Mardi de la vingt-troisième Semaine du Temps Ordinaire — Année Impaire

Posté par diaconos le 7 septembre 2021

Jésus passa toute la nuit à prier Dieu ; il appela ses disciples et en choisit douze auxquels il donna le nom d’Apôtre

Election des Douze

# Le Nouveau Testament emploie plusieurs fois le mot « apôtre ». Il s’applique à plusieurs catégories de personnes bien distinctes : les témoins de la Résurrection de Jésus, envoyés pour annoncer cet événement; un des ministères de l’Église primitive ; deux fois dans les évangiles (Mt 10,2 et Lc 6,13) : le groupe des Douze choisis par Jésus, d’abord pour les envoyer (Mt 10, 5-42), enfin « pour être avec lui » et pour signifier symboliquement le peuple de la fin des temps (Mt 19, 28). Paul, qui ne fit pas partie des Douze Apôtres, est surnommé l’ Apôtre  sans autre précision, ou encore l’apôtre des Gentils.Le mot « apôtre » désigne un des douze disciples de Jésus-Christ.
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Il s’applique aussi aux personnes qui enseignent et répandent une religion à la manière des apôtres de Jésus. Par extension, il qualifie aussi les propagateurs d’une doctrine, d’une opinion, d’une cause. Dans le vocabulaire familier, « apôtre » désigne une personne qui va écouter aveuglément son maître à penser et qui propage activement ses idées. Le Nouveau Testament témoigne aussi d’un apostolat conçu, dans la première Église, comme l’un des ministères essentiels. Les lettres de Paul (par ex. 2 Co 11,13) parlent de « faux apôtres ».
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Le premier exemple de texte apostolique est sans doute la lettre apostolique envoyée à l’Église d’Antioche à la suite des discours de Pierre (Ac 15, 7-12) et Jacques (Ac 15, 13-21) sur la décision du concile de Jérusalem sur l’observance des règles traditionnelles du judaïsme, notamment la circoncision (vers 50). Les textes ne sont pas toujours explicites sur le contenu de ce ministère, dont on peut penser qu’il comportait une dimension missionnaire itinérante : c’est ainsi que la Didachè (11, 3-6) atteste leur existence en Syrie au début du IIe siècle. L’apostolat en effet, contrairement à l’épiscopat, ne s’exerce pas sur un territoire circonscrit et précis : il a une dimension universelle.
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Pierre en effet présida d’abord l’Église d’Antioche avant de présider l’Église de Rome. La tradition de l’Église, en suivant les textes des Actes des Apôtres, adopte un collège apostolique modifié depuis la défection et la trahison de Judas l’Iscariote. Elle remplace celui-ci par Matthias et surtout par Paul (apôtre). Le plus souvent, ces deux apôtres additionnels figurent ensemble parmi les Douze au détriment de l’un des onze appelés par Jésus-Christ. En tout cas Paul figure toujours dans le collège apostolique, à la seconde place après Pierre. La Tradition apostolique a été définie par Hippolyte de Rome au début du IIIe siècle. C’est sur l’existence de ce ministère de l’Église antique que Calvin s’appuiera pour restructurer les ministères des Églises de la Réforme. Après les temps proprement apostoliques marquant la première période de l’histoire du christianisme, le terme « apôtre » s’applique aux missionnaires qui évangélisèrent un peuple ou un pays, souvent en dehors de leur lieu d’origine, et fondèrent ainsi une chrétienté locale.
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De l’évangile selon Luc

12 En ces jours-là, Jésus s’en alla dans la montagne pour prier, et il passa toute la nuit à prier Dieu. 13 Le jour venu, il appela ses disciples et en choisit douze auxquels il donna le nom d’Apôtres : 14 Simon, auquel il donna le nom de Pierre, André son frère, Jacques, Jean, Philippe, Barthélemy, 15 Matthieu, Thomas, Jacques fils d’Alphée, Simon appelé le Zélote, 16 Jude fils de Jacques, et Judas Iscariote, qui devint un traître.

17 Jésus descendit de la montagne avec eux et s’arrêta sur un terrain plat. Il y avait là un grand nombre de ses disciples et une grande multitude de gens venus de toute la Judée, de Jérusalem, et du littoral de Tyr et de Sidon. 18 Ils étaient venus l’entendre et se faire guérir de leurs maladies ; ceux qui étaient tourmentés par des esprits impurs retrouvaient la santé. 19 Et toute la foule cherchait à le toucher, parce qu’une force sortait de lui et les guérissait tous. (Lc 6, 12-19)

L’apogée du ministère galiléen

Jésus en ces jours-là passa une nuit en prières sur la montagne. Le jour venu, il assembla autour de lui ses disciples dont il choisit douze, auxquels il donna le titre d’apôtres. Jésus revenu auprès de la foule opéra des guérisons. Jésus avec ses disciples redescendit jusqu’à un plateau de la montagne. Il y trouva une grande multitude, accourue de toute la Palestine. Une puissance divine, sortant de lui, opéra des guérisons.

D’une part, Jésus était parvenu au faite de son activité et de sa puissance divine. D’autre part, la haine de ses adversaires et leurs desseins meurtriers hâtaient la crise qu’il prévoyait déjà comme inévitable. Dans ces graves circonstances, il prit parmi ses disciples les douze apôtres et les établit comme ses témoins et ses ambassadeurs, chargés de continuer après lui son œuvre dans le monde.

Il se prépara à cet acte solennel par la prière dans un lieu écarté.    Luc raconta fréquemment que Jésus se retirait dans la solitude pour prier. Luc ajouta seul que Jésus leur donna le titre  d’apôtres, envoyés auprès de notre humanité pour continuer son œuvre par la prédication de l’Évangile. Le nom de Jude, fils de Jacques, est propre à Luc. L’existence d’un apôtre de ce nom fut  confirmée par  Jean. Les évangélistes rappelèrent que Judas dénonça Jésus pour le faire arrêter.  .

 Matthieu, dans sa liste des apôtres, les nomma deux par deux : Pierre et André, Jacques et Jean, etc. Ce groupement répondait à la réalité historique, chaque paire ainsi réunie était liée, soit par des liens de parenté, soit d’une autre manière.

Quel auditoire se trouva là réuni pour entendre le discours de Jésus ! Des gens s’assemblèrent fréquemment autour de lui pour l’entendre, une grande multitude de peuple, accourue de toutes les contrées environnantes, soit pour l’entendre, soit pour être guéris de leurs maladies ; plusieurs de ces malheureux qui étaient en proie à la puissance des ténèbres : et ils étaient guéris. Ceux même qui ne pouvaient pas attirer sur eux l’attention de Jésus, au milieu de cette foule, cherchaient à le toucher et ils éprouvaient qu’une puissance divine sortait de lui et les guérissait tous.

Diacre Michel Houyoux

Compléments

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin ◊ Un ami : cliquez ici pour lire l’article → Saint frère André, un humble religieux de la Congrégation Sainte Croix

Liens avec d’autres sites web chrétiens

◊ Père Gilbert Adam  : cliquez ici pour lire l’article →   Mardi de la 23e semaine, année impaire

◊ Regnum Christi   : cliquez ici pour lire l’article → « Il passa toute la nuit à prier Dieu ; il appela ses disciples et en choisit douze auxquels il donna le nom d’apôtres »

  Prédication du Pasteure Agnès Adeline-Schaeffer :  » La mission des douze est aussi la nôtre « 

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Venerdi Santo : PASSIONE DEL SIGNORE

Posté par diaconos le 2 avril 2021

Cristo ha annientato se stesso, assumendo la condizione di servo

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# Il Venerdì santo è il venerdì che precede la Pasquacristiana. In questo giorno i cristiani commemorano la passione e la crocifissione di Gesù Cristo. Questa ricorrenza viene osservata con speciali pratiche e riti dai fedeli di molte confessioni cristiane. Il Venerdì santo le campane, che tradizionalmente richiamano i fedeli alla celebrazione dell’eucaristia, in segno di lutto non suonano. Occorre però precisare da quale momento, in quanto si riscontrano tradizioni differenti a seconda dei diversi riti cattolici. Secondo il rito romano le campane suonano per l’ultima volta la sera del giovedì santo, e precisamente al canto del Gloria della messa vespertina, per poi tornare a suonare a festa durante la veglia pasquale, sempre al canto del Gloria, come segno dell’annuncio dei cristiani della resurrezione di Gesù. Nel rito ambrosiano, invece, le campane suonano sino all’annuncio della morte del Signore: le ore tre del pomeriggio del Venerdì santo. Dopodiché tacciono fino alla veglia pasquale. La celebrazione della messa è esclusa nel rito romano anche il Sabato santo. Nel rito ambrosiano è esclusa anche tutti i venerdì della quaresima.

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I brani del libro di Isaia (prima lettura) e della lettera agli Ebrei (seconda lettura) danno senso a questa terribile e ignobile sofferenza di Gesù. Colui che ha portato le nostre sofferenze e i nostri peccati è la causa della nostra salvezza.  È attraverso di lui che siamo salvati; la sua morte ci apre la vita. Il secondo momento importante della celebrazione liturgica di stasera è la grande preghiera universale. Si tratta di pregare Cristo, la speranza per tutti gli uomini, e chiedere la sua luce per coloro che ne hanno più bisogno.

La croce oggi è salita sul mondo. Il Venerdì Santo non è solo l’anniversario di un evento passato. Soprattutto, la Chiesa ci chiede di credere che, attraverso la sua morte, Cristo ci porta la certezza della nostra risurrezione. Il Venerdì Santo non si celebra la Messa. Tuttavia, alla fine della cerimonia, saremo invitati a ricevere la comunione, il corpo di Cristo offerto per l’umanità.

Buona e santa Pasqua a te, caro amico in Cristo, e ai tuoi cari. Con i miei amichevoli e fraterni saluti.

Il Diacono Michel Houyoux

Per le nostre iniquità è stato schiacciato

Dal libro del profeta Isaia

Il mio servo prospererà, dice il Signore ; Egli salirà, si alzerà, sarà esaltato ! La moltitudine rimase sgomenta quando lo vide, perché era così sfigurato che non sembrava più un uomo ; non aveva più l’aspetto di un figlio d’uomo. Egli stupirà una moltitudine di nazioni ; e i re staranno davanti a lui in soggezione, perché vedranno ciò che non è mai stato detto loro, e vedranno cose di cui non hanno mai sentito parlare.

Chi avrebbe creduto a quello che abbiamo sentito ? A chi si è rivelato il braccio potente del Signore ? Davanti a lui, il servo è cresciuto come una pianta stentata, una radice in una terra arida ; era senza apparenza o bellezza per attirare i nostri occhi, Il suo aspetto non ci piaceva. Disprezzato, abbandonato dagli uomini, un uomo dei dolori, familiare con la sofferenza, Era come uno davanti al quale nascondiamo il nostro volto ; e noi l’abbiamo disprezzato, l’abbiamo considerato una nullità. Infatti, è stato lui a portare le nostre sofferenze, le nostre pene di cui era gravato.

E noi pensavamo che fosse innamorato,… ferito da Dio, umiliato. Ma è stato a causa delle nostre ribellioni che è stato trafitto,e a causa delle nostre iniquità è stato schiacciato. Il castigo che ci dà la pace era su di lui : dalle sue ferite siamo guariti. Stavamo tutti vagando come pecore, Ognuno va per la sua strada. Ma il Signore ha posto su di lui le nostre colpe a lui. » (Is 52, 13 – 53, 12)

Maltrattato, si umilia, non apre la bocca : come un agnello condotto al macello, come una pecora muta davanti ai tosatori, non apre la bocca. Arrestato, poi processato, è stato soppresso. Chi allora si preoccupava della sua sorte ? È stato tagliato fuori dalla terra dei vivi, colpito per le rivolte del suo popolo. La sua tomba è stata posta con i malvagi, la sua tomba con i ricchi ; eppure non aveva fatto alcuna violenza, nessun inganno fu trovato nella sua bocca.

Schiacciato dalla sofferenza, si è compiaciuto del Signore. Se dà la sua vita come sacrificio di riparazione vedrà dei discendenti, prolungherà i suoi giorni : attraverso di lui, ciò che piace al Signore avrà successo.  Come risultato dei suoi tormenti, vedrà la luce, la conoscenza lo riempirà. Il giusto, il mio servo, giustificherà le moltitudini, Egli si farà carico delle loro iniquità.

Perciò, tra i grandi, gli darò la sua parte, con i potenti dividerà il bottino, perché si è spogliato fino alla morte, e fu annoverato tra i peccatori,  mentre portava il peccato di molti e fece intercessione per i peccatori. (Is 52, 13 – 53, 12)

Il sacrificio e la gloria del Signore

Era come se il servo si avvicinasse sempre di più dalla distanza e apparisse sempre più chiaramente. Molti erano stupiti e pietrificati alla sua vista: il servo è arrivato alla gloria solo attraverso una sofferenza tale da essere sfigurato. Lo stupore causato dalla sua miseria è stato eguagliato solo da quello causato dalla sua gloria.

 Il servo, apparendo improvvisamente nella sua gloria, fece sì che il mondo pagano fosse profondamente scioccato e saltasse per lo stupore e l’attesa.  I re lo videro e si alzarono… La loro estrema sorpresa si spiega tanto meglio perché il suo destino non era stato annunciato a loro come a Israele.L’inaudito rifiuto del Messia da parte di Israele si spiegava con l’infermità del suo aspetto.

Sotto questa debolezza, che li scandalizzava, il popolo non discerneva il braccio di Dio. Isaia ha paragonato il servo a una pianta fragile, che nessuno notava, ma sulla quale si posavano gli occhi e il favore di Dio, perché Lui solo ne conosceva il prezzo.   Questo germoglio non è cresciuto dal tronco di Isaia, come Isaia 11:1, ma da un terreno arido (dal seno di Israele) che era stato profondamente abbassato. Perché il Messia appare qui e in tutta questa parte di Isaia, non come il rappresentante della famiglia reale, il figlio di Davide, ma come il rappresentante di tutto il popolo, di cui era il sacerdote (il vero Israele, Isaia 49, 3).

Il profeta vide l’immagine di uno di quei lebbrosi ai quali la legge comandava di coprirsi il volto davanti ai loro simili (Levitico 13, 45). Ma qui sono stati gli altri uomini a coprirsi per non vederlo, tanto era inorridito dal suo aspetto.  Le nostre malattie e i nostri dolori erano il salario del suo peccato.

Israele ragionava come gli amici di Giobbe: pretendendo di misurare la sua colpa dalla sua sofferenza, lo consideravano come un uomo che Dio colpiva con un male orribile a causa di qualche crimine eccezionale, considerato come la punizione diretta del peccato ; vedi per esempio Levitico 13, :1-59 ; il trattato talmudico che trattava della lebbra è intitolato Piaghe. Secondo la tradizione ebraica, il Messia figlio di Giuseppe (il Messia umiliato) doveva essere un lebbroso.

Il profeta modificò l’immagine per introdurre una nuova caratteristica: non solo il servo soffriva di infermità che provocavano disprezzo e incredulità, ma l’odio del suo popolo era diretto contro di lui, e alla fine soccombeva a una morte violenta  Questa morte voluta da Dio era una punizione per le sue colpe. Isaia non distingueva tra fedeli e infedeli; tutto Israele, senza eccezione, aveva peccato e aveva bisogno della mediazione del servo. Il profeta era d’accordo con se stesso e con tutto l’Antico Testamento (Salmi 14, 2-3 ; Salmi 143, 2).

Lungi dal protestare contro questo castigo immeritato, il servo lo accettò e lo sopportò in silenzio. Il Nuovo Testamento ritorna frequentemente a questo tipo di Agnello di Dio  Giovanni 1, 29 ; 1 Pietro 1, 18-19 ; 1 Pietro 2, 23.  La parola d’oro qui significa generazione. Molti lo applicarono alla posterità spirituale del servo.

Nella sua morte è con l’uomo ricco. L’ebraico dice semplicemente: nella sua morte con i ricchi. Sarebbe abbastanza naturale fare di queste parole il parallelo di queste: il suo sepolcro con i malvagi. Sarebbe allora necessario, con Lutero e Calvino, dare alla parola ricco il significato di orgoglioso o violento. Ma questo devierebbe la parola ebraica dal suo significato costante.

La sepoltura di un uomo ricco, anche se empio, non è una sepoltura ignominiosa, come quella di un malfattore. Se lasciamo la parola ricco nel suo senso naturale, i due membri della frase formano ovviamente un’antitesi. Quelli che condannarono il servo a morte (versetto 8), gli diedero la sepoltura di un criminale.

Il racconto evangelico della morte di Gesù tra due criminali e la sua sepoltura nella tomba del ricco Giuseppe d’Arimatea (Matt. 27, 57) offrirebbe una coincidenza sorprendente con questa linea di profezia. Ma ci è difficile credere che questo sia il vero significato del testo. La seguente spiegazione ci sembra più naturale : Fu sepolto con i criminali (con i quali morì); ma dopo la sua morte fu posto da Geova tra i più onorati.

L’espiazione era una compensazione offerta dalla legge per certi reati. Il servo è stato rappresentato qui come colui che paga il debito che i peccatori non erano in grado di pagare da soli

Era la sua anima che si offriva. Nei sacrifici dell’Antica Alleanza, il sangue era l’elemento purificatore, perché in esso risiede la vita o l’anima (Levitico 17:11). Isaia implica con questa allusione ai riti levitici, che nelle sofferenze volontarie del giusto servo del Signore, Israele ha trovato la realtà di ciò che era solo rappresentato dai sacrifici della vecchia alleanza.

Il profeta ha menzionato una triplice ricompensa per le sofferenze del servo  :

  1. una posterità: coloro che la sua morte ha fatto vivere, Giovanni 12, 21
  2.  lunghi giorni: la vita senza fine del Risorto, Apocalisse 1, 18 ; Romani 6, 9-10 ; Ebrei 7, 16-24
  3.  Infine, la prosperità dell’opera di Geova nelle sue mani. Quest’opera fu l’instaurazione del regno di Dio in tutto il mondo, che il Redentore compì dal seno della sua gloria.

Il periodo di umiliazione e fallimento che Egli passò sulla terra, durante il Suo ministero a Israele, fu seguito da un periodo di conquiste spirituali dopo la Sua esaltazione, la cui fine fu la sottomissione di tutta l’umanità al Suo impero, Giovanni 12, 32 ; Filippesi 2, 9-11.  Il servo fino ad allora disprezzato, lo schiavo ei potenti (Isaia 49, 7), divenne egli stesso un uomo potente nella storia dell’umanità,uno di quelli che lasciarono il segno nel suo sviluppo, uno deiconquistatori spirituali del mondo, e distribuì il bottino tra i membri del valoroso esercito che combatteva con lui per l’instaurazione del regno di Dio.

Il Diacono Michel Houyoux

Complemento

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◊ Card. Gianfranco Ravasi  : clicca qui per leggere l’articolo   Egli è stato trafitto per i nostri delitti, schiacciato

◊  L’amico  : clicca qui per leggere l’articolo Egli è stato trafitto per le nostre colpe, schiacciato

    Venerdì santo 2021

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Witte Donderdag

Posté par diaconos le 1 avril 2021

Witte Donderdag dans Carême

# Het paastriduüm is een periode van drie dagen waarin de Kerk de Passie, de Dood en de Verrijzenis van Jezus viert en die zich uitstrekt van de vespermis op Witte Donderdag tot de vesper op Paaszondag. De vespermis op Witte Donderdag herdenkt de laatste maaltijd van Jezus met zijn leerlingen, waarbij hij de eucharistie instelde en hun voeten waste. Op Goede Vrijdag is er geen mis, maar rond drie uur ‘s middags wordt de Passie herdacht. Het begint met de Liturgie van het Woord, met lezingen uit Jesaja, Psalm 30(31) en de Brief aan de Hebreeën en het lijdensverhaal volgens Johannes, gevolgd door een langer dan gebruikelijk universeel gebed. Het tweede deel is de verering van het kruis. Het derde deel is de communie die wordt gegeven met de geconsacreerde hosties op Witte Donderdag. Na de mis wordt het Heilig Sacrament overgebracht naar de bewaarplaats.

De viering van het Lijden van de Heer begint met de aankomst van de geestelijken in stilte, een moment van stil gebed zonder welkomstgroet, en het openingsgebed zonder  » Oremus « , en eindigt met het opzeggen van een gebed (voorafgegaan door  » Buiging voor Benedictie « ) en het vertrek van de geestelijken in stilte na de knieval voor het Kruis # De Kerk ziet in het gebaar van de voetwassing een symbool van Gods liefde. Het gebaar vat het hele leven van Jezus samen, die « niet gekomen is om gediend te worden, maar om te dienen, en zijn leven te geven als losprijs voor velen » (Mc 10,45).

Het gebaar dat Jezus maakt is dus niet op te vatten als een zuiveringsritueel in de stijl van de Joodse rituelen, maar wordt gezien als het symbool van de zuivering die hij zal bewerkstelligen voor hen die bij hem horen door zijn passie, dood en verrijzenis, het ultieme gebaar van liefde voor ons. Voor christenen betekent het wassen van elkaars voeten dat zij zich de liefde herinneren die Jezus had voor zijn discipelen. De katholieke kerk herleeft het gebaar van de voetwassing tijdens de liturgie van Witte Donderdag, in de mis in Cena Domini. Deze herinnering wordt ook wel het Mandatum genoemd. De Cisterciënzers beoefenden dit gebaar wekelijks, elke zaterdag, binnen hun gemeenschap. . Johannes de Doper, die Jezus later zou beschrijven als de grootste van hen die uit vrouwen geboren waren, maar die niet door Christus geroepen was om een van de Twaalf te zijn om in water en de Heilige Geest te dopen, kreeg het voorrecht van de doop van Jezus in water alleen.

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Uit het evangelie van Jezus Christus volgens de heilige Lucas

In die tijd kwam Jezus naar Nazareth, waar hij was opgegroeid. Zoals zijn gewoonte was, ging hij op de sabbat de synagoge binnen en stond op om te lezen. Hij kreeg het boek van de profeet Jesaja. Hij opende het boek en vond de passage waar staat : De Geest van de Heer is op mij, omdat de Heer mij gezalfd heeft. Hij heeft mij gezonden om goed nieuws te brengen aan de armen, om de gevangenen vrijlating te verkondigen en de blinden herstel van het gezicht, om de verdrukten vrij te laten, om een gunstig jaar des Heren te verkondigen.  Jezus sloot het boek, gaf het terug aan de bediende en ging zitten. Iedereen in de synagoge keek naar hem. Toen begon hij tot hen te zeggen: « Op deze dag gaat het Schriftgedeelte in vervulling dat u zojuist hebt gehoord.  « Laten we het woord van God loven » (Lc 4, 16-21).

Witte Donderdag : Feest van de Eucharistie

 Toen Jezus opstond, toonde hij zijn voornemen om te lezen en te spreken. Gewoonlijk was het de voorzitter van de synagoge die een van de assistenten uitnodigde die hij geschikt achtte om deze functie uit te oefenen : Na het lezen van de Wet en de Profeten, zonden de leiders van de synagoge tot hen, zeggende: Broeders, indien gij een woord van vermaning hebt voor het volk, spreek. Paulus stond op, wuifde met zijn hand en zei : « Gij Israëlieten, en ook gij, die God vreest, hoort » (Handelingen 13:15-16) ; maar Jezus, vol van het gevoel van zijn heilige roeping, bood aan te spreken, hetgeen hem onmiddellijk werd toegestaan. Voor elke dag waren er twee gedeelten uit de Heilige Schrift: één uit de wet (parasche), het andere uit de profeten (haphthah). Het boek van de profeet Jesaja werd aan Jezus gegeven om te lezen.  De voor te lezen tekst werd in de synagogen voorgelezen op het Verzoendagfeest (september). Maar deze passage diende zich voorzienig aan Jezus aan toen Hij het boek ontrolde.

De Geest des Heren is op mij, want de Here heeft mij gezalfd om blijde tijding te brengen aan de ellendigen ; Hij heeft mij gezonden om te verbinden de gebrokenen van hart, om vrijheid te verkondigen aan de gevangenen en de opening van de gevangenis aan hen die opgesloten zitten, om het jaar van de gunst des Heren te verkondigen. Het is Jezus die gesproken heeft, het is zijn verlossingswerk waarover we hier lezen. De rest van het hoofdstuk van Jesaja voorspelde de terugkeer uit de gevangenschap en de zegeningen die de Heer over Zijn volk uitstortte.

Maar de geest van de profeet zag verder en hoger; hij overwoog de aanwezigheid en het werk van de grote Verlosser die aan Israël beloofd was. Elk woord van zijn profetie getuigde van het gezag van Jezus Christus. Jezus verklaarde op de plechtigste wijze, dat de Geest des Heren, de HEERE, op Hem rustte, omdat de HEERE Hem met deze geest gezalfd had. Goed nieuws brengen aan de armen. Dit woord armen, ontleend aan de Septuagint-versie, moet zowel in zijn letterlijke als in zijn geestelijke betekenis worden begrepen.

Maar in het Hebreeuws betekent het aldus vertaalde woord ook nederig, zachtmoedig, bedroefd, ellendig (Psalmen 86:1, en vaak elders). Het goede nieuws dat hun werd aangekondigd was genezing, vertroosting, de rijkdom van genade. Om de gebroken harten te genezen.  Om de gevangenen vrij te laten. Deze belofte gold in de eerste plaats de Israëlieten die in Babylon gevangen zaten, maar had ook te maken met de morele vrijheid die Jezus gaf en die de bron is van alle vrijheid : aan de blinden het herstel van hun gezichtsvermogen.

Dit woord hield een zeer mooie belofte in, die reeds elders in de profeten gevonden werd (Jesaja 35:5), en die Jezus dikwijls zowel lichamelijk als geestelijk vervulde voor de blinden van zijn tijd. Om hen vrij te laten die verpletterd, vertrapt en gebroken waren. Dit woord wordt niet gevonden in het Hebreeuws of de Septuagint ; het is ontleend aan Jesaja 5, 8:6. Tenslotte, maak het gunstige jaar van de Heer bekend. Het Hebreeuws zegt : « het aanvaardbare jaar van de Heer. » Het is « het jubeljaar, dat zich om de vijftig jaar herhaalde; een jaar van algemene genade en vreugde, waarin de arbeid ophield, slaven werden bevrijd, schulden werden betaald, gevangenen werden geamnesteerd… Dit jaar was een beeld van de gezegende heerschappij van de Messias. Jezus las het hele hoofdstuk. En er was iets in zijn voordracht dat het woord van God deed doordringen in de harten van allen. Vandaar de levendige belangstelling waarmee allen wachtten op zijn uitleg, en vandaar de blikken van allen op hem gericht. Deze scène is door Lucas overgenomen van een ooggetuige.

Diaken Michel Houyoux

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◊  Wereld Feesten Almanak : klik hier om het artikel te lesen → Witte Donderdag: 1 april 2021 – beleven.org

◊ Jezus.nl . : klik hier om het artikel te lesen → Witte Donderdag | Jezus’ laatste avond

   Bisdom Hasselt (Belgium)

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Giovedì Santo

Posté par diaconos le 1 avril 2021

Giovedì Santo dans articles en Italien Giovedì-Santo-Lavanda-Piedi

# Il Triduo Pasquale è un periodo di tre giorni durante il quale la Chiesa celebra la Passione, Morte e Resurrezione di Gesù, che si estende dalla Messa vespertina del Giovedì Santo ai Vespri della Domenica di Pasqua. La messa vespertina del giovedì santo commemora l’ultimo pasto di Gesù con i suoi discepoli, durante il quale stabilì l’Eucaristia e lavò loro i piedi. Non c’è messa il Venerdì Santo, ma verso le tre del pomeriggio si commemora la Passione. Inizia con la Liturgia della Parola, che include letture da Isaia, dal Salmo 30(31) e dalla Lettera agli Ebrei e dal racconto della Passione secondo Giovanni, seguita da una preghiera universale più lunga del solito.

La seconda parte è la venerazione della croce. La terza parte è la comunione data con le ostie consacrate il Giovedì Santo. Dopo la Messa, il Santissimo Sacramento viene trasferito nel deposito. La celebrazione della Passione del Signore inizia con l’arrivo del clero in silenzio, un momento di preghiera silenziosa senza saluto di benvenuto, e la preghiera di apertura senza « Oremus », e si conclude con l’invio di una preghiera (preceduta da « Bow for Benediction ») e la partenza del clero in silenzio dopo la genuflessione alla Croce

# La Chiesa vede nel gesto della lavanda dei piedi un simbolo dell’amore di Dio. Il gesto riassume tutta la vita di Gesù, il quale « non è venuto per essere servito, ma per servire e dare la Propria vita in riscatto per molti » (Mc 10, 45). Il gesto che compie Gesù non è dunque da intendersi come un rituale di purificazione sullo stile di quelli giudaici, ma viene visto come il simbolo della purificazione che attuerà per coloro che Gli appartengono con la Sua passione, morte e risurrezione, gesto estremo di amore per noi. Lavarsi i piedi gli uni gli altri significa per i cristiani fare memoria dell’amore che Gesù ha avuto per i suoi discepoli.

La Chiesa cattolica rivive il gesto della lavanda dei piedi durante la liturgia del Giovedì santo, nella Messa in Cena Domini. Questa memoria prende anche il nome di Mandatum. I cistercensi praticavano questo gesto settimanalmente, ogni sabato, all’interno della loro comunità. . A Giovanni Battista, che Gesù avrebbe poi definito il più grande fra i nati di donna, ma che non era chiamato da Cristo a far parte dei Dodici per battezzare in acqua e Spirito Santo, fu riservato il privilegio del Battesimo di Gesù in sola acqua.

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Dal Vangelo di Gesù Cristo secondo San Luca

In quel periodo Gesù venne a Nazareth, dove era stato allevato. Come era sua abitudine, il sabato entrava nella sinagoga e si alzava per leggere. Gli fu dato il libro del profeta Isaia. Aprì il libro e trovò il passaggio in cui si dice: Lo Spirito del Signore è su di me perché il Signore mi ha unto. Mi ha mandato a portare buone notizie ai poveri, a proclamare la liberazione dei prigionieri e il recupero della vista ai ciechi, a rimettere in libertà gli oppressi, a proclamare un anno favorevole del Signore.  Gesù chiuse il libro, lo restituì al servo e si sedette. Tutti nella sinagoga lo guardavano. Poi cominciò a dire loro: « Oggi si compie questo passo della Scrittura che avete appena ascoltato.  « Lodiamo la Parola di Dio »  (Lc 4, 16-21)

Giovedì Santo: Festa dell’Eucaristia

 Quando Gesù si alzò, mostrò la sua intenzione di leggere e parlare. Di solito, era il presidente della sinagoga che invitava uno degli assistenti che riteneva adatto a svolgere questa funzione : « Dopo la lettura della Legge e dei Profeti, i capi della sinagoga mandavano da loro, dicendo : « Fratelli, se avete una parola di esortazione per il popolo, parlate. Paolo si alzò, agitò la mano e disse :  Israeliti, e anche voi che temete Dio, ascoltate » (Atti 13:15-16) ; ma Gesù, pieno del senso della sua santa chiamata, si offrì di parlare, cosa che gli fu immediatamente concessa.

C’erano due porzioni delle Sacre Scritture stabilite per ogni giorno : una dalla legge (parasche), l’altra dai profeti (haphthah). Il libro del profeta Isaia fu dato da leggere a Gesù.  Il testo da leggere veniva letto nelle sinagoghe alla festa dell’espiazione (settembre). Ma questo passaggio si presentò provvidenzialmente a Gesù mentre srotolava il libro.

« Lo Spirito del Signore è sopra di me, perché il Signore mi ha consacrato con l’unzione per annunciare ai miserabili un lieto messaggio ; mi ha mandato a fasciare i cuori spezzati, a proclamare ai prigionieri la libertà e ai confinati l’apertura della prigione, a proclamare l’anno di grazia del Signore. È Gesù che ha parlato, è la sua opera di redenzione che si legge qui. Il resto del capitolo di Isaia ha predetto il ritorno dalla cattività e le benedizioni che il Signore ha riversato sul suo popolo. Ma lo spirito del profeta vedeva più lontano e più in alto; contemplava la presenza e l’opera del grande Redentore promesso a Israele. Ogni parola della sua profezia testimoniava l’autorità di Gesù Cristo.

Gesù ha dichiarato nel modo più solenne che lo Spirito del Signore, l’Eterno, riposa su di lui, perché l’Eterno lo ha unto con questo spirito. Portare buone notizie ai poveri. Questa parola povera, presa in prestito dalla versione dei Settanta, deve essere intesa sia nel suo senso letterale che in quello spirituale. Ma in ebraico la parola così tradotta significa anche umile, mite, afflitto, miserabile (Salmi 86:1 e spesso altrove). La buona notizia che veniva loro annunciata era la guarigione, la consolazione, le ricchezze della grazia.

Guarire il cuore spezzato.  Per pubblicare la libertà ai prigionieri. Questa promessa si applicava in primo luogo agli israeliti prigionieri a Babilonia, ma aveva anche a che fare con la libertà morale che Gesù ha dato e che è la fonte di tutte le libertà : ai ciechi il recupero della vista. Questa parola presentava una promessa molto bella che si trovava già altrove nei profeti (Isaia 35:5), e che Gesù realizzò spesso sia fisicamente che spiritualmente per i ciechi del suo tempo.

Per rimettere in libertà coloro che sono stati schiacciati, calpestati, spezzati. Questa parola non si trova nell’ebraico o nella Septuaginta; è stata presa in prestito da Isaia 58:6. Infine, pubblicare l’anno favorevole del Signore. L’ebraico dice : « l’anno accettabile del Signore ». È « l’anno del giubileo, che ricorreva ogni cinquant’anni ; un anno di grazia e di gioia universale, quando il lavoro cessava, gli schiavi venivano liberati, i debiti pagati, i prigionieri amnistiati… Questo anno era un’immagine del regno benedetto del Messia.

Gesù ha letto tutto il capitolo. E c’era qualcosa nel suo modo di leggere che faceva penetrare la parola di Dio nel cuore di tutti. Da qui il vivo interesse con cui tutti aspettavano la sua spiegazione, e da qui gli sguardi di tutti fissi su di lui. Questa scena è stata presa da Luca da un testimone oculare.

Diacono Michel Houyoux

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   Padre Fernando Armellini : « Giovei Santo »

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