto con la forza alla morte.

Allora dimostrò a se stesso e agli altri di amare Gesù, al quale sacrificò la sua vita. Questo era il significato della predizione. Gli interpreti erano divisi sul significato di queste parole : “Stenderai le tue mani”. Alcuni, dai Padri a de Wette, Tholuck, Hengstenberg ed Ewald, hanno preso questa espressione alla lettera per significare che Pietro avrebbe sofferto il supplizio della croce.

 Questo fatto è stato riportato da Tertulliano, Origene, Eusebio (Storia ecclesiastica III, 1), che Pietro fu crocifisso. Altri esegeti: Meyer, Weiss, Luthardt e Godet ritengono che le parole : “stenderai le mani” non possano riferirsi all’atteggiamento dell’uomo che si lascia inchiodare alla croce, immagine con cui Gesù rappresenta la passività che non oppone resistenza.

È attraverso questa morte che Pietro ha glorificato Dio. Morire al servizio di Dio e per la verità divina era il modo più eminente per contribuire alla sua gloria in questo mondo (Fil 1,20 ; 1 Pt 4,16). Così, tra i cristiani dei primi secoli, glorificare Dio divenne sinonimo di subire il martirio.

Seguitemi in questo cammino che avete intrapreso, di cui vi ho appena preannunciato l’esito e che, per voi come per me, si concluderà con la morte (Gv 21,22 ; Gv 13,36 ; Mt 10,38 ; Mt 9,9). A questo comando solenne, che riguarda tutti i cristiani, è stato dato un nuovo significato.

Gli interpreti moderni hanno adottato questa spiegazione. “Tuttavia, non ne consegue che il significato del comando: seguimi, sia puramente esteriore. È chiaro che, facendo questo primo passo, Pietro intraprende il cammino di obbedienza a Gesù che lo porterà alla tragica fine del suo apostolato”. (Godet)

 È con questa morte che Pietro ha glorificato Dio. Morire al servizio di Dio e per la verità divina è il modo più eminente per contribuire alla sua gloria in questo mondo (Fil 1,20; 1 Pt 4,16).Tra i cristiani dei primi secoli, la glorificazione di Dio divenne sinonimo di martirio.

“Seguitemi in questo cammino che avete intrapreso, di cui vi ho appena preannunciato l’esito e che, per voi come per me, si concluderà con la morte” (Gv 21,22; Gv 13,36; Mt 10,38; Mt 9,9) In questo modo, Gesù avrebbe voluto dire : “Seguitemi dove vi condurrò per potervi parlare da soli”. Gli interpreti moderni hanno adottato questa spiegazione : Non ne consegue, tuttavia, che il significato del comando : seguimi, sia puramente esteriore

 È chiaro che, facendo questo primo passo, Pietro intraprende il cammino di obbedienza a Gesù che lo porterà alla tragica fine del suo apostolato. È così che il senso superiore è naturalmente legato a quello inferiore, come Giovanni (Gv 1,44) Per quanto riguarda gli elementi di questo pasto, era difficile procurarsi pesce e pane sulle rive di un lago dove c’erano sempre pescatori ? Il cibo preparato non era sufficiente per le otto persone che dovevano partecipare al pasto,


Il diacono Michel Houyoux


Link a siti web cristiani

maranatha.it cliccare qui per legare l’articolo Liturgia della III Domenica di Pasqua – Anno C

Qumran.net › cliccare qui per legare l’articoloTesti – III Domenica di Pasqua (Anno C)

Video Padre Fernando Armellini › cliccare qui https://youtu.be/sFB_OQkbFe4?t=7

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