• Accueil
  • > Recherche : blog du diacre michel

Résultats de votre recherche

Cinquième dimanche de Pâques – Année C

Posté par diaconos le 12 mai 2025

« Je vous donne un commandement nouveau : Aimez-vous les uns les autres ; comme je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres (Jean 13:34). Le « commandement » d’aimer son prochain n’était pas nouveau, mais Jésus l’a amplifié en lui donnant une dimension spirituelle, pour qu’on l’observe « dans l’esprit de la loi », nous disant d’être motivés par l’amour, entre individus, ayant le genre d’amour que lui, Jésus, avait.

« Je vous donne un commandement nouveau : Aimez-vous les uns les autres ; comme je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres (Jean 13:34). Le « commandement » d’aimer son prochain n’était pas nouveau, mais Jésus l’a amplifié en lui donnant une dimension spirituelle, pour qu’on l’observe « dans l’esprit de la loi », nous disant d’être motivés par l’amour, entre individus, ayant le genre d’amour que lui, Jésus, avait.

Mes petits enfants, je suis pour peu de temps encore avec vous. Vous me chercherez; et, comme j’ai dit aux Juifs: Vous ne pouvez venir où je vais, je vous le dis aussi maintenant. 34Je vous donne un commandement nouveau: Aimez-vous les uns les autres; comme je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres. 35A ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres.

Au cours du dernier repas que Jésus prenait avec ses disciples, quand Judas fut sorti du cénacle, Jésus déclara : « Maintenant le Fils de l’homme est glorifié, et Dieu est glorifié en lui. Si Dieu est glorifié en lui, Dieu aussi le glorifiera ; et il le glorifiera bientôt.

Petits enfants, c’est pour peu de temps encore que je suis avec vous. Je vous donne un commandement nouveau : c’est de vous aimer les uns les autres. Comme je vous ai aimés, vous aussi aimez-vous les uns les autres. À ceci, tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres. » (Jn 13, 31-33a.34-35)

Entretien de Jésus avec ses disciples

« Quand donc il fut sorti, Jésus dit : Maintenant le Fils de l’homme a été glorifié, et Dieu a été glorifié en lui. » Maintenant ! Le départ du traître, sorti pour accomplir son œuvre de ténèbres, cause à Jésus un immense soulagement. Maintenant le Fils de l’homme a été glorifié.

Cette gloire qu’il a ainsi acquise par l’humilité et la charité resplendira encore de l’éclat le plus pur dans ses humiliations et ses souffrances, en Gethsémani et sur la croix, où il pourra s’écrier de sa voix mourante : Tout est accompli ! Son œuvre sera achevée, il aura sauvé un monde perdu.

Mais par une telle vie Dieu a été glorifié en lui. La gloire de Dieu, ce sont ses perfections, sa Justice et sa sainteté, sa miséricorde et son amour ; jamais elles n’ont été manifestées d’une manière plus lumineuse qu’en Jésus-Christ, qui nous les révèle dans leur pleine harmonie.

Or le sentiment profond d’avoir ainsi glorifié Dieu par sa parfaite obéissance, mais qui, malgré ces témoignages, furent maintenus par Tischendorf, Weiss et Godet donne à Jésus la victorieuse assurance que Dieu aussi l’admettra dans la gloire qui est son essence divine.

Ce futainsi que Jésus eut dit dans sa dernière prière : « Je t’ai glorifié sur la terre, j’ai achevé l’œuvre que tu m’as donnée à faire et maintenant glorifie-moi, toi, Père, auprès de toi, de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde fût » (Jn 17, 4-5).

Paul indiqua de même l’abaissement et l’obéissance de Jésus comme le chemin qui l’a conduit à la gloire divine (Ph 2, 5-11 ;Ep 1, 20-23)Et il le glorifia ajouta Jésus, faisant allusion à sa résurrection, qui sera le premier degré de sa glorification.

Enfin, Jésus eut dit : « LFils de l’homme est glorifié »(Mt 8, 20) ; car le Fils de l’homme, membre et chef de notre humanité a embrassé dans les étreintes de son amour pour la sauver, comme Fils de l’homme, il accomplit son œuvre et il monta dans sa gloire. Et ainsi, il a rouvert à notre humanité sauvée le chemin de cette gloire.

De ces hauteurs de sa gloire, Jésus revint à ses disciples qu’il quittera bientôt : « Je suis peu de temps encore avec vous »  Sympathisant à leur tristesse, ce fut avec une effusion de tendresse qu’il leur dit : « Petits enfants ! »

Il sentit le vide immense et douloureux qu’il laissa dans leur cœur et dans leur vie : «  Vous me chercherez, avec un ardent désir de retrouver nos relations actuelles » (Jn 20, 15 ; Lc 17, 22). Mais le moment de la réunion éternelle n’était pas encore venu ; il vous restera à accomplir votre tâche et comme j’ai dit aux Juifs, mais dans un sens bien différent , je vous le dis aussi maintenant : vous ne pouvez venir où je vais. (Jn 7, 34 ; Jn 8, 21)

Jésus, dans ses dernières communications intimes, s’appliqua à les consoler de cette séparation et à élever leur cœur à la pensée d’une communion invisible et spirituelle avec lui . (Jn 14, 1) Cela arriva avec l’institution de la Cène (Jn 20, 15 : Lc 17, 22).

Mais le moment de la réunion éternelle n’étant pas venu ; il vous restera à accomplir votre tâche et comme j’ai dit aux Juifs, mais dans un sens bien différent (Jn 7, 34 ; Jn 8, 21), je vous le dis aussi maintenant : vous ne pouvez venir où je vais.Jésus, dans ses dernières communications intimes, s’appliqua à les consoler de cette séparation (Jn 14, 1) et à élever leur cœur à la pensée d’une communion invisible et spirituelle avec lui.

L’amour, un amour semblable à celui de Jésus, est la seule preuve que l’homme est sous une influence divine, qui triomphe de tous les penchants égoïstes de son cœur. La connaissance peut être acquise par des pécheurs endurcis, la foi s’allie souvent à une vie asservie aux passions, les œuvres sont accomplies par divers motifs ; l’amour seul, unissant les enfants de Dieu les uns aux autres, comme il les unit à leur Sauveur et, par lui, au Père céleste, est une marque certaine de leur participation à la nature divine.

À ceci, dit Jésus, tous connaîtront ; et plus loin il vit dans cette unité des siens un moyen d’amener le monde à la foi (Jn 17, 21).

Diacre Michel Houyoux

Liens avec des sites chrétiens

Puiser à la Source : cliquez ici pour lire l’article → Cinquième dimanche de Pâques

Jardinier de Dieu  : cliquez ici pour lire l’article→ Prière Universelle – 5ème dimanche de Pâques – année C

Vidéo  MARYLINE ORCEL : cliquez ici https://youtu.be/E4HyzAzJ0bs  

Publié dans Bible, Catéchèse, Dieu, Disciples de Jésus, Enseignement, évangiles, Foi, Histoire, Histoire du Salut, La messe du dimanche, Liturgie, Nouveau Testament, Page jeunesse, Religion, Temps pascal | Pas de Commentaires »

Lundi de la quatrième Semaine du Temps Pascal

Posté par diaconos le 12 mai 2025

 

Dans la Bible, "le bon berger" fait référence à Jésus-Christ, qui déclare dans Jean 10:11 : « Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. » Cela souligne le rôle protecteur et sacrificiel de Jésus envers ses fidèles. Le concept de berger est également symbolique, représentant la guidance et le soin apportés à ceux qui suivent.

Dans la Bible, « le bon berger » fait référence à Jésus-Christ, qui déclare dans Jean 10:11 : « Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. » Cela souligne le rôle protecteur et sacrificiel de Jésus envers ses fidèles. Le concept de berger est également symbolique, représentant la guidance et le soin apportés à ceux qui suivent.

# Le Bon Pasteur est un des vocables, ou « titres », par lesquels Jésus s’identifie (Jn 10. 11). Il fait partie des sept paroles Je suis… que l’on trouve uniquement dans l’Évangile selon Jean et fait allusion à un aspect de la mission de Jésus : celui qui rassemble, guide, recherche (celui qui est égaré) et donne sa vie pour les autres. Il fait paître ses brebis ou ramène la brebis égarée. Cette appellation est à l’origine du mot « pasteur » en usage dans le christianisme.

Cette image se réfère toujours à Dieu dans l’Ancien Testament. Le thème du Bon Pasteur connaît une large diffusion dans l’art grec antique, où il est appliqué à l’Hermès criophore, mais aussi aux porteurs d’offrande, puis dans l’art romain au sein duquel il est particulièrement utilisé dans un contexte funéraire, selon des formules dont s’inspira pleinement l’art chrétien naissant. Ce thème aurait lui-même des prototypes sumériens. L’iconographie chrétienne figure le Christ , agneau de Dieu, porté par Jean le Baptiste, puis Jésus devint à son tour le Bon Pasteur qui rassemble les brebis égarées.Ce thème a inspiré de nombreux artistes chrétiens. Les Sœurs de Jésus Bon Pasteur forment une congrégation religieuse fondée en Italie au XXe siècle par le père Giacomo Alberione.

 De l’Évangile de Jésus Christ selon Jean

En ce temps-là, Jésus déclara : « Amen, amen, je vous le dis : celui qui entre dans l’enclos des brebis sans passer par la porte, mais qui escalade par un autre endroit, celui-là est un voleur et un bandit. Celui qui entre par la porte, c’est le pasteur, le berger des brebis. Le portier lui ouvre, et les brebis écoutent sa voix. Ses brebis à lui, il les appelle chacune par son nom, et il les fait sortir. Quand il a poussé dehors toutes les siennes, il marche à leur tête, et les brebis le suivent, car elles connaissent sa voix. Jamais elles ne suivront un étranger, mais elles s’enfuiront loin de lui, car elles ne connaissent pas la voix des étrangers. »

Jésus employa cette image pour s’adresser aux pharisiens, mais eux ne comprirent pas de quoi il leur parlait. C’est pourquoi Jésus reprit la parole : « Amen, amen, je vous le dis : Moi, je suis la porte des brebis. Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des bandits ; mais les brebis ne les ont pas écoutés. Moi, je suis la porte. Si quelqu’un entre en passant par moi, il sera sauvé ; il pourra entrer ; il pourra sortir et trouver un pâturage. Le voleur ne vient que pour voler, égorger, faire périr. Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, la vie en abondance.» (Jn 10, 1-10)

Les faux bergers et le vrai berger

La conduite des Juifs qui cherchaient à annuler l’impression produite par la guérison de l’aveugle, soit en niant le miracle, soit en persécutant celui qui en fut l’objet, obligea Jésus de leur dire de sévères vérités sur leur propre aveuglement. Jésus dit alors :« Je suis venu en ce monde pour rendre un jugement : que ceux qui ne voient pas puissent voir, et que ceux qui voient deviennent aveugles.  Parmi les pharisiens, ceux qui étaient avec lui entendirent ces paroles et lui dirent : « Serions-nous aveugles, nous aussi ?  Jésus leur répondit : « Si vous étiez aveugles, vous n’auriez pas de péché ; mais du moment que vous dites : “Nous voyons !”, votre péché demeure. » (Jn 9, 39-41)

Il s’efforça de faire sentir à ces orgueilleux persécuteurs qu’ils ne furent pas moins coupables comme conducteurs du peuple que comme individus. Ses premiers mots furent  solennels : « En vérité, en vérité. » Cette belle allégorie, que Jésus emprunta aux mœurs pastorales de l’Orient, était familière à ses auditeurs. Afin de préserver leurs troupeaux des bêtes féroces ou des voleurs, les bergers les réunissaient en pleine campagne, dans un bercail à ciel ouvert, entouré d’un mur.

On y ménageait une porte, à laquelle se tenait un serviteur bien armé, qui faisait la garde et ne laissait entrer que les bergers à lui connus. Sur le matin, venaient ces bergers ; chacun appelait ses propres brebis qui, connaissant sa voix, le suivaient pour s’en aller au pâturage. Jésus lui-même exposa, dans son discours, le sens spirituel qu’il attacha à cette allégorie.  Dans l’exposé premier de la parabole sont déjà sous-entendues les applications que Jésus fit des deux traits principaux : la porte et le berger légitime.

La porte représente Jésus lui-même ; et le berger, ne peut être un autre que le bon Berger ; de lui seul on peut dire avec vérité que « les brebis lui appartiennent » et « qu’il les appelle par leur nom ». Le bercail des brebis, c’est le peuple de Dieu, Israël, dont Jéhovah, par l’organe de ses prophètes, s’était proclamé le berger et auquel il avait promis l’envoi de bergers selon son cœur.  La porte, par laquelle doit entrer tout vrai berger des brebis, ne représente pas seulement l’autorisation divine donnant l’accès légitime au bercail (Tholuck, Godet et d’autres), mais Christ lui-même. es vrais conducteurs du peuple de Dieu ne peuvent entrer que par lui dans leur vocation ; c’est lui qui les en rend capables et les y appelle ; lui qui établit une relation intime entre eux et les brebis.

Il en fut autrement des pharisiens qui, indépendants de lui, incrédules et ennemis de sa vérité, s’arrogeaient la qualité de conducteurs du peuple de Dieu. Jésus ne se désignait pas encore ici sous cette image de la porte, bien qu’il le fasse ensuite si expressément.  Celui donc qui entre par Christ est berger des brebis, par opposition  au brigand et au voleur. Il en fut autrement quand Jésus lui-même s’appela le bon berger.

Si Jésus commença par relever les conditions que dut remplir tout berger des brebis, afin de montrer que les chefs du peuple étaient des voleurs, sa pensée, sortant de la généralité, s’attacha au seul berger véritable. Le portier est, comme nous l’avons indiqué, ce serviteur armé qui veillait à l’entrée du bercail. Jésus n’ayant point interprété ce trait de la similitude, les exégètes ont voulu suppléer à son silence.

Les uns donc virent dans ce portier Dieu  qui ouvre l’entrée de son royaume ; d’autres, le Saint-Esprit, qui y prépare les cœurs ; d’autres, Moïse qui par la loi, fraye les voies à l’Évangile  ; d’autres, Christ lui-même, d’autres enfin, Jean-Baptiste, le précurseur de Jésus. De ces diverses interprétations, la dernière est la plus vraisemblable.

Par son appel, le berger opérerait un triage entre les brebis ; celles qui entendent sa voix représenteraient les membres vivants du troupeau, selon l’expression de Calvin, ou, suivant l’explication de M. Godet, ces brebis, que le berger mène dehors, figureraient la sortie du troupeau messianique de l’enclos théocratique dévoué à la ruine.Les brebis, loin de suivre un étranger, fuiront loin de lui, par cette raison qu’elles ne connaissent pas la voix des étrangers. Il y a en tout vrai disciple de Jésus un tact chrétien, un discernement des esprits..

Ce que les auditeurs de Jésus ne comprirent pas,  ce furent les choses spirituelles et morales qu’il enseigna. Ils ne purent ni ne voulurent les comprendre ; car leur aveuglement les rendait incapables de saisir de telles vérités.  Voilà surtout ce que les adversaires ne voulaient ni comprendre ni croire ; c’est que Jésus-Christ fut la porte des brebis, par laquelle seule entrent les vrais bergers  et les brebis elles-mêmes.

Les termes de voleurs et de brigands ne sauraient s’appliquer non plus aux faux messies, qui n’apparurent qu’à une date postérieure. Jésus parla uniquement des chefs actuels de la théocratie, auxquels s’adressa ce discours.  Ne méritaient-ils pas les épithètes de voleurs et de brigands, ces hommes qui s’étaient emparés du peuple de Dieu pour l’opprimer de leur tyrannie ; qui, « ayant enlevé la clef de la science, n’étaient pas entrés eux-mêmes, mais empêchaient d’entrer ceux qui le voulaient.

Ce ne furent pas seulement les âmes pieuses qui refusaient d’écouter les pharisiens et les scribes ; mais, en général, les classes pauvres et souffrantes du peuple, pour lesquelles ces hommes n’avaient ni cœur ni entrailles, qui se sentaient abandonnées comme des brebis qui n’eurent pas de berger et qui tremblaient de crainte sous l’oppression de leurs chefs :  « Ses parents dirent cela parce qu’ils craignaient les Juifs; car les Juifs étaient déjà convenus que, si quelqu’un reconnaissait Jésus pour le Christ, il serait exclu de la synagogue. » (Jn 9, 22)

Jésus vient de dire que les brebis n’écoutèrent pas la voix des faux conducteurs ; il  décrivit  l’heureuse condition des personnes qui viennent à lui. Il est la porte. Si quelqu’un entre par lui ns le bercail des brebis, s’il obtient par lui la réconciliation avec Dieu et l’accès à son royaume, voici les biens immenses dont il jouira : il sera sauvé d’un salut éternel.

Encore une fois, Jésus fit ressortir le contraste entre le voleur  qui n’eut  que des pensées d’injustice, de meurtre, de destruction, et lui-même qui fut pour les siens la source de la vie, de la vie éternelle, qu’il put et voulut leur communiquer en abondance. Par cette affirmation de ses compassions infinies et de son amour pour les brebis, Jésus prépara la révélation qu’il donna en se présentant lui-même comme le bon berger, en l’opposant à l’image du mercenaire.

 Diacre Michel Houyoux

 Liens avec d’autres sites chrétiens

Dominicains de la province de Suisse : cliquez ici pour lire l’article →  Lundi de la 4ème Semaine du Temps Pascal

Paroisse Notre-Dame de la Bidassoa : cliquez ici pour lire l’article →   MÉDITATION DU LUNDI DE LA QUATRIÈME SEMAINE du TEMPS PASCAL

Le bon berger : cliquez icihttps://youtu.be/t0Yx6Zf05VE

Publié dans Bible, Catéchèse, comportements, Dieu, Disciples de Jésus, Enseignement, évangiles, Foi, Homélies, L'Église, Nouveau Testament, Page jeunesse, Religion, Temps pascal | Pas de Commentaires »

Samedi de la troisième semaine du Temps Pascal

Posté par diaconos le 10 mai 2025

Israël La synagogue de Capharnaüm (hébreu : בית הכנסת בכפר נחום) est une synagogue byzantine judéo-chrétienne en ruine construite entre le IIe siècle et le Ve siècle à Capharnaüm en Israël (plus célèbre synagogue de Galilée et parmi les plus anciennes synagogues du monde).

Israël
La synagogue de Capharnaüm (hébreu : בית הכנסת בכפר נחום) est une synagogue byzantine judéo-chrétienne en ruine construite entre le IIe siècle et le Ve siècle à Capharnaüm en Israël (plus célèbre synagogue de Galilée et parmi les plus anciennes synagogues du monde).

Samedi de la troisième semaine du Temps Pascal

 

De l’Évangile de Jésus Christ selon Jean

En ce temps-là, Jésus avait donné un enseignement dans la synagogue de Capharnaüm. Beaucoup de ses disciples, qui avaient entendu, déclarèrent : « Cette parole est rude ! Qui peut l’entendre ? » Jésus savait en lui-même que ses disciples récriminaient à son sujet.

Il leur dit : « Cela vous scandalise ? Et quand vous verrez le Fils de l’homme monter là où il était auparavant !… C’est l’esprit qui fait vivre, la chair n’est capable de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et elles sont vie. Mais il y en a parmi vous qui ne croient pas. » Jésus savait en effet depuis le commencement quels étaient ceux qui ne croyaient pas,
et qui était celui qui le livrerait. Il ajouta : « Voilà pourquoi je vous ai dit que personne ne peut venir à moi si cela ne lui est pas donné par le Père. »

À partir de ce moment, beaucoup de ses disciples s’en retournèrent et cessèrent de l’accompagner. Alors Jésus dit aux Douze : « Voulez-vous partir, vous aussi ? » Simon-Pierre lui répondit : « Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Quant à nous, nous croyons, et nous savons que tu es le Saint de Dieu. » (Jn 6, 60-69)

La défection de plusieurs disciples

Jusqu’ici, Jésus avait discuté avec les Juifs, plus ou moins opposés à son enseignement. Maintenant il quitta la synagogue, suivi de ses disciples, ce furent plusieurs de ceux-ci qui entrèrent en action. Une crise de la foi se produisit parmi eux. Ces disciples, en grand nombre, le suivaient de lieu en lieu pour écouter sa parole et être témoins de ses œuvres. Un jour Jésus put choisir soixante-dix d’entre eux pour les envoyer en mission (Lc 10, 1).

Pour plusieurs, la fin du discours dépassa la mesure de leur intelligence et de leur force. Leur observation : «Cette parole est dure», ne signifie pas seulement qu’elle leur parut difficile à comprendre, mais plutôt impossible à accepter : qui peut l’écouter et la mettre en pratique ? Ces disciples prirent les dernières paroles de Jésus dans un sens aussi littéral et matériel que les Juifs ; mais ils trouvèrent une pierre d’achoppement dans la pensée que Jésus dût souffrir et mourir pour la vie du monde et qu’eux-mêmes dussent s’approprier les fruits de sa mort par une communion mystérieuse avec lui. Cela les scandalisa.

Cette perspective fut toujours une cause de scandale pour les Juifs, et même pour les apôtres, avant qu’ils eussent reçu l’Esprit divin. Il n’en est pas autrement de nos jours pour bien des personnes. Jésus connut en lui-même les secrets murmures des disciples ; il vit aussitôt qu’ils eurent pour cause une défaillance de leur foi : «Ceci vous scandalise, c’est là, pour vous, une occasion de chute et de défection ?»

«Et si vous voyez le Fils de l’homme monter où il était auparavant ?» (Jn 6, 62) : Jésus voulut-il dire qu’alors ils se scandalisèrent davantage, ou qu’alors ils cessèrent de se scandaliser ? Telle est la question qui divisa les interprètes. Les uns, considérant que Jésus ne put remonter au ciel qu’en passant par une humiliation profonde et par la mort dont il parla, pensèrent qu’il voulut dire à ses auditeurs : «Là vous trouverez de bien plus fortes raisons de vous scandaliser.»

D’autres, s’attachant exclusivement à l’idée de l’ascension et de la glorification de Christ, estimèrent qu’il fit comprendre à ses auditeurs la perspective d’un temps où il leur fut plus facile de comprendre le sens spirituel de ses paroles, de croire en lui, en un mot, de ne plus se scandaliser ce résultat pour un grand nombre des disciples de Jésus qui, jusqu’alors n’avaient pas cru en lui.

Mais en fut-t-il de même pour les hommes qui dans la situation présente, ne trouvaient dans les paroles de Jésus qu’une occasion de scandale et de chute ? Leur fut-t-il plus facile de comprendre et d’embrasser la personne de Christ dans sa spiritualité, quand il fut séparé d’eux et qu’ils durent marcher par la foi et non par la vue ? Jésus pouvait-il donner cet encouragement, cette promesse, à des auditeurs qui virent ses miracles, entendu ses paroles, et qui, malgré tout cela, l’abandonnèrent ?

«Puisque les paroles que je vous dis sont esprit et vie, ce n’est pas en elles qu’est la raison du scandale qu’elles vous causent, mais cette raison est dans votre incrédulité.» Jésus adoucit cette accusation, en réduisant à quelques-uns le nombre de ceux qui refusaient de croire en lui, de le recevoir tel qu’il venait de se présenter à eux dans ce discours. Et pourtant, par cette observation, Jean donna une explication : Jésus ne fut pas surpris par cette crise que subit la foi de ses disciples, qu’il s’y attendait, que, d’avance, il l’avait aperçue dans leurs cœurs.

Il savait dès le commencement qui furent ces personnes qui ne crurent pas et qui fut celui qui le livra. Que signifie le mot : dès le commencement ? La plupart des interprètes entendirent par là le temps où Jésus entra dans son ministère et commença à rassembler des disciples. Jésus ne les connaissait pas encore à cette époque. L’abandon d’un grand nombre de ses disciples causa à Jésus une profonde tristesse ; mais il savait aussi qu’une épuration devait se faire parmi ceux qui s’étaient attachés à lui, et il tenait moins au nombre qu’à la foi sincère et au dévouement absolu de ceux qui le suivirent dans ses humiliations.

C’est pourquoi il posa même aux douze apôtres qu’il avait choisis, cette sérieuse et solennelle question : «Voulez-vous, vous aussi, vous en aller ?» Jésus voulut les éprouver et provoquer en eux une pleine décision, car il réclama un peuple de franche volonté. Il les connaissait assez pour savoir que tous, sauf Judas lui resteraient fidèles, et leur réponse ne fit pour lui l’objet d’aucun doute, mais il voulait l’entendre de leur part, car la belle profession de Pierre dut contribuer à l’affermissement de leur foi.

«Simon Pierre lui répondit : Seigneur, à qui irons-nous ? Tu as des paroles de vie éternelle » (Jn 6, 68) : ces paroles furent un cri de l’âme, Pierre les prononça avec une pleine persuasion, un saint enthousiasme, un ardent amour pour Jésus. Pierre eut déjà fait l’expérience que les paroles de Jésus furent des paroles de vie éternelle, qui renferment et qui communiquent à l’âme la vie impérissable du ciel. Il confirma la déclaration de Jésus qu’il entendit : « Les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie »

Cette affirmation de la vérité objective des paroles de Jésus fut faite avec une certitude intime fondée sur une expérience personnelle. Cette confession de Pierre fut la même que celle qui eut lieu, d’après les synoptiques, à Césarée de Philippe. Telle fut la réponse de Jésus à la confession de Pierre ! Avec quelle douleur profonde Jésus dut prononcer ces paroles !

Jean ne voulut pas que les lecteurs eurent le moindre doute sur le disciple désigné par Jésus ; et, partageant la douleur de Jésus il le nomma Judas, fils de Simon, Iscariot. Il ne put s’empêcher de faire ressortir, à son tour, ce terrible contraste : «Il devait le livrer, lui, l’un des douze !» Jean ne fut frappé de ce contraste que plus tard, car, au moment de la déclaration de Jésus, aucun des disciples ne savait duquel d’entre eux il avait parlé, et ils l’ignorèrent jusqu’au moment où Judas consomma sa trahison. L’incertitude où Jésus les laissa renferma un redoutable avertissement pour tous.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites chrétiens

La Croix : cliquez ici pour lire l’article Samedi de la 3e semaine du temps pascal

Abbaye de Chimay (Belgique)  : cliquez ici pour lire l’article Samedi de la troisième semaine de Pâques

 Vidéo Pasteur Goncalves Kévin : cliquez ici → https://youtu.be/ExZ3IVwh0K0

Publié dans Bible, Catéchèse, Dieu, Disciples de Jésus, Enseignement, évangiles, L'Église, Liturgie, Messages, Nouveau Testament, Page jeunesse, Paroisses, Religion, Temps pascal | Pas de Commentaires »

Jeudi de la troisième semaine du Temps Pascal

Posté par diaconos le 8 mai 2025

 

e pain vivant qui est descendu du ciel est une expression qui apparaît dans la Bible, plus précisément dans l'Évangile de Jean. Cette expression est utilisée par Jésus pour se désigner lui-même. Jésus dit qu'il est le pain vivant qui est descendu du ciel et que celui qui mange de ce pain vivra éternellement. Cette expression est une métaphore pour désigner la vie éternelle que Jésus offre à ceux qui croient en lui.

e pain vivant qui est descendu du ciel est une expression qui apparaît dans la Bible, plus précisément dans l’Évangile de Jean. Cette expression est utilisée par Jésus pour se désigner lui-même. Jésus dit qu’il est le pain vivant qui est descendu du ciel et que celui qui mange de ce pain vivra éternellement. Cette expression est une métaphore pour désigner la vie éternelle que Jésus offre à ceux qui croient en lui.

Le Corps du Christ est un concept de la théologie chrétienne, lié à la rédemption, à la vie éternelle, au partage, à la fraternité, ainsi qu’à la transmission de la parole divine. Lors de la messe catholique, le prêtre dit lors de la prière eucharistique : «Au moment d’être livré et d’entrer librement dans sa passion, il prit le pain, il rendit grâce, il le rompit et le donna à ses disciples en disant: «Prenez et mangez en tous: ceci est mon corps livré pour vous» Ce rappel de la Cène, le repas avant la crucifixion de Jésus-Christ est le symbole de la chair donné par le Messie pour sauver l’humanité de ses péchés.

 Juste un peu plus tard dans l’office, le prêtre dit « faisant ici mémoire de la mort et de la résurrection de ton Fils nous t’offrons Seigneur le pain de vie.» Plus que le pardon, le pain comme le stipule l’officiant, est pain de vie, symbole de la résurrection apportée aux humains par Jésus. Le Corps du Christ c’est le don par le Messie du pardon des fautes, c’est la nouvelle parole donnée qui sous entend la résurrection et surtout le pain de vie par cette parole christique qui se veut porteuse de charité, de fraternité.

Moïse sortit le peuple de l’esclavage; Jésus par le don de son corps, par le sacrifice, cherche à faire régner les vertus cardinales et théologales. La Communauté du Pain de Vie fut une communauté nouvelle de l’Église catholique romaine, fondée en 1976 par Pascal et Marie-Annick Pingault et dissoute par Monseigneur Jean-Claude Boulanger le 9 avril 2015

# Pour le docteur de l’Église Jean Chrysostome, Jésus lors de ce miracle se posa comme le créateur du ciel et de la Terre. Il incita également par ce geste à prier avant tout repas, et il voulut montrer l’importance du partage. Des théologiens plus modernes dirent que la multiplication des pains est le symbole de la Parole donnée par le Christ, parole qui a nourri les peuples pour des siècles . Pour saint Éphrem, Jésus donna généreusement sans compter lors de ce miracle. Il donna tellement qu’il en resta douze corbeilles.

Le saint compara également Jésus à Moïse, Moïse qui avait nourri le peuple libéré de l’esclavage avec la manne tombée du ciel. Pour Benoît XVI, ce geste fut le symbole de partage fraternel, mais aussi symbole du chemin que suivirent les apôtres : transmettre la Bonne Nouvelle. Benoit XVI mit en exergue le fait que cette multiplication fut le début de l’Eucharistie qui se perpétue jusqu’à aujourd’hui . Selon certaines interprétations théologiques, il préfigurerait la cène, dernier repas de Jésus avec ses disciples, établissant le rite de l’eucharistie dans lequel le pain est réputé incarner le corps de Jésus, donné en sacrifice sur la croix pour sauver les hommes.

De l’Évangile de Jésus Christ selon Jean

En ce temps-là, Jésus disait aux foules : « Personne ne peut venir à moi, si le Père qui m’a envoyé ne l’attire, et moi, je le ressusciterai au dernier jour. Il est écrit dans les prophètes : Ils seront tous instruits par Dieu lui-même. Quiconque a entendu le Père et reçu son enseignement vient à moi.
Certes, personne n’a jamais vu le Père, sinon celui qui vient de Dieu : celui- là seul a vu le Père.
Amen, amen, je vous le dis : il a la vie éternelle, celui qui croit.
Moi, je suis le pain de la vie. Au désert, vos pères ont mangé la manne, et ils sont morts ; mais le pain qui descend du ciel est tel que celui qui en mange ne mourra pas. Moi, je suis le pain vivant,
qui est descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour la vie du monde. »
(Jn 6, 44-51)

Le Pain vivant descendu du Ciel

Les Juifs, c’est ainsi que Jean désignait ordinairement les chefs du peuple ; voulut -il dire qu’il se trouvait alors des émissaires du sanhédrin dans la synagogue de Capharnaüm où Jésus parlait ? Jean nommait ainsi ceux des Galiléens qui trahissaient par leurs murmures leur opposition contre Jésus. Ce qui les scandalisait, c’est que Jésus se présenta à eux comme le pain descendu du ciel.

Dans leur ignorance, ils voyaient une contradiction entre cette déclaration et la connaissance qu’ils avaient de la famille de Jésus. Ils murmuraient entre eux, sans exprimer ouvertement leur opposition aux paroles qu’ils venaient d’entendre. Jésus ne répondit pas à l’objection de ses auditeurs, en leur révélant le mystère de sa naissance surnaturelle : car l’origine miraculeuse de Jésus ne put être acceptée que par le cœur déjà croyant.

Ces scrupules ne furent pas la cause de leur incrédulité c’est leur incrédulité qui donna naissance à ces scrupules ; Jésus ne s’appliqua pas à les lever. Il insista sur la nécessité d’une œuvre de la grâce divine qui dut s’accomplir en tout homme qui voulut venir à lui et croire en lui.

Personne n’y arrive autrement. C ette œuvre qu’il désigna en ces mots : « Tout ce que le Père me donne viendra à moi », il la caractérisa comme un attrait du Père vers Jésus. Dieu lui donne les âmes en les attirant à lui.

 Dieu a, dans sa main puissante, mille moyens d’exercer cette action de sa miséricorde sur les âmes. Tantôt ce sont les douloureuses expériences de la vie, la souffrance, la pensée de la mort, qui leur font éprouver avec tristesse le besoin d’un consolateur, d’un Sauveur ; tantôt c’est le sentiment amer du péché qui se réveille en elles et qui leur inspire ce cri d’angoisse : «Que ferai-je pour être sauvé ?» Et dès que Jésus se présente, elles le reconnaissent comme Celui après qui elles soupiraient.

Mais le grand moyen de Dieu pour attirer les hommes à Jésus, c’est sa Parole et son Esprit, qui agit incessamment dans notre humanité et qui saisit les moments favorables pour accomplir son œuvre.

L’expérience seule, cette grande conciliatrice des contrastes, peut nous instruire à cet égard ; elle apprend aux humbles à dire avec un réformateur : « Nous voulons, parce qu’il nous est donné de vouloir ».

« C’est Dieu qui opère en vous la volonté et l’exécution, selon son bon plaisir, malgré l’apparente contradiction : « Opérez votre propre salut avec crainte et tremblement » (Ph 2.12-13).

Quoi qu’il en soit, dès qu’un pauvre pécheur a ainsi été attiré à Jésus, qui se charge d’achever en lui l’œuvre divine jusqu’à la fin : « Et moi, je le ressusciterai au dernier jour.» Jésus affirma, avec une joyeuse certitude :«Quiconque a ainsi entendu le Père et a été instruit, vient à lui et trouve en lui son Sauveur.»

L’enseignement que les hommes ont reçu de Dieu n’est que préparatoire, destiné à les amener au Fils qui, lui seul, a vu le Père de toute éternité , car il vient de Dieu. «C’est donc en lui, qui est l’image de Dieu, la splendeur de sa gloire, que les croyants voient Dieu» (Jn 1, 14).

Jésus affirma ; «C’est moi qui suis le pain de la vie.» Après cette instruction profonde, provoquée par les murmures des Juifs, Jésus revint à son enseignement sur la vie éternelle qu’il communiqua aux croyants en se donnant lui-même à eux comme le pain de la vie.

Jésus renvoya aux Juifs leur objection : «La manne qui a nourri leurs pères dans le désert ne les a pas empêchés de mourir.» Mais il y a un autre pain qui affranchit de la mort, c’est celui qui est descendu du ciel et qui communique la vie éternelle.

Jésus résuma tout ce qu’il vint de dire en affirmant :«Je suis ce pain vivant » et par conséquent vivifiant, puisqu’il fait vivre éternellement ceux qui se l’approprient par la foi et par une communion vivante avec lui.

«Le pain de la vie et le pain vivant, celui qui est la vie divine réalisée dans une personne humaine. qui descend du ciel en général et qui est descendu du ciel dans un sens historique et concret, en la personne de Christ  ; l’expression négative : ne meure pas, et la grande affirmation positive : vivra éternellement»(Meyer)

Par ces paroles, Jésus présenta sa pensée sous un aspect nouveau et passa à la dernière partie de son discours. Dans la précédente, il a parlé, à diverses reprises, du pain de vie, d’un pain descendu du ciel et qui communique la vie éternelle à ceux qui en mangent ; il a déclaré que ce pain vivifiant, c’est lui-même, et que le moyen d’en vivre, c’est de croire en lui.

«Donner sa chair et son sang » ne peut désigner autre chose que sa mort, et une mort violente, dans laquelle son sang qui fut répandu. En effet, la chair et le sang, c’est la nature humaine vivante ; les donner, c’est se livrer à la mort ; les donner de ce monde qui est dans la mort, c’est le racheter et le sauver.

Le moyen, pour nous, de nous approprier les fruits de la mort de Jésus, c’est d’entrer avec lui, par la foi, dans une communion intime et personnelle,. C’est ce que Jésus exprimer par ses mots : «Manger sa chair et boire son sang ».

Telle fut l’interprétation de la plupart des exégètes. Il en est une autre qui consiste à voir dans tout ce passage, non la mort de Jésus spécialement, mais sa personne et sa vie en général, qu’il offre à ceux qui croient en lui, comme la source de leur vie spirituelle.

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites chrétiens

Opus Dei : cliquez ici pour lire l’article →« Moi, je suis le pain vivant, qui est descendu du ciel

Opus Dei : cliquez ici pour lire l’article → Au fil de l’Évangile de la fête du Corpus Christi : le pain vivant descendu du ciel

 Vidéo Lectio Divina : cliquez ici → https://youtu.be/_bNnFd1UNWo

Publié dans Bible, Catéchèse, comportements, DESSINS ET BIBLE, Dieu, Disciples de Jésus, Enseignement, évangiles, Foi, Histoire, Histoire du Salut, Homélies, L'Église, Messages, Page jeunesse, Paroisses, Religion, Temps pascal | Pas de Commentaires »

12345...128
 

Passion Templiers |
CITATIONS de Benoît XVI |
La pastorale Vauban |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | chrifsossi
| La Mosquée de Méru
| Une Paroisse virtuelle en F...