Trentunesima domenica del Tempo Ordinario Anno B

Posté par diaconos le 29 octobre 2024

Il duplice comando dell'Amore - Impegno Educativo

# La carità è sinonimo di giustizia nell’ebraismo, secondo il Comandamento divino, e fa parte del principio della Tzedaka. Secondo la teologia cristiana, si riferisce all’amore dell’uomo per Dio, per se stesso e per il prossimo in quanto creatura di Dio. La carità è anche definita come una delle tre virtù teologiche del cristianesimo (insieme alla fede e alla speranza). Nel linguaggio comune, la carità è una virtù che ci porta a desiderare e a fare del bene agli altri. È un modo di servire le persone attraverso atti ispirati dall’amore per il prossimo.

Il concetto di hessed (carità, gentilezza, amore per Dio e per il prossimo) compare 246 volte nella Torah. Tuttavia, hessed fa parte del più ampio principio ebraico di Tsedaka, che significa “giustizia” e “rettitudine”, e che è una mitsva (cioè un comandamento e una buona azione) che gli ebrei devono adempiere nel corso della loro vita4. Fa parte dell’insieme delle Gemilut Hasadim (da gamol “compiere, pagare” e hessed) che costituiscono gli “atti di carità” che gli ebrei devono compiere. La carità è la regina delle virtù: l’amore per Dio e per il prossimo. Dal punto di vista cristiano, è la virtù teologica con la quale amiamo Dio sopra ogni cosa per amore suo e il nostro prossimo come noi stessi per amore di Dio.

Assicura e purifica il potere umano di amare e lo eleva alla perfezione soprannaturale dell’amore divino. Paolo di Tarso la definisce nel capitolo 13 della sua Prima Lettera ai Corinzi. Nella tradizione iconografica cristiana, l’allegoria della Carità è spesso quella di una giovane donna che allatta i bambini. Anche i pittori italiani del Rinascimento hanno rappresentato la Carità come una giovane donna che allatta un vecchio emaciato, in linea con il tema della Carità romana.

Il comandamento dell’amore

Secondo Matteo, uno scriba inviato dai farisei si avvicinò a Gesù e gli pose la domanda per tentarlo o metterlo alla prova. Per quanto riguarda la citazione del grande comandamento dell’amore da parte di Gesù, solo Marco la precede con queste parole: “Ascolta, o Israele, il Signore nostro Dio è un solo Signore”. Queste parole, prese in prestito da Deuteronomio 6,4-5, si trovano nella stessa connessione con il dovere di amare Dio. Solo un Dio può essere oggetto di amore supremo.

A questi tre termini, con tutto il cuore, con tutta l’anima, con tutta la mente, che si trovano in Matteo, Marco ha aggiunto: con tutte le tue forze, in accordo con l’ebraico, che invece non contiene la parola “mente”. Il comandamento di amare il prossimo è citato qui da Levitico 19,18. La risposta dello scriba e l’approvazione di Gesù si trovano solo in Marco.

Lo scriba sottolinea il principio dell’unità di Dio, come gli aveva ricordato Gesù. Nell’enumerazione delle facoltà dell’anima, che devono essere tutte permeate dall’amore di Dio, lo scriba sostituisce la parola “ pensiero ” con “intelligenza”, intendendo quella ragione superiore e morale che penetra e abbraccia l’intera relazione tra l’uomo e Dio, uniti dall’amore.

Gesù, che poteva leggere nel cuore di questo scriba e conosceva la sincerità e la serietà delle parole che aveva appena pronunciato, poteva, per incoraggiarlo, dargli questa testimonianza, e gliela diede con tanta più gioia e amore perché il suo interlocutore apparteneva a una classe di uomini generalmente contrari al suo insegnamento. Non essere lontani dal regno di Dio significa essere vicini ad esso, ma non esservi ancora entrati.

Matteo fa la stessa osservazione dopo la domanda sull’origine di Cristo. Marco la colloca dopo la discussione sul comandamento più grande. Questa conversazione impressionò profondamente gli oppositori, poiché uno di loro si era appena dichiarato d’accordo con Gesù sul punto centrale della vera religione.

Il diacono Michel Houyoux

Link ad altri siti cristiani

La Voce e il Tempo : clicca qui per leggere l’articolo → Il primo di tutti i comandamenti – La Voce e il Tempo

donguido-Italia : clicca qui per leggere l’articolo → La parola del giorno « Qual è il primo di tutti i comandamenti? »

Video Padre Fernano Armellini : clicca qui → https://youtu.be/RcsFJGHlIps

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Lundi de la trentième semaine du Temps Ordinaire – Année Paire

Posté par diaconos le 28 octobre 2024

Lundi de la trentième semaine du Temps Ordinaire - Année Paire dans Bible 12apôtres

Jésus choisit 12 apôtres — BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower

# Le Nouveau Testament emploie plusieurs fois le mot apôtre. Il s’applique à plusieurs catégories de personnes bien distinctes : les témoins de la Résurrection de Jésus, envoyés pour annoncer cet événement; un des ministères de l’Église primitive ; deux fois dans les évangiles (Mt 10,2 et Lc 6,13) : le groupe des Douze choisis par Jésus, d’abord pour les envoyer (Mt 10, 5-42), enfin pour être avec lui et pour signifier symboliquement le peuple de la fin des temps (Mt 19, 28).

Paul, qui ne fit pas partie des Douze Apôtres, est surnommé l’Apôtre sans autre précision, ou encore l’apôtre des Gentils .Le mot apôtre désigne un des douze disciples de Jésus-Christ. Il s’applique aussi aux personnes qui enseignent et répandent une religion à la manière des apôtres de Jésus. Par extension, il qualifie aussi les propagateurs d’une doctrine, d’une opinion, d’une cause. Dans le vocabulaire familier, apôtre désigne une personne qui va écouter aveuglément son maître à penser et qui propage activement ses idées.

Le Nouveau Testament témoigne aussi d’un apostolat conçu, dans la première Église, comme l’un des ministères essentiels. Les lettres de Paul parlent de faux apôtres. (2 Co 11, 13) Le premier exemple de texte apostolique est sans doute la lettre apostolique envoyée à l’Église d’Antioche à la suite des discours de Pierre (Ac 15, 7-12) et Jacques (Ac 15, 13-21) sur la décision du concile de Jérusalem sur l’observance des règles traditionnelles du judaïsme, notamment la circoncision (vers l’année 50).

Les textes ne sont pas toujours explicites sur le contenu de ce ministère, dont on peut penser qu’il comportait une dimension missionnaire itinérante : c’est ainsi que la Didachè atteste leur existence en Syrie au début du deuxième siècle. L’apostolat en effet, contrairement à l’épiscopat, ne s’exerce pas sur un territoire circonscrit et précis : il a une dimension universelle. Pierre en effet présida d’abord l’Église d’Antioche avant de présider l’Église de Rome.

La tradition de l’Église, en suivant les textes des Actes des Apôtres, adopte un collège apostolique modifié depuis la défection et la trahison de Judas l’Iscariote. Elle remplace celui-ci par Matthias et surtout par Paul. Le plus souvent, ces deux apôtres additionnels figurent ensemble parmi les Douze au détriment de l’un des onze appelés par Jésus-Christ. En tout cas Paul figure toujours dans le collège apostolique, à la seconde place après Pierre. La Tradition apostolique a été définie par Hippolyte de Rome au début du IIIe siècle.

C’est sur l’existence de ce ministère de l’Église antique que Calvin s’appuiera pour restructurer les ministères des Églises de la Réforme. Après les temps proprement apostoliques marquant la première période de l’histoire du christianisme, le terme apôtre s’applique aux missionnaires qui évangélisèrent un peuple ou un pays, souvent en dehors de leur lieu d’origine, et fondèrent ainsi une chrétienté locale, donna le nom de Pierre, André son frère, Jacques, Jean, Philippe, Barthélemy, Matthieu, Thomas, Jacques fils d’Alphée, Simon appelé le Zélote, Jude fils de Jacques, et Judas Iscariote, qui devint un traître. Jésus descendit de la montagne avec eux et s’arrêta sur un terrain plat.

Il y avait là un grand nombre de ses disciples et une grande multitude de gens venus de toute la Judée, de Jérusalem, et du littoral de Tyr et de Sidon. Ils étaient venus l’entendre et se faire guérir de leurs maladies ; ceux qui étaient tourmentés par des esprits impurs retrouvaient la santé. Et toute la foule cherchait à le toucher, parce qu’une force sortait de lui et les guérissait tous. (Lc 6, 12-19)

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ces jours-là, Jésus s’en alla dans la montagne pour prier, et il passa toute la nuit à prier Dieu.    Le jour venu, il appela ses disciples et en choisit douze auxquels il donna le nom d’Apôtres :    Simon, auquel il donna le nom de Pierre, André son frère, Jacques, Jean, Philippe, Barthélemy, Matthieu, Thomas, Jacques fils d’Alphée, Simon appelé le Zélote, Jude fils de Jacques, et Judas Iscariote, qui devint un traître.

Jésus descendit de la montagne avec eux et s’arrêta sur un terrain plat. Il y avait là un grand nombre de ses disciples et une grande multitude de gens venus de toute la Judée, de Jérusalem, et du littoral de Tyr et de Sidon.   Ils étaient venus l’entendre et se faire guérir de leurs maladies ; ceux qui étaient tourmentés par des esprits impurs retrouvaient la santé. Et toute la foule cherchait à le toucher, parce qu’une force sortait de lui et les guérissait tous. (Lc 6, 12-19)

Jésus choisit douze auxquels il donna le nom d’Apôtres

Jésus en ces jours-là passa une nuit en prières sur la montagne. Le jour venu, il assembla autour de lui ses disciples dont il choisit douze, auxquels il donna le titre d’apôtres. Jésus revenu auprès de la foule opéra des guérisons. Jésus avec ses disciples redescendit jusqu’à un plateau de la montagne. Il y trouva une grande multitude, accourue de toute la Palestine. Une puissance divine, sortant de lui, opéra des guérisons. D’une part, Jésus était parvenu au faite de son activité et de sa puissance divine.

D’autre part, la haine de ses adversaires et leurs desseins meurtriers hâtaient la crise qu’il prévoyait déjà comme inévitable. Dans ces graves circonstances, il prit parmi ses disciples les douze apôtres et les établit comme ses témoins et ses ambassadeurs, chargés de continuer après lui son œuvre dans le monde. Il se prépara à cet acte solennel par la prière dans un lieu écarté. Luc raconta fréquemment que Jésus se retirait dans la solitude pour prier. Luc ajouta seul que Jésus leur donna le titre d’apôtres, envoyés auprès de notre humanité pour continuer son œuvre par la prédication de l’Évangile.

Le nom d Jude, fils de Jacques, est propre à Luc. L’existence d’un apôtre de ce nom fut confirmée par Jean. Les évangélistes rappelèrent que Judas dénonça Jésus pour le faire arrêter. Matthieu, dans sa liste des apôtres, les nomma deux par deux : Pierre et André, Jacques et Jean, etc. Ce groupement répondait à la réalité historique, chaque paire ainsi réunie était liée, soit par des liens de parenté, soit d’une autre manière.  Quel auditoire se trouva là réuni pour entendre le discours de Jésus !

Des gens s’assemblèrent fréquemment autour de lui pour l’entendre, une grande multitude de peuple, accourue de toutes les contrées environnantes, soit pour l’entendre, soit pour être guéris de leurs maladies; plusieurs de ces malheureux qui étaient en proie à la puissance des ténèbres : et ils étaient guéris. Ceux même qui ne pouvaient pas attirer sur eux l’attention de Jésus, au milieu de cette foule, et ils éprouvaient qu’une puissance divine sortait de lui et les guérissait tous.

Diacre Michel Houyoux

Compléments

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin

◊ Un ami : cliquez ici pour lire l’article  →Saint frère André, un humble religieux de la Congrégation Sainte Croix

◊ Thrueway  : cliquez ici pour lire l’article → Jésus choisit ses disciples

◊ Regnum Christi : cliquez ici pour lire l’article → Il passa toute la nuit à prier Dieu ; il appela ses disciples et en choisit douze auxquels il donna le nom d’apôtres

♥ Vidéo  Notre mission → https://youtu.be/a3sJKasR0cs?t=3

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Trente et unième dimanche du Temps Ordinaire Année Paire

Posté par diaconos le 28 octobre 2024

Les deux commandements de l'amour – Chrétien web

# La charité est synonyme de justice dans le judaïsme, selon le Commandement divin, et s’inscrit dans le principe de la Tsédaka. Elle désigne, selon la théologie chrétienne, l’amour de l’homme pour Dieu, pour lui-même et dans l’amour du prochain comme créature de Dieu. La charité est en outre définie comme l’une des trois vertus théologales du christianisme (aux côtés de la foi et de l’espérance). Dans le langage ordinaire, la charité est une vertu qui porte à désirer et à faire le bien pour autrui. Elle rend donc service aux gens en des actes inspirés par l’amour du prochain.

Le concept de hessed (charité, bonté, amour de Dieu et du prochain) apparaît 246 fois dans la Torah. Pour autant, le hessed s’inscrit dans le principe juif plus large de Tsedaka qui signifie « justice » et « droiture », et qui est une mitsva (c’est-à-dire un Commandement et une bonne action) que le Juif doit accomplir tout au long de sa vie4. Il relève de l’ensemble des Gemilut Hassadim (de gamol « accomplir, payer » et de hessed) qui constituent les « actes de bienfaisance » dont le Juif doit s’acquitter. La charité est la vertu reine des vertus : l’amour de Dieu et du prochain. Dans une perspective chrétienne, elle est la vertu théologale par laquelle on aime Dieu par-dessus toute chose pour lui-même, et son prochain comme soi-même pour l’amour de Dieu.

Elle assure et purifie la puissance humaine d’aimer et l’élève à la perfection surnaturelle de l’amour divin. Paul de Tarse en a donné une définition dans la Première épître aux Corinthiens au chapitre 13. Dans la tradition iconographique chrétienne, l’allégorie de la Charité est souvent celle d’une jeune femme allaitant des nourrissons. Les peintres italiens de la Renaissance représentent également la Charité sous les traits d’une jeune femme donnant le sein à un vieillard décharné, ce qui correspond au thème de la Charité romaine.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Marc

En ce temps-là, un scribe s’avança vers Jésus pour lui demander : « Quel est le premier de tous les commandements ? »  Jésus lui fit cette réponse : « Voici le premier : Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force. Et voici le second : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là. »

 Le scribe reprit : « Fort bien, Maître, tu as dit vrai : Dieu est l’Unique et il n’y en a pas d’autre que lui. L’aimer de tout son cœur, de toute son intelligence, de toute sa force, et aimer son prochain comme soi-même, vaut mieux que toute offrande d’holocaustes et de sacrifices. »

Jésus, voyant qu’il avait fait une remarque judicieuse, lui dit : « Tu n’es pas loin du royaume de Dieu. » Et personne n’osait plus l’interroger. (Mc 12, 28b-34)

Le commandement de l’amour

Selon Matthieu, un scribe serait venu à Jésus, envoyé par les pharisiens et lui aurait proposé sa question pour le tenter ou l’éprouver. Quant à la citation, faite par Jésus, du grand commandement de l’amour, Marc seul la fit précéder de ces mots : « Écoute, Israël, le Seigneur notre Dieu est un seul Seigneur. » Ces paroles, empruntées à Deutéronome 6.4-5, s’y trouvent dans le même rapport avec le  devoir d’aimer Dieu. C’est qu’un Dieu unique peut seul être l’objet de l’amour suprême.

À ces trois termes, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, qui se trouvent dans Matthieu, Marc ajouta : de toute ta force, conformément à l’hébreu, qui, par contre, ne renferme pas le mot de pensée.  Le commandement concernant l’amour du prochain est cité ici d’après Lévitique 19, 18. La réponse du scribe et l’approbation que Jésus lui donna ne se trouvent que dans Marc.

Le scribe releva le principe de l’unité de Dieu, rappelée par Jésus. Dans son énumération des facultés de l’âme qui toutes doivent être pénétrées de l’amour de Dieu, le scribe remplaça le mot de pensée  par celui d’intelligence, par où il entendit cette raison supérieure et morale qui pénètre et embrasse tout entier le rapport de l’homme et de Dieu, unis par l’amour.

Jésus, qui lisait dans le cœur de ce scribe et connaissait la sincérité et le sérieux des paroles qu’il venait de prononcer, pouvait, afin de l’encourager, lui rendre ce  témoignage, et il le lui rendit avec d’autant plus de joie et d’amour que son interlocuteur appartenait à une classe d’hommes généralement opposés à son enseignement. N’être pas éloigné du royaume de Dieu, c’est en être proche, mais n’y être pas entré encore.

Matthieu  fit cette même observation à la suite de la question sur l’origine du Christ. Marc la plaça à la suite de l’entretien sur le plus grand commandement. Cet entretien fit une vive impression sur les adversaires, puisque l’un des leurs venait de se déclarer  d’accord avec Jésus sur le point central de la vraie religion.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites chrétiens

Père Gilbert Adam : cliquez ici pour lire l’article → Quel est le premier de tous les commandements ?

Pasteur John Piper  : cliquez ici pour lire l’article →  Comment pouvons-nous nous aider les uns les autres à combattre les désirs impurs ?

  Vidéo Sermentes do Verbo : cliquez ici →https://youtu.be/ya-Ohi_Z4-s

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Dreißigster Sonntag der gewöhnlichen Zeit – Sonntag des Jahres B

Posté par diaconos le 24 octobre 2024

Spaltung bringen - oder: Den wahren Frieden fördern"

# Die Römer hatten ihre Heiler wie Apollonius von Tyana und die Juden ihre wundertätigen Rabbiner wie Honi HaMe’aguel und Hanina ben Dossa. In den Evangelien istBartimäus , dessen Name auf Aramäisch « Sohn des Timäus “ bedeutet, ein blinder Mann, der von Jesus am Eingang von Jericho geheilt wird. Diese Episode kommt in den drei synoptischen Evangelien Markus, Matthäus und Lukas vor, aber der Name Bartimäus erscheint nur bei Markus. Bartimäus bittet: „Jesus, Sohn Davids, erbarme dich meiner“.

Daniel Marguerat schreibt: « Es stellte sich heraus, dass diese Geschichten in der Vielfalt der Motive und Figuren wie endlose Variationen desselben stereotypen Genres waren, das in der griechisch-römischen Kultur in Hülle und Fülle vorhanden war. « Flavius Josephus, aber auch einige nähere rabbinische Quellen und das Neue Testament haben die Erinnerung an diese Personen bewahrt  .Ein gewisser Eleazar trieb Dämonen aus Besessenen aus; Hanina ben Dosa aus Galiläa heilte aus der Ferne; der Historiker Geza Vermes sieht eine auffällige Parallele zwischen dieser thaumaturgischen Kraft und derjenigen, die Jesus in der Episode der Heilung eines Offizierssohns zugeschrieben wird, wo Jesus angeblich aus der Ferne handelte.

Andere Charismatiker beherrschten die Natur Honi, Josephs Kreismacher, und sein Neffe Hanan hatten den Ruf, Regen zu bringen. Diese Regenmacher waren sich ihrer besonderen Beziehung zu Gott bewusst: Hanan, der Regenmacher, ging sogar so weit zu beten, dass seine Zuhörer zwischen ihm und demjenigen, der den Regen wirklich gab, dem Abba [Vater] des Himmels, unterscheiden könnten. Bartimäus, dessen Name auf Aramäisch „Sohn des Timäus“ bedeutet, ist der Name des Blinden, der von Jesus am Eingang von Jericho geheilt wurde. Diese Episode erscheint in allen drei synoptischen Evangelien (Markus, Matthäus und Lukas), aber der Name Bartimäus taucht nur bei Markus auf. Bartimäus flehte: „Jesus, Sohn Davids, erbarme dich meiner“.

In diesem Punkt stimmt der Wert der Wunder als Zeichen im Neuen Testament mit der Analyse der Historiker überein, für die sie keine objektive Beschreibung von Ereignissen waren, sondern ein Mittel, um eine religiöse Wahrheit auszudrücken.Daniel Marguerat betonte, dass die Erzählung von Wundern eine religiöse Sprache ist, die seit der Antike bekannt ist und die ein viel stärkeres Ziel hat als die einfache Wiederholung eines wunderbaren Ereignisses aus der Vergangenheit; diese Sprache bedeutet, gegen das Böse zu protestieren.

Diese Episode kann als Gleichnis für die Entdeckung des Glaubens gelesen werden. Zunächst war Bartimäus blind und saß am Straßenrand. Schließlich wird Bartimäus zu einem Seher und folgt Jesus auf der Straße.

Aus dem Evangelium von Jesus Christus nach Markus

Zu jener Zeit, als Jesus mit seinen Jüngern und einer großen Menschenmenge Jericho verließ, saß der Sohn des Timäus, Bartimäus, ein blinder Bettler, am Straßenrand.Als er hörte, dass es Jesus von Nazareth war, begann er zu schreien: „Sohn Davids, Jesus, erbarme dich meiner!Viele wiesen ihn zurecht, um ihn zum Schweigen zu bringen, aber er schrie immer lauter : „Sohn Davids, erbarme dich meiner! Jesus hielt inne und sagte: „Ruft ihn.Da riefen sie den Blinden und sagten zu ihm: ‘Vertrau mir, steh auf, er ruft dich.’

Der Blinde zog seinen Mantel aus, sprang auf und lief zu Jesus.Jesus sagte zu ihm: « Was willst du, dass ich für dich tue?Der Blinde sagte zu ihm: ‘ Rabboni, lass mich wieder sehen! Und Jesus sagte zu ihm:Geh, dein Glaube hat dich gerettet. Alsbald erlangte der Mann sein Augenlicht wieder und folgte Jesus auf der Straße (Mk 10,36b-52).

Der blinde Bartimäus

Nur Markus nennt diesen blinden Bettler beim Namen und sogar beim Namen seines Vaters:Bartimäus bedeutet Sohn des Timäus, und diese patronymischen Namen, Bartholomäus und Barsabas, treten an die Stelle der Eigennamen. Der von Jesus geheilte Blinde wurde ein bekannter Christ in der apostolischen Kirche; sein Name ist durch die Überlieferung erhalten geblieben. Der große Glaube dieses Blinden, der denjenigen als Sohn Davids anrief, den man ihm als den Nazarener angekündigt hatte“ (Bengel).

Die Bezeichnung „Sohn Davids“, die Markus Jesus zuschreibt, zeigt, wie weit verbreitet der Glaube unter den Menschen jener Zeit war, dass Jesus der Messias sei.Wir hören diese verschiedenen Worte der Ermutigung von verschiedenen Stimmen in der Menge, derselben Menge, die kurz zuvor den Blinden daran hindern wollte, zu schreien. Das Mitleid, von dem Jesus ergriffen war und das ihn an der Spitze seiner großen Prozession anhalten ließ, als er die Schreie dieses armen Bettlers hörte, dieses Mitleid drang in die Herzen der Menschen ein.Nichts ist so ansteckend wie die wahre Liebe.

Als Antwort auf die Bewegung, die den Blinden zu Jesus geführt hatte, und auf den Glauben, der Bartimäus beseelte, hatte die Bitte Jesu keinen anderen Zweck, als den Unglücklichen zu ermutigen und ihn in persönlichen Kontakt mit seinem Erlöser zu bringen.Das Ziel war erreicht; der Schrei von Rabbouni (mein Meister) bestätigte sein ganzes Vertrauen. Nach Markus und Lukas stellte Jesus das Augenlicht des Blinden nur durch sein kraftvolles und schöpferisches Wort wieder her, ohne seine Augen zu berühren.

Dieser Glaube, der sein Herz für die göttliche Macht Jesu öffnete, wurde für ihn zur Quelle einer Gnade, die unendlich größer war als die Wiedererlangung seines Augenlichts. Bartimäus folgte Jesus auf der Straße und schloss sich der Prozession an, die ihn als Messias und Retter bejubeln sollte. Lukas berichtet, dass er Gott inmitten des ganzen Volkes verherrlichte, das sich seinem Dank anschloss.

Diakon Michel Houyoux

Links zu anderen christlichen Seiten

Diözese Eisenstadt : klicken Sie hier, um den Artikel zu lesen → Dreissigster Sonntag – im Jahreskreis

◊ Diözese Eisenstadt : klicken Sie hier, um den Artikel zu lesen →Wiener Konzerthaus – Zyklus – Piccolo B

Video Nordkreuzkirche : hier klicken →https://youtu.be/xXYU-mQf7Iw

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