La foi naît de ce que l’on entend ; et ce que l’on entend : c’est la parole du Christ

Posté par diaconos le 17 octobre 2022

La foi naît de ce que l’on entend ; et ce que l’on entend  :  c’est la parole du Christ  dans Catéchèse quiconque-invoquera-le-nom-du-seigneur

De la lettre de Paul aux Romains

Frère, si de ta bouche, tu affirmes que Jésus est Seigneur, si, dans ton cœur, tu crois que Dieu l’a ressuscité d’entre les morts, alors tu seras sauvé. Car c’est avec le cœur que l’on croit pour devenir juste, c’est avec la bouche que l’on affirme sa foi pour parvenir au salut. En effet, l’Écriture dit : « Quiconque met en lui sa foi ne connaîtra pas la honte. »  Ainsi, entre les Juifs et les païens, il n’y a pas de différence : tous ont le même Seigneur, généreux envers tous ceux qui l’invoquent. En effet, quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé.

Comment l’invoquer, si on n’a pas mis sa foi en lui ? Comment mettre sa foi en lui, si on ne l’a pas entendu ? Comment entendre si personne ne proclame ? Comment proclamer sans être envoyé ? Il est écrit :  « Comme ils sont beaux, les pas des messagers qui annoncent les bonnes nouvelles ! «   Et pourtant, tous n’ont pas obéi à la Bonne Nouvelle. Isaïe demande en effet : « Qui a cru, Seigneur, en nous entendant parler ? »  Or la foi naît de ce que l’on entend ; et ce que l’on entend, c’est la parole du Christ. Alors, je pose la question : « N’aurait-on pas entendu ? » Mais si, bien sûr ! Un psaume le dit : «  Sur toute la terre se répand leur message et leurs paroles, jusqu’aux limites du monde. » (Rm 10 9-18)

La justice qui vient de la foi est opposée à la justice qui vient de la loi

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L’heure est venue de sortir de notre sommeil.

Posté par diaconos le 5 mai 2022

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IL EST TEMPS DE SORTIT DE TON SOMMEIL

Le mot « évangélique » est souvent confondu, à tort, avec le mot « évangéliste », qui désigne les auteurs des évangiles canoniques ou la fonction d’un prédicateur. Les chrétiens évangéliques ont essentiellement en commun l’importance qu’ils accordent à la conversion individuelle relevant d’un choix personnel et, par suite, de l’expérience de la « rencontre avec le Christ ». Ceci implique donc un changement de vie et une relation individuelle avec Dieu s’articulant autour de la lecture de la Bible et de la communion par la prière (personnelle ou en communauté). Le premier point de distinction d’une église chrétienne évangélique est la nouvelle naissance (conversion personnelle) et le baptême du croyant.

En 2020, selon le chercheur français Sébastien Fath du Centre national de la recherche scientifique (CNRS), le mouvement compterait environ 660 millions de croyants dans le monde. À partir de la fin du XVIIIe siècle, le terme anglais evangelical commença à être utilisé dans le monde anglo-saxon pour désigner les groupements internes au protestantisme qui se distinguent du protestantisme établi par leur insistance sur la piété personnelle et sur le changement de vie.

# De manière générale, le mot conversion désigne l’action de changer quelque chose en une autre (convertir) ou le résultat de cette action. En particulier, ce terme est employé dans différents contextes. En religion et histoire des religions, le sens traditionnel du terme est celui d’un changement de religion : voir conversion religieuse, conversion au judaïsme, conversion à l’islam et la conversion de Paul. Pour les chrétiens évangéliques, le terme conversion désigne le fait – selon eux extrêmement important – de se tourner vers Dieu et donc de devenir vraiment chrétien, ce qui implique un changement de vie et le début d’une relation individuelle avec Dieu s’articulant autour de la lecture de la Bible et de la communion par la prière (personnelle ou en communauté) L’évangélisme, couramment nommé christianisme évangélique, protestantisme évangélique ou encore évangélicalisme, est une branche du christianisme. Le terme « évangélique » est au départ un simple adjectif découlant du mot évangile.

L’évangélisme a ses origines dans la Réforme protestante du XVIe siècle et les mouvements de Réveil qui ont suivi. L’évangélisme plonge plus particulièrement ses racines dans la Réforme radicale du XVIe siècle et sa conception de l’Église de professants. Les principaux mouvements d’églises évangéliques sont le baptisme, le pentecôtisme, le mouvement charismatique, le mouvement néo charismatique et le christianisme non dénominationnel. L’évangélisme est également présent dans d’autres branches du protestantisme. La plupart des dénominations chrétiennes évangéliques sont regroupées dans l’Alliance évangélique mondiale.
.Les chrétiens évangéliques ont essentiellement en commun l’importance qu’ils accordent à la conversion individuelle relevant d’un choix personnel et, par suite, de l’expérience de la « rencontre avec le Christ ». Ceci implique donc un changement de vie et une relation individuelle avec Dieu s’articulant autour de la lecture de la Bible et de la communion par la prière (personnelle ou en communauté). Le premier point de distinction d’une église chrétienne évangélique est la nouvelle naissance (conversion personnelle) et le baptême du croyant. En 2020, selon le chercheur français Sébastien Fath du Centre national de la recherche scientifique (CNRS), le mouvement compterait environ 660 millions de croyants dans le monde. À partir de la fin du XVIIIe siècle, le terme anglais evangelical commença à être utilisé dans le monde anglo-saxon pour désigner les groupements internes au protestantisme qui se distinguent du protestantisme établi par leur insistance sur la piété personnelle et sur le changement de vie.

L’heure est venue de sortir de notre sommeil

ecouez donc votre torpeur ! C’est le premier message de l »évangile. Il  s’adresse à notre insouciance, il fait appel à notre vigilance et il fait  écho aux avertissements de saint Paul :  » L’heure est venue de sortir de notre sommeil. Rejetons les activités  des ténèbres et revêtons-nous pour le combat de la lumière » Jésus ne manqua aucune occasion de frapper à notre porte. Il est   venu, il vient, il viendra nous rappeler notre mission de réconciliation  et de paix, son Royaume à construire. Il vient nous éveiller à  l’essentiel.
Il ést question de droit, de justice et de paix et d’espérance chrétienne.  Convertissez-vous, le Royaume des cieux est proche. Voilà l’urgence et c’est une bonne nouvelle ! Dieu va enfin régner. Nous sommes à l’automne de l’an vingt-sept vraisemblablement et nous avons peine à imaginer ce qui pouvait provoquer un tel cri. Convertissez-vous car le Royaume des cieux est tout proche ! Voilà la bonne nouvelle. Voici l’Évangile, la bonne nouvelle que, pendant deux ans, Jésus se mit à crier à son tour. Dieu est tout proche.

Dieu parmi les hommes, Dieu sur nos chemins. Proche est son  Royaume. Viens ! Viens ! Que ton règne vienne ! Que l’Amour  vienne ! Que la paix vienne ! Que la justice vienne ! Tous ces biens  que nous aspirons tous viennent.  Ils sont là ! dit Jean-Baptiste. Cette nouvelle ne laisse personne  indifférent. Mais attention ! Attention ! , nous crie Jean-Baptiste : « Ne vous contentez pas d’attendre, de désirer… Bâtissez ce Royaume de Dieu, travaillez-y… Allez, en route, soyez actifs, convertissez- vous… Changez !  Notre Dieu est tout proche, travaillez à le faire venir, préparez son  chemin !  « 

C’est un dur, un fameux gaillard, ce Jean-Baptiste qui cria  : « Convertissez-vous ! «  Il  commença é par le faire lui-même : il mena  une vie frugale, primitive et sainement écologique bien avant l’heure. Pas de problèmes, d’obésité, ni d’infarctus du myocarde, ni  de cholestérol en trop !  C’est le temps de se retourner le cœur, c’est le  temps de la décision à prendre. Se convertir, c’est se retourner  complètement pour prendre la direction inverse de celle que l’on  suivait jusqu’alors. Ce temps sera-t-il pour chaque personne un temps de  renouveau, un temps de changement, un temps de conversion ?  Cette logique de la conversion nous la retrouvons aussi dans le  texte de Saint Paul :   »Ce qui fonde notre espérance, c’est la fidélité  de Dieu qui appelle notre propre  fidélité et nous pousse à nous  montrer accueillants les uns aux autres de Dieu qui appelle notre propre fidélité et nous pousse à nous  montrer accueillants les uns aux autres. « 

Revenons au Christ Jésus lui-même, nous pouvons nous remettre  en route en suivant Celui qui n’est pas seulement le point de  convergence des Écritures mais notre guide sur le chemin qui mène  au Père. Il est lui-même le chemin, la voie qui mène à la vérité, à la  vie, à la vision. Entendons le prophète Isaïe nous dire de la part du Seigneur :  « Voici le chemin, prends-le ! » (Is. 30,20). Celui qui vient, c’est Dieu, c’est le juge de la fin des temps : « Il tient la pelle à vanner dans sa main, il va nettoyer son aire à battre le blé et il amassera le grain dans son grenier. Quant à la paille, il la brûlera dan un four qui ne  s’éteint pas.! » (Mt 3, 12)

   Éclairages avec nos spécialistes de la foi et de l’enfance : « Que signifie se convertir ? »

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Le Christ ne s’est fait d’abord connaître à l’Église que par sa voix.

Posté par diaconos le 23 mars 2022

  

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Le printemps est arrivé et la nature se transforme

Le voici qui vient, bondissant sur les montagnes » (Ct 2,8). Le Christ ne s’est fait d’abord connaître à l’Église que par sa voix. Il a commencé par lancer sa voix devant lui par l’intermédiaire des prophètes ; sans se laisser voir, il se faisait entendre. Sa voix portait dans les messages que l’on annonçait de lui,

Extrait du livre des Cantiques au chapitre deux

La voix de mon bien-aimé ! C’est lui, il vient… Il bondit sur les montagnes, il court sur les collines,  mon bien-aimé, pareil à la gazelle, au faon de la biche. Le voici, c’est lui qui se tient derrière notre mur : il regarde aux fenêtres, guette par le treillage. Il parle, mon bien-aimé, il me dit : Lève-toi, mon amie, ma toute belle, et viens…

Vois, l’hiver s’en est allé, les pluies ont cessé, elles se sont enfuies. Sur la terre apparaissent les fleurs, le temps des chansons est venu et la voix de la  tourterelle s’entend sur notre terre. Le figuier a formé ses premiers fruits, la vigne fleurie exhale sa bonne odeur. Lève-toi, mon amie, ma toute belle, et viens… Ma colombe, dans les fentes du rocher, dans les retraites escarpées, que je voie ton visage, que j’entende ta voix ! Ta voix est douce et ton visage, charmant.

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Sulammith, l’une des jeunes filles du ha­rem cé­lébra le bon­heur d’être l’ob­jet des at­ten­tions d’un roi tel que Sa­lo­mon. Elle  en­tendit dans son rêve les pas de son bien-aimé, puis­qu’elle le dé­peignit  sau­tant, bon­dis­sant comme une ga­zelle, ou au faon d’une biche. Cher­chant à voir à tra­vers les fe­nêtres ce qui se passa dans la mai­son. Elle aper­çut son œil brillant, qui perça à tra­vers le treillis qui ornait les fe­nêtres. Le bien-aimé in­vita Sulam­mith à une pro­me­nade pour jouir de toute la beauté d’une jour­née prin­ta­nière.

Le printemps étant arrivé, toute la nature fut transformée, le chant des oiseaux, les  premières fleurs, les premiers fruits et sur les figuiers la première récolte. Tout cela invite à la promenade. Comme Su­lam­mith ne ré­pondit pas,  le bien-aimé la com­para à une co­lombe qui se cacherait dans les fentes des ro­chers ; il dé­sira intensément en­tendre sa voix. Quand le figuier produit ses premiers fruits, on est assuré que l’été est proche, de même le royaume de Dieu est proche : « Instruisez-vous par une comparaison tirée du figuier. Dès que ses branches deviennent tendres, et que les feuilles poussent, vous connaissez que l’été est proche. De même, quand vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l’homme est proche, à la porte.… »(Mt 24, 32-33)

Note : Le fi­guier porte en Pa­les­tine deux es­pèces de figues : les précoces, qui poussent sur le bois de l’an­née pré­cé­dente et qui sont mûres au mois de juin, et les tardives, qui poussent sur les branches nou­velles de l’an­née et ap­pa­raissent à la base des feuilles, mû­ris­sant suc­ces­si­ve­ment dès le mois d’août, les unes en­core du­rant l’été, les autres res­tant sus­pen­dues à l’arbre pen­dant tout l’­hi­ver et n’é­tant mûres qu’au prin­temps,  seule­ment après l’ap­pa­ri­tion des feuilles. Jésus Seigneur nous invite à le connaître pour mieux le suivre. Le but ultime de cette démarche est notre croissance humaine et spirituelle. Sur le chemin de notre vie, la rencontre avec Jésus doit nous transformer, nous humaniser davantage pour en être comme divinisé.

C’est ainsi que si nous cherchons à le connaître davantage, à en faire un maître et un ami, nous pourrons mieux servir l’humanité souffrante. Faire et répandre le bien sont inscrits dans notre vocation profonde. C’est une manière concrète de vivre et d’incarner notre consécration baptismale. Néanmoins, si le bien ne fait pas de bruit, il porte beaucoup de fruits, comme les grains de blé semés. C’est un travail, un exercice qui est avant tout spirituel. Pour marcher vers cet objectif, nous avons seulement à contempler le Christ. Il est la Parole du Père qui nous donne de le connaître pour que  son nom soit glorifié.

Servons la gloire de Dieu

 Portons ter le nom de Jésus dans notre entourage pour que sa lumière l’éclaire de la clarté pascale. C’est l’un des sens que peut prendre le Carême. Ce temps, pour chercher à mieux connaître le Christ, n’a de sens que s’il est orienté vers Pâques. Cette lumière qui éclaire le monde et nos vies, nous avons à en être les porteurs ; notre monde en a tant besoin. Notre appel à servir le monde, au nom du Christ, nous conduit à nous porter les uns, les autres, d’abord par la prière fraternelle. Offrir à Jésus les personnes qui nous sont confiées et qui partagent notre quotidien, de manière proche ou lointaine, est un impératif. C’est un acte humble, qui ne fait pas de bruit, mais qui doit être le cœur de nos journées.

La vie n’est pas faite que de joies. Il y a aussi les peines, les tristesses, toutes ces croix quotidiennes. Elles nous donnent parfois à être un grain de blé moulu par la dent des bêtes. Tel était fut le souhait d’Ignace d’Antioche. Cependant, nous ne sommes pas tous appelés à la vocation du martyre. Ces croix font parties de la vie. Elles sont parfois douloureuses et difficiles à porter.  La force de Dieu nous est continuellement donnée, mais nous la portons dans des vases d’argile (2 Co 4, 7). Cette fragilité est, en même temps, l’être même de Dieu. De la crèche au tombeau, en passant par sa vie pèlerine, il s’est fait fragile. Il s’est laissé toucher par les détresses des personnes, a communié à leurs blessures pour les assumer, les parachever sur la croix.

 Dieu nous invite à découvrir la grâce de l’incarnation de son Fils. Cet acte d’amour suprême est un marqueur indélébile de notre engagement à la suite du Christ. Entrons donc le cœur léger dans ces dernières semaines avant Pâques qui nous feront découvrir le cœur blessé du Christ. Il est le lieu où nous pouvons lui confier nos manques d’amour, de foi et de charité, et recevoir sa miséricorde.

Diacre Michel Houyoux

♥ Acceptons la volonté de Dieu

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Jésus connaît le chemin des justes

Posté par diaconos le 21 mars 2022

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Le Seigneur connaît le chemin des justes et le chemin des méchants se perdra

Ainsi parle le Seigneur, ton rédempteur, Saint d’Israël : Je suis le Seigneur ton Dieu, je te donne un enseignement utile, je te guide sur le chemin où tu marches. Si seulement tu avais prêté attention à mes commandements, ta paix serait comme un fleuve, ta justice, comme les flots de la mer.

Ta postérité serait comme le sable, comme les grains de sable, ta descendance ; son nom ne serait ni retranché ni effacé devant moi. Dieu se compromit dans le destin de son peuple et s’engagea totalement pour le sauver. « Si seulement tu avais prêté attention à mes commandements. Dans ce soupir exprima toute la tendresse de Dieu pour son peuple.

Israël délivré proclamera, à la gloire de Dieu, la nouvelle de sa délivrance.  « Je suis le Seigneur ton Dieu , je te donne un enseignement utile, je te guide sur le chemin où tu marches. » Dieu s’est vraiment engagé pour sauver les exilés : il les invita à marcher, à accepter l’enseignement salutaire, qui apportera le salut. Les Juifs exilés acceptèrent l’enseignement qui sauve et furent sauvés.

Ainsi parle le Seigneur, ton rédempteur, Saint d’Israël : Je suis le Seigneur ton Dieu, je te donne un enseignement utile, je te guide sur le chemin où tu marches. Si seulement tu avais prêté attention à mes commandements, ta paix serait comme un fleuve, ta justice, comme les flots de la mer. Ta postérité serait comme le sable, comme les grains de sable, ta descendance ; son nom ne serait ni retranché ni effacé devant moi.

Dieu se compromit dans le destin de son peuple et s’engagea totalement pour le sauver. « Si seulement tu avais prêté attention à mes commandements. » Dans ce soupir exprima toute la tendresse de Dieu pour son peuple. Israël délivré proclamera, à la gloire de Dieu, la nouvelle de sa délivrance.

« Je suis le Seigneur ton Dieu , je te donne un enseignement utile, je te guide sur le chemin où tu marches. »   Dieu s’est vraiment engagé pour sauver les exilés : il les invita à marcher, à accepter l’enseignement salutaire, qui apportera le salut. Les Juifs exilés acceptèrent l’enseignement qui sauve et furent sauvés.

Quelques siècles plus tard, Jésus donna à ses disciples un enseignement nouveau et leur demanda d’aller enseigner toutes les nations. Il nous invite à marcher à ses côtés, il nous ouvre la route. Il dira même : « Je suis le chemin, la vérité et la Vie » Dans son enseignement, Jésus nous a donné un commandement nouveau :  « Aimez-vous les uns et les autres comme je vous ai aimés. »

Si nous prêtions attention à son commandement, nous serions remplis de paix et notre postérité serait comme les grains de sable. Une seule attitude est nécessaire pour que cela arrive : soyons attentifs aux commandements que Jésus nous donne. La sagesse de Dieu a été reconnue

Il est difficile de rester à l’écoute de Dieu qui nous parle chaque jour et nous entraîne un peu plus sur le chemin de l’amour ! Jésus veut que nous reconnaissions la sagesse de Dieu à travers ce qu’elle fait. Il veut que notre cœur devienne capable de lire la présence de Dieu en nous et dans le monde qui nous entoure.

Diacre Michel Houyoux

♥ Jésus de Nazareth Je Suis le Chemin, la Vérité et la Vie

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