Mardi de la vingt-huitième semaine du Temps Ordinaire- Année A

Posté par diaconos le 16 octobre 2023

À la table de Jésus

Jésus à table chez un pharisien

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, pendant que Jésus parlait, un pharisien l’invita pour le repas de midi. Jésus entra chez lui et prit place. Le pharisien fut étonné en voyant qu’il n’avait pas fait d’abord les ablutions précédant le repas.

Le Seigneur lui dit : «Bien sûr, vous les pharisiens, vous purifiez l’extérieur de la coupe et du plat, mais à l’intérieur de vous-mêmes vous êtes remplis de cupidité et de méchanceté.
Insensés ! Celui qui a fait l’extérieur n’a-t-il pas fait aussi l’intérieur ? Donnez plutôt en aumône ce que vous avez, et alors tout sera pur pour vous.»
(Lc 11, 37-41

Jésus à table chez un pharisien.

L’occasion

Les discours que Jésus vint de tenir portèrent un pharisien à l’inviter à dîner chez lui. Jésus entra et se mit à table sans procéder aux ablutions traditionnelles. Par cette omission, il excita l’étonnement de son hôte.

Trois vices des pharisiens

  • L’hypocrisie. Jésus prit sur le fait l’hypocrisie des pharisiens : elle se montra dans le scandale que sa conduite  causa. L’importance qu’elle donna aux purifications extérieures fut folie en présence de Dieu qui regarde avant tout à l’être moral. Pratiquer la charité, voilà le vrai moyen d’être pur. L’hypocrisie des pharisiens se montra encore dans leur empressement à payer la dîme, joint à la négligence des obligations fondamentales de la loi.

  • La vanité. : «Ils recherchent les premiers sièges et les salutations.

  • L’influence occulte :comme des sépulcres cachés, ils souillèrent les hommes sans que ceux-ci s’en doutèrent.

Trois reproches aux légistes

Un légiste, se sentant atteint par ces paroles, protesta. Jésus s’adressa alors aux légistes et les censura.

  • Ils prêchèrent et ne pratiquèrent pas, chargeant les hommes de fardeaux qu’ils se gardèrent de remuer du doigt.

  • Ils honorèrent les persécutés et persécutèrent. Bâtissant hypocritement les tombeaux des victimes de leurs pères, ils se montrèrent animés du même esprit qu’eux. Dieu leur enverra encore des prophètes à persécuter, afin que le sang de tous les martyrs fut redemandé à cette génération.

  • Ils détinrent la clef de la connaissance du salut et n’entrèrent ni ne laissèrent entrer

Au sortir de la maison, Jésus fut violemment pris à partie et assailli de questions insidieuses. Jésus s’étant mis à table dès son entrée, le pharisien s’étonna qu’il n’eût pas d’abord fait d’ablution. Cet étonnement put paraître d’autant plus fondé que Jésus revint du milieu de la foule, où il eut pu contracter des souillures légales et où même il eut chassé un démon et guéri un malade.

Mais peut-être Jésus s’abstint-il de ces cérémonies précisément à cause de l’importance superstitieuse que les pharisiens y attachèrent. Qui sut même si ce ne fut pas là le point spécial sur lequel ils voulurent l’épier ? Rien ne prouva qu’il y eût eu récemment dans l’hypocrisie des pharisiens un progrès que Jésus pût relever. Luc fit de la coupe et du plat l’image de l’état moral de ses auditeurs. La rédaction de Matthieu n’exclut pas ce sens, mais le supposa.

Matthieu, Marc et Luc lui-même rapportèrent des paroles qui attestèrent que Jésus fit un grand discours contre les pharisiens à Jérusalem. Matthieu seul nous le conserva en entier.

On peut être certain que Jésus a fait entendre en plus d’une circonstance de vives protestations contre l’esprit du pharisaïsme. L’une de ces protestations fut provoquée par le formalisme hypocrite d’un hôte qui l’invita à sa table.

Ces paroles firent sentir la folie du procédé pharisaïque : «Vous nettoyez le dehors, tandis que l’intérieur est plein de corruption ; mais Dieu qui a créé le dehors n’a-t-il pas aussi créé le dedans (l’être moral), qui a beaucoup plus d’importance à ses yeux ?»

Ce fut donc là ce qu’il fallut purifier avec le plus grand soin ; car Dieu ne vous prescrivit certaines purifications extérieures que pour vous rappeler le devoir de la pureté morale. Or en négligeant celle-ci pour vous en tenir aux premières, vous anéantirent l’intention divine.

Dans Matthieu (Mt 23, 26) se trouve une pensée semblable, exprimée en termes différents. Ce qui est dans les coupes et les plats.

Ces mets et ces vins, faites-en part aux pauvres, avec une charité qui provienne du cœur, et vous comprendrez que la loi suprême de l’amour est infiniment supérieure à toutes vos règles formalistes de purification. Par le fait même, tous ces biens vous seront purs, ils le sont déjà par la puissance de l’amour.

Cette parole ne renferme aucunement l’idée du mérite des œuvres. Jésus serait-il retombé dans le pharisaïsme au moment même où il le détruisit ? L’amour, qui fait le prix du don, exclut, par sa nature même, la recherche du mérite, qui est l’essence du pharisaïsme.(Godet)

Diacre Michel Houyoux

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Vidéo Sc Charité https://youtu.be/Sj-HDN5vZDo

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Achtundzwanzigster Sonntag der gewöhnlichen Zeit – Jahr A

Posté par diaconos le 11 octobre 2023

Einladungen zum Königspalast

Aus dem Evangelium von Jesus Christus nach Matthäus

Zu jener Zeit redete Jesus wieder zu den Hohenpriestern und Pharisäern und sagte ihnen in Gleichnissen: « Das Himmelreich gleicht einem König, der die Hochzeit seines Sohnes feierte. Er sandte seine Diener aus, um die Gäste zur Hochzeit zu rufen, aber sie kamen nicht.Dann schickte er andere Diener aus, um den Gästen zu sagen : « Seht, ich habe mein Festmahl vorbereitet ; meine Ochsen und mein fettes Vieh sind geschlachtet ; alles ist bereit ; kommt zur Hochzeit. Aber sie bemerkten es nicht und gingen weg, der eine zu seinem Feld, der andere zu seinem Geschäft. « 

Die anderen ergriffen die Diener, misshandelten sie und töteten sie. Der König wurde zornig, schickte seine Truppen aus, tötete die Mörder und ließ ihre Stadt niedermetzeln.Dann sagte er zu seinen Dienern : « Das  ochzeitsmahl ist bereit, aber die Gäste waren nicht würdig. Geht deshalb zur Kreuzung und ladet alle, die ihr findet, zur Hochzeit ein. » Die Diener gingen zur Kreuzung und trieben alle zusammen, die sie finden konnten, gute und schlechte, und der Hochzeitssaal füllte sich mit Gästen. Der König ging hinein, um die Gäste zu prüfen, und sah einen Mann, der sein Hochzeitsgewand nicht trug.

Er sagte zu ihm : « Mein Freund, wie bist du hierher gekommen, ohne ein Hochzeitskleid zu tragen ? Der Mann schwieg. Da sagte der König zu den Dienern » Werft ihn an Händen und Füßen gefesselt in die Finsternis hinaus ; da wird Heulen und Zähneknirschen sein. Denn viele sind die Berufenen, aber wenige die Auserwählten. (Mt 22, 1-14)

Wir sind alle eingeladen

« Das Himmelreich gleicht einem König, der die Hochzeit seines Sohnes feiert. » Gott träumt von einem universellen Festmahl für die ganze Menschheit, einem wahren königlichen Festmahl, einem Schmaus. Die Feier an diesem Sonntag lädt uns ein, uns daran zu erinnern, dass wir Gäste des Herrn sind.Gott lädt immer ein Wenn eine Hochzeit bevorstand, gab es in der Tradition der Einladungen im alten Nahen Osten zwei Einladungen: die erste kündigte die Hochzeit an, die zweite warb um Gäste.

Die ersten Diener, die geschickt wurden, waren diejenigen, die das Fest ankündigten, und viele von denen, die gewarnt worden waren, so erzählt uns das Evangelium, wollten nicht kommen : « Sie wollten nicht kommen ».Die zweite Einladung kam, als sie die Gäste abholten : man hatte ihnen Zeit gegeben, sich vorzubereiten, und sie waren auch schon weggebracht worden.Hier wird die zweite Gruppe von Dienern sogar getötet : « Sie kümmerten sich nicht darum und gingen weg, der eine zu seinem Feld, der andere zu seinem Geschäft; die anderen ergriffen die Diener, misshandelten sie und töteten sie ».

Es genügt, unter die Worte des Alten einige konkrete Beispiele aus unserem täglichen Leben zu setzen, um zu entdecken, dass Jesus mit großer Präzision den Zustand unserer Welt beschreibt.Zum Beispiel : « Wie soll ich sonntags zur Messe in der Gemeinde gehen ? Ich habe nur diesen Tag, um Sport zu treiben » oder « Es ist der Tag, an dem wir oft von zu Hause weg sind » oder « Ich muss noch Hausaufgaben machen und für morgen, Montag, lernen ».

Wir sollten Gott nicht den letzten Platz einräumen ! So viele andere Stimmen überdecken seine Rufe. Der Prophet Jesaja lud bereits vor mehr als 2 700 Jahren, im 8. Jahrhundert v. Chr., zum großen messianischen Fest ein : « An jenem Tag wird der Herr, der Gott des Universums, allen Völkern der Erde auf seinem heiligen Berg ein Festmahl mit saftigem Fleisch und köstlichem Wein bereiten ».

In der ersten Lesung beschreibt Jesaja das große Fest für Millionen von Gläubigen: « An jenem Tag wird der Herr, der Gott des Universums, den Schleier der Trauer, der alle Völker umhüllte, und das Leichentuch, das alle Nationen bedeckte, wegnehmen ». Er wird den Tod für immer vernichten. Der Herr wird die Tränen von allen Gesichtern abwischen. Dieser Tag wird ein Tag der Freude für diejenigen sein, die ihr Leben auf Gott ausgerichtet haben und in Hoffnung leben.

Da die Berufenen nicht auf die an sie gerichtete Einladung geantwortet haben, gab es eine Einladung für alle, der Ruf ist universal.  Die Auserwählten sind alle Menschen, die diesen Ruf hören, und niemand ist ausgeschlossen, unabhängig von seiner Herkunft, seinen Ideen, seiner Rasse oder seinem Glauben : « Geht also an den Weg, den ihr geht, und wen ihr trefft, den ladet zur Hochzeit ein ».

Die Diener gingen zur Kreuzung, sammelten alle ein, die sie trafen, die Bösen wie die Guten, und der Hochzeitssaal füllte sich mit Gästen. Lasst uns, Brüder und Schwestern, auf die vielen Rufe Christi antworten, die uns durch das Evangelium, durch die Kirche, durch die Begegnungen in unserem Leben erreichen. Gott lädt alle ein, ohne zu diskriminieren, und begünstigt sogar die Armen, die Ausgegrenzten, die Zurückgelassenen. Wir sind alle zur Hochzeit eingeladen! Doch wie alle Einladungen stößt auch die Einladung Gottes auf unsere Freiheit. Wir können wählen, ob wir an der Hochzeit teilnehmen wollen oder nicht. Wählen Sie ! Das ist der Sinn des heutigen Evangeliums.

Diaken Michel Houyoux

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Zu jener Zeit redete Jesus wieder zu den Hohenpriestern und Pharisäern und sagte ihnen in Gleichnissen: « Das Himmelreich gleicht einem König, der die Hochzeit seines Sohnes feierte. Er sandte seine Diener aus, um die Gäste zur Hochzeit zu rufen, aber sie kamen nicht.Dann schickte er andere Diener aus, um den Gästen zu sagen : « Seht, ich habe mein Festmahl vorbereitet ; meine Ochsen und mein fettes Vieh sind geschlachtet ; alles ist bereit ; kommt zur Hochzeit. Aber sie bemerkten es nicht und gingen weg, der eine zu seinem Feld, der andere zu seinem Geschäft. « 

Die anderen ergriffen die Diener, misshandelten sie und töteten sie. Der König wurde zornig, schickte seine Truppen aus, tötete die Mörder und ließ ihre Stadt niedermetzeln.Dann sagte er zu seinen Dienern : « Das  ochzeitsmahl ist bereit, aber die Gäste waren nicht würdig. Geht deshalb zur Kreuzung und ladet alle, die ihr findet, zur Hochzeit ein. » Die Diener gingen zur Kreuzung und trieben alle zusammen, die sie finden konnten, gute und schlechte, und der Hochzeitssaal füllte sich mit Gästen. Der König ging hinein, um die Gäste zu prüfen, und sah einen Mann, der sein Hochzeitsgewand nicht trug.

Er sagte zu ihm : « Mein Freund, wie bist du hierher gekommen, ohne ein Hochzeitskleid zu tragen ? Der Mann schwieg. Da sagte der König zu den Dienern » Werft ihn an Händen und Füßen gefesselt in die Finsternis hinaus ; da wird Heulen und Zähneknirschen sein. Denn viele sind die Berufenen, aber wenige die Auserwählten. (Mt 22, 1-14)

Wir sind alle eingeladen

« Das Himmelreich gleicht einem König, der die Hochzeit seines Sohnes feiert. » Gott träumt von einem universellen Festmahl für die ganze Menschheit, einem wahren königlichen Festmahl, einem Schmaus. Die Feier an diesem Sonntag lädt uns ein, uns daran zu erinnern, dass wir Gäste des Herrn sind.Gott lädt immer ein Wenn eine Hochzeit bevorstand, gab es in der Tradition der Einladungen im alten Nahen Osten zwei Einladungen: die erste kündigte die Hochzeit an, die zweite warb um Gäste.

Die ersten Diener, die geschickt wurden, waren diejenigen, die das Fest ankündigten, und viele von denen, die gewarnt worden waren, so erzählt uns das Evangelium, wollten nicht kommen : « Sie wollten nicht kommen ».Die zweite Einladung kam, als sie die Gäste abholten : man hatte ihnen Zeit gegeben, sich vorzubereiten, und sie waren auch schon weggebracht worden.Hier wird die zweite Gruppe von Dienern sogar getötet : « Sie kümmerten sich nicht darum und gingen weg, der eine zu seinem Feld, der andere zu seinem Geschäft; die anderen ergriffen die Diener, misshandelten sie und töteten sie ».

Es genügt, unter die Worte des Alten einige konkrete Beispiele aus unserem täglichen Leben zu setzen, um zu entdecken, dass Jesus mit großer Präzision den Zustand unserer Welt beschreibt.Zum Beispiel : « Wie soll ich sonntags zur Messe in der Gemeinde gehen ? Ich habe nur diesen Tag, um Sport zu treiben » oder « Es ist der Tag, an dem wir oft von zu Hause weg sind » oder « Ich muss noch Hausaufgaben machen und für morgen, Montag, lernen ».

Wir sollten Gott nicht den letzten Platz einräumen ! So viele andere Stimmen überdecken seine Rufe. Der Prophet Jesaja lud bereits vor mehr als 2 700 Jahren, im 8. Jahrhundert v. Chr., zum großen messianischen Fest ein : « An jenem Tag wird der Herr, der Gott des Universums, allen Völkern der Erde auf seinem heiligen Berg ein Festmahl mit saftigem Fleisch und köstlichem Wein bereiten ».

In der ersten Lesung beschreibt Jesaja das große Fest für Millionen von Gläubigen: « An jenem Tag wird der Herr, der Gott des Universums, den Schleier der Trauer, der alle Völker umhüllte, und das Leichentuch, das alle Nationen bedeckte, wegnehmen ». Er wird den Tod für immer vernichten. Der Herr wird die Tränen von allen Gesichtern abwischen. Dieser Tag wird ein Tag der Freude für diejenigen sein, die ihr Leben auf Gott ausgerichtet haben und in Hoffnung leben.

Da die Berufenen nicht auf die an sie gerichtete Einladung geantwortet haben, gab es eine Einladung für alle, der Ruf ist universal.

Die Auserwählten sind alle Menschen, die diesen Ruf hören, und niemand ist ausgeschlossen, unabhängig von seiner Herkunft, seinen Ideen, seiner Rasse oder seinem Glauben : « Geht also an den Weg, den ihr geht, und wen ihr trefft, den ladet zur Hochzeit ein ».

Die Diener gingen zur Kreuzung, sammelten alle ein, die sie trafen, die Bösen wie die Guten, und der Hochzeitssaal füllte sich mit Gästen. Lasst uns, Brüder und Schwestern, auf die vielen Rufe Christi antworten, die uns durch das Evangelium, durch die Kirche, durch die Begegnungen in unserem Leben erreichen. Gott lädt alle ein, ohne zu diskriminieren, und begünstigt sogar die Armen, die Ausgegrenzten, die Zurückgelassenen. Wir sind alle zur Hochzeit eingeladen! Doch wie alle Einladungen stößt auch die Einladung Gottes auf unsere Freiheit. Wir können wählen, ob wir an der Hochzeit teilnehmen wollen oder nicht. Wählen Sie ! Das ist der Sinn des heutigen Evangeliums.

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Die anderen ergriffen die Diener, misshandelten sie und töteten sie. Der König wurde zornig, schickte seine Truppen aus, tötete die Mörder und ließ ihre Stadt niedermetzeln.Dann sagte er zu seinen Dienern : « Das  ochzeitsmahl ist bereit, aber die Gäste waren nicht würdig. Geht deshalb zur Kreuzung und ladet alle, die ihr findet, zur Hochzeit ein. » Die Diener gingen zur Kreuzung und trieben alle zusammen, die sie finden konnten, gute und schlechte, und der Hochzeitssaal füllte sich mit Gästen. Der König ging hinein, um die Gäste zu prüfen, und sah einen Mann, der sein Hochzeitsgewand nicht trug.

Er sagte zu ihm : « Mein Freund, wie bist du hierher gekommen, ohne ein Hochzeitskleid zu tragen ? Der Mann schwieg. Da sagte der König zu den Dienern » Werft ihn an Händen und Füßen gefesselt in die Finsternis hinaus ; da wird Heulen und Zähneknirschen sein. Denn viele sind die Berufenen, aber wenige die Auserwählten. (Mt 22, 1-14)

Wir sind alle eingeladen

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Die ersten Diener, die geschickt wurden, waren diejenigen, die das Fest ankündigten, und viele von denen, die gewarnt worden waren, so erzählt uns das Evangelium, wollten nicht kommen : « Sie wollten nicht kommen ».Die zweite Einladung kam, als sie die Gäste abholten : man hatte ihnen Zeit gegeben, sich vorzubereiten, und sie waren auch schon weggebracht worden.Hier wird die zweite Gruppe von Dienern sogar getötet : « Sie kümmerten sich nicht darum und gingen weg, der eine zu seinem Feld, der andere zu seinem Geschäft; die anderen ergriffen die Diener, misshandelten sie und töteten sie ».

Es genügt, unter die Worte des Alten einige konkrete Beispiele aus unserem täglichen Leben zu setzen, um zu entdecken, dass Jesus mit großer Präzision den Zustand unserer Welt beschreibt.Zum Beispiel : « Wie soll ich sonntags zur Messe in der Gemeinde gehen ? Ich habe nur diesen Tag, um Sport zu treiben » oder « Es ist der Tag, an dem wir oft von zu Hause weg sind » oder « Ich muss noch Hausaufgaben machen und für morgen, Montag, lernen ».

Wir sollten Gott nicht den letzten Platz einräumen ! So viele andere Stimmen überdecken seine Rufe. Der Prophet Jesaja lud bereits vor mehr als 2 700 Jahren, im 8. Jahrhundert v. Chr., zum großen messianischen Fest ein : « An jenem Tag wird der Herr, der Gott des Universums, allen Völkern der Erde auf seinem heiligen Berg ein Festmahl mit saftigem Fleisch und köstlichem Wein bereiten ».

In der ersten Lesung beschreibt Jesaja das große Fest für Millionen von Gläubigen: « An jenem Tag wird der Herr, der Gott des Universums, den Schleier der Trauer, der alle Völker umhüllte, und das Leichentuch, das alle Nationen bedeckte, wegnehmen ». Er wird den Tod für immer vernichten. Der Herr wird die Tränen von allen Gesichtern abwischen. Dieser Tag wird ein Tag der Freude für diejenigen sein, die ihr Leben auf Gott ausgerichtet haben und in Hoffnung leben.

Da die Berufenen nicht auf die an sie gerichtete Einladung geantwortet haben, gab es eine Einladung für alle, der Ruf ist universal.

Die Auserwählten sind alle Menschen, die diesen Ruf hören, und niemand ist ausgeschlossen, unabhängig von seiner Herkunft, seinen Ideen, seiner Rasse oder seinem Glauben : « Geht also an den Weg, den ihr geht, und wen ihr trefft, den ladet zur Hochzeit ein ».

Die Diener gingen zur Kreuzung, sammelten alle ein, die sie trafen, die Bösen wie die Guten, und der Hochzeitssaal füllte sich mit Gästen. Lasst uns, Brüder und Schwestern, auf die vielen Rufe Christi antworten, die uns durch das Evangelium, durch die Kirche, durch die Begegnungen in unserem Leben erreichen. Gott lädt alle ein, ohne zu diskriminieren, und begünstigt sogar die Armen, die Ausgegrenzten, die Zurückgelassenen. Wir sind alle zur Hochzeit eingeladen! Doch wie alle Einladungen stößt auch die Einladung Gottes auf unsere Freiheit. Wir können wählen, ob wir an der Hochzeit teilnehmen wollen oder nicht. Wählen Sie ! Das ist der Sinn des heutigen Evangeliums.

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Jeudi de la vingt-septième semaine du Temps Ordinaire -Année A

Posté par diaconos le 11 octobre 2023

Jeudi de la vingt-septième semaine du Temps Ordinaire -Année A dans Catéchèse

 

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : «Imaginez que l’un de vous ait un ami
et aille le trouver au milieu de la nuit pour lui demander : “Mon ami, prête-moi trois pains, car un de mes amis est arrivé de voyage chez moi, et je n’ai rien à lui offrir.”

Et si, de l’intérieur, l’autre lui répond : “Ne viens pas m’importuner ! La porte est déjà fermée ; mes enfants et moi, nous sommes couchés.

Je ne puis pas me lever pour te donner quelque chose.” Eh bien ! je vous le dis : même s’il ne se lève pas pour donner par amitié, il se lèvera à cause du sans-gêne de cet ami, et il lui donnera tout ce qu’il lui faut.

Moi, je vous dis : demandez, on vous donnera ; cherchez, vous trouverez ; frappez, on vous ouvrira.En effet, quiconque demande reçoit ; qui cherche trouve ; à qui frappe, on ouvrira.

Quel père parmi vous, quand son fils lui demande un poisson, lui donnera un serpent au lieu du poisson ? ou lui donnera un scorpion quand il demande un œuf ?

Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants,
combien plus le Père du ciel donnera-t-il l’Esprit Saint à ceux qui le lui demandent! » (Lc 11, 5-13)

Efficacité de la prière

Jésus enseigna l’efficacité de la prière, soit par des analogies, soit par des contrastes, comme dans la parabole. Cette parabole renferme à la fois une promesse et une exhortation, selon que nous considérons les deux hommes mis en scène. La promesse pourrait se traduire ainsi : «Si un homme, par pur égoïsme et pour se délivrer d’un solliciteur, lui accorda sa demande, même à minuit, combien plus Dieu, qui connaît tous vos besoins et qui est amour !»

Quant à l’exhortation, c’est le solliciteur lui-même qui l’eut fait entendre par son exemple : Puisque, dans les circonstances les plus défavorables, mais pressés par vos besoins vous ne craignez pas d’importuner avec insistance un homme que vous savez si peu généreux, pourquoi ne faites-vous pas de même envers Dieu qui, dans sa miséricorde infinie, est toujours prêt à vous accorder bien au-delà de toutes vos prières ?

«Et moi, je vous dis.» Ce fut par ces mots que Jésus introduisit une admirable application de sa parabole, à laquelle il emprunta les images et les expressions mêmes dont il se servit. «Demandez, cherchez, heurtez», c’est là ce que fait l’homme de la parabole ; il vous sera donné, vous trouverez, il vous sera ouvert, telle fut son expérience ; combien plus certainement sera-ce la vôtre auprès de Dieu ! Encore une preuve plus intime et plus persuasive que Dieu exauce la prière.

Parmi les dons que l’enfant demanda à son père, Matthieu ne désigna que du pain et un poisson : ce furent les provisions que l’on prit d’ordinaire pour le voyage. Jésus leur demanda : « Combien de pains avez-vous ? Allez voir.»

S’étant informés, ils lui disent : «Cinq pains, et deux poissons.» (Mc 6, 38) ; Luc ajouta un œuf, qui faisait souvent aussi partie de ces provisions.

«Notre hôte nous remet, au départ, de quoi faire notre repas : des pains (je dis des pains, et non du pain, car on les fait ici fort petits, des œufs durs, comme toujours, plus quelques poissons frits. On voit que la nourriture fut absolument la même que du temps de Jésus. — Félix Bovet, Voyage en Terre Sainte, 7e édition, page 361

À ces trois aliments furent opposés : une pierre, cruelle ironie ; un serpent, très dangereux ; un scorpion plus nuisible encore. Qui fut le père qui répondra par de tels dons à la demande de son enfant ? Et cette question devient plus frappante quand, à à la place d’un père quelconque, Jésus nomma le Père céleste.

«Vous qui êtes mauvais» : Remarquable témoignage du péché originel. ( Bengel) Quel contraste avec la bonté et l’amour du Père qui est du ciel ! D’après Matthieu, Jésus dit : «Votre Père donnera des biens, ou de bonnes choses, à ceux, qui les lui demandent. Cette expression est plus simple, et plus en harmonie avec l’image qui précède, que les termes employés par Luc : donnera l’Esprit-Saint. Mais d’autre part, le Saint-Esprit est le plus précieux des dons de Dieu et le gage de tous les autres.

Diacre Michel Houyoux

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Catholique.org : cliquez ici pour lire l’article → Demandez et on vous donnera – Les méditations

Yves I-Bing Cheng, M.D., M. A : cliquez ici pour lire l’article → Demandez et il vous sera donné

Vidéo Pasteur Daniel Tynevez → https://youtu.be/99tPLzhp86s

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Mercredi de la vingt-septième semaine du Temps Ordinaire — Année A

Posté par diaconos le 10 octobre 2023

 Prière d'intercession pour demander un bienfait pour quelqu'un ou pour soi-même.

 

# Le Notre Père (en latin Pater Noster ; original grec Πάτερ ἡμῶν) est une prière chrétienne à Dieu considéré comme le père des hommes. Il s’agit de la prière la plus répandue parmi les chrétiens, car, d’après le Nouveau Testament, elle a été enseignée par Jésus lui-même à ses apôtres. Prononcée par les catholiques et les orthodoxes en particulier durant chaque célébration eucharistique, par les anglicans pendant les offices divins, par les protestants luthériens et réformés à chaque culte, cette prière, appelée parfois « oraison dominicale », est, avec le sacrement du baptême, ce qui unit le plus fermement les différentes traditions chrétiennes.

xCela explique qu’elle soit dite lors des assemblées œcuméniques. Selon le Nouveau Testament, Jésus, en réponse à une question des disciples sur la façon de prier, leur déclare : «Quand vous priez, dites: Notre Père» Le texte se trouve, avec quelques variantes, dans les évangiles selon Matthieu (6, 9-13) et selon Luc (11, 2-4). En Matthieu, la prière, qui est mentionnée à la suite du Sermon sur la montagne, comprend sept versets ; en Luc, elle n’en compte que cinq.

 Le Notre Père se compose de deux parties. Il présente au début des points communs avec le Kaddish juif (prière de sanctification du Nom de Dieu) puis s’en écarte en reprenant des extraits d’autres textes juifs, notamment celui de la Amida juive (prière de bénédictions).

xLe Notre Père est inspiré en grande partie de plusieurs prières juives, en particulier le Kaddish et la Amida, et d’autres textes juifs existant au temps de Jésus de Nazareth. Dans l’Ancien Testament comme dans la tradition orale du judaïsme, Dieu est le « Père » des hommes, notamment dans la Torah (« Vous êtes les fils de l’Éternel votre Dieu», Dt 14, 1) et chez les prophètes : «Dieu te dit : je veux te faire une place parmi mes enfants. Tu m’appelleras : mon Père, et tu ne t’éloigneras plus de moi » (Jr 3, 20).

 Colette Kessler rappelle que ce Père qui est au ciel est invoqué dans les bénédictions qui précèdent le Shema Israël : «Notre Père, notre Roi, enseigne-nous ta doctrine», avec la formule : «Notre Père, Père miséricordieux»

xDans la Amida, prière dite trois fois par jour tout au long de l’année, Dieu est appelé Père à deux reprises : «Fais-nous revenir, notre Père, vers la Torah», et : «Pardonne-nous, notre Père, car nous avons péché contre toi.»

 Le Kaddish, prière de sanctification, unit le nom de Dieu et son Règne dans les deux premières demandes. Ces deux demande : «Que soit magnifié et sanctifié Son grand Nom» et «Qu’il fasse régner Son Règne», correspondent aux deux premières demandes du Notre Père : «Que ton règne vienne» et «Que ton nom soit sanctifié».

 

De l’Évangile de Jésus Christ selon Luc

Il arriva que Jésus, en un certain lieu, était en prière. Quand il eut terminé, un de ses disciples lui demanda : «Seigneur, apprends-nous à prier, comme Jean le Baptiste, lui aussi, l’a appris à ses disciples.»

Il leur répondit : «Quand vous priez, dites :“Père,que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne. Donne-nous le pain dont nous avons besoin pour chaque jour. Pardonne-nous nos péchés, car nous-mêmes, nous pardonnons aussi à tous ceux qui ont des torts envers nous. Et ne nous laisse pas entrer en tentation.”» (Lc 11, 1-4)

Modèle et efficacité de la prière

Luc assigne à la prière du Seigneur une place tout autre que Matthieu. Selon ce dernier, elle fait partie du sermon sur la montagne, tandis que, d’après notre évangéliste, elle fut enseignée plus tard à la demande expresse d’un disciple.

Un grand nombre d’excellents exégètes (Calvin, Ebrard, de Wette, Olshausen, Neander, Godet) concluèrent que Matthieu, selon son habitude de grouper certains enseignements homogènes du Sauveur, avait librement introduit cette prière dans le discours sur la montagne, tandis que Luc lui assigna sa vraie place. Cette opinion peut s’appuyer sur plus d’un fait semblable. Mais fut-il vrai que cette prière fut déplacée dans le sermon sur la montagne ?

Dans ces instructions sur les diverses manifestations de la piété, l’aumône, la prière, le jeûne, après avoir condamné les prières hypocrites, faites avec ostentation et en usant de vaines redites, n’était-il pas tout naturel que Jésus ajoutât : «Vous, mes disciples, priez ainsi » et que, au milieu de la foule qui l’entourait, les yeux levés vers le ciel, il prononçât d’un ton pénétré cette prière si profonde dans sa simplicité, si riche dans sa brièveté ? Nul n’en aurait jamais douté, sans le récit de Luc qui nous occupe.

Mais ce récit nous oblige-t-il à rejeter celui de Matthieu ? Nullement, à moins qu’on n’admette que jamais Jésus n’ait pu, en des circonstances différentes, redire quelques-unes de ses paroles les plus importantes. Or, les évangiles nous présentent des exemples nombreux de paroles prononcées à diverses reprises.

Pourquoi Jésus n’aurait-il pas répondu à ce disciple qui lui demandait de lui enseigner à prier, en répétant cette admirable prière, qu’il présente du reste dans une forme différente et quelque peu abrégée ?

Ainsi l’ont admis Tholuck, Meyer, Stier, Gess et d’autres, qui voient une confirmation de leur opinion dans le fait que Matthieu seul nous a conservé dans sa plénitude cet inimitable modèle de prière.

La formule de Luc présente, en outre, quelques expressions qui diffèrent du texte de Matthieu. Ainsi : « Donne-nous chaque jour, au lieu de aujourd’hui, notre pain quotidien ». Le terme de Luc peut s’étendre à l’avenir, tandis que celui de Matthieu limite la demande au jour présent.

Luc dit : «Remets-nous nos péchés», au lieu de nos dettes, terme qui, même dans Matthieu, ne peut naturellement s’entendre que des péchés dont nous demandons le pardon ; mais Luc conserve la même image dans ces mots : à quiconque nous doit.

Matthieu motiva cette demande de pardon en disant : comme nous remettons, Luc : car nous remettons. Il ne voulut pas dire qu’en pardonnant aux autres nous méritions le pardon de Dieu.

La tournure employée suppose, suivant Monsieur Godet, un raisonnement semblable à celui que nous trouvons au verset « Si vous qui êtes mauvais,…combien plus le Père céleste» De même ici : « Pardonne-nous nos péchés, toi la Miséricorde suprême, puisque nous aussi, tout mauvais que nous sommes, nous pardonnons ».

L’expression absolue : à quiconque nous doit, ne s’accorde pas bien avec cette explication. Elle montre que le motif ajouté à la requête est un vœu, une résolution prise pour l’avenir et par laquelle celui qui prie manifeste des dispositions qui le rendent propre à recevoir le pardon de Dieu.

Jésus enseigna l’efficacité de la prière, soit par des analogies, soit par des contrastes,

Quant à l’exhortation, c’est le solliciteur lui-même qui nous la fait entendre par son exemple : Puisque, dans les circonstances les plus défavorables, mais pressés par vos besoins, vous ne craignez pas d’importuner avec insistance un homme que vous savez si peu généreux, pourquoi ne faites-vous pas de même envers Dieu qui, dans sa miséricorde infinie, est toujours prêt à vous accorder bien au-delà de toutes vos prières.

Diacre Michel Houyoux

Sites intéressants à voir sur Internet

Paul Calzada : cliquez ici pour lire Comment améliorer l’efficacité de nos prières ?

EMCI TV → Les 11 attributs de la prière efficace

Vidéo Joyce Meyer https://youtu.be/HMOielB4Y5I

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