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Douzième dimanche du Temps Ordinaire

Posté par diaconos le 20 juin 2021

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# La foi (du latin fides, « confiance ») désigne étymologiquement le fait d’avoir confiance en quelque chose ou quelqu’un1. En général, cela revient à juger authentiques certains évènements. Dans le domaine religieux, la foi induit souvent une dévotion et des comportements censés traduire cette conviction. La foi est la condition de toute religion et la motivation de sa pratique. Dans un contexte de sécularisation, la foi a souvent pris le sens de simple confiance.
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Ainsi, de nombreux auteurs (ex. : Joseph Murphy) estiment que la « foi » toute-puissante dont il est question dans l’Évangile (« Ta foi t’a sauvé », la « foi qui soulève les montagnes ») est une simple question de confiance dans la vie, et non de confiance en Dieu dans le cadre d’une religion. Étymologiquement, le terme de foi provient du latin fides et se rattache à une racine indo-européenne bheidh, « avoir confiance ».
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Pour les auteurs latins classiques, le mot fides n’a aucune connotation religieuse ; il provient du vocabulaire profane, et évoque la simple confiance que l’on peut avoir en quelqu’un ou, comme une analyse récente le présente comme « la vertu de la fiabilité morale et civique Le terme croyance désigne (par métonymie) ce que l’on croit, c’est-à-dire l’objet d’une croyance. Le concept philosophique de croyance fait partie de la théorie de la connaissance.
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Les croyances, qu’elles soient religieuses, superstitieuses ou autres, sont aussi un objet d’étude de l’anthropologie culturelle. La science, n’étant pas une croyance mais une somme de savoirs vérifiés, partagés et modifiables, ne peut être classée parmi les croyances.
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Dans le bouddhisme, la foi fait référence à un engagement serein dans la pratique de l’enseignement du Bouddha, et à la confiance en des êtres éclairés ou très avancés, tels que les bouddhas ou les bodhisattvas (ceux qui cherchent à devenir un bouddha). Les bouddhistes reconnaissent généralement plusieurs objets de foi, mais beaucoup se concentrent sur un seul en particulier, par exemple un Bouddha précis. La foi ne se limite pas à une dévotion envers une personne, mais elle est liée à des concepts bouddhistes comme l’efficacité du karma et la possibilité d’atteindre l’éveil (bodhi).
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Jésus, j’ai confiance en toi !

De l’Évangile selon saint Marc

Ce jour-là, le soir venu, il dit à ses disciples : « Passons sur l’autre rive. » Quittant la foule, ils emmenèrent Jésus, comme il était, dans la barque, et d’autres barques l’accompagnaient. Survient une violente tempête. Les vagues se jetaient sur la barque, si bien que déjà elle se remplissait. Lui dormait sur le coussin à l’arrière. Les disciples le réveillent et lui disent : « Maître, nous sommes perdus ; cela ne te fait rien ? » Réveillé, il menaça le vent et dit à la mer : « Silence, tais-toi ! » Le vent tomba, et il se fit un grand calme. Jésus leur dit : « Pourquoi êtes-vous si craintifs ? N’avez-vous pas encore la foi ? » Saisis d’une grande crainte, ils se disaient entre eux : « Qui est-il donc, celui-ci, pour que même le vent et la mer lui obéissent ? » (Mc 4, 35-41)
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xAuteur   +PÈRE MARIE LANDRY C+MPS

Seigneur, merci de nous avoir laissé ton Évangile. Merci de nous avoir laissé ces quatre récits de ta vie où nous pouvons suivre tes pas, tes actes, écouter ta Parole, apprendre à te connaître et à t’aimer ! Envoie ton Esprit pour qu’il me dispose à t’écouter avec tout mon être. Fais de moi une bonne terre, rends-moi fidèle à la lecture de ta Parole.
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Seigneur, Maître de toutes choses, à qui obéissent même le vent et la mer, c’est toi qui as créé mon cœur et m’as fait le don de la vie. Accepte l’offrande de mon cœur et de ma vie. Garde-moi, dirige-moi, que je sois à toi pour toujours ! «Maître, nous sommes perdus ; cela ne te fait rien? »
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Aujourd’hui, par ces temps de tempête, l’Évangile nous interpelle. Tout au long du XXe siècle et à l’aube du XXIe, l’humanité a vécu des drames qui, comme des vagues violentes, se sont jetés sur les hommes et les peuples. Et, parfois, jaillit de notre âme cette question: «Maître, nous sommes perdus; cela ne te fait rien ?» (Mc 4, 38) ; si Tu existes vraiment, si vraiment Tu es Père, pourquoi de telles catastrophes ?
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Au souvenir des horreurs des camps de concentration de la IIe guerre mondiale, le Pape Benoît s’interroge: «Où était Dieu en ces jours-là? Pourquoi se taisait-il ? Comment a-t-il pu tolérer pareille destruction ?». Ces questions, Israël se les posaient déjà dans l’Ancien Testament : «Pourquoi dors-tu, pourquoi nous caches-tu ton visage et oublies-tu notre malheur?» (Ps 44, 24-25).
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Dieu ne répondra pas à ces questions: nous pouvons tout lui demander, sauf le pourquoi des choses. Nous n’avons aucun droit de lui demander des comptes. En réalité, Dieu est là et il parle. C’est nous qui ne sommes pas en sa présence et qui n’entendons pas sa voix. «Nous ne pouvons scruter le secret de Dieu, . Nous ne voyons que des fragments et nous nous trompons en nous faisant les juges de Dieu et de l’histoire. Nous ne défendons pas l’homme, mais contribuons alors seulement à sa destruction». (Benoît XVI)
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En effet, savoir si Dieu existe ou n’existe pas n’est pas la question. Tout tient au fait que les hommes vivent comme si Dieu n’existait pas. Et voici la réponse de Dieu : «Pourquoi avoir peur? Comment ce fait-il que vous n’ayez pas la foi?» (Mc 4, 40). C’est ce que Jésus a dit à ses apôtres et c’est ce qu’il a dit à sainte Faustine Kowalska : «Ma fille, n’aie peur de rien; Je suis toujours avec toi, même s’il te semble que non».
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Ne l’interrogeons pas. Prions et respectons sa volonté. Et alors, il y aura moins de drames et, surpris, nous nous exclamerons : «Qui est-il donc, pour que même le vent et la mer lui obéissent ?» (Mc 4, 41). Jésus, j’ai confiance en toi.Seigneur, apprends-moi à pacifier mon cœur pour que je puisse entendre ta voix ! Ta providence est présente dans toute ma vie, dans les choix importants comme dans les petits détails.
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Ta providence m’entoure d’amour et de tendresse même si les circonstances sont difficiles et que tu parais absent. Oui, Seigneur, je le crois. Augmente la confiance que j’ai en toi, raffermis-la !Prenons la résolution de faire un acte de foi une ou plusieurs fois dans la journée. Tournons-nous vers Jésus : « Jésus, j’ai confiance en toi, mon Seigneur et mon Dieu ! » 
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Compléments

◊ Diacre Michel Houyoux : cliquez ici pour lire l’article → Douzième dimanche du Temps Ordinaire — Année B

  Homélie par le père Paul Malvaux

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Samedi de la onzième Semaine du Temps Ordinaire — Année Impaire

Posté par diaconos le 19 juin 2021

Ne vous faites pas de souci pour demain

Ne vous faites pas de souci pour demain »

# Le Sermon sur la montagne est un discours adressé par Jésus-Christ à ses disciples ainsi qu’à une large foule, rapporté dans l’Évangile selon Matthieu aux chapitres 5, 6 et 7. Jésus l’aurait prononcé au début de son ministère, peu après son baptême par Jean le Baptiste, du haut d’une montagne près du lac de Tibériade surplombant Génézareth, non loin de Capharnaüm.

Ce discours, qui porte sur l’éthique, est le plus long enseignement oral du Nouveau Testament. Il comporte notamment les Béatitudes et la prière du Notre Père. Au début du XXe siècle Sante Ferrini, sensible au message de Christ tel que rapporté dans le Nouveau testament, reproche au clergé et aux puissants d’avoir détourné ses préceptes à leur profit.

Il illustre son propos dans une parodie sans concession du sermon sur la montagne qu’il imagine pouvoir être prononcé par le Pape, sur la place Saint-Pierre à Rome : « Heureux les forts car ils posséderont la terre ! Heureux ceux qui ont le cœur dur car ils riront des malheurs d’autrui et ne pleureront jamais ! Heureux les violents car ils seront respectés des timorés ! Heureux les injustes car ils auront leurs biens et ceux des autres !

Heureux les mauvais car ils se feront pardonner par la force ! Heureux ceux qui ont l’âme impure et malveillante car ils jouiront des turpitudes humaines ! Heureux ceux qui possèdent, car ils n’ont pas besoin de miséricorde ! Heureux les incrédules car ils ne seront pas trompés ! Amen ! » Plus récemment, la phrase « Bienheureux les pauvres d’esprit… » a parfois été interprétée à contresens comme « Bienheureux les imbéciles », par exemple par Luigi Cascioli, alors qu’elle ne peut être comprise que dans le judaïsme palestinien de l’époque de Jésus.

On connaît dans la Bible certaines « béatitudes » isolées, ou groupées par deux ou trois, rarement quatre4. Une série de huit béatitudes se trouve dans le Siracide« construite suivant un procédé poétique obéissant à des règles précises pour ce genre littéraire (Si 14, 20-27). » Le même procédé s’applique à l’un des manuscrits de la mer Morte provenant de la grotte 4 (4Q525 2 II)4. Le texte de l’évangile selon Matthieu présente une structure reposant sur le même procédé4. Toutefois, écrit Émile Puech, il s’en distingue par une « nouveauté totale » : la mention du Royaume, proclamé par ce discours inaugural, auquel répondra le dernier discours (Mt 25,31-46).

De l’évangile selon Mathieu

24 Nul ne peut servir deux maîtres : ou bien il haïra l’un et aimera l’autre, ou bien il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’Argent. 25 C’est pourquoi je vous dis : Ne vous souciez pas, pour votre vie, de ce que vous mangerez, ni, pour votre corps, de quoi vous le vêtirez. La vie ne vaut-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que les vêtements ?

26 Regardez les oiseaux du ciel : ils ne font ni semailles ni moisson, ils n’amassent pas dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. Vous-mêmes, ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux ? 27 Qui d’entre vous, en se faisant du souci, peut ajouter une coudée à la longueur de sa vie ? 28 Et au sujet des vêtements, pourquoi se faire tant de souci ? Observez comment poussent les lis des champs : ils ne travaillent pas, ils ne filent pas.

29 Or je vous dis que Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’était pas habillé comme l’un d’entre eux. 30 Si Dieu donne un tel vêtement à l’herbe des champs, qui est là aujourd’hui, et qui demain sera jetée au feu, ne fera-t-il pas bien davantage pour vous, hommes de peu de foi ? 31 Ne vous faites donc pas tant de souci ; ne dites pas : “Qu’allons-nous manger ?” ou bien : “Qu’allons-nous boire ?” ou encore : “Avec quoi nous habiller ?”

32 Tout cela, les païens le recherchent. Mais votre Père céleste sait que vous en avez besoin. 33 Cherchez d’abord le royaume de Dieu et sa justice, et tout cela vous sera donné par surcroît. 34 Ne vous faites pas de souci pour demain : demain aura souci de lui-même ; à chaque jour suffit sa peine. » (Mt 6, 24-34)

Le sermon sur la montagne

Mamona signifie en chaldéen et syriaque richesse, en langue punique, selon saint Augustin, le lucre. Avoir de l’argent et du bien n’est pas un péché, mais ne le laisse pas devenir ton maître ; qu’il te serve, et que tu sois son maître.  (Luther)

Cette partie du sermon sur la montagne qui est dirigée contre les soucis de la vie matérielle, est la conséquence nécessaire de l’incompatibilité qu’il y a entre le service de Dieu et celui de Mammon. La recherche inquiète de notre subsistance comme la possession des richesses nous empêche d’être tout entiers à Jésus. Son service impliqua une confiance absolue aussi bien qu’un complet détachement. Cette idée se retrouve également dans Luc.

Être en souci qui signifie, par son étymologie, être partagé. Les inquiétudes qui tirent la pensée en sens contraire, sont l’effet d’un cœur partagé entre le ciel et la terre, troublé par le doute au jour de l’épreuve. Le remède à ce mal, c’est la confiance en Dieu que Jésus voulut inspirer à ses disciples. C’est pour cela qu’il leur présenta diverses considérations aussi élevées que puissantes.

Premier motif de confiance. Puisque la vie est plus que la nourriture qui l’entretient ; le corps plus que le vêtement qui le couvre ; celui qui a donné et conserve le plus, ne donnera-t-il pas le moins ? Paul employa un raisonnement pareil.

Second motif  Les soins admirables de Dieu dans la nature : « Dieu est votre Père ! »

Troisième motif  L’inutilité, l’impuissance des inquiétudes, qui ne font au contraire qu’énerver les forces de l’âme. Nul ne peut, ajouter une coudée à son âge, une heure au temps de sa vie, objet de ses soucis. Dieu en a déterminé la mesure et n’y peut rien ajouter.

Le voyageur vit avec admiration, sur le plateau de la montagne des Béatitudes, au pied de l’éminence d’où il supposa que Jésus parlait  d’un magnifique tapis de ces anémones écarlates.  Le manque de cette foi qui n’est pas autre chose que la confiance du cœur en Dieu, telle est la cause de toutes les inquiétudes.

Les païens doivent rechercher ces choses, y mettre leur cœur ou être en souci quand elles leur manquent, parce qu’au lieu du Dieu vivant ils adorent de fausses divinités ou une froide et impitoyable fatalité. « Mais vous qui connaissez votre Père céleste ! Il sait vos besoins cela doit vous suffire pour dissiper vos inquiétudes. »

 Que ce soit là avant tout votre souci, le but de vos efforts, et quand vous aurez trouvé cette grande richesse, le royaume de Dieu et la justice de Dieu, alors votre Père céleste, qui voit que vous avez besoin de toutes ces autres choses vous les donnera par-dessus.  On sait que toujours les inquiétudes se portent sur l’avenir. Or, le Seigneur aurait pu nous dire que cet avenir ne nous appartient pas, que nous ne le verrons peut-être jamais.

Pourquoi veux-tu t’inquiéter au-delà d’aujourd’hui et prendre sur toi le mal de deux jours ? Contente-toi de celui que ce jour t’impose, demain t’apportera autre chose. (Luther)

Cette interprétation est seule en harmonie avec cette dernière parole : au jour suffit sa peine, ou son mal, sa misère. Oui, ce mal de chaque jour suffit ; il est même souvent bien lourd pour notre faiblesse. Quelle compassion Jésus mit dans ce conseil de ne pas y ajouter le mal du lendemain !

Diacre Michel Houyoux

Liens avec d’autres sites Web chrétiens

◊ Père Gilbert Adam : cliquez ici pour lire l’article → Samedi de la 11e semaine, année impaire

◊ Familles chrétiennes : cliquez ici pour lire l’article → Athée, j’ai rencontré le Christ à l’âge de 20 ans

  Lectio Divina : « Ne vous faites pas de souci pour demain »

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Двенадцатое воскресенье по обычному времени – Год B

Posté par diaconos le 19 juin 2021

Кто он такой, что даже ветер и море повинуются ему ?

# Утихание бури – это чудо, приписываемое Иисусу Христу. Он упоминается во всех трех синоптических Евангелиях. Это символ Христа, пришедшего, чтобы принести мир человечеству, попавшему в бурные волны жизни. Говорят, что этот эпизод произошел на Галилейском море, или Тивериадском озере, или Галилейском море, или озере Кинерет.

Réveillé, il menaça le vent et dit à la mer : « Silence, tais- toi ! » Le vent tomba, et il se fit un grand calme

Это пресноводное озеро площадью 160 км2 на северо-востоке Израиля между Голанскими высотами и Галилеей. Христос, спящий во время бури » – картина маслом на холсте, 51 × 61 см, работы Эжена Делакруа, около 1853 года, находится в Музее Метрополитен, Нью-Йорк.

Делакруа написал по меньшей мере шесть версий этого отрывка из Нового Завета: разбуженный своими испуганными учениками, Христос упрекает их за недостаток доверия к Провидению.

Этот эпизод называется чудом успокоения бури. Галилейское море или Тивериадское озеро, также называемое Галилейским морем или Кинеретом, – это пресноводное озеро площадью 160 квадратных миль на северо-востоке Израиля между Голанскими высотами и Галилеей. В ранних работах более важен морской пейзаж; в более поздних, как здесь, более важна лодка Христа.

Другая работа того же периода, с похожей композицией, масло на холсте, 46 × 54 см, находится в Портлендском художественном музее. Другой вид, более отдаленный, находится в Художественном музее Уолтерса. Это также масло на холсте, 60 × 73 см, 1854 года.

# Успокоение бури – одно из чудес Иисуса в Евангелиях, о котором говорится в Евангелиях от Матфея 8:23-27, Марка 4:35-41 и Луки 8:22-25 (Синоптические Евангелия). Этот эпизод можно отличить от хождения Иисуса по воде, которое также связано с лодкой на озере и происходит позже в этой истории. Согласно Евангелиям, однажды вечером Иисус и Его ученики шли в лодке по Галилейскому морю.

 Кто же это такой, что даже ветер и море повинуются ему ?   » Автор Майкл Кин отметил, что Галилейское море было известно своими внезапными и сильными штормами, а евреи были сухопутными жителями, которым было не по себе на море, тем более что они верили, что море полно страшных существ. Криминальный комментарий приписывает эти внезапные бури ветрам, зародившимся на вершинах горы Ермон в горах Антилибанон на севере.

Англиканский священнослужитель Джон Клоуз отметил, что Иисус не удивился вопросу : « Чего вы так боитесь ? « . Англиканский священнослужитель Джон Клоуз отметил, что Иисус, спросив: « Чего вы так боитесь ? « Он попросил их искать в своем разуме причину и происхождение страха, чтобы они поняли, что весь страх уходит корнями в естественные привязанности и мысли, отличные от духовных привязанностей и мыслей. И спрашивая : « Нет ли у вас еще веры ?  » Иисус явно указывал на недостаток их духовных принципов. Клоуз далее отметил, что этим последним вопросом Иисус, очевидно, учил Своих учеников, а через них и все будущие поколения человечества, что страх является постоянным результатом отсутствия небесных принципов в человеческом разуме.

Внезапно разразился сильный шторм, и волны обрушились на лодку, почти поглотив ее. Иисус спал на подушке на корме лодки, и ученики разбудили Его и спросили : « Учитель, неужели Тебе все равно, если мы утонем ? В Евангелии от Марка говорится : « Он проснулся, пригрозил ветру и сказал морю: молчи! Успокойтесь !  Потом ветер утих, и наступило смертельное затишье ». Он сказал им : « Чего вы боитесь ? Неужели вы до сих пор не верите ?  » И исполнились они великого страха и говорили друг другу.

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Из Евангелия от Марка

35 Когда же настал вечер того дня, Он сказал ученикам Своим: пойдем на ту сторону.  » 36 Они оставили толпу и взяли Иисуса, как Он был, в лодку, и другие лодки сопровождали Его. 37 Поднялась сильная буря. Волны бились о борт лодки, так что она уже была полна. 38 Он спал сзади на подушке. Ученики разбудили Его и сказали: « Учитель, мы заблудились; неужели Тебе все равно ? « 

39 Проснувшись, Он сказал ветру и морю : « Замолчи !  « Ветер утих, и наступила великая тишина. 40 Иисус сказал им : что вы так боитесь ? У вас все еще нет веры ? « 41 Они сильно испугались и говорили друг другу: кто Сей, что даже ветер и море повинуются Ему ?   «  (Марк 4, 35-41)

Мы не должны бояться !

В тот день, когда наступил вечер, Иисус сказал Своим ученикам : « Пойдем на ту сторону » (Мк 4, 35). Это был не обычный день, Петр помнил его всю свою жизнь. Был вечер, не только сладость осеннего вечера, но и час всех опасностей, час испытаний (Мк 14, 17). Другой берег, не только противоположный берег озера, но тот великий переход на другой берег, который является предназначением каждого человека, вечером его жизни, и который является его великим днем, днем Божьим, к которому готовят его все остальные дни.

Ты приглашаешь меня, Господи, переправиться на другой берег, преодолеть свою робость, провозгласить Благую Весть Евангелия, поставить себя на службу братьям, отказаться от вредных привычек. Во время переправы через Галилейское море Иисус уснул на заднем сиденье лодки. Поднялся ветер и разбушевался настолько, что их лодке грозила опасность затонуть : « Налетел сильный шторм, и волны обрушились на лодку, так что она уже набирала воду.   » (Мк 4, 37)

Тивериадское море славится своими неожиданными и сильными штормами, которые обрушиваются с Голанских высот. Но не обязательно быть в море, чтобы пережить шторм. Во всех языках мира это слово используется для обозначения внезапного испытания, постигшего кого-либо: насмешка, несчастный случай, неудача и рецидив, страх потерять работу, тяжелая болезнь, поставленный диагноз…..

Его спутники разбудили его и воскликнули : « Мы заблудились, неужели тебе все равно ? » (Марк 4, 38) Это прекрасная молитва, которой мы молимся во времена испытаний. Что такое мои бури? Успокоит ли их Бог ? Ты, кажется, спишь, Господи, я борюсь один, разве это не беспокоит Тебя ?

« Поднявшись на небо, они упали в бездну и заболели. В бедствии своем они возопили к Господу, и Он вывел их из бедствия их, Он утишил бурю, Он утишил волны » (Пс 107:26-29) В разгар бури Господь напомнил Иову, что Он – Господь, Который может установить пределы и остановить гордость волн. Тогда Иов склонился в вере.

Ученики Иисуса, опытные рыбаки, очень боялись заблудиться. На самом деле им не хватало только веры, то есть уверенности в любви, потому что они, без сомнения, понимали Христа по-своему. (2-е чтение) Не простая вера успокаивает наши внутренние бури, а вера в Иисуса Христа, умершего и воскресшего. Иисус близок к нам, невидим. Конечно, Он не избавляет нас от трудностей, но Он дает нам внутреннюю силу, чтобы перенести их : « Там, где зло переполняет, там переполняет Моя благодать ».

На протяжении всей Своей жизни Иисус показывал нам, что Ему не безразлично наше состояние. Он обещает нам счастье. Наше время коротко, давайте не забывать об этом. Давайте верить, что Иисус поможет нам причалить в порт вечности, где любовь празднует с радостью. Великая весть этого Евангелия заключается в том, что посреди бури Иисус находится с нами, со Своей Церковью. Он никогда не покидает нас, даже когда кажется, что Он спит и безразличен к происходящему.

Чтобы помочь нам понять это, вот комментарий святого Августина. Когда мы говорим, что Бог спит, это мы спим; а когда мы говорим, что Бог встает, это мы просыпаемся. Действительно, Господь спал в лодке, и если ее трясло, то только потому, что Иисус спал. Ваша лодка – это ваше сердце. А Иисус, находящийся в лодке, – это вера в вашем сердце. Если ты помнишь свою веру, сердце твое не поколеблется, но если ты забываешь свою веру, Христос засыпает, и ты подвергаешься опасности потерпеть кораблекрушение.

Давайте без колебаний призывать Христа с силой посреди наших бурь. Ученики так и сделали. Давайте никогда не сомневаться в присутствии Господа, даже когда все идет не так. Давайте доверять ! Давайте не будем бояться! Давайте воздадим благодарность воскресшему Господу, Который всегда присутствует в сердце нашей жизни и наших бурь.

Дьякон Michel Houyoux

Ссылки на другие христианские сайты

◊ Ieshua ; нажмите здесь, чтобы прочитать статью → Два Христоцентричных ключа для усиления своей молитвенной жизни

  Церковь — мой главный источник вдохновения

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Twaalfde Zondag in de Gewone Tijd – Jaar B

Posté par diaconos le 18 juin 2021

Wie is het dat zelfs de wind en de zee hem gehoorzamen ?

.# Het stillen van de storm is een wonder toegeschreven aan Jezus Christus. Het wordt in alle drie de synoptische evangeliën genoemd. Het is een symbool van Christus die vrede komt brengen aan een mensheid die gevangen zit in de stormachtige golven van het leven. Deze episode zou zich hebben afgespeeld bij het Meer van Galilea, of het Meer van Tiberias, of het Meer van Galilea, of het Meer van Kinneret.

Réveillé, il menaça le vent et dit à la mer : « Silence, tais- toi ! » Le vent tomba, et il se fit un grand calme

Het is een zoetwatermeer met een oppervlakte van 160 km2 in het noordoosten van Israël tussen de Golanhoogte en de Galilea. Christus slapend in een storm, is een olieverf op doek, 51 × 61 cm, van Eugene Delacroix, ca. 1853, in het Metropolitan Museum of Art, New York.

Delacroix schilderde tenminste zes versies van deze passage uit het Nieuwe Testament: wakker gemaakt door zijn geschrokken discipelen, berispt Christus hen voor hun gebrek aan vertrouwen in de Voorzienigheid.

Deze episode wordt het wonder van de kalmering van de storm genoemd. Het Meer van Galilea of Meer van Tiberias, ook het Meer van Galilea of Kinneret genoemd, is een zoetwatermeer met een oppervlakte van 160 vierkante kilometer in het noordoosten van Israël tussen de Golanhoogte en Galilea. In de vroege werken is het zeegezicht belangrijker; in latere werken, zoals hier, is de boot van Christus belangrijker.

Een ander werk uit dezelfde periode, met een vergelijkbare compositie, olieverf op doek, 46 × 54 cm, bevindt zich in het Portland Art Museum. Een ander uitzicht, verder weg, is in het Walters Art Museum. Dit is ook een olieverf op doek, 60 × 73 cm, uit 1854.

# Het tot bedaren brengen van de storm is één van Jezus’ wonderen in de Evangeliën, waarvan melding wordt gemaakt in Mattheüs 8:23-27, Marcus 4:35-41, en Lucas 8:22-25 (de Synoptische Evangeliën). Deze episode is te onderscheiden van Jezus’ wandeling over het water, waarbij ook een boot op het meer betrokken is en die later in het verhaal voorkomt. Volgens de Evangeliën liepen Jezus en zijn discipelen op een avond in een bootje op het Meer van Galilea.

Plotseling stak er een hevige storm op en de golven sloegen over de boot heen, waardoor die bijna overspoeld werd. Jezus lag te slapen op een kussen in de achtersteven van de boot, en de discipelen maakten hem wakker en vroegen: « Meester, kan het U niet schelen dat wij verdrinken? Het evangelie van Marcus zegt dan: « Hij werd wakker, bedreigde de wind en zei tegen de zee: Stilte! Wees stil!  « Toen ging de wind liggen, en er heerste een doodse kalmte. Hij zei tegen hen: « Waarom zijn jullie bang? Hebt gij nog steeds geen geloof? « En zij waren vervuld van grote vrees en zeiden tot elkaar,

« Wie is dit dan, dat zelfs de wind en de zee hem gehoorzamen?  « Auteur Michael Keene merkte op dat het Meer van Galilea bekend stond om zijn plotselinge en hevige stormen en dat de Joden landbewoners waren die zich over het algemeen niet op hun gemak voelden op zee, vooral omdat zij geloofden dat de zee vol zat met angstaanjagende wezens. De Preekstoelcommentaar schrijft deze plotselinge stormen toe aan winden die hun oorsprong vinden op de toppen van de berg Hermon in het Antilibanongebergte in het noorden.

De Anglicaanse geestelijke John Clowes merkte op dat Jezus niet verbaasd was over de vraag: « Waarom zijn jullie zo bang? ». De Anglicaanse geestelijke John Clowes merkte op dat Jezus, door te vragen « Waarom zijt gij zo bang? « vroeg hen om in hun eigen geest de oorzaak en oorsprong van angst te zoeken, zodat zij zouden beseffen dat alle angst zijn wortels heeft in natuurlijke affecties en gedachten, gescheiden van geestelijke affecties en gedachten. En door te vragen: « Hebt gij nog geen geloof? « Jezus wees duidelijk op een tekortkoming in hun geestelijke principes. Clowes merkte verder op dat Jezus met deze laatste vraag klaarblijkelijk zijn discipelen, en via hen alle toekomstige generaties van de mensheid, leerde dat angst het blijvende resultaat is van het ontbreken van hemelse beginselen in de menselijke geest.

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Uit het evangelie van Marcus

35 Toen het die dag avond werd, zei hij tegen zijn leerlingen: « Laten we naar de overkant gaan. « 36 Zij verlieten de menigte en namen Jezus, zoals hij was, in de boot, en andere boten begeleidden hem. 37 Een hevige storm stak op. De golven sloegen tegen de boot, zodat die al vol was. 38 Hij sliep achterin op het kussen. De discipelen wekten hem en zeiden : « Meester, wij zijn verloren; kan het U niet schelen ? « 

39 Toen hij wakker werd, bedreigde hij de wind en zei tegen de zee: « Zwijg!  « De wind ging liggen en er viel een grote stilte. 40 Jezus zei tot hen : « Waarom zijn jullie zo bang ? Heb je nog steeds geen geloof ? « 41 Zij waren zeer bevreesd en zeiden tot elkander : Wie is deze, dat zelfs de wind en de zee hem gehoorzamen ?   » (Marcus 4, 35-41)

We moeten niet bang zijn !

Die dag, toen het avond werd, zei Jezus tegen zijn leerlingen : « Laten we naar de overkant gaan » (Mc 4, 35). Dit was geen gewone dag, Petrus herinnerde het zich zijn hele leven. Het was avond, niet alleen de zoetheid van de vallende avond, maar ook het uur van alle gevaren, het uur van beproevingen (Mc. 14, 17). De andere oever, niet alleen de tegenoverliggende oever van het meer, maar die grote doortocht naar de andere oever die ieders bestemming is, de avond van zijn leven, en die zijn grote dag is, de dag van God waar alle andere dagen hem op voorbereiden.

U nodigt mij uit, Heer, om over te steken naar de andere oever, om mijn schroom te overwinnen, om de Blijde Boodschap van het Evangelie te verkondigen, om mij ten dienste te stellen van mijn broeders, om mijn slechte gewoonten te doorbreken. Bij het oversteken van het Meer van Galilea, viel Jezus in slaap achter in de boot. De wind stak op en wakkerde zo aan, dat hun boot dreigde te zinken : « Er stak een hevige storm op, met golven die over de boot sloegen, zodat deze reeds vol water liep.  « (Mk 4, 37)

De Zee van Tiberias is beroemd om haar onverwachte en hevige stormen die neerkomen vanaf de Golan Hoogvlakte. Maar je hoeft niet op zee te zijn om de stormen te ervaren. Alle talen van de wereld gebruiken dit woord om te verwijzen naar de plotse beproeving die iemand overkomt : spot, ongeval, mislukking en terugval, angst om zijn baan te verliezen, een ernstige ziekte gediagnosticeerd….

Zijn metgezellen wekten hem en riepen uit : « Wij zijn verloren, kan het u niet schelen ?   « (Markus 4, 38b) Dit is een prachtig gebed om te bidden in onze tijden van beproeving. Wat zijn mijn stormen ? Zal God hen kalmeren ? U lijkt te slapen Heer, ik worstel alleen, baart U dat geen zorgen ?

  »Gedreven naar de hemel, vielen zij in de afgrond, en werden ziek. In hun benauwdheid riepen zij tot de Here, en Hij bracht hen uit hun benauwdheid, Hij legde de storm het zwijgen op, Hij legde de golven het zwijgen op » (Ps 107, 26-29) Te midden van de storm herinnerde de Here Job eraan dat Hij de Here is die grenzen kan stellen en de trots van de golven kan stoppen. Toen boog Job in geloof.

De discipelen van Jezus, ervaren vissers, waren erg bang om te verdwalen. In werkelijkheid ontbrak het hun alleen aan geloof, d.w.z. aan het vertrouwen van de liefde, omdat zij Christus ongetwijfeld op onze eigen wijze hadden begrepen. (2e lezing) Het is niet zomaar een geloof dat onze innerlijke stormen tot rust brengt, het is het geloof in Jezus Christus, de gestorvene en opgestane. Jezus is dicht bij ons, onzichtbaar. Natuurlijk neemt Hij onze moeilijkheden niet weg, maar Hij geeft ons de innerlijke kracht om ze te dragen: « Waar het kwaad overvloeit, overvloeit mijn genade ».

Gedurende zijn hele leven heeft Jezus ons laten zien dat onze toestand Hem niet onverschillig laat. Hij belooft ons geluk. Onze tijd is kort, laten we dat niet vergeten. Laten we erop vertrouwen dat Jezus ons zal helpen om aan te meren in de haven van de eeuwigheid, waar de liefde met vreugde viert. De grote boodschap van dit evangelie is dat Jezus, temidden van de storm, bij ons is, bij zijn Kerk. Hij laat ons nooit in de steek, zelfs niet wanneer hij lijkt te slapen en onverschillig is voor wat er gebeurt.

Om ons te helpen dit te begrijpen, volgt hier een commentaar van de heilige Augustinus: « Wanneer wij zeggen dat God slaapt, zijn wij het die slapen; en wanneer wij zeggen dat God opstaat, zijn wij het die wakker worden. Inderdaad, de Heer sliep in de boot, en als die geschud werd, was dat omdat Jezus sliep. Je boot is je hart. En Jezus, in de boot, is het geloof in je hart. Indien gij uw geloof gedenkt, zal uw hart niet geschokt worden, maar indien gij uw geloof vergeet, valt Christus in slaap en dreigt gij schipbreuk te lijden… « 

Laten we niet aarzelen om Christus krachtig aan te roepen te midden van onze stormen. De discipelen deden dat. Laten we nooit twijfelen aan de aanwezigheid van de Heer, zelfs wanneer alles verkeerd gaat. Laten we vertrouwen ! Laten we niet bang zijn ! Laten wij dankzeggen aan de verrezen Heer die altijd aanwezig is in het hart van ons leven en onze stormen.

Diaken Michel Houyoux

Links naar andere christelijke websites

◊ Dionisius Parochie : klick hier om het artikel te lesen → BIJBELLEZINGEN OP DE TWAALFDE ZONDAG DOOR HET JAAR B

◊Jesus stielt de storm  : klick hier om het artikel te lesen → Interpretatie

    Damiaan Denys – NIET BANG VOOR ANGST

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